Collection Les Chiennes. Tout Ça Pour Ça (5/8)

- Viens Dalia, depuis le temps que tu me défies, tu vas faire de la bite noire, ça va te radoucir le cuir.

C’est comme ça que, dès que je débarque de la voiture de l’inspecteur Jean-Pierre, certainement un ripou, dans les mains de qui je suis tombée.
Dans le dortoir où je suis conduite, grâce à une veilleuse je vois six lits, cinq seulement sont occupés.
Rapidement Magda, semblant être la gérante de ce nouveau lieu où je suis tombée, m’assigne un lit.
L’inspecteur emmène une dénommé Dalia qui semble être une fille rebelle vers une destination qui semble être des chantiers.
J’ai beau avoir été élevée hors du monde au Maroc, je commence à cerner où l’on m’a conduite.
Olga qui m’oblige à lui sucer la chatte "en a fait treize", certainement des clients dans ce bordel que tout ce petit monde semble gérer.
J’ai fui un homme vieux, j’ai failli mourir dans la villa de Jules pour me retrouver dans un bordel.

Jean-Pierre a fait mon éducation, c’est pour ça qu’il m’a appris tout ce qu’une femme doit savoir faire avec son sexe.
Pardon, ma bouche et mon anus doivent faire partie de cette éducation et seront considérés comme des portes ouvertes aux clients que je vais certainement rencontrer demain.
Pendant que je lèche consciencieusement Olga, jeune femme elle aussi retenue contre son gré, je pense à mon comportement.

- Continue salope plus haut, caresse bien mon bouton avec ta langue, comment t’appelles-tu ?
- Radia madame.


Oui, je te suce, oui je repasse et je repasse ma langue sur le clito proéminent de cette fille.
Oui, mais je comprends que ce réseau de proxénètes doit envoyer les filles récalcitrantes sur des chantiers.
Là s’arrête mon raisonnement, je pense avoir une certaine intelligente, même si tous les pièges dans lesquels je suis tombée peuvent faire penser le contraire.
Je vais tout faire pour éviter de remplacer Dalia sur ces lieux dont j’ignore ce qu’elle est partie y faire.



- Ta langue est divine, je crois que nous allons bien nous entendre.

C’est ainsi que je fais jouir une femme pour la première fois, avant de me faire virer comme une malpropre, vers mon lit.
Heureusement au passage, j’att l’oreiller que je convoitais allant finir ma nuit dans mon lit.
Quand Olga se réveille, elle met un tel bordel autour d’elle que j’ai peur que nous ne soyons toutes punies.
Magda arrive avec une autre femme, une jolie noire.
Elles sont en peignoir toutes les deux et nous apportent notre repas.
Je suis à deux doigts de leur dire que le matin, c’est café noir, mais je comprends que l’heure qu’il doit être, c’est le repas du midi qui nous est servi et je m’en tiens à mon plan de rester sage et d’accepter ce qui va m’arriver.
Je suis musulmane, mais j’ai perdu l’habitude de la prière depuis que j’ai franchi la Méditerranée avec Christian.

La viande avec les pommes de terre je fais celle dont j’ignore ce qu’elle est, tant que je serai dans l’incertitude.

- Les filles, je vous présente Radia, vous avez compris qu’ici elle est à moi.
Radia d’où viens-tu ?

Je leur raconte mon parcours, de ma fuite jusqu’à ces pièces dans un sous-sol je le pense.

- Viens à la douche, je dois te préparer, les clients vont bientôt arriver.

Dortoir, douche commune avec ma nouvelle maîtresse dans toute l’acception du terme.
Salle des vêtements et du maquillage.
Viviane, la Belge ayant commencé par des bars à putes comme indépendante mais ayant volé dans un supermarché, elle s’est retrouvée soustraite à sa vie libre par ce réseau de maquereaux, tous des policiers comme l’inspecteur Jean-Pierre à ce que j’apprends.
Louisette, Française, bonne à tout faire et faisant tout depuis qu’elle aussi est tombée dans les filets du réseau.
Cette petite brune insignifiante au premier abord est contente de son sort, ici elle baise avec des hommes alors qu’ils se désintéressaient d’elle.

Anne, la plus âgée et la plus ancienne, l’une des premières à avoir été attrapée.
Elle refuse de dire comment elle s’est retrouvée à tapiner.
Je comprends que certains clients préfèrent les femmes d'âge mûr aux jeunes pucelles que j’ai fini d’être au cours de mon parcours.
Bien sur Olga, c’est la sœur de Magda la tenancière.
Elles sont venues en France pour fuir leur pays et se sont retrouvées comme des clandestines.
Magda a commencé à tapiner avant de faire voir son sens de l’organisation et comme elle était la maîtresse attitrée d’un commissaire chef du réseau, il l’a promue à son poste.
Des putes tenues en l’état par des putes avec les chantiers en ligne de mire si l’une d’elles a des velléités de rébellion.

- Tu comprends Radia, si tu déplais à Magda où à sa pute de Lola, ils nous conduisent pendant le temps qu’ils veulent nous faire sauter par des ouvriers qui travaillent dur sur plusieurs chantiers.
La dernière fois avec Anne, c’est un chantier d’autoroute où nous avons fait des passes avec toutes sortes de nationalités.
Si tu y vas, tu parleras ta langue avec eux, il y a un nombre important d’entre eux qui viennent de l’autre côté.

Je comprends que c’est le bordel, que je vais encore me faire défoncer, je devais faire la pute de mon mari au Maroc.
Que les vieux dans leur maison macabre voulaient faire de moi leur pute avant de me me faisant finir sous des kilos de ciment.
Que la façon dont Jean-Pierre m’a traité, pour lui j’étais déjà une pute même si c'était en devenir maintenant après avoir mis des peignoirs directement sur nos corps :
Bleu Olga, rouge Viviane, vert Louisette, Violet Anne et jaune pour moi.

- Aller les filles, on monte, il y a déjà deux clients qui attendent.

Je découvre une nouvelle partie de l’endroit où je me trouve.
Un bar dans une pièce borgne comme leurs voitures et leur dortoir.
Mon premier client est là parmi les deux hommes qui sont au bar et qui prennent le champagne avec Lola qui semble tenir le bar et Magda qui tient la caisse.


Mon client, homme bedonnant paye ma prestation à au garde-chiourme qui comme la barmaid est drapée dans un peignoir avec des fils d’or.
Magda, noir et Lola, blanc.

Olga m’a montré les salles attenantes au bar où je dois emmener mes clients afin de les satisfaire.

- Radia emmène monsieur Paul et fait-lui une fellation, j’ai confiance en toi.

C’est ainsi que je franchis une nouvelle étape vers ma déchéance.
Tout ça parce que j’ai refusé d’épouser un homme ayant la quarantaine et que j’ai accepté de suivre Christian dans cette foutue baraque.

Christian, c’est drôle, mon meilleur client s’appelle Christian, il passe dans notre baisodrome dès le premier soir.
Christian a 74 ans, une femme de son âge qui refuse de baiser se trouvant trop vieille.
J’ignore comment il a connu notre bordel, ce qu’il y a de sûr c’est qu’il est encore vert.
Ce que j’aime avec lui c’est la manière qu’il a à ranger ses vêtements sur la chaise dans la pièce où je l’emmène.
Il a toutes les fois ce même rituel après que je lui ai lavé sa petite affaire.
On sent le mari qui suit les directives de celle qu’il a dans la tête quand nous baisons avec douceur.
Christian est un homme doux, c’est un homme paisible dans ce monde de brutes.
Il avait des fantasmes quand je l’ai entraîné dans nos lieux de baise.
Sa femme a été la seule dans sa vie.
Elle se faisait baiser dans la position du missionnaire après qu’il s’est astiqué seul pour se faire bander.
Elle écartait ses cuisses après avoir simplement relevé sa chemise de nuit.
Il veut tout connaître, les fellations, ça c’est facile.
Me baiser en levrette.
Très facile pour moi, c’est la position préférée de la plupart de mes clients.
Mais ce qu’il aime entre tout c’est de me sucer la chatte.
Pour ça, il arrive le premier, me regarde franchir le rideau au fil de la soirée avec divers hommes et presque à la fermeture, il paye Magda.

Dès qu’il a plié ses affaires, je me positionne cuisses écartées et il vient me lécher comme un gentil toutou.

Bref, depuis combien de jours, de mois, même d’années je tapine dans ce bordel sans voir le jour ?
J’ai l’impression d’être dans un harem avec de multiples maharadjas qui m’honorent et de lesbiennes brouteuses de chattes comme Olga et Dalia après son retour du chantier où ils l’avaient conduite.
Les chantiers, j’y suis allée une fois pendant mon séjour.
Quand je parle du jour, je me trompe, cette fois-là je l’ai vu dans la cabane où de nuit on m’a conduite.
Jean-Pierre devait emmener Anne la mémé de notre groupe, mais à vivre presque nue, elle avait chopé la crève.
J’ai compris pourquoi toutes les filles qu’ils viennent chercher pour se faire vingt-cinq gars pendant deux jours, sont défoncées à leur retour.
Vingt-cinq gars privés de femmes depuis des mois vous passant de suite dans votre chatte pendant toute la journée y revenant même la nuit.
Quand vous retrouvez votre lit dans votre bordel, c’est cher payez la vitre au-dessus de votre tête où vous voyez un carré de ciel bleu.
Surtout ayant la malchance qu’il pleuve pendant ces deux jours.

Bien que dire de plus de ma vie !
Oui, je sais que je suis vivante chaque fois qu’un de mes orifices est honoré.
Il nous arrive d’être choisies par deux mecs nous prenant en double pénétration.
Je dois avouer, mais il faut se taire, deux bites en moi, mon corps réagit encore et j’arrive à avoir un orgasme.
Mais c’est bien rare.
L’orgasme c’est entre filles que nous nous le procurons.
Dans notre dortoir la surveillance est moindre et les filles entre nous nous nous faisons jouir.
Quand elle est en forme Anne, arrive à se faire mettre une main, poignet compris au fond de son vagin.
J’essaye avec Olga, mais c’est certainement car étant jeune, il est loin d’être assez souple trois doigts seulement entrent en moi.

Je suis mollement allongée sur mon lit quand le verrou de la porte claque.
Jean-Pierre et Magda entrent tenant une jeune fille en laisse comme moi quand je suis arrivée.

- Petite pute, tu voulais voir Radia ta grande sœur, la voilà, j’espère que tu vas être plus docile maintenant.
- Nouzha, que fais-tu ici !

La jeune fille aussi nue que moi, qui viens d’entrer, c’est Nouzha ma petite sœur…

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