Collection Les Chiennes. Tout Ça Pour Ça (2/8)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Que va-t-il m’arriver !

C’est ce qui me vient à l’esprit.
Dans quelle galère nous nous sommes engagées.
Quand nous nous trouvions dans la villa de Marbella, après notre traversée à grande vitesse de la Méditerranée afin de livrer un ballot de drogue à deux types qui ont payé Christian, j’étais loin de penser à ce qui nous arrive.
Christian m’a permis d’échapper à mon père qui voulait me donner à un vieux de 44 ans, moi qui en ai 18.
Dans cette villa nous avons passé de bons moments après qu’il m’eut pris mon pucelage faisant de moi une femme impure comme le veulent les moeurs pour toute petite Marocaine.
Quand je vois ce que je vois au travers des barreaux de la cage où je suis enfermée, je me rappelle que Christian quand il me baisait en me tirant par les cheveux alors qu’il était dans ma chatte me pilonnant à grands coups, me demandait de lui dire que j’étais une chienne, sa petite chienne !
En ce moment le mec baraqué et rasé qui l’encule alors qu’il ne peut se défendre, lui demande les mêmes mots.

Nous en sommes arrivés dans cette situation par la faute de Christian qui à tout prix a souhaité cambrioler cette villa d’un type ancien.
Dans la voiture volée à Marbella nous avions quelques petits larcins qui nous auraient permis de vivre quelques jours avant de trouver un coup que j’aurais mieux senti.
Je suis un peu responsable car c’est moi qui ai fait tomber un râteau par chance les dents sur le sol.
Christian avait raison, 10 000 € dans le tiroir du bureau.
Argent que nous avons juste eu le temps de voir car Jules le proprio que j’ai dû réveiller au moment où j’ai fait du bruit, nous tombe dessus avec un fusil qui nous enlève toute envie de bouger le moindre doigt.

Déshabillé, pendu par les poignets à un palan et moi en cage, Christian subit l’assaut d’Adrien l’homme au crâne rasé le sodomisant alors qu’il le supplie de l’épargner.



- Merci Jules de m’avoir appelé.
Ta lopette, tu m’en fais cadeau, vous ce sont les petites chattes comme celle dans la cage que vous aimez matter à votre pogne.
Vous savez, j’ai fait l’Algérie, dans le dessert on est loin d’être regardant, un trou est un trou et on prend de mauvaises habitudes.
Les chattes j’ai essayé une fois, j’avais l’impression d’être dans un morceau de mou de veau.
L’anus de ce jeune éphèbe est bien resserré, là je sens que je suis en terrain conquis.
- Si je t’ai fait venir, c’est dans ce but, je vois que vous êtes faits pour vous entendre.

Raymond regarde dans le tiroir dans mon bureau où ce petit con voulait avec sa pute me piquer mon pognon.
Tu trouveras un flingue, que ce jeune petit salopard obnubilé par l’argent a oublié.
Prends-le et accompagne Adrien, dans sa voiture tu feras attention à ce qu’il reste calme, en cas de besoin, un coup sur la tronche, ça le calmera.

Ils détachent mon amant, grâce aux menottes, ils l’entraînent avec eux, c’est la dernière fois que je le vois.

- Tu as vu, ton copain était prêt à faire le chien pour qu’Adrien oublie son cul.
Merci d’être venue chez moi, j’avais besoin d’une bonne, tu viens de prendre le poste.

Toujours dans son pyjama très classique, il va vers une armoire, farfouille dedans et en ressort avec un morceau de cuir et une cravache.
Il vient vers moi, passe ses bras entre les barreaux, j’ai le temps de voir que c’est un collier comme on met au chien qu’il me présente.

- Avance ton cou, je vais t’attacher ton collier, à partir de maintenant tu fais tout ce que nous décidons, viens, sors de la cage.

Dans cette cage, je suis placée comme un animal, elle est trop basse pour que je me tienne debout.
Mais comment peut-on avoir une pièce où tout est prévu pour que je devienne leur soumise ?
En sentant le collier autour de mon cou, j’ai l’impression de devenir leur chienne, surtout au moment où la cravache s’abat sur ma croupe.

Christian a la sodomie chez l’autre PD, les coups en attendant autre chose pour moi.

- Ton nom ma petite salope ?

Me demandant mon nom, il prend un malin plaisir à me donner des coups de cravache qui me font hurler.

- Radia monsieur, mais je vous en supplie, laissez-moi partir.
- Tu vois cette pièce, c’est ma pièce des expiations.
Je l’ai construite quand Solange mon épouse m’a trompé avec le facteur.
Tromper son mari avec le facteur, rien de bien classique, ça se voit même dans des films.
Mais moi, être trompé était hors de ce que je pouvais admettre, surtout qu’elle avait tout ce qu’elle voulait, je gagnais largement ma vie.
La cage, je l’ai soudée moi-même sur place, barre de ferraille après barre de ferraille.
Au fil du temps et de mes envies, j’ai installé le palan, j’adorais l’attacher et la fouetter.
Les hommes que tu as vus, nous nous étions connus dans notre jeunesse.
Par chance seul Adrien a fait l’Algérie, sinon ce serait lui que j’aurais mis dans la cage et toi vendue au plus offrant.
Ma femme nous a quittés, je savais qu’un jour ou l’autre cette pièce resservirait, il fallait simplement être patient, c’est vous avec ta lopette de copain qui êtes venus vous livrez à nous.

À ce moment une volée de coups de cravache me tombe dessus, je me protège comme je le peux, mais j’en ramasse assez pour hurler de nouveau.

- Crie autant que tu veux, cette pièce est entièrement insonorisée.
Vivian, tu te souviens, ça a été le plus gros travail, c’était un peu con de perdre toutes ces heures que nous avons passées après le départ de Solange.
Lève-toi que je te regarde.
Parfaite, tu es parfaite pour nous.
Relève la tête, mieux que ça, soit fière d’être notre servante et notre pute comme Solange avait su l’être au fil des années où elle a vécu dans cette cage.
Nous en avions fait une parfaite adepte du sadomasochisme.

L’un de nous était toujours prêt à la satisfaire car elle était devenue accro à nos pratiques.
Je la fouettais matin et soir.
Raymond a été le premier à qui je l’ai prêtée, à partir de ce jour, nous la baisions à trois et la martyrisions à quatre.
Vivian qu’en penses-tu, à part l’Algérie, Adrien a dû avoir un problème dans sa jeunesse avec les femmes.
- Je croyais que tu étais au courant, quand il est parti en Algérie, Maryse tu t’en souviens.
- Oui la jolie blonde que nous cherchions tous à baiser.
- Et Kamal le Tunisien ?
- Le maquereau !
- Oui, il l’a amené à Toulon où il la prostitue, il était tellement amoureux, voilà d’où vient sa haine des femmes.
L’Algérie est loin d’avoir arrangé les choses, c’est con de baiser tout ce qui a un trou.
- En attendant le retour de Raymond que dirais-tu de te faire baiser, regarde j’ai de quoi satisfaire une jolie salope comme toi.

J’en perds mon Arabe, je pense qu’ils ignorent que je suis Marocaine.
Jules a sorti sa queue, me prend par mon collier, tire et me fait monter sur une table.
À Marbella, Christian m’a souvent baisée sur la table et de la cuisine ou sur celle en pierre construite près de la piscine.
Il me fait placer les cuisses écartées.
Il sort son sexe de son pantalon de pyjama.
Bite assez grosse volumineuse et noueuse, une grosse veine part du gland pour venir à la base dans ses poils.
Il bande à moitié, mais trouve son chemin en moi.
J’ai beau me dire que je me fais violer, mon corps aime le sexe depuis que Christian a fait disparaître mon hymen.
Je sens une boule monter en moi, ils veulent que je sois leur esclave et leur chienne, je vais les satisfaire.

Une seule chose me chagrine, j’ai quitté mon père pour éviter d’épouser un homme de 40 ans, je me trouve à la merci de quatre hommes âgés qui veulent m’enfermer à vie comme je l’aurais été au Maroc.

Quatre, car nul doute qu’Adrien en ayant assez du cul de Christian, souhaite venir s’occuper du mien.
Une pensée malsaine me traverse, comment ça fait de se faire enculer, au début au bout de cette verge, il hurlait pour finir par sembler apprécier.
Je vais pour jouir quand on entend un bruit sourd.
Si le bruit reste dans la pièce, il en est de même dans le sens inverse, le bruit sourd se faire entendre.

- Vivian va voir ce qui se passe, peut-être que notre salope avec son copain était plusieurs, nous aurons la chance d’attr un autre couple.

Vivian ouvre la porte, ça tape de nouveau…



Correction Anne.

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