Isabelle Va Finir Par Se Venger De Son Mari. Épisode 9

Épisode 9
Isabelle en était à sa dernière nuit pour rembourser la dette de son mari. Elle en avait profité pour se venger de l’infidélité de son mari. En plus elle se découvrait une sexualité de jouisseuse qui lui faisait profiter des hommes qui s’étaient lâchés. Il y avait Jean-Joseph, avec son gros canon entre les jambes. Albert, n’aimait pas son prénom mais vénérait sa queue, véritable manche à enculer. L’autre c’était Noël et c’était le gros cochon de la bande. Elle avait déjà pas mal donné mais n’était pas au bout de la nuit. Les hommes la maintenaient prête à jouir. Mais ils étaient aussi très occupés par leur propre plaisir et leur propre jouissance.
Noël, le plus cochon de tous, s’amusait à promener le vibro, spécial clitoris, en haut de la chatte d’Isabelle.
-s'il vous plaît Noël allez-y, mettez-le où il faut.
-vous êtes bien pressée. Il faut le mériter, dit Noël avec un air malicieux en regardant Bertrand qui avait la mine déconfite. Isabelle se demandait ce que l'homme avait encore imaginer. Elle était prête à tout vu son état d'excitation. L’ovule vibrait toujours dans sa chatte pendant que l'autre en charge se promenait autour II l'endroit le plus sensible de son corps. Elle mouillait beaucoup et les hommes s'en étaient aperçu.
-D’ailleurs Albert vous dit comment faire pour avoir droit au beau champignon vibreur sur votre bouton des plaisirs, intervint Jean-Joseph qui n’en manquait pas une, avec toujours, son canon à sperme dans la main d’Isabelle qui le secouait de temps en temps comme pour le maintenir utilisable.
- Bien rappelé. Vous devez vous asseoir sur ma trique et la faire rentrer dans votre anus et ça sans les mains.
-Mais c’est impossible.
-Mais si, c’est possible.
-Je vais être ridicule mais tant pis, je vais essayer. Et toi mon cher mari, regarde bien ce que je peux faire pour pouvoir jouir.
-Vous voulez peut-être un peu de vaseline ?
-Je ne dis pas non vu la taille.


Isabelle prit une noisette de vaseline et se la mit sur l’anus. Elle en enfonça aussi un peu dans son petit trou. Puis elle se tourna vers Albert.
-Vous permettez que je vous enduise le sexe ?
-Enduisez, madame, enduisez mais attention, n’astiquez pas.
-Au moins avec toi, elle n’a pas besoin de sucer pour mettre la queue bien raide avant l’enculage, fit remarquer Jean-Joseph.
-Elle est déjà bien trop forte pour moi. D’ailleurs, je ne sais pas comment elle va pouvoir rentrer.
-Mais si, vous allez finir par y arriver. Quand on veut, on peut.
-La belle parole. Je ne tiens pas du tout à me faire prendre par derrière par vous.
-Allez, Isabelle ; dès que vous l’aurez dans le cul, je vous mets le vibro directement sur le clito. D’ailleurs même si votre chatte est poilue, je vois bien que vous avez les lèvres excitées. Elles sont rouges.
-Oh, j’ai honte. Mais vous avez raison ; je suis chaude comme vous dites, vous, les hommes. Mais de là à la faire rentrer sans les mains, ce n’est pas gagné. Mais vous me promettez que si je réussi, vous me laissez jouir tant que je veux.
-C’est promis, répondirent-ils en chœur, enfin presqu’en chœur parce que le mari regardait et avait toujours une mine consternée. Consternée par ce que faisaient les hommes ou par l’attitude participative de son épouse ?
Et la scène qui a suivi reste gravée à tout jamais dans leur mémoire tant elle est cochonne. Albert resta assis sur le canapé avec la trique bien à la verticale. Isabelle se leva et se prépara à s'asseoir sur les genoux de l'homme qui l’encouragea.
-Vous réussissez bien à faire jouir une queue rien qu’avec votre bouche, alors vous allez bien réussir là aussi.
Isabelle pensa qu’il disait n’importe quoi. Faire une pipe sans les mains était une chose mais s’enfiler une bite de cette taille dans le cul en s’asseyant dessus sans l’aide des mains était une autre paire de manches.
Albert avait les jambes serrées ce qui oblige à Isabelle un écarter les siennes.
Pour la motiver un peu plus Noël accéléra l’ovule vibrant. Elle réagit tout de suite avec un « Oh oui ! » Elle se retourna, prit appui des deux mains sur les genoux de l’homme et sentit le membre raide cogner contre le milieu de sa cuisse. Elle n’y était pas du tout. Elle remonta un peu ses fesses puis les rabaissa mais elle le gland était au milieu de sa fesse.
-Je n’y suis pas.
-Ça va venir ; vous allez y arriver, l’encouragea Noël, en lui mettant un coup de vibreur sur le clitoris pour la motiver.
-Albert, vous pouvez m'aider ? Demanda Isabelle en se retournant vers l'homme. Elle constata qu'il avait les yeux qui lui sortaient des orbites, fixés sur ses fesses. Et surtout, les mains croisées derrière la tête. Il était manifestement au comble de l’excitation.
-Ce n'est pas le défi. Vous devez réussir toute seule. Allez, concentrez-vous un peu plus au lieu de penser à ce qui vous excite dans la chatte.
Alors Isabelle se dandina pour placer la bite d’Albert où il fallait : sur son anus. À un moment, elle ne bougea plus et fit un « Ah ! Ah ! » révélateur de l’avancée de la délicate opération. Puis il y eut ce magnifique : « Oui, oui ! Ça y est, je l’ai dans le cul ! » suivi d’un « Hou, c’est dur, c’est dur ! » Albert, arborait un large sourire et levait le pouce, comme un like de Facebook, pour indiquer que c’était top.
-Allez-y, Isabelle, encourageait Noël, maintenant que le gland est dedans, il faut vous asseoir complètement dessus jusqu’à ce que vos poils se mélangent à ceux d’Albert. Puis s’adressant au mari : Alors, Bertrand, ça te fait quoi de voir ta femme avec le manche d’Albert lui rentrer dans le cul ?
Le pauvre type ne disait rien. C’est sa femme qui reprit.
-Tu vois, mon cher mari, j’ai le gros morceau de ton copain Albert qui me rentre dans le cul et je peux te dire que ce n’est pas facile, elle est vraiment grosse. Aïe ! Ne bougez pas Albert, je vais me l’enfoncer doucement. Très doucement.
-Il faut remettre de l’huile sur le piston, s’excita Jean-Joseph, il n’y en a pas encore beaucoup de rentré.
Allez-, Isabelle, poussez, il paraît que ça rentre plus facilement. Asseyez-vous carrément dessus.
-Je voudrais bien vous y voir vous.
-Poussez, poussez madame.
-Arrêtez de me dire ce que je dois faire. Je vais y aller doucement… Et puis, je voudrais vous y voir. Hou, c’est difficile ; elle est quand même super grosse.
-Je suis désolé, mais je n’ai pas la taille en dessous en magasin.
-Je sens que ça rentre mais c’est vraiment difficile.
-Il faut que ce soit dur, sinon ça ne rentre pas, ironisa Noël qui n’en perdait pas une. Je vais vous aider un peu en vous stimulant le clito.
-Waouh ! Ça fait du bien votre truc.
Et du coup, la bite rentra d’au moins cinq centimètres sans provoquer de grosses douleurs
-Ça avance, commenta Jean-Joseph, en spectateur intéressé.
Albert promenait le stimulateur au niveau de la chatte et cela avait un effet immédiat. Isabelle appréciait malgré le gros engin qu'elle avait dans le cul et qui n'arrivait pas à rentrer entièrement. Les 3 hommes étaient au comble de l'excitation. Le 4e, le mari subissait la vue de l’assaut des hommes sur son épouse. Et c’était sa faute. Dans la lente progression du manche dans son arrière train, Isabelle disait : « c’est dur, c'est dur, elle est trop grosse, ça me défonce, je n'y arriverai pas, c'est dur, c'est dur, c'est vraiment dur. » En gros cochon, Noël pensait : « arrête de geindre et prend le entièrement dans le cul ; et puis c’est tout. » Albert, de son côté, l'encourageait : « allez, allez-y, Madame, allez y. ça avance. Vous allez être garnie. Je ne bouge pas, je vous laisse faire. Pour moi, c'est bon et c'est même très bon. » il y eut encore pas mal de grimaces compensées par l'action du stimulateur. Il ne restait plus que 4 ou 5 centimètres mais cela avait l'air bloqué.
-je suis pleine, ça ne va pas aller plus loin.
Jean Joseph et Albert lui répondirent en mettant chacun une main sur les épaules d’Isabelle. Un petit cri accompagna leur geste lorsqu'ils appuyèrent fermement de haut en bas.
Mais le résultat fut immédiat les poils d’Albert et d’Isabelle sur mélangèrent. Ça y était, elle était enculée à fond avec juste un Aïe ! modéré.
-Ne bougez plus Albert, ne bougez plus s'il vous plaît. J’y suis arrivée mais elle est très grosse et très longue et elle va me faire mal si vous la mettez en action.
Trop content, d’avoir son mandrin entièrement rentré dans le rectum de le jeune femme Albert accepta de ne rien faire. D’ailleurs son excitation était au maximum et il sentait qu’il ne lui fallait pas grand-chose pour envoyer la purée. Très délicatement, il réussit à la faire s’allonger sur lui. Il lui attrapa les jambes au niveau de la pliure des genoux et les releva offrant ainsi un spectacle magnifique. Jean-Joseph écarta les lèvres de la chatte, offrant ainsi le clitoris à l’action du vibromasseur.
-je n'en peux plus, c’est bon ! Je vais jouir. Je sens que ça vient.
Mais c'était sans compter sur la roublardise d’e Noël qui enlevait l'engin dès qu'il sentait qu'elle allait partir. L’effet était que l’orgasme allait être de plus en plus puissant. Isabelle avait la bouche ouverte et était quasiment en apnée. Et il finit par bien placé l’outil et dire à Isabelle : « on y va ! »
- OU… ou.. i…i… ! Je joui.
Des spasmes secouèrent son corps mais ce n’était pas le plus remarquable. Sa chatte gicla.
-Ouais, belle fontaine ! lança Albert qui venait d’en prendre plein les mains.
-Excusez-moi, Je joui encore, c’est trop bon !
Jean-Joseph avait attrapé sa queue et se secouait ferme. Il s’avança et envoya son jus dans les poils de la chatte d’Isabelle. Il suffit de quelques aller et retour à Albert pour lâcher son jus dans le ventre d'Isabelle. Encore plus cochon que d'habitude, Noël présenta son membre aux lèvres du haut d’Isabelle qui prit le bâton en bouche. Elle n’était pas vraiment redescendue. Et sous l’action du stimulateur de clito que tenait maintenant Jean-Joseph, elle lâcha : « Je repars ! » Jean-Joseph enleva l’appareil à jouir et Isabelle envoya plusieurs jets sous les yeux des trois queutards et du mari qui n’en revenait pas.
-Regardez, Isabelle, votre mari bande. Ça t’excite de voir ta femme jouir.
-Tu es vraiment un salaud, enchaîna Isabelle toujours proche de l’orgasme grâce à l’ovule oublié dans sa chatte. En tout cas, ce n’est pas toi qui m’as fait jouir comme ça. Je vais sucer à fond ton cochon de copain à qui tu devais pas mal d’argent. Sans tes dettes, je ne les aurais connus et je n’aurais jamais joui comme ça. Elle n’eut pas besoin de sucer longtemps. Noël qui pour confirmer son statut de gros cochon envoya un « Bon appétit, madame ! » au moment où il larguait son jus d’homme.

À suivre

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