Jérémie Et Eric

Jérémie rentre du lycée en prenant son temps. C’est un beau jeune homme, châtain clair, tout juste 18 ans, bien proportionné. Son 1,80 et sa belle carrure, son corp svelte et musclé, son fin duvet sur les bras et les jambes ont depuis longtemps attiré mon attention.

Jérémie peuple mes fantasmes d’homme mur. Et à défaut de pouvoir prétendre susciter son intérêt, je l’observe chaque fois que possible. Ce qui est assez fréquent car il est mon voisin de palier, nous partageons l’usage des communs ainsi que la loggia de notre étage.

J’ai ainsi souvent eu l’occasion de mater mon jeune voisin, de le voir grandir, mais également de suivre l’évolution de son corps et de son comportement.

Depuis longtemps, Jérémie a noté l’attention que je lui porte. Comme depuis son adolescence, j’ai constaté son intérêt pour les garçons. Tacitement, nous n’en avons jamais parlé. Nous jouons depuis des années, partageant des règles que nous n’avons jamais écrites ni même exprimées : nous sommes partis du principe tacite que nous faisions comme s’il ne se passait rien.

Au fil des années j’ai vu le corps de Jérémie prendre forme. Lors des beaux jours, il n’hésite pas à se mettre en slip dans la loggia, exposant son corps à la peau claire aux rayons du soleil. Dans ces cas, je reste en retrait, hors de son regard mais l’œil rivé sur ce beau gosse. Le plus souvent en slip, affalé dans une chaise longue, Jérémie s’endort, ou fait semblant, laissant les rayons caresser son corps avec autant d’assiduité que mon regard lui caresse la peau.
Immanquablement, le tissu du slip commence par se tendre. Souvent par à-coup. Très vite sa verge déforme la toile du petit vêtement.
Il n’est pas rare alors qu’il se relève et fasse semblant de découvrir ma présence. Il approche alors son visage du mien pour me faire une brève accolade. Durant ces quelques instants, tout son jeune corps frôle le mien. Je sens son odeur de jeune male et sa verge distendu dans le slip ne manque jamais d’effleurer mon pantalon au niveau de la braguette.

Ce petit jeu pervers entraine chez moi, immanquablement, une forte érection source d’un rictus amusé de la part de Jérémie. Celui-ci se prend également au jeu. Les rares mots qu’il m’adresse dans cette occasion prennent toujours l’intonation roque que génère le désir contenu chez les jeunes hommes. Jérémie adore m’allumer. J’adore l’exciter.

Il y a quelques jours, Jérémie m’avait averti, à l’occasion d‘une de ces fugaces accolades, souhaiter utiliser la loggia pour recevoir un ami : « je reçois un pote cet après midi, j’ai à voir en profondeur avec lui, pourrez vous me laisser la loggia ? ». Nous étions au cœur de notre jeu, tout dire sans rien dévoiler ! « Bien sur, tu es un jeune homme maintenant, tu as une vie à toi. » puis, pour bien enfoncer le clou, sur le mode taquin « il est loin le jeune garçon qui s’ennuyait en se prélassant sur sa chaise longue … ! ». Et là, avec un grand sourire franc Jérémie lâche « Hé oui, le temps de l’action est là ! ».
Jérémie venait donc de m’avertir qu’il comptait bien s’envoyer en l’air cet après midi avec un ami à lui…. Et que j’aurai matière à satisfaire ma curiosité !

Effectivement, vers trois de l’après midi, de mon salon, j’entends jérémie accueillir quelqu’un avec qui il échange calmement. Rapidement, ils sont sur la loggia. Jérémie met son jeune ami à l’aise. Déjà il lui passe le bras autour de la taille et lui fait admirer le panorama « d’ici on profite de la plage, là-bas l’entrée du lycée … » . Ce faisant, al amin de Jérémie glisse sur les fesses de son ami. Celui-ci ne bouge pas tout en semblant apprécier la caresse. Puis la main remonte sous le polo, dans le creux des riens. On devine, au travers du tissu, les doigts de Jérémie qui joue du piano sur la peau de son pote. Je devine que mon jeune voisin n’en n’est pas à son coup d’essai. Décidément, il a bien grandi le jeune ado ! et il ne traine pas « en affaire » !
Très vite, Jérémie saisi le polo de son ami par le bas et lui remonte le long du torse. Je découvre le buste d’un jeune homme de 18 – 20 ans, assez semblable à Jérémie en plus musclé.
Dans le même temps, je m’assure pouvoir continuer à regarder, et à bien voir, sans me montrer. C’est une des règles, non écrite, que je partage avec mon jeune voisin. Et je fais bien car le jeune homme est maintenant tourné en ma direction. Son pantalon de survêtement présente une déformation ne laissant aucun doute sur son intérêt pour les caresses de Jérémie.
Celui-ci continue activement son entreprise. Il se place à genou et baisse d’un seul mouvement calme et lent le pantalon et le boxer de son vis-à-vis. Une belle bite s’exhibe de suite sous le nez de Jérémie. Celui-ci s’emploie à la humer longuement. Puis sa langue parcoure le long de la hampe. Puis enfin ses lèvres s’entrouvrent. Une partie de la belle bite disparait entre les lèvres de mon voisin. S’ensuit alors une longue et lente fellation durant laquelle la verge du jeune homme pénètre de plus en plus profond dans la gorge de Jérémie.
Après un temps interminable, qui a porté ma propre excitation à son paroxysme, Jérémie finit par se redresser. Son ami lui enserre alors la taille et l’embrasse à pleine bouche. Longuement. Je me fais la réflexion que ces jeunes sont bien pressés et procèdent dans le désordre ! La pipe avec le patin !
Dans le même temps, c’est au tour de Jérémie de voir son léger pantalon de toile déboutonner et tomber à ses pieds. Son ami lui baisse ensuite le slip et lui enlève avant de la balancer à l’autre bout de la loggia. C’est lors que j’entends le prénom de l’ami de Jérémie « Eric, fais come l’autre jours ! » la voix de mon jeune voisin est tendue par l’excitation et le désir. Dans le même temps, je me fais la réflexion que mon jeune voisin n’en est pas à son coup d’essai et qu’il a déjà visiblement une bonne pratique de l’amour entre garçons !

Le fameux Eric saisi alors Jérémie sous les fesses et le soulève jusqu’à la taille. Ce faisant, il colle le dos de Jérémie au mur. Celui-ci prend appuis des deux mains sur le saillant qui longe la loggia à mi hauteur. Eric a alors les fesses de Jérémie au-dessus de sa verge. Tout en maintenant son amant d’une main, Eric envoie un généreux jet de salive sur ses doigts et humidifie le cul de Jérémie. « Tu es prêts ? » La Voix d’Eric est impérieuse, sa demande ressemble plus à un ordre qu’à une demande ! Sans même attendre, il guide les fesses de Jérémie vers sa verge tendue, visiblement die comme une barre d’acier. Je devine au mouvement de bassin d’Eric qu’il pénètre mon jeune voisin. Jérémie se prête totalement à cette intrusion. Après un beau moment, j’entends une forme de feulement émanant de Jérémie qui semble indiquer qu’il est pleinement rempli. D’ailleurs le bassin d’Eric est totalement collé aux fesses de Jérémie. Ils restent plusieurs minutes ainsi sans bouger. Jérémie a les yeux fermés. Le visage tendu, par la douleur de la pénétration sans doute. Son visage se détend petit à petit. Puis un large sourire envahit ses traits. « Vas-y Eric, baise-moi ! ». Eric entame alors un lent et ample va et vient. Jérémie pousse maintenant des feulements de plaisirs peux bruyants, même si parfaitement audibles, marquant chaque retrait de la verge de sa chatte anale.
Je réalise alors qu’Eric n’a pas mis de préservatif. Jérémie goute ainsi la queue de son amant sans réserve. Sans doute très jouissif mais guère prudente en termes de prévention !
Je décide de laisser là, à leurs ébats intimes, les deux jeunes amants. Et dirige ma main vers mon propre sexe pour soulager la tension créée par l’excitation de ces beaux gosses !