Le Manoir Du Péché (2)
À LA RECHERCHE DUNE FEMME DE MÉNAGE.
Fabienne la femme qui soccupe seule, de lentretien des lieux sest approchée de moi pour me signaler sa difficulté à tenir à bien le ménage dans limmense maison. Mais aussi de ces dépendances qui ont été divisée en un certain nombre dappartements confortable et meublées avec goût, qui de temps à autre sont loués à des particuliers. Comme elle saime à me le dire, le salaire est généreux mais le travail est à sa hauteur.
Sans perdre de temps jen ai fit part à la comtesse, qui ma donné carte blanche pour lui trouver une petite main. Jai tout de suite pensé à Mauricette pour ce poste. Mais cette dernière a décliné loffre. Pour cause personnelle, mavait-elle dit. Je pense surtout que cest le mari jaloux qui lui a dissuadé de dire non. Alors jai contacté ANPE, et placarder quelques petites annonces ça et là. Surtout dans les lieux où je me rendais souvent. Comme le magasin de bricolage, le supermarché, la boulangerie où javais sympathisé avec la patronne, Véronique. Ce fut dailleurs cette dernière qui ma envoyé une connaissance à elle quelques jours plus tard. En la personne de la femme de son propre pâtissier.
Le matin de lentretien, elle est accompagnée de son époux. Jai entrainé la jeune femme à lintérieur du manoir, demandant à lépoux de bien patienter dehors.
- Il y a du monde sur le poste ? Fut ses premiers mots en prenant place sur une chaise.
- Cinq avec vous. Répondis-je. Vous êtes la première. Jen reçois une autre cette après-midi, les trois dernières demain.
- Cest alors vous qui choisissez ? Sinquiéta-t-elle.
- Cest moi, effectivement.
Je lui ai présenté alors la liste des travaux à effec. Cest-à-dire ménage, repassage, service à table, baby-sitters, etc
- Cela est dans vos cordes ? La questionnais-je.
- Oui, je pense. Cela nest pas sorcier. Je pense bien que ce poste est vraiment fait pour moi.
- Cela parait simple mais croyez-moi, cest loin dy être. Il y a de la surface. Dailleurs si vous me le permettez nous allons faire le tour du propriétaire.
- Je suis impatiente de découvrir ça !
Nous avons rejoignis alors lescalier qui devait nous mener jusquaux chambres, et salle de bains, sur deux niveaux. Je lai laissé passer la première par politesse. Elle en a profité de me précéder pour onduler ses hanches avec grâce et juste ce quil fallait. Ni trop peu ni trop assez. Mon regard sest posé sur ses bottes aux talons aiguilles pointus, qui lui montaient jusquaux genoux gainés de bas fantaisies. Qui couvraient ses jambes jusquà mi-cuisses. Pour espérer den voir un peu plus sous sa mini quelle portait ce jour-là, je lui ai laissé quelques marches davances. Je nai pas hésité alors, de mincliner en avant et de lever mon regard sous le tissu pour apercevoir pour mon plus grand plaisir, un simple triangle de nylon rouge, qui marqué le creux du sillon de ses fesses. Alors que je me suis rincé la vue, une multitude dimages pornographiques ont explosé sous mon crâne.
Arrivée au palier, son regard sest volontairement porté sur ma bosse que faisait mon érection et qui déformait mon jean.
- Dites-moi, cette splendide érection doit vous gênez. Elle est due à quoi ? Sans doute à la vision de ma culotte ou peut-être à lidée de ce que je peux en faire. Fit-elle en souriant, sapprochant au plus près de moi.
- Comme vous êtes dur ! Ajouta-t-elle, en saisissant ma verge à travers le jean.
Mon regard sest illuminé sous cette très bonne initiative.
- Cest bien plein
fit-elle en soupesant mes couilles. Je peux ?
- Tu peux tout ! Tant que cela me produise du bien
Sourire aux lèvres, elle sest empressée douvrir ma braguette. Je me suis laissé faire tant ma queue excitée, réclamait sa délivrance. Elle a glissé sa main dans louverture. Interloquée par ce quelle touchait, elle est resté un moment figée, me fixant.
Je me suis laissé masturber par une jeune femme qui métait encore inconnue une heure plus tôt. Alors que son mari attendait sagement dehors. Ignorant ce qui se dérouler à létage.
Les bracelets quelle portait à son bras, cliquetaient tandis quelle sactivait sur ma verge. Je grognais, et sentais que jétais proche de la conclusion. Je lui ai alors écarté la main, sous son regard dubitatif, étonné de mon geste.
- Je vous ai fait mal ? Me fit-elle.
- Par du tout. Cest je nai pas envie de jouir de cette manière.
- Vous désirez jouir comment ?
- Tu ne devines pas ?
- Jaurais le poste si je le fais ?
- Cela dépend du degré de ma jouissance ! Répondis-je.
- Je serais prête à tout faire pour avoir ce poste. Dêtre pendant quelques heures éloignées de mon époux.
Elle sest exécutée, en sagenouillant à mes pieds. Elle a secoué ma verge sous son nez. La faisant rebondir sur le plat de sa langue. Puis elle la cogné contre les joues, avant de la porter à sa bouche. Sous la surprise, de ce geste indécent, je nai pus mempêcher de laisser échapper un profond soupir de plaisir. Qui sest prolongé en un doux gémissement, alors quelle maspira goulûment. Flattant mes testicules avec sa main gauche. Lautre masturbant ma verge, tandis que ses lèvres enserraient mon gland.
En jetant un il par la fenêtre, je vis son mari se promenait le long des sentiers. Un moyen comme un autre pour attendre le retour de son épouse. La-même qui a multiplié ses va-et-vient, faisant de petits bruits de succion tant elle me suçait avec ardeur.
Sous un tel traitement il métait difficile de retenir plus longtemps ma jouissance. Tout en émettant un petit gargouillis, jai éjaculé avec abondance, mais aussi avec une puissance, qui me surpris moi-même. Elle a accompagné ma jouissance, en me masturbant dune main alors que sa bouche enserrait mon gland.
Une fois la petite toilette terminée, elle ma recraché et sest levée. Et avec un sourire vicieux, elle lança :
- Considérez quil sagit dun petit acompte sur ceux que pourrait être nos relations futures. Si vous voyez ce que je veux dire ?
Cela nétait pas tomber dans loreille dun sourd. Je ne sais pas pourquoi mais jai trouvé les quatre autres candidates inaptes pour le poste. Donc jai de nouveau contacté la gentille Claire pour une seconde entrevue. Avec la volonté détablir avec elle un contrat de travail, et peut-être, autre chose ? De plus intime. Si vous voyez où je veux en venir.
Elle est revenue de nouveau, accompagné de son époux. Et comme la première fois, il est resté à lattendre dehors.
Elle portait ce jour là sur elle, une robe dun tissu fluide, si courte quon aurait dit quelle cétait passé un tee-shirt. Le vêtement mettait en valeur sa silhouette tonique. Qui portait mon désir à incandescence.
Elle a exigé quon laisse la paperasse pour plus tard.
- On monte ! Je ne tiens plus. Jai trop envie !
Je lai prié alors pour ça de monter devant moi. Pour le plus grand plaisir de mes yeux, le tissu épousait les contours de ses hanches. Moulant ses fesses nerveuses qui se contractaient, lune après lautre alors quelle grimpait les marches. À la différence de la première fois, je nai pas pris la peine de me pencher pour découvrir la culotte quelle porté.
Sachant très bien quelle allait se faire un plaisir de me lexhiber dans les quelques secondes qui allaient suivre. Pour par la suite se prêter à tous mes caprices, à toutes mes fantaisies érotiques.
Elle ne sest pas fait prier pour me suivre dans la chambre que javais choisie.
- Vous voulez que je vous la suce ? Me fit-elle en sapprochant au plus près de moi.
Il est rare de rencontrer une femme qui dégage une telle sensualité animale. Elle ma séduit par sa perversité. Elle devait sans doute avoir le cerveau situé en dessous de la ceinture, et ne sen cachait pas.
Alors quelle prenait plaisir a déboutonner mon pantalon, jai décidé que je désirais autre chose quune simple pipe. Et je le lui fis part :
- Non ! Je vais plutôt te la mettre.
Elle sest redressée, sourire aux lèvres.
- Ah oui ! Me fit-elle. Je dois avouer que cela tombe bien. Jai comme un besoin de ramonage. Ajouta-t-elle en tirant sa minijupe vers le haut, exhibant une fine culotte aux mailles étirées.
- Pourquoi ne pas me lavoir dit ?
- Je nai pas osé. Me fit-elle, avant de me demander. Vous voulez faire ça sur le lit ?
- Non là, devant la fenêtre.
- Devant la fenêtre ? Debout ?
- Non ! Sur ce fauteuil. Que je vais placé là, sous la fenêtre.
Elle a tout de suite compris pourquoi, et cela la fit sourire. Pendant que jai déplacé le fauteuil, elle sest placée dos à moi, et a baissé sa culotte. Ses gestes étaient fébriles. Le fond de la culotte sest collé à la muqueuses trempées de la vulve. Le slip aux genoux elle ma tendu son cul en arrière, en prenant appui sur les accoudoirs du fauteuil. Jai deviné entre ses fesses entrouvertes, lanus au centre dune petite touffe sombre. À sa respiration sifflante, jai compris quelle était au même point dexcitation que moi. Je me suis alors accroupis derrière elle, approchant mon visage le plus près possible de son fessier.
- Écarte tes fesses. Lui ordonnais-je.
Elle sest exécutée si bien que je voyais le renflement des lèvres de la vulve, ainsi que lauréole plissée de lanus. Je me suis redressé, et jai baissé mon pantalon. Ma queue sest détendue instantanément. Approchant ma bouche de son oreille, je lui ai murmuré :
- Depuis notre dernière rencontre, je nai pas cessé de penser à linstant où jallais te la mettre.
Jai léché son oreille, dune langue vicieuse. Lenfonçant le plus loin que je le pouvais dans son lobe. Jai tremblé dexcitation alors que Claire a poussé son cul contre ma verge. Qui sest insérée de plus en plus dans la raie du cul.
- Écarte un peu plus tes jambes. Fis-je, en ponctuant ma demande dune claque sur la fesse. Dun coup de reins très habile, jai engloutis la tête de ma verge dans lentrée de son vagin. Elle sest soudainement cambrée pour venir à ma rencontre. Des larmes de mouille coulaient à lintérieur de ses cuisses.
- Oh oui ! Oui
quattendez-vous pour me bourrer la chatte ! Sempressa-t-elle de me lancer, tout en me jetant de temps en temps des regards en biais vers moi, avant de se déchaîner. Roulant des fesses pour avaler ma verge dans son entier.
- Bougez ! Bougez !
Elle était réellement surprenante. La tenant par les hanches jai regardé ma verge se faire avaler par son sexe.
- Oh que cest bon ! Oh que cest bon
Je me suis mis à balancer mon bassin davant en arrière pour le plus grand plaisir de la jeune femme.
- Je vais jouir ! Gémit-elle, en se penchant en avant, les fesses en lair. Jai écarté ses fesses et jai enfoui mon pouce dans son anus, sans cesser de la pomper énergiquement, en matant son mari assis sur le capot de sa voiture.
- Cest diabolique
cria-t-elle. Je
jai
jouis
fit-elle sous
le coup de lextase. Cherchant ses mots, manifestement comblée.
Mon pouce sest senti de plus en plus à son aise dans lanus. Au point que cela ma donné une idée. Quand elle a sentit que je me découplais delle, Claire sest redressée. Collant son dos contre mon torse. Jen ai profité pour me saisir de ses seins et de les pétrir avec force, avant de la repousser pour quelle reprenne sa place initiale.
Jai pris ma verge souillé de sécrétion et jai frotté mon gland contre son anus. Jai progressivement lentrée sans que Claire manifeste un refus.
La jouissance lui avait ôté toute pudeur et avait rompu les digues de la morale dune femme marié. Après quelques instants, le sphincter assoupli sest ouvert à la pénétration avec un bruit humide.
Une fois enfilée à fond, je lai défoncé, surpris de constater avec quelle facilité dont je la pénétrais. Je me suis retiré doucement pour mieux revenir.
Elle est venue à ma rencontre. Projetant pour ça, ses fesses sur ma queue qui glissait de plus en plus facilement en.
Sans hésitation, jai donné une série de puissants coups de reins. Celle-ci criait. Semblait se libérer et jouir de ce plaisir avec une frénésie qui dépassait tout.
Je ne pus que sourire devant le déluge dinsanités quelle débitait de façon quasi inconsciente. À un moment elle a poussé un hurlement. Pendant un instant jai eu peur quelle ne sévanouisse. Puis elle sest laissée couler le long du fauteuil pour atterrir à genoux sur le parquet ciré, comme si elle priait. Avant de ce ressaisir et de se lever.
Quelque instant plus tard, feuillet en main, nous avions rejoint lépoux. Dont la mine boudeuse et son ton de reproche eurent raison de mon empressement de les laissé partir.
Jai contemplé la voiture filer jusquau portail. Puis disparaître.
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