Collection Les Chiennes. Tout Ça Pour Ça (4/8)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
- Police, dernière sommation, il est six heures, nous allons enfoncer la porte, ouvrez.
Cest par ces mots que jai entendu pour la première fois la voix de linspecteur Jean-Pierre de la police nationale.
Inspecteur qui semble vouloir prendre soin dune petite Marocaine perdue en France et quil aurait pu faire enfermer, avant expulsion, étant entrée en France illégalement.
Il est parti depuis des heures.
Je suis enfermée dans cette maison isolée où se trouve un coffre dans lequel il a mis largent que javais soutiré à Jules.
Cet homme, vieux salopard, que nous étions venus dévaliser avec Christian le garçon qui mavait fait traverser la Méditerranée et qui m'a dépucelée à Marbella.
Je fuyais un mari trop vieux pour moi à mon goût que mon père dans la plus pure tradition marocaine mavait choisi comme époux.
La perte de mon pucelage me rendant impure, mon avenir de femme mariée est perdue.
Impossible de montrer aux mamas mon hymen et surtout les traces de mon sang sur les draps.
Je fais le tour des pièces, certaines sont fermées, dautres comme la chambre est ouverte.
Jouvre la fenêtre, les volets bloqués par des barres de fer soudé.
Pire que la prison où il aurait dû me faire enfermer et où Christian doit croupir.
Nul doute, je suis sa prisonnière, condamnée à suivre cet homme que jentends revenir et à qui jai déjà sucé la queue.
- Je vois que tu as pris un bain et que tu mattends sagement, jai de nombreuses nouvelles.
Que vais-je apprendre de nouveau, pourtant il a de nombreuses choses à mapprendre ?
Pour commencer quest-ce quil attend de moi.
- Christian, le garçon qui ta fait passer la frontière espagnole et française sappelle en réalité Pedro.
Il est en réalité espagnol et avait un avis de recherche sur sa tête par la police de son pays.
Jai passé son cas à la police en charge de son dossier.
Il va être expulsé pour être jugé à Madrid.
Quand je disais que je le voyais pour la dernière fois, javais raison.
La surprise vient du fait que mon dépuceleur, dans ma tête jusquau bout de ma vie, devait sappeler Christian et quil devient Pedro.
- Quant à Jules, le propriétaire de la maison que vous avez cambriolé, avec ses trois complices, tu nous as permis de régler plusieurs affaires.
Sa femme, le facteur son amant et trois autres affaires de disparition de jeunes de notre région, deux filles et un jeune garçon.
Hélas, ils étaient enterrés sous une dalle de béton que ces quatre salopards fabriquaient à mesure quils séquestraient et tuaient dans leur pièce des s doù je tai sortie.
- Merci, de mavoir sauvé.
- Quant à toi, jai réussi quaucune Radia napparaisse dans le dossier, certains copains mont aidé.
Tu vas rester ici quelque temps, afin que je sois sûr que tout soit bien cadré.
Sil le faut je trouverai un moyen de dire que cétait une erreur.
Nous tavons fait devenir transparente, un miracle te fera réapparaître.
Enlève tes affaires et allonge-toi.
Jai envie de tirer un coup, jai aimé la pipe que tu mas taillée avec que je mabsente.
Cest comme ça que ma vie méchappe de nouveau.
Christian, pardon Pedro, avait une certaine compassion pour moi, là jai nettement limpression que je suis un puits à bite.
Une fois allongé, il vient en moi directement sans la moindre trace de respect pour la femme que je suis.
Certes largent dont il a su tout de suite qui lavait volé ma montré le peu dintérêt quil porte à ma personne.
Coup de chance, il avait énormément envie, il décharge rapidement.
Ses affaires terminées, il memmène dans sa cuisine et me fait préparer ses repas.
Une fois la vaisselle faite, nous retournons dans sa chambre.
- Dit moi ton copain Pedro, ta-t-il déjà sodomisé ?
Quand je disais que mon destin était tracé.
Radia est déjà une fille de rien, baisant avec des hommes hors mariage, mais rapidement je sens la verge de ce salaud de flic ripou se positionner pour memmancher.
Je crois définitivement que je vais abandonner Pedro, impossible de me mettre en tête que mon dépuceleur sappelait ainsi.
Alors, un nom où un autre peu mimporte, jai le temps de réfléchir à ce que va être mon avenir.
Il décharge, et se retourne me montrant toujours autant de sentiment.
Pendant plusieurs jours, il va il vient, je mhabitue à être baisée, sodomisée, lui faire des gorges profondes.
Gorges profondes, cest lui qui mapprend ce terme, il semble finir mon éducation sexuelle mais dans quel but ?
A-t-il lui aussi une dalle où sont enfouies des femmes telles celle qui avait laissé sa petite culotte le jour où il ma amené ici ?
Je perds la notion du temps, du moins du jour où nous sommes.
Un jour il arrive avec un collier, une laisse et des menottes quil sempresse de me passer.
- Bon, ton affaire sest tassée.
Pedro est en Espagne en attente de son jugement pour passeur de drogue, cambriolage et plusieurs autres affaires.
Les collègues espagnoles ont posé des questions pour savoir si en France il était avec une jeune femme brune de peau.
Nous leur avons soutenu que non, ils se sont contentés de cette réponse.
Jules et ses complices ont fait de longs aveux.
Ils seront incarcérés certainement à vie après leur procès qui se tiendra dici deux ans.
Et toi, petite Radia ma petite salope, ou es-tu, nulle part, évaporée, pas une fois son nom napparaît, on va pouvoir partir en voyage.
Il me passe le collier et me tient en laisse comme une chienne quil semble vouloir faire de moi.
- Je te les ai choisis blanc, ton collier va ressortir sur ta peau mate.
- Pourquoi me mettre un collier, suis-je une chienne ?
Depuis le premier jour où il ma enfermé en sortant de chez Jules, javais limpression que ma situation avait évolué.
La baffe quil me donne aurait pu me faire faire trois tours dans mon slip si jen avais porté un.
Je vois trente-six chandelles manquant de mourir étouffée car il venait de me mettre la laisse qui se tend quand je tombe sur mes fesses.
- Suis-moi, là où je te temmène, Magda saura te faire travailler.
Ça sent mauvais pour moi, jai à peine le temps de me relever quil me tire vers le garage.
Dans le garage, la porte arrière dune camionnette marquée « Police Nationale » borgne est ouverte.
Il me fait monter.
Il prend des menottes à sa ceinture et mattache une main à une barre mobligeant à masseoir le cul sur la ferraille.
Sans un mot, il ferme la porte arrière.
Jentends la porte automatique du garage souvrir, nous démarrons.
Pendant combien de temps roulons-nous avant que je n'entende une autre porte coulisser et que ma prison souvre.
Jai mal aux fesses, même un chien on en prend plus soin que lon en a pris pour moi.
Je suis de nouveau tirée hors de cette voiture, une femme est là, assez quelconque.
Elle a dû être belle, mais labus de bien des choses dans la vie a fait delle cette femme au regard noir.
Elle est en peignoir, elle doit avoir une poitrine de jument.
Une pensée me vient, chez nous au Maroc, une chaudasse nous lappelons une « jument ».
- Cest bon Jean-Pierre, je prends le relais passe-moi sa laisse.
Une beurette, ça va plaire, les Français aiment baiser les femmes venant de lautre côté de la Méditerranée.
- Détrompe-toi, Radia nous vient tout droit du Maroc avec une étape en Espagne.
Tu verras, elle est docile, avec toi je suis sûr quelle sera se tenir sage, avec moi, elle a appris à faire tout ce que je lui demandais.
- Jespère, allons la coucher, je viens de fermer et les filles dorment.
Comme prévu tu emmènes Dalia aux chantiers, tu la déposes auprès de Jacky en passant, il lattend.
Ici madame fait sa grande dame, quand elle aura fait deux ou trois jours là-bas, nous aurons un vrai mouton.
Je lespère car avec ses cheveux blonds, elle plait.
- Je lamène à Jacky sans problème, avec la camionnette de police rachetée une bouchée de pain, cest impeccable.
Jai passé un contrôle sans être inquiété, les collègues mont même ouvert la route me saluant quand nous sommes passés.
Nous longeons un couloir, c'est bien ce que je pensais, je viens dentrer dans un autre monde.
Magda ouvre une porte fermée par de gros verrous, elle menlève ma laisse et les menottes me laissant mon collier.
- Prends ce lit à droite et dors, mes filles sont crevées, nous avons fait le plein ce soir.
Je mallonge, la cave où nous sommes est chaude, les quatre filles présentes dorment nues sur leur lit avec simplement un drap au-dessous, ma voisine dormant en ronflant à même un oreiller.
Magda va vers le lit du fond, secoue la fille qui est allongée et lui attache ma laisse à son mousqueton.
- Viens Dalia, depuis le temps que tu me défies, tu vas faire de la bite noire, ça va te radoucir le cuir.
La fille tente de se réfugier au bout de son lit.
- Non, pas les chantiers, jai mis trois jours à men remettre la dernière fois.
Les autres filles se réveillent, voient quelles échappent au destin de leur copine, se retournent et se rendorment.
La porte se referme, linspecteur emmenant Dalia vers ses chantiers, de la bite noire, Magda a bien dit de la bite noire sur des chantiers, ça semble explicite, je suis dans un bordel.
Toutes ces filles qui dorment ont tapiné une partie de la journée et de la nuit.
Jai du mal à dormir, jai la tête à plat, je dors toujours la tête sur un oreiller, sur le lit que lon ma assigné, il manque.
La veilleuse me permet de voir quil y en a un sur le lit laissé vide par Dalia.
Je me lève discrètement et mapprochant du lit, je me saisis de lobjet convoité.
On me prend le bras, serrant fortement.
- Alors on arrive et on est déjà voleuse.
La fille du lit dà côté me tire à elle, elle me prend par mon collier et approche sa bouche de ma bouche.
- Ici le peu que nous avons, cest sacré.
- Tas vu Olga cest une beurette, tu les adores, elle va pouvoir remplacer Dalia le temps quelle est partie.
- Tas raison, broute-moi la chatte, jai ramassé ce soir, jen ai fait treize, je savais que ça allait me porter bonheur.
La veilleuse allumée me montre cette fille bien plus forte que moi.
Cest vers sa chatte entièrement épilée quelle me conduit dune poigne de fer.
Pour la première fois, après des bites, cest un vagin que je commence à lécher.
Je sais que les femmes ont un clitoris, dans le temps dans mon pays nous étions excisées lors dune opération.
Heureusement, cest interdit, je suis entière comme Olga qui commence à jouir sous ma langue.
Je viens de découvrir un nouveau monde.
Que va-t-il encore marriver ?
Merci Anne des corrections.
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