Max Découvre La Sodomie Grâce À Son Lit
Comme pour Hubert, Radia, Nathalie et les autres
Max ma contacté suite à la lecture de mes histoires dans les cinémas. Nous avons longuement échangé sur nos vies sexuelles. Aujourdhui il a 55 ans, il est marié et sautorise régulièrement des escapades avec des hommes. Comme pour les autres je vais utiliser le « je » pour vous raconter ses aventures, nous allons démarrer chronologiquement.
Je mappelle Max, cest lannée de mes 18 ans. Jai eu des petites copines mais nous navons jamais rien fait de plus que se bécoter. Ce nest pas que je me sens pas prêt mais je ne sais pas trop comment my prendre pour leur faire comprendre que jai envie delle. Donc en règle général la fille simpatiente et rompt avec moi.
Ce nest pas dans ma famille que je vais trouver quelquun qui pourrait maider sur ce sujet. Comme pour beaucoup et encore plus à cette époque le sexe est un sujet complètement tabou. Je fais mes découvertes tout seul le soir dans mon lit. Cest un vieux lit de famille d1m20 de large avec une tête de lit et 4 poteaux à chaque angle qui dépasse largement du matelas et se termine par une sorte de pointe arrondie.
Quand je suis allongé la lumière éteinte, je caresse mon corps avec ma main en imaginant que cest celle de ma copine du moment ou de celle que je convoite. Je me mets rapidement à bander et mes doigts descendent taquiner mon sexe jusquà me faire éjaculer dans mes chaussettes pour laisser le moins de traces possible et ne pas choquer ma mère.
Ces derniers temps je vais de moins en moins directement sur mon sexe jexplore mon corps. Jai découvert que jaime me caresser les tétons mais aussi les tirer et les pincer alors jen avant et pendant ma branlette. Mais jai aussi constaté que mes cuisses et mes fesses sont aussi des zones érogènes pour moi. Les premières jaime me les griffer légèrement en remontant jusque sur mes couilles.
Pour les deuxièmes ce nest pas évident à tester alors je me les caresse jusquà ce que jai lidée de mieux les explorer quand je suis sous la douche.
Ensuite jai la génial idée de rajouter un deuxième doigt. Le plaisir est encore plus grand alors gourmand comme je suis, jessaye rapidement de me sodomiser avec un troisième mais je narrive pas à le faire rentrer. Donc je continue de jouer uniquement avec deux. Même si je suis sportif et assez souple je ne trouve pas que la position soit la meilleure, surtout si je veux me branler en même temps.
Je suis depuis quelques jours à la recherche de ce que je pourrais me rentrer dans le cul quand je suis sous la douche. Jai lidée dessayer avec ma brosse à dents mais le manche est trop plat et ça ne fait pas grand chose. Je convoite celle de mon père qui a un manche très bombé mais je nose pas lutiliser pour me brosser les dents alors encore moins pour me lenfoncer entres les fesses.
Ce week end mes parents sabsentent, je vais en profiter pour fouiller la maison à la recherche de lobjet qui me fera du bien dans le cul. Après une bonne grasse matinée où je nai même pas entendu mes vieux partir, je profite de mon érection matinale pour me caresser. Je file à la salle de bain chercher une crème hydratante de ma mère ça glisse mieux avec.
Quand je me réinstalle tranquillement à poil dans mon lit et que je fais monter et descendre ma main le long de ma tige, je regarde avec convoitise les poteaux de mon lit. En fait cest un objet comme ça que je recherche car il est fin au début et sélargit de plus en plus. A lépoque je ne connaissais pas les plugs mais cest à ça que ça ressemble.
Dommage que je ne sois pas assez bricoleur pour en scier un et le recoller après mais quand je mimagine sous la douche à faire aller et venir ce morceau de bois dans mes entrailles, je sens ma queue gonfler entre mes doigts.
Je reste un moment à jouer avec ma semence sur mon corps, je nose pas encore la goûter. Je remonte ce que jai sur mon ventre vers mon torse et je me caresse les tétons avec, ils deviennent de plus en plus durs. Je me les pince gentiment mais plus je tire dessus plus je sens mon sexe réagir malgré la récente éjaculation.
Après une bonne demi heure de ce jeu, je me lève enfin et vais directement me rincer pour enlever lodeur de mon jus qui menivre. Je vais prendre mon petit déjeuner, ma mère mavait tout préparer sur la table, avant de partir à la recherche de lobjet qui sera me donner du plaisir anal.
Je pense navoir jamais autant exploré la maison et cest dans la pièce ou je ne mets jamais les pieds dhabitude que je trouve mon bonheur. Je tombe dabord sur une ventouse à déboucher, son manche et très long mais il a une largeur comparable à celle mon sexe en érection alors je me dis que ça fera laffaire.
Je le caresse un moment, comme je lai fait ce matin avec ma bite mais je me rentre une écharde alors je suis heureux de ne pas avoir directement commencer avec mon cul. Je continue mon exploration et je me décide sur un marteau. Son manche et plus fin mais largement assez long, il a surtout lavantage dêtre vernis et donc aucun risque de me faire mal avec.
Je ne perds pas de temps et je me dépêches de monter prendre ma deuxième douche. Une fois que je suis sous leau je nettoie bien le nouvel objet de mon désir pour être sur de ne pas me rentrer une merde dans les entrailles. Ensuite je me savonne bien le derrière et je fais rentrer un premier doigt plein de mousse entre mes fesses.
Je fais rapidement et facilement rentré un deuxième doigt en moi alors que lautre main savonne le manche du marteau comme si je le branler.
Jappuie avec contre le manche et je pousse comme pour aller aux toilettes. Cest un pote du lycée qui a donner cette technique pour sodomiser les nanas, si ça marche pour le cul des filles ça doit marcher aussi pour le mieux. Je descends tout doucement en continuant de pousser et je sens lentement le manche me pénétrer.
Je sens la même sensation de plénitude que lorsque je fais rentrer deux doigts en moi. Je monte et descend très lentement dessus, dans un premier temps je veux être sûr de mes mouvements. Comme le marteau tient tout seul jai mes deux mains de libre. je prends bien appuie contre les murs de la douche et jaugment, non seulement le rythme mais aussi la profondeur.
Jenfonce le manche plus profondément que je pouvais le faire avec mes doigts mais je ny vais pas non plus à fond. Jadore, je me sens beaucoup bien plus rempli que dhabitude, jai limpression davoir le cul encore plus ouvert. Je me soulève complètement et je vais explorer ma rondelle avec mes doigts. Je mattendais à avoir le trou bien béant mais ce nest pas le cas.
Un peu déçu je reprends mon acrobatie, cette fois le manche rentre comme dans du beurre, cest la preuve que je suis vraiment plus ouvert. Je reprends mes mouvements comme avant mais plus rapide, jadore sentir ma bite, demi molle, venir me frapper les couilles et les cuisses. Plus mes mouvements sont secs plus je me tape fort avec, surtout que je ça me fait encore plus durcir.
Jenfonce bien le manche en moi et je prends appuie contre le mur quà une main, lautre me caresse les couilles mais aussi la tige qui continue de grandir et grossir entre mes doigts. Mes montées et descentes sont moins maitriser alors jy vais plus lentement mais plus profondément. A chaque fois que je me sodomise plus loin avec le marteau je sens une chaleur à lintérieur de mes entrailles qui mirradie le ventre et sétend jusquà mes couilles.
Malheureusement mes genoux commencent à fatiguer alors ma main contre le mur empoigne le marteau et je me relève doucement. Je continue de me branler énergiquement, sans oublié de moccuper régulièrement de mes couilles, lautre fait lentement sortir le marteau. Je dois avoir à peine 10 centimètres de manche en moi mais je les fait aller et venir à un rythme fou.
Je me penche pour prendre appuie, avec ma tête, contre le mur et mes deux mains sexcitent de plus belle sur moi. Je sens me couilles gonfler, jaugmente la profondeur derrière. Mes veines se remplissent et ma queue se met à palpiter, je serre encore plus mes doigts contre mon sexe.
Quand le premier jet sort jai limpression que ma bite va exploser mais mes entrailles aussi car je viens denfoncer encore plus le marteau et je le fais tourner en moi. Sen suit au moins 5 autres giclées et alors que je continue à jouer avec mon cul grâce au marteau, un liquide un peu plus clair continue de couler de mon méat. Mes doigts se serrent encore plus au fur et à mesure que mon sexe ramolli.
Mon autre main calme aussi la cadence au niveau de mes fesses. Quand mon sexe devient trop sensible pour continuer à être caresser, jenfonce un peu plus le marteau mais autant que tout à lheure et je ne bouge plus. Jai toujours la tête contre le mur et mes entrailles envahis, ma peau est recouverte de chair de poule et je sens comme un petit feu dartifice dans tout mon corps.
Je finis par reprendre ma respiration et me calmer, mon cul commence à me faire mal alors je retire lentement le manche du marteau. Quand il est complètement sorti je ressens un grand vide en moi. Sans même me toucher je sais que ma rondelle est béante et je sens quelle se referme tout doucement.
Jatt le pommeau de douche pour nettoyer ma descendance perdue, qui gis sur le carrelage de la douche. Jai honte en remarquant quil y a des traces dexcrément sur le manche du marteau, je mempresse de bien le nettoyer. Je me rince de nouveau et sort enfin de la salle de bain trop heureux davoir trouvé un excellent compagnon de jeu.
Je passe le week end à prendre des douches et faire un étrange bricolage avec le marteau. Je nai jamais eu de telles orgasmes avant ce week end de découverte. Mais mes parents rentrent dans une heure et je suis obligé de remettre le marteau à sa place dans le garage car je ne saurai expliquer sa présence dans la salle de bain. Il va falloir que je me trouve un autre partenaire de jeu.
Mes parents sabsentent de nouveau, ils partent faire un salon sur Paris pendant 3 jours et jai toujours pas trouvé de remplaçant au manche du marteau de mon père. Même si je profite de quelques douches où je suis seul à la maison pour sortir le marteau du garage, je veux trouver un nouveau jouet. Jai envie de quelque chose de plus gros pour mes entrailles, je commence déjà à être gourmand.
Le jeudi et le vendredi, je suis la routine de lécole même si les matins je me lève plus tôt et que le marteau maccompagne sous la douche. Le samedi matin je me lève tardivement, jatt la crème hydratante de ma mère que jai laissé sur ma table de nuit et je me branle avec. Je regarde, avec encore plus de convoitise que dhabitude, les poteaux de mon lit.
Je sors du lit complètement nu et je cours chercher la boite de couture de ma mère. Comme je bande toujours, ma bite tape mon ventre et mes cuisses. Jatt le mètre ruban et retourne, au même rythme, dans ma chambre. La partie du poteau la plus haute fait à peine plus dun centimètre de diamètre par contre au plus large ça atteint quand même les 6 centimètres. Cest un petit chiffre mais en réalité cest très large surtout pour un cul « vierge » comme le mien.
Jai quand même très envie de tenter le coup même si je sens le stress monter. Je file à la salle de bain, sous la douche. Je commence par mouvrir le cul avec mes doigts savonnés, ensuite jutilise le manche du marteau. Une fois que je suis bien ouvert, je me rince, je prends à peine le temps de me sécher et je retourne dans ma chambre.
Jatt le peau de crème de ma mère, je menduis les entrailles avec et jen mets aussi sur une des boules des poteaux de mon lit et je monte dessus. Je pose ma rondelle sur la tête du poteau, je pousse sur mes muscles internes et je commence à descendre tout doucement. Au début ça rentre facilement mais au bout de quelques centimètre je me sens bloqué.
Jai beau monter et descendre tout doucement, je narrive pas à lenfoncer encore plus. Je continue ce mouvement un moment en me disant que je vais mouvrir de plus en plus et que je pourrai descendre plus bas. Je sens que ça commence à trop frotter mes parois internes et à sentir chauffer lintérieur. Je remonte tout doucement jusquà me le retirer entièrement.
Je vaque à mes occupations un moment dans la maison en profitant de pouvoir être totalement nu. Jaime sentir lair caresser mon corps entièrement dénudé, jaime aussi sentir lair venir titiller ma rondelle qui reste légèrement ouverte. A chaque fois que je passe devant ma chambre je regarde les poteaux de mon lit avec envie. Au bout dune heure je me décide enfin à y retourner.
Je remets de la crème entre mes fesses mais aussi sur le poteau, je reprends place au dessus de la tête en bois et je mempale lentement dessus. Après 10 bonnes minutes de vas et viens, jai limpression de le prendre un peu plus profondément que tout à lheure, en tout cas ça rentre plus facilement. Je fais quelques allers retours bien sec et je ressors le poteau de mes entrailles.
Je retourne vaquer à mes occupations mais à peine 20 minutes après jy retourne déjà. Je reprends facilement le morceau de bois entre mes fesses sans essayer dy aller plus profondément. Je fais des allers retours encore plus secs et jai limpression de mieux me dilater. Quand je me soulève du poteau, je ne peux mempêcher de toucher mon cul. Jai limpression davoir un trou de léquivalent dune pièce de 20 centimes. Jadore ça et tout en déambulant dans la maison jarrête pas de vérifier que je suis toujours bien ouvert.
Très rapidement, je retourne dans ma chambre, je vais pour remettre de la crème sur le bois mais il est encore gras. Mon trou est encore bien ouvert et toujours lubrifier alors je retourne directement dessus. Je fais une dizaine de montées de descentes et je me relève. Je pose mes doigts entre mes fesses et jai limpression que louverture est encore plus grande.
Je décide de ne pas attendre entre deux et je mempale encore une fois dessus. Je refais quelques allers retours très secs et vérifie à nouveau ma rondelle. Je retourne directement sur le pieu en bois, je fais mes mouvements encore plus ardemment et je me retire plus rapidement car jai limpression que ça chauffe un peu. Jatt la crème de ma mère, jen remets sur le morceau de bois et entre mes fesses et jy retourne.
Je massois bien sur ce plug improvisé, japprécie de plus en plus. Je marrête au moment où ça bloque, je mimmobilise comme ça un moment et je commence à me branler. Rapidement ma bite se met à grossir par mes caresses, je suis de plus en plus raide. Je mastique de plus en plus ardemment jusquà ce que par un faux mouvement je sens mon cul se remplir dun coup.
Jai du descendre dencore quelques centimètre de plus, la partie la plus proche de ma rondelle est sacrement large. Jai limpression que mon anus va se déchirer en deux aussi facilement que le cartilage du poulet. Je sens que naturellement mon sphincter pousse comme pour expulser ce que jai en moi mais je reste bien planté. La douleur est aussi puissante que le plaisir
Je nose pas bouger, jai le cul en feu et la bite qui frétille mais je ne la touche pas non plus. Je reste un moment immobile, je sens mon coeur battre comme un fou. Il tape dans tout mon corps mais petit à petit le plaisir prend le dessus, je ne bouge toujours pas. Quand je sens mes muscles se décontracter, je commence à faire sortir, tout doucement, le poteau de mon cul.
Une fois que je suis libre, étrangement je me sens vide et jai envie de recommencer. Je vérifie quil ny ait aucune trace sur le bois et que je ne saigne pas des fesses et je reprends position. Jenfonce lentement mon plug de lit en moi, je sens mon anneau souvrir de plus en plus et me remplir aussi. Je dépasse largement ce que javais rentrer jusquà présent mais je ne descends pas aussi bas que tout à lheure.
Ma bite molle se balade au rythme de mes mouvements, je lempoigne et commence à me caresser. Plus je bande plus jai limpression de me refermer autour du poteau en bois. Une chaleur me prend au niveau du ventre et irradie petit à petit mon corps. Plus je chauffe plus ma main accélère le rythme sur ma bite.
Jai limpression davoir le corps qui brulent et davoir des feux dartifices qui démarrent de partout. Je continue de mastiquer même si je ne suis pas non plus des plus durs. Ma peau commence à se granuler et je sens une explosion qui démarre au niveau de mes fesses et sévacue par ma tête. Cest la première fois que je ressens ça, je ne sais pas si jai touché ma proteste ou si je suis en train de jouir du cul mais jadore ces sensations.
Plus lexcitation diminue plus je reprends mes montées et descentes sur le morceau de bois mais aussi avec ma main. Je sens que je commence à être irriter par les mouvements dentrées et sorties de mon cul. Je massoie le plus bas possible, sans me faire mal, je mimmobilise tout en me branlant énergiquement. Puis je me lève dun coup sec et quand le poteau quitte mes fesses, ma bite expulse 6 grosses giclées qui sécrasent sur mon lit et par terre.
Je maffale sur le lit et mendors rapidement. Je ne sais pas combien de temps je dors mais quand je me réveille, il fait toujours jour. Je me dépêche de nettoyer les trainées de mon sperme qui ont séché. Je vais grignoter un morceau et je retourne sur mon poteau pour me donner encore du plaisir tant que je suis seul.
Il a été mon compagnon jusquau retour de mes parents, ensuite jai du trouver une alternative à la crème de ma mère parce que je me suis fait engueuler quand elle la retrouvée sur ma table de nuit, presque vide. Mais quand jai eu le courage de macheter du lubrifiant, les 4 poteaux de mon lit ont souvent visiter mes entrailles. Jai joué avec lui jusquà mes 29 ans quand jai remplacé les différents objets qui ont lhabitude de me sodomiser par un vrai sexe dhomme mais ça cest une autre histoire
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