51- Charmant Guet Append Et Ma Femme Entre En Jeu :(3) :
51- Charmant guet append et ma femme entre en jeu :(3) :
Le lendemain à 9h, jai fait les formalités et vers 11h jai sorti ma femme de lhôpital. Elle était cependant assez fatiguée et nous avons pris un taxi jusquà lhôtel de Aziz. Je lai installée sur le lit de la chambre. Elle a été étonnée que jaie choisi un hôtel loin du centre et jai répondu que cest à cause de la tranquillité et que lhôtelier est un ami. Dailleurs, lorsque je suis sorti pour aller chercher de quoi manger avec ma femme, Aziz et Ali, qui était là, mont formellement interdit dacheter et que tout était prêt pour nous. Ils mont amené à la cuisine personnelle dAziz et là, jai vu quils avaient préparés pour nous un vrai festin, un repas complet et des boissons fraiches et mêmes quelques gâteaux. Jai protesté mais ils ont décidé de faire les servants et prenant les choses en mains, ils ont monté les mets vers la chambre de ma femme. Jai ouvert et dressé la table que Aziz avait installé avant notre arrivée et il a posé les plats et corbeilles. Il a jeté un coup dil intéressé à ma femme. Mais il nous a laissés pour nous restaurer. Après notre repas, jai commencé à amener les plats dans la cuisine et Ali ma aidé à tout ramener pendant quAziz faisait la vaisselle. Ensuite, je me suis mis en survêtements, jai laissé ma femme se reposer et jai rejoins mes amis. Ils étaient dans leurs fauteuils, buvant le thé et fumant des cigarettes. Aziz, comme à son habitude impossible de se retenir, ma dit :
« ya Zébi ! ch7al zouina zoujtak ! m3amra ! » (zébi ! ta femme est très belle ! et bien remplie !). et il ajouta en se caressant le zob dans sa braguette
« oula ta3tihali énikha ! énchaba3ha souwatha ou termetha kima nta ! » (si tu me laisses la baiser ! je lui remplirais la chatte et la Terma comme avec toi !).
Mais, à son sourire, jai préféré croire quil blaguait. Je lui ai dis que dabord elle venait de lhôpital et était très fatiguée et deuxièmement, elle ne savait rien de mes tendances de sodomies, alors attention.
Il a enlevé ses vêtements et sest mis à genoux sur mon ventre en moffrant sa grosse bite bien bandée. Je lai sucée et branlée et lubrifiée à fond. Puis, il sest reculé pour pointer son gourdin de chair sur mon anus, sous mes couilles. Puis, dun geste agressif, comme à son habitude, et avec vigueur e, il a enfoncé son zob dans mes entrailles. « Aaahh ! », ça cest moi qui hurlais mon plaisir ! Chaque fois que ce genre denfoncement se fait, et de cette manière violente, jai une bouffée de jouissances fulgurantes dans le cul, ce qui me poussait à crier haut mon plaisir. Cest que lécartement brutal de mon anus et le glissement rapide de sa chair brulante à lintérieur de mon cul me procurent un choc et une onde de jouissances dans tout le corps. Et je ne peux que hurler avec force et pousser mes reins vers le zob qui me pénètre pour laider à senfoncer encore plus, si possible. Cest automatique, involontaire, je ny peux rien ! Mais Aziz aussi ressentait cela doublement, comme plaisir physique denfoncement de sa bite et comme victoire du mâle qui fait hurler de jouissances sa victime, sa femelle largement ouverte à ses désirs. La preuve, cest quil il ricanait bruyamment en poussant son zob et commençait à me traiter de tous les noms :
« 9ahba ! manyouka ! terma skhouna ! zebi ga3rak ! etc .» ( putain ! enculée ! chaude terma ! défoncée par mon zob ! etc).
Je dois avouer que jappréciais autant son énorme bite que son langage ordurier, cochon, et les deux amplifiaient mes jouissances.
« hatli 9arek ! fissa ! zébi ma gdarach yassana ! » (donnes moi ton cul ! vite ! mon zob ne peux plus attendre !).
De toute façon, mon cul était bien lubrifié et largement ouvert. Il poussa et sa bite me pénétra facilement et, en vitesse elle senfonça jusquaux couilles qui ont claqué sur mes cuisses. Puis, il démarra sa danse sexuelle. Moi, je lai aidé dans ses mouvements de vas et viens, en tortillant parfois des fesses et en faisant de sussions à son zob avec lintérieur de mon cul.
Dix minutes plus tard, on était tous les trois, assis dans la réception, sirotant nos thés comme si de rien nétait. Puis, je suis allé avec Ali, à son logis, pour apporter mes affaires.
A notre retour, Aziz nétait pas à la réception. Ali, connaissant son ami, ma conseillé daller voir ma femme, il était certain que jy trouverais Aziz. Alarmé, jai couru vers la chambre et, effectivement, Aziz était là, discutant comme si cétait naturel, avec ma femme qui était couchée dans notre le lit, et heureusement, assez bien couverte. Elle fixait Aziz avec des yeux étonnés et me lança un regard de secours. Essayant de garder mon calme pour ne pas donner à la situation une charge agressive dans notre intimité. Tout de même, cet homme ne respectait rien. Debout devant la femme dun autre, dans sa chambre, allongée et peut-être nue sous la couverture, cétait de la provocation. Peut-être parce que je lui avais offert mon cul plusieurs fois, quil pensait que je lui appartenais ainsi que ma femme, et il pense la posséder comme avec moi, sans tenir compte des sentiments dautrui. Je nai rien dit, mais mon regard était assez éloquent, alors ma femme, voulant atténuer la gravité de la situation, ma expliqué que notre hôtelier était un brave homme qui nous a invité ce soir à diner dans sa cuisine privée.
« Asma3 ya habibi ! anta ghalat ! martak tafham koulouch ! ghayr raha sakta ! » (écoutes mon ami ! tu te trompes ! ta femme comprend tout ! seulement elle se tait !).
Ses mots mont surprit et il ajouta, sans me laisser lui répondre :
« ki anta tnikha, raha thissak ou tmissak ! teremtek mahloula ! 9arek astik, mfara3 ki nta3 al 3atay ! » (quant tu la baises, elle ressent et te touche ! ton cul ouvert ! ton anus souple, écarté comme celui dun pédé ! ) et :
« raha 3arfat bili rak ta3ti 9arak li rjal ! rak 9ahbat érjal ! ou raha sakta ! » ( elle sait que tu donnes ton cul aux hommes ! que tu es la putain pour hommes ! et elle se tait ! ).
Et, pour menfoncer, il ajouta :
« ana choufoute 3aynine mratak ! ra7ou direct ila zébi ! » ( jai vu les yeux de ta femme ! fixés direct vers ma bite ! )
« harbathoum ki anta jayte ! raha chahia zbouba anta3 rjaal ! » ( elle les les a détournés quant tu es rentré ! elle désire les bites des hommes ! )
« wana, chamitni rajal bou zob ychti inike ! amini ya sahbi ! » ( elle a senti en moi un homme à zob qui aime baiser ! crois moi mon ami !).
Jai été assez fâché et jai protesté en lui disant quil radotait car cétait son sexe qui parlait et non sa tête ! Mais Aziz, sûr de lui, ma lancé un défi :
« asma3 ya habibi ! law ana nhab, énike martak élayla ! » (écoutes mon ami ! moi si je veux, je pourrais niker ta femme ce soir !) et il ajouta :
« énikha fi chambra éli naktak anta fiha ! chiche ! » ( je la nikerai dans la chambre où je tai niké toi aussi ! chiche !).
Quoi assez choqué, jai préféré lui rire au nez et jai pris Ali comme témoin à ces mots que je pensais fanfaronnades de Aziz. Mais Ali, avec une voix de confidences, ma avoué quAziz a toujours eu une grande réputation avec les femmes, surtout les femmes mariées. Et quAziz était un vrai sorcier du sexe pour les épouses, donc attention de ne pas le provoquer. Mais, moi, jétais sûr de ma femme, que je considérais comme, certes innocente, mais fidèle. Cependant ce défi ma excité et encore plus après les confidences de Ali. Et puis, je ne voulais pas me laisser gagner par les arguments dAziz, alors jai accepté le défi. On a donc décidé, quaprès le repas pris ensemble, je laisserais Aziz passer le test avec ma femme. Effectivement, nous avons tous diné la cuisine, puis ma femme est montée dans la chambre, et, la rejoignant, je lui ai expliquée que jallais passer ma soirée avec mes amis, jusquà minuit et je suis sorti en la laissant en train de shabiller pour la nuit. Il était 21h30 et jai donc donné plus de deux heures à Aziz pour draguer ma femme, sil en était capable. Javais décidé de me cacher, si nécessaire, dans la cuisine pour lui laisser la petite chambre à coté où ils mavaient déjà sodomisé plusieurs fois.
Aussitôt, Aziz est monté chez ma femme, et je lai suivi discrètement.
Après un seul coup à la porte, et à sa manière brutale, il est entré directement dans la chambre sans attendre la réponse de ma femme. Ma femme a du penser que cétait moi et a laissé faire. La porte étant entrouverte, jai pu voir ma femme debout, nous tournant le dos. Elle arrangeait le lit, et un peu courbée, avec sa robe de chambre qui collait à son lderrière, elle offrait un tableau aguichant à nos regards, presque nue. On voyait nettement le profil de son slip, de ses cuisses et de ses belles fesses charnues. Collant mon oreille à la porte, jentendais Aziz qui sexcusait :
« salam madam ! noudkhoul ? » ( bonsoir madame ! je peux entrer ? ).
Ma femme, au son de la voix et sachant que ce nétait pas moi, se retourna vivement. Ce brusque geste entrouvrit sa robe par devant, découvrant ses trésors. En effet, le devant était encore plus excitant que le derrière, à cause de sa lourde poitrine qui était à moitié découverte et sa robe, ainsi ouverte, montrait ses cuisses et son slip noir. Elle se serra rapidement dans sa robe et cria :
« oukhrouj ! anta mahboul ! oukhrouj ! n3ayat lrajli ! » (sort ! tu es fou ! sort ! je vas appeler mon mari !).
Mais Aziz a continué à parler sans tenir compte des paroles de la femme :
« ya madam sahbi ! anti 3andak tajrouba kbira fi zawaj ! nass7ini ! » (madam mon ami ! tu as une grande expérience en mariage ! conseilles moi !).
Et, sans lui laisser le temps de répondre, il ajouta :
« zaoujak khraj ! ma tkhafich ! ra7 igassar b3id ! ana goulout nti 3awnini ! » ( ton mari est sorti ! ne craint rien ! il est parti loin avec ses amis ! jai pensé tu pourrais maider !) Tenant toujours sa robe serrée contre sa poitrine, elle restait debout. Je sentais ma femme hésiter et de toute façon elle sest arrêtée de protester. Et Aziz en profita pour continuer :
« marti matate moudout khamssa sanawat ! khalatni wa7di fi hadha lotel ! » ( ma femme est morte depuis 5 ans ! elle ma laissée tout seul dans cet hôtel !)
Et baissant un peu la voix comme en confidences, il ajouta :
«wach rayak ! rajal bla mra hay ! wala mayate ! » ( a ton avis ! un homme sans femme est-il vivant ! ou mort !)
Et ma femme tomba dans le jeu dAziz. Toutefois, elle prit son peignoir et senveloppa avec par-dessus sa robe de nuit, puis elle sassit sur le lit. Ensuite, elle réfléchit un moment et Aziz en profita pour se pencher vers elle comme pour laider à lui confier ses penésées, alors elle lui dit ! « 3andak 7ak ! rajal bla mra mahouch hay mya bil mya ! » ( vous avez raison ! un homme sans femme nest pas vivant cent pour cent !)
Alors Aziz se pencha encore et la regardant avec insistance, alors ma femme lui conseilla :
« Tagdar tazawaj ! anta labass 3alayk ! » ( vous pouvez vous remarier ! vous êtes bien !).
Mais Aziz, comprenant que ses filets fonctionnaient à merveille, insista :
« wa lakine ! manich dayar thi9a fi nafssi ! » ( mais ! je nai pas confiance en moi-même !)
Elle le regarda avec des yeux étonnés, alors il expliqua son soi disant problème !
« ma massète 7ata mra fi hadha khamssa sanawat ! hal nagdar ndir wajab arajal ? choufini ya madam ! wa a3tini rayak » ( je nai touché aucune femme durant ces cinq années ! est ce que je pourrais faire mon devoir dhomme ? regardes moi madam ! et donnes moi ton avis ! ).
Ma femme sest tu longuement et je devinais quelle cogitait dans sa tête et avec netteté, sur cet homme qui na pas baisé depuis cinq ans et cela doit certainement lui faire de leffet. Effectivement, elle était assez excitée car elle lui a répondu avec une voix plus faible quavant, comme un murmure, comme une pensée intime :
« rani nchouf fik rajal fil 9imma ! 9awy ! » (je en vous un homme en forme ! puissant !)
Aziz restait aux aguets et après un petit silence, ma femme, prise dans le jeu, osa ajouter :
« ma kayane 7ata 7aja tkhoussouk ! ana ndhoune 3andak al 9oudra bach
..tazawaj ! » ( vous ne manquez de rien ! moi je pense que vous avez la puissance pour
..vous marier !).
Le silence quelle a eu après « 9oudra bach » (puissance pour) signifiait quelle pensait quil avait toute la puissance du zob pour baiser, mais elle a préféré le remplacer et terminer par « tazawaj » (te marier) cest moins intime. La preuve, elle osa ajouter juste après :
« tagdar 3ala wajab aroujli li mratou ! » ( vous avez la force du mâle pour son ép
Ainsi ? les jeux sont faits, ma femme vient de sauter la barrière de la honte et de lhésitation et elle parle directement de « mâle » et de « puissance » et tous les trois, nous avions compris et senti lexcitation quelle avait et cela commençait à me faire bander derrière la porte. Jétais sûr quAziz bandait aussi, et depuis un bout de temps, et que son zob devait faire une belle bosse devant et gonfler nettement sa braguette. Alors, Aziz se rapprocha encore plus du lit et, arquant son corps, il poussa sa devanture vers ma femme de façon ostentatoire, comme pour offrir à ma femme, sa braguette et son zob qui formait un grand chapiteau. Et moi, je pouvais voir que ma femme fixait des yeux cette partie intime de Aziz et je sortis mon zob pour commencer à me branler.
Aziz profita encore de la situation et du regard dirigé de ma femme pour lui dire :
« rani grib natartag ! khalini nfoukou ! wanti ! kifach raki al an ? raki tssili ! » (je vais presque éclater ! laisses moi le délivrer ! et toi ! comment es tu maintenant ? tu mouilles ! ).
Nous savions tous quil parlait de son zob gonflé et de la chatte de ma femme qui coulait de désir. Ma femme était assise sur le lit, en peignoir et robe de chambre, alors Aziz se pencha vers elle et lui chuchota quelque chose à loreille. Jai vu quelle le regardait avec un léger sourire, presque étonnée. Puis il lui chuchota encore à loreille et il se redressa, mais en tenant son paquet sexuel à pleines mains et à cinq centimètres du nez de ma femme. Alors, elle se leva, semblant prendre une décision. Et dun brusque mouvement dépaules, elle jeta son peignoir par terre, et sa robe, libre, souvrit largement, montrant ses beaux seins lourds et son slip noir serré et qui profilait nettement la fente de sa chatte. Comme elle était bien rasée, à son habitude, son mont de vénus gonflé amplifiait le dessin de sa chatte. Elle mouillait fort, cest certain et se montrait à Aziz, sans hésitation, presque avec provocation. Son excitation la tenait complètement à sa merci et elle ne devait penser à rien dautre quà ce zob, dont elle voyait la forme complète du gland et devinait sa grosseur à travers la braguette.
Alors Aziz sapprocha encore plus delle et lui dit :
« rani mtanane 3lik mili chouftouk ! goulout hadhi lazam anikha ! nchaba3 souwatha » ( je bandes sur toi depuis que je tai vue ! je me suis promis de te baiser ! rassasier ta chatte !)
Et pour la rassurer et la conquérir complètement, il ajouta, en sortant son zob :
« ma tkhafich ! rajlak ma igoul walou ! choufi zébi ! idawar 3ala soutak ! garbi ! hati ! » ( ne craint rien ! ton mari ne dira rien ! regardes mon zob ! il cherche ta chatte ! approches ! donnes!)
Il attira ma femme sur sa poitrine et la serra du ventre et lui dit :
« Rajlak b3id ! 3anadna zouj swaya3 ! anikak ! ou nzahi soutak lmanfoukha ! » ( ton mari est loin ! nous avons deux heures ! je vais te niker ! et je donnerais du plaisir à ta chatte gonflée !) . Elle restait sans bouger quant Aziz luin retira sa robe. Et soudain, presque avec violence, Aziz lenlaça de nouveau par la taille et, lui malaxant la poitrine, il lui murmura :
« raki thissi zébi ch7al mtanane 3lik ! mtine kil zabouj 3ala bab soutak ! » ( tu sens mon zob combien bandé pour toi ! il est dur comme un pieu à la porte de ta chatte ! )
Et il lembrassa en la serrant encore plus contre son bas ventre et en lui caressant les fesses nues. Elle sest enfin réveillée et a essayé, en jouant la comédie, de le repousser en lui disant :
« ya wayli ! rajli ra7 iji ! atlagni ! » ( ô malheur ! mon mari va venir ! laisses moi !).
Mais son ventre disait autre chise car il se collait à fond à celui de lhomme, cherchant le contact de la grosse bite dure. Sa chatte parlait maintenant pour elle, elle le voulait ce zob qui lui fouillait lentrecuisse malgré le pantalon. Et Aziz lui dit doucement, mais je lai entendu :
« raki skhouna ! zébi rah idoug fi soutak ! hya raha talhaz fi zébi ! ma dgoulich minich chahya nayka bi hadha ézab lamtine ! » ( tu es échauffée ! mon zob pique ta chatte ! et elle se colle à mon zob ! ne me dit pas que tu ne veux pas baiser ce zob si dur !)
Et la soulevant dans ses bras, il la déposa sur le lit. Puis, debout, il enleva totalement son pantalon et exposa fièrement son gros zob gonflé à fond. Jai vu ma femme ouvrir les yeux et regarder largement cette grose bite juste près de son visage. Et Aziz continuait
« Choufi ya mra ! massih ! rah hlou! houwa idawar rlik ! hati yadak ! » ( regardes ô femme ! touches le ! il est doux ! lui te demandes ! donnes ta main !) .
Et Aziz lui prit de force sa main et lui fit empoigner son zob. Elle ferma encore les yeux mais garde le zob bien dans sa main. Alors Aziz, alla au slip de ma femme quil essaya de retirer. Elle grogna un peu mais souleva ses reins pour laisser le slip glisser le long de ses cuisses et de ses jambes. Sa chatte en voulait et soffrait au désir. Alors Aziz plongea sur la chatte de ma femme infidèle et commença à lembrasser, à la lécher et à la caresser. Il a du toucher son clitoris car elle lança un grand cri de plaisir et tendit son corps vers cette caresse. Aziz, voyant que la partie était totalement gagnée décida de changer de lieu et il le dit à ma femme :
« aroua7i ! yalah fi madhrab masstour ! inikou fi 9aradhna ! 3arianine fi zoudj ! ntartag lak soutak ! ou 3ayti bi zahou kima tichti ! yalah ! noudhi » ( viens ! allons dans un endroit sùr ! nous baiserons à notre aise ! nus tous les deux ! je te défoncerais la chatte ! et tu pourra hurler de plaisir à ton aise !).
Alors elle se releva et il lui remit sa robe de nuit et son peignoir pour bien la couvrir au cas où quelquun serait dans les couloirs, puis ils descendirent vers la cuisine et entrèrent dans la petite chambre des sodomies. Sachant ce quils y allaient, je les avais précédé discrètement pour me cacher dans la cuisine. Deux minutes plus tard, ils son descendus et ont pénétrés dans la petite chambre où ma Terma a été maintes fois sodomisée et où Aziz allait aussi baiser ma femme que je croyais si forte en fidélité. Aziz na pas totalement fermé la porte de la chambre, laissant juste une fente et jétais sur quil la fait exprès pour que je puisse voir et entendre leurs ébats. Il a totalement dénudé ma femme et en a fait autant pour lui. Etant en sécurité, loin de notre chambre et entièrement esclave de son désir, ma femme sest jeté le zob dAziz, pour le caresser et le manipuler à pleines mains. Enfin, elle tenait un zob étranger et plus gros que celui de son mari et cela doit laffoler sexuellement. Aziz restait debout pour bien me faire voir ce que ma femme faisait à son zob. Maintenant quelle a accepté Aziz, elle a tout lâché et veut prendre son total plaisir. Aziz lui conseillait :
« ya mra ! dirih fi foumouk ! moussih ! rah 7lou wa mtine ! kouli zébi mtanane ! » ( femme ! mets le dans ta bouche ! suces le ! il est doux et puissant ! manges mon zob gonflé !).
Elle a suivi son conseil et a commencé à le sucer et le lécher et aussi à le branler. Satisfait, Aziz lui tripotait ses gros seins et leurs boutons et parfois sa main se glissait vers les fesses et la terma de ma femme. Elle respirait avec bruit, démontrant ainsi quelle était totalement dans le bain, excitée et prête à lamour. Alors Aziz la allongée sur le lit et écartant ses cuisses, il sinstalla entre elles. Et, tenant son zob à la main, il le frotta plusieurs sur les lèvres de la chatte et ma femme na pas pu se retenir en lui criant avec force et en poussant ses reins vers lui :
« wach rak tasstana ! doukou ! dakhlou fi souti ! fissa3 ! » ( quest ce que tu attends ! enfonces le ! pénètre moi la chatte ! vite !).
Et, Aziz, dans un ricanement érotique lui répondit en hurlant lui aussi :
« edawri anikike ! édawri 3la zébi ! yadkhoul fi soutak ! » (tu veux que je te nikes ! tu veux mon zob ! lenfoncer dans ta chatte !).
Alors Aziz glissa son zob entre les lèvres de la chatte et, poussant avec énergie lui dit :
« haki zébi ya 9ahba ! ya mrat sahbi ! nikha ! nikha ya zébi ! nikha ! goudam rajalha ! » (tiens mon zob ô putain ! femme de mon ami ! nikes ! nikes la ô mon zob ! nikes la ! devant son mari !).
Ce message était pour moi car il savait que je les observais derrière la porte entrouverte. Et moi, comme un cocu excité, je me branlais depuis un bon moment. Heureusement que ma femme était dans les nuages de lexcitation, du plaisir du sexe pour faire attention à ce que disait Aziz. Puis, il se lança dans des vas et viens acharnés, vigoureux à sa manière et elle, après avoir hurlé quant il lavait pénétrée, gémissait maintenant ses jouissances sans se retenir. Cétait une séance pleine des bruits affolants des deux sexes qui glissaient lun contre lautre en émettant des sussions et sifflements mouillés par la liqueur de la chatte de ma femme. Elle cria plusieurs fois :
« ya m ! hadha zob wala wach ! kbir wa khchine ki nta3 lahmar ! wa hlou ki la3ssal ! waine rak ya rajli ! arwa7 tchouf ezeb lamtine ! » (ô maman ! ça cest un zob ou quoi ! gros et épais comme celui dun âne ! et doux comme le miel ! où es-tu ô mon mari ! viens voir le puissant zob ! )
Et elle continuait à crier et souffler fort. Aziz la secouait par ses coups de reins et chaque fois quil senfonçait en elle ; ma femme hurlait plus fort :
« aaahhh ! 7alaytni ! 7alaytni ya zeb lekhchine ! dakhal clawyk thani ! dakhal ! aaaggg ! » (aaahhh ! tu mas ouverte ! tu mas ouverte ô zob épais ! enfonces aussi tes couilles ! enfonces !)
Elle était déchainée. Jamais, je ne lavais vue dans cette forme avec moi. Il est vrai quentre mon zob et celui dAziz, il y avait peu de comparaisons. Même lacharnement et la violence des coups dAziz sont une chose toute nouvelle pour ma femme et elle se découvre des plaisirs et des jouissances continues et affolantes. Elle en profitait sans hésitation et elle a raison.
Aziz la baisa pendant presque plus dune demi-heure sans ralentir et jai entendu ma femme hurler par quatre fois ses orgasmes. A chacun deux, Aziz me lançait :
« isma3 ya sahbi ! isma3 martak ! étayar fi 3assal souwatha ! isma3 hlawatha ! wahad ! zouj ! tlatha ! rab3a » (écoutes ô mon ami ! écoute ta femme ! elle expulse le miel de sa chatte ! écoutes son plaisir ! un ! deux ! trois ! quatre !).
Il a martelé les orgasmes de ma femme pour me les faire écouter et consacrer sa victoire. Le tableau dAziz et de son zob que je distinguais nettement entrer et sortir de la chatte de ma femme ainsi que les bruits de sussions « slop ! slop ! » que faisaient le zob et la chatte dans leurs glissements réciproques ont tellement amplifiés ma masturbation que jai explosé mon plaisir immédiatement derrière la porte. Jai éjaculé par trois fois et pollué le bois et le mur à coté. Quel plaisir et quelle défaite ! Linfidélité de ma femme et les prouesses dAziz et de son zob viennent de me donner du plaisir. Jai enfin compris les paroles de notre ami commun Ali quant il mavouait les succès dAziz sur les femmes mariées. Cest un sorcier, disait-il, et jen ai eu la preuve à la manière dont il a dragué ma femme dans notre chambre et comment il la baisée en lui faisant sentir la différence entre son zob et celui de son mari cocu. Et il nous a fait jouir tous les deux, chacun à sa manière. Aussi jai décidé de pardonner la faiblesse de ma femme et de la laisser jouir au maximum ce soir avec la bite dAziz, cette bite dont ma terma connaissait les grandes possibilités.
Alors, je suis sorti pour rejoindre le logis dAli et laisser les amants déguster au maximum leurs plaisirs et se rassasier les sexes de jouissances. Je savais que ma femme ne pouvait pas er, donc elle va certainement lui demander de tout éjaculer dans sa chatte, peut-être même plusieurs fois. Ali ma questionné et je lui ai avoué ma défaite et il a exigé que je lui raconte tous les détails, ce que jai vu et entendu. Mon récit a du lexciter car il a sorti son zob pour se masturber devant moi. Alors pour apaiser moi aussi, ma défaite et me soulager la terma, je lui demandé une petite faveur. Ainsi, il ma donné du plaisir à la terma par deux fois, la première par derrière en levrette et la seconde, par devant, face à face. Et il a réussi à éjaculer les deux fois, quoique moyennement la deuxième fois. Mais il a réussi à me consoler et à atténuer ma nervosité. Je suis resté chez lui, dépassé minuit et javais envie dy passer la nuit, non pour baiser mais juste pour ne par voir la tête victorieuse dAziz car je savais quil allait mattendre pour menfoncer ma défaite. Mais la situation était telle que jai du rentrer à lhôtel.
Comme prévu, Aziz mattendait à la réception, habillé en simple gandoura (robe masculine) sous laquelle il était nu, ça se voyait nettement car le tissu collait facilement à son corps. Il ma demandé si javais tout vu :
« wach sahbi ! choufoute mratak ! 9ahba kima nta ! » ( alors mon ami ! tu as vu ta femme ! une putain comme toi !)
et en ricanant à son habitude et tenant son paquet sexuel à la main, il ajouta :
« mratak chafat zébi ! mtanane ! 7alate rajlayha ou souwatha ! nikitha rab3a marate ! »(ta femme a vu mon zob ! gonflé ! elle a ouvert ses cuisses et sa chatte ! je lai baisée quatre fois !). Et avec son rire soutenu, il continuait avec fiérté :
« tayarat fiha thani rab3a marate ! » (jai aussi éjaculé en elle quatre fois ! ) et
« 3amartlha souwatha ! gatli ma tadhnach ! tayar ya zab lakhchine ! 3amarni ! » (je lui ai rempli la chatte ! elle ma dit je ne peux pas er ! éjacules ô gros zob ! remplit moi !).
Je lui ai avoué que javais vu beaucoup mais je suis parti avant la fin. Il a ajouté :
« moussatli zébi bizaf ! tayarat al khamssa fi foumha ! charbatli koul ezanna nta3i ! » (elle ma beaucoup sucé ! et jai éjaculé la cinquième fois dans sa bouche ! elle a bu mon sperme ! ).
Il voyait que ses paroles mont beaucoup touché, alors pour atténuer mon malheur, il ma dit :
« Anta sahbi ! a3taytni teremtek ! nassi7ti layk ! ma tamane hach ! » ( tu es mon ami ! tu ma offert ta terma ! mon conseil à toi ! naie pas confiance en elle !)
Comme je le regardais un peu étonné, il sexpliqua :
« raha tichti zbouba ! fi souwatha wa fi foumha ! jarabha thani anta ! » (elle adore les zobs ! dans sa chatte et dans sa bouche ! essaie la toi aussi !)
Et avec un sourire en coin, comme une confidence supplémentaire :
« jarab thani termetha ! rani dakhalat lha zouj sba3i ! 3agbou bi shoula ! ma galate walou ! » (essaies aussi sa terma ! jy ai enfoncé deux doigts ! ils sont rentrés facilement ! elle na rien dit !).
Alors, me tappant sur le dos et toujours en ricanant bruyammant :
« nikha mine termetha ! ana ma bghaytach ! nhab trame rjaal ! dhayguine ou hlouwine ! » (nikes la de la terma ! moi jai pas voulu ! je préfère les terma des hommes ! plus serrées et plus douces).
Et jai avoué que jen avais assez entendu et vu pour savoir quil avait eu totalement raison. Mais une chose mintriguait. Je lui ai demandé ce quil avait chuchoté à loreille de ma femme avant de la baiser et il ma répondu quil préférait garder cela secret :
« khaliha masstoura ! kheir l! ya hbibi ! » (laisses la secrète ! cest mieux ! ô mon ami ! ).
Jétais encore plus curieux et jai insisté en promettant de ne pas me fâcher, alors il ma dit : « goul toulha rani nikate rajlak ! teremtou kbira ou mahloula ! ou zébi 3ajbou ! rani 3araf anti thani fay9a bi rajlak mine zamane !sa7 wala la ! » ( je lui ai dis que jai niké ton mari ! et que sa terma est grosse et ouverte ! et mon zob lui a plu ! et je sais que toi aussi tu a découvert ton mari depuis longtemps ! vrai ou pas !).
Comme je le regardais avec colère et étonnement, il a ajouté :
« Choufi hadha azeb mtannane 3lik ! nchab3ak kima chaba3ate rajlak ! » (regardes ce zob gonflé pour toi ! je te rassasierais comme je lai fait à ton mari ! )
Et me retant avec son bras pour mempêcher de réagir violamment, il mexpliqua :
« hakadha martak nadhate mine srir ! la7ate robatha ! 9ablate bi souhoula enikha » (cest ainsi que ta femme sest levée du lit ! à jeté sa robe ! a accepté facilement que je la baise !).
Et cest ainsi que ma femme a accepté de me faire cocu car on lui a avoué que joffrais ma terma aux zobs. Je navais plus rien à dire, il était tellement franc et sincère, presque innocent que jai préféré me taire et massoir. Puis, il ma offert le thé des adversaires réconciliés et ma vanté les atouts de ma femme, mais il ma dit, encore une fois, que son zob na pas touché sa terma vierge. En disant cela, je remarquais quil manipulait son zob dans sa gandoura. Et son pieu commençait à former une longue bosse qui défonçait la gandourah. Il a vu mon regard vers son zobe et a souri. Puis, il ma dit :
« wach sahbi ! Ali ma chaba3ach lak teremtek ! aya nzidak wahda wala zouj nayka ! ana zébi rah chahi teremtek la7louwa ! kheyr mine souwate martak ! aya ! » ( alors mon ami ! Ali na pas satisfait ta terma ! viens, je vais tajouter une ou deux nayka ! mon zob adore ta douce terma ! mieux que la chatte de ta femme ! viens ! ).
Et, me poussant dans la petite chambre il ajouta :
« ma tkhafach ! 3andi léssence ! mazal fi qlawya ! chouf zébi ! haou mtanane ! » ( ne crains rien ! jai de lessence ! encore dans mes couilles ! regardes mon zob ! il est déjà gonflé !).
Il avait raison au moins sur un point, cest que la vision de ce zob déjà gonflé suffisait pour démanger et affamer ma terma qui commençait à se lubrifier toute seule. On est rentré dans la chambre et jai simplement glissé mon pantalon. Ensuite, lui tournant le dos, à genoux sur le lit, je lui ai abandonné mon cul pour finir la soirée. Et lui, sans état dâme, il souleva sa gandoura pour la tenir avec sa bouche, il se pointa derrière moi et enfonça son gros zob dans mes entrailles. Et il a tenu parole ! Il ma sodomisé deux fois de suite, presque sans sarrêter ! Dès quil a terminé et éjaculé dans la première fois, et sans me laisser le temps daller me nettoyer, il a opté pour une seconde sodomie. Me couchant, le dos sur le lit, il me souleva les jambes et jai écarté largement mes cuisses en soutenant mon zob pour lui laisser le chemin libre de mon cul. Mon anus doù suintait son sperme était face à son désir inassouvi. Son zob navait pratiquement pas fléchi après son éjaculation, il était toujours dur comme un barreau de fer. Et, sans tarder, il lenfonça avec violence dans mon anus quil traversa avec facilité jusquau buter dans le fond de mes entrailles.
Une dizaine de vas et viens, des tapes affolantes de ses couilles sur les dessous de mes cuisses, et pas mal de cris et de cochonneries, comme à son habitudes :
« 9ahba ! 3ataya ! haki zébi ! ag3ar lou teremtou ! assguiha ! » (putain ! pédé ! tiens mon zob ! défonces lui la terma ! étanches la !).
Et enfin, il finit par éjaculer de nouveau. Bizarrement, sa seconde éjaculation était nettement plus nombreuse ( quatre ou cinq au lieu de trois) et plus abondante que la première. Il gueula tellement que javais peur que tout lhôtel ne lentende, ainsi que ma femme. Il ma dit :
« souwate martak kanate casscroute 3ala zébi ! teremtek gham9a ou skhouna chab3atli zébi ! oukhssara trou7ou ghoudwa ! » (la chatte de ta femme a été un casse croute pour mon zob ! mais ta profonde et chaude terma a mieux rassasié mon zob ! dommage que vous partiez demain !).
Je vous disais que cet homme, pourtant de comportements naturels, avait une bite, à mon sens, anormale. Et cest dommage que demain, nous devons le quitter, sinon, on aurait voulu continuer à profiter des ses prouesses sexuelles. Après, jai passé le reste de la nuit auprès de ma femme, dont lattitude était naturelle et qui na pas soufflé un mot de sa soirée. Maintenant, ni moi ni elle, navons à cacher nos tendances et nos désirs et nous allons en profiter entre nous et avec dautres amants, peut-être même communs. Aziz a été notre catalyseur sexuel bénéfique. Le matin, on a prit le petit déjeuner avec Aziz qui a appelé, ensuite, un taxi qui nous a amené à la gare routière pour retourner chez nous, après des aventures inédites, un guet append juteux et une infidélité très prometteuse de ma chère femme. On va en profiter tous les deux, cest certain !
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