Berlin, Son Histoire, Ses Vices 7

Chapitre 7 : Je suis dans la place.

Deux semaines sont passées, je sers Monsieur Alain avec une joie non dissimulée. Dans l’agence, mon directeur a cessé de me reluquer. Gertrude est en main avec Maîtresse Karina, une russe pure souche, une peau de vache si on faute avec elle. Au bureau, dans mon bureau, Isabelle est ma secrétaire très particulière, elle est celle qui me fesse, celle que je lèche ou que je bois. Gertrude nous a déniché deux perles, sans aucune possibilité de les corrompre, malheureusement. Toutes les deux sont déjà maquées à des hommes, leurs maris et ont des mouflets.

Je suis impatiente, Monsieur Alain doit arriver dans moins d’une heure. Je porte ma petite laisse cachée entre mes seins enchainé l’un à l’autre. Elle est là, sous mon chemisier à jabot. Je ne cesse de fixer la pendule de mon bureau. Gertrude est sous ma jupe, elle me lèche la moule pour me détendre. Je suis si impatiente qu’Isabelle se permet de me gifler. Je crois qu’elle a eu peur de ma réaction quand je me suis lentement tournée vers elle. Mon sourire emplit de bonheur l’a rassurée. Quand, comme avec Mademoiselle, je baise tendrement sa main, elle pose sa bouche sur ma nuque et je jouissais de la langue de notre Gertrude.

Monsieur Alain arrive, je me précipite dehors, bouscule le directeur. J’ouvre la porte du taxi, lui tends ma main. Il sort en baisant ma main, tout sourire. En revanche, avec le directeur, il se montre froid. Intimidé, ce dernier guide notre directeur dans une salle de conférence. Il ne faut qu’une heure et quelques minutes à Alain pour dire tout le bien qu’il pense de l’agence. Autant dire pas grand-chose. Le directeur se fait vertement rabrouer, ses sous-fifres en prennent pour leur grade. Il critique la façade passée, l’entretien des bureaux. Il blâme le comportement sexiste, vulgaire et les tenues peu en adéquation avec leurs emplois. Je n’oublie pas les reproches fait aux réceptionnistes, même s’il est au courant de la situation de Gertrude.

Il nous félicite, Isabelle et moi pour nos tenues, notre travail, nos compétences. Bref, après son discours, ses récriminations, il m’invite à le suivre dans mon nouveau bureau. Là, j’ai une putain d’envie qu’il me baise, m’encule et même de me fesser si le cœur lui en dit. Seulement, il est encore branché travail.

- Bon, je vais aller voir le futur ex-directeur. Toi, tu prends sa place. Si elle te convient, tu la gardes sinon, tu m’appelle et je ferai en sorte de trouver un nouveau directeur, ou une nouvelle directrice pour te succéder. Euh, si tu as une culotte, retire-là et vite, je reviens.

La porte du bureau fermée, il passe dans le bureau d’à côté. Mon oreille contre la fine cloison, je peux tout entendre. Pour ce qui est de la culotte, nul besoin de me plier en deux, je n’en ai aucune. Monsieur Alain se découvre devant cette fiente. Il est acerbe, amère sur les comportements du directeur d’agence. Il lui reproche non seulement ses écarts de conduite, mais aussi sa conduite avec le personnel féminin. Il lui fait remontrance de ses tenues vestimentaires, de sa grossièreté dans ses rapports mal écrits. Il ne lui trouve, en fait, aucune qualité de manager et le vire séance tenante de son poste. Il l’envoie à l’autre bout de l’Allemagne et comme simple employé. S’il refuse sa nouvelle nomination, il peut d’ores et déjà se considéré comme licencié. Il se fait petit, le directeur d’agence, il n’ose pas protester, ni même tenter de se justifier. Je le savais larve, là, il est juste pitoyable voire pire encore. En fait, je me verrais bien le dominer, complètement le rabaissé à l’état de pute, ce qu’il est, à n’en pas douter.

Quant à moi, je prends les rênes de l’agence avec effet immédiat et une main sur ma chatte. En un peu plus de deux heures chrono, tout est réglé. Le directeur est dégradé et moi, gradée. De retour dans mon bureau, je suis penchée sur la table, prête à le recevoir en moi. Il en est qui va se régaler, se branler, le démissionné.
Mon Alain me baise, m’encule, me fesse, tout ce que je voulais de lui, il me le fait subir. Je jouis sans me retenir. Le simple fait de pense à ce proc de l’autre côté de la cloison, à quelques centimètres de nous, me pousse à hurler encore plus fort pendant nos envolées lyriques. Puis, mon Maître vidé, pendant que nous allons manger dans le plus chic des restaurants de Berlin, le directeur d’agence part en emportant ses maigres affaires. Il me laisse un cadeau, bien en vue, en travers de son bureau, sa cravache. En fait, je me suis complètement plantée, ce n’est pas une cravache à deux balles, c’est une cravache d’une très grande qualité, de celles faites à la main. J’apprécie son présent à sa juste valeur. Connaissant son adresse, je m’empresse de lui rédiger une lettre de remerciement et une petite excuse pour…pourquoi aux faites ? Biffé l’excuse, je ne mets que l’adresse d’une femme qui sera lui faire ressortir son côté soumis docile.

Le soir même, j’ai invité Isabelle et Gertrude chez moi ainsi que Monsieur Alain, Mademoiselle Janice, Béa, ma douce et Agnès, la perle. Pas d’histoire sadique, qu’un bon moment convivial entre nous. Pas de Maître, de Maîtresse, non rien de tout ça. Pendant toute une soirée, on oublie qui est soumis et qui domine. Seulement, Isabelle est terriblement impressionnée par mon appartement et sa déco sans ambiguïté possible. Monsieur Alain ayant décidé de vivre dans mon appartement, après le départ, bien à regret, de tous mes invités, je reste seule avec Monsieur Alain. Je me présente dénudée devant lui, j’ai une envie irrésistible de son corps de mâle. Il le devine et m’emporte dans ma, non, notre chambre. Il ne me baise pas, il me fait l’Amour avec tout ce que cela comporte, comme notre première fois. Une nuit chaude, torride, riche en orgasmes violents. Ce fut comme si je redécouvrais l’amour, comme un second dépucelage. Il me prend de partout. Seule exception à un amour tendre, sensuel, quand il jouit dans mon cul. Puis, je le suce avec le désir secret qu’il me baise encore et sauvagement.
Il peut même me baiser en me brutalisant que je ne lui dirai pas non.

Dès l’aube, j’écris un mot qui apprendra à Monsieur Alain combien notre nuit fut merveilleuse. Je le quitte à regret. Je me retrouve dans mon nouveau bureau. Bien au centre, une missive que je m’empresse d’ouvrir. C’est de Mademoiselle, rien ne pouvait me faire plus plaisir. Je lis sa crainte de me faire totalement accaparer par Monsieur Alain. La question est dure. Pourtant, je dois me poser cette question. Perdre Mademoiselle, autant essayer de passer par-dessus le mur de Berlin, c’est la mort assurée. Perdre Monsieur Alain me serait plus aisé, c’est certain. Seulement, quand il me baise, comme avec Monsieur Heinz, c’est découvrir l’entrée du paradis. Et puis, il y a encore le film. Tout se mélange dans ma tête. Je dois prendre un peu de recul, mettre de l’ordre dans ma tête. En fermant mes yeux, je vois le doux visage de Béa, d’Agnès, le merveilleux visage de Mademoiselle. Je ne sais pas si je dors éveillée ou pas pourtant, je vois Monsieur Alain prendre son avion et me quitter. Ouvrant mes yeux, il est devant moi, bien en chair et en os. Il me sourit, fait le tour du bureau.

- Ma chérie, je vais revenir, sois en certaine, ne plus avoir ton corps contre le mien, c’est, c’est. Enfin, je dois retourner à mon poste. Je pars demain matin. Non, ne pleure pas. Je vais revenir. Ne suis-je pas ton patron après tout ? Cela me laisse la liberté de venir t’agacer dans ton bureau, te punir chez toi si cette agence ne tourne pas rondement. Alors, ne pleure pas, je t’en supplie. Ce soir, je ne dormirais pas avec toi. J’ai une petite chambre près de l’aéroport. Sur ton agenda, au mois de septembre, je serais là pour une ou deux semaines.

- Monsieur, vous me manquez déjà. J’aurais tellement aimé que vous nous accompagniez pour le tournage du film.

- Oh, oui, c’est juste. C’est quand ?

- Dans une semaine exactement. Nous serons dans la région de Hanover.
Voici les photos données par Monsieur Heinz et voici le scénario, il devrait vous plaire, Monsieur Alain.

C’est attentivement qu’il regarde les photos de ce vieux manoir, c’est encore avec plus d’attention qu’il dévore le canevas du film.

Il ne va pas dormir dans sa petite chambre, je le subis toute la nuit. Il m’explose mon cul tout en me fessant copieusement avant d’aller prendre son avion. Pourtant, au matin, après une dernière fois, il n’est plus dans mon lit. En pleure, j’appelle Mademoiselle pour lui donner la nouvelle. Béa arrive peu après. Pour moi, elle a quitté son travail un moment. Je crains d’avoir déçu Mademoiselle en pleurant le départ de Monsieur Alain.

Sur le trottoir, Béa regagne sa boutique après un dernier baiser enflammé. Dans mon bureau, malgré la présence d’Isabelle, je n’ai guère le cœur en joie. L’arrivée fracassante de Mademoiselle me met à genou devant elle. Isabelle n’ose bouger et se contente de nous regarder, admirative devant ma soumission. Je baise les pieds de Mademoiselle la supplie de me punir pour mes larmes. Je renouvelle mon serment, celui de ne jamais la quitter. Derrière, un homme pénètre dans le bureau.

- Quand je te disais qu’elle était ma proie, tu ne voulais pas me croire. Ben tu vois, elle est ma pute, ma chienne. Alain, on peut l’aimer à deux. Elle en a pour dix dans son cœur.

- Heureusement que tu m’as appelé, sinon, je manquais ça. Ta Maîtresse a raison et toi aussi. Je ne te prendrais pas. Jamais je ne te forcerai à me suivre sans que ta Maîtresse ne soit avec nous.

- Mademoiselle, Monsieur, il me faut encore vous faire un aveu. Cette femme, merveilleuse au demeurant, derrière son bureau, Isabelle, elle me fouette avec la cravache suspendue derrière elle. Je le lui ai demandé. Oui, je me sens si souvent loin de vous Mademoiselle. Chez moi, je me sens si seule quand, ni Vous, ni Béa ou Agnès ne soyez présentes pour m’infliger ma punition. Je me sens seule quand je ne peux vous faire jouir.

- Mon cher Alain, n’y a-t-il pas une solution à ce problème de solitude ?

- Je vais y réfléchir, Janice. Aroa, je crains que ce poste ne t’éloigne de ta Maîtresse, est-ce que je me trompe ?

- Non, Monsieur ! Cependant, ce travail me plait car il est désormais un défi permanent pour moi. C’est un défit unique en son genre puisque qu’il m’oblige à tout faire pour ne pas vous déplaire, Maître Alain.

- Je vois ça, ma belle Bibi. Mais là, je dois y aller, mon avion m’attend. Toi et moi, nous allons en reparler. Et puis, je serais à Hanover pour ton film. En attendant, si tu me le permets, Janice, j’exige que tu quittes ton logement pour ne plus vivre qu’auprès de ta Maîtresse. En outre, j’exige de toi que tu la serves davantage encore.

- Je vous obéis, Monsieur. Voilà un ordre à qui il me plait de donner la suite qu’il mérite. Ne me cherchez aucune remplaçante, si je manque à mon devoir de directrice, Isabelle sera m’obliger à m’en souvenir à l’aide de cette cravache.

- Mon cher, voir ma petite Aroa suspendue à mes basques n’est certainement pas pour me déplaire. Aussi, à ta prochaine visite, si tu loue une chambre, je te promets de te faire connaitre le prix de ma colère.

- Là, je ne vais pas refuser une telle invitation. Bon, Janice, Aroa, Isabelle, je dois vous laisser.

Monsieur Alain nous embrasse avec tendresse et file tel le vent. Dans mon bureau de directrice, Isabelle se pointe et tombe à genou devant ma Maîtresse sans que nous ne comprenions la raison. Du moins, sur le moment.

- Mademoiselle Janice, j’ai tout entendu. Pourriez-vous me flageller durement à l’aide de cette cravache pour avoir voulu vous dérober votre soumise, Aroa.

- J’ai oublié mes clefs ! Isabelle, que faites-vous dans cette position ?

- Je cherche à me faire pardonner pour avoir voulu vous enlever Aroa.

- Mon cher Alain, j’ai ma petite idée pour cette femme. Tu peux partir sans crainte, il se peut même que tu peines à la reconnaitre à ton retour.

Monsieur Alain s’en est allé prendre son avion, il ne revint pas. Dans le bureau, Mademoiselle Janice pousse le vice à attr Isabelle par ses cheveux et l’obliger à me lécher la moule tout en étant fustigée à coups de cravache. Isabelle me fixe, tout sourire avant de plonger en mes entrailles avec sa bouche pulpeuse.

Une semaine après, Monsieur Alain est là, derrière les caméras de Maître Heinz. Je suis nue, en laisse, laisse tenue par ma belle Béa. Je débarque d’un minibus, en tant que chienne de ma Maîtresse, alias Béa. Devant nous, à la porte de cet imposant manoir, Maître Heinz joue le dresseur de chienne. La chienne, c’est moi. À peine à l’intérieur, je dois me soulager, pisser sur le carrelage magnifique de cette entrée. Maître Heinz découvre alors mon insoumission et me fouette à l’aide d’un martinet fantaisie. Coupez s’écrie Monsieur Heinz. Sur ma croupe, mon dos, on se presse à me faire les marques d’un vrai martinet. Puis, la scène reprend. Je change, deviens peureuse, craintive devant cet homme intransigeant. Béa est même giflée parce qu’elle incapable de me dresser. Dans mon cul, mn vagin, il glisse, dans l’un, un gros plug qui me fait un mal de chien et dans l’autre un vibromasseur guidé à distance. Puis, il me fait monter sur une chaise, face contre le dossier et à genou. J’expulse alors le plug de mon cul. Il me le remet de force en me le cadenassant d’une chaine.

Dans la scène suivante, je dois encore uriner. À cette seule fin, je dois boire énormément d’eau. Pendant que je patiente sur un siège, Maître Heinz s’occupe de Béa, lui montrant, sur elle, comment éduquer sa chienne. Monsieur Alain s’approche de moi, me caresse mes seins.

- Tu sais le contenu de la scène finale, ma belle ?

- Oui Maître, Maître Heinz l’a complètement réécrite. Béa et moi, sommes longuement punie par lui et une autre personne dont je ne connais pas l’identité.

- En fait, ils ne seront pas deux, mais trois. Oui ma belle, la seconde est ta Maîtresse et le troisième, ce sera moi.

- Vous, mon Maître, me punir. La joie m’étreint, Monsieur Alain. Maintenant, j’ai une excellente raison pour vous appeler définitivement Maître.

- Tu peux car, une autre nouvelle et une bonne, que dis-je, une excellente nouvelle. Le siège fait actuellement construire un nouveau centre, ici, à Berlin. Du coup, j’en prends la direction.

Et là, en pleine scène, je pousse un hourra qui stoppe tout. Monsieur Alain me gifle pour avoir crié. Humble, confondue dans mes excuses, je me pose au sol, attendant ma punition. Sauf que mon Maître, Monsieur Alain, me promet une cinglante scène finale. Le simple fait d’entendre ses propos, me met en trance. Je ne mouille pas, j’inonde le sol, sous moi. Les scènes ses succèdent toutes la journée. Une dernière scène se déroule dans un vaste lit. Je suis de corvée, léchant, suçant le vit de Maître Heinz, de son extrémité jusqu’à son cul dont il a eu la délicatesse de ne pas trop rendre propre. Dans mon cul, une large et long gode me le pourfend. C’est Béa qui m’encule sauvagement, brutalement quand elle me fesse d’une petite cravache. Je ne dois pas jouir avant Maître Heinz. Il exige même que je jouisse en même temps que lui. Quand cela survient, m’étant retenue bien plus que je ne le supposais, j’explose en même temps que ce Maître. Il attire ma bouche, notre baiser ne parvient pas à éteindre cet orgasme qui nous unit. Dans ma chatte, son sperme ne cesse de se déverser. Je tombe près de lui, lui glissant de nombreux mercis dans son oreille. Ces mercis ne sont heureusement pas audibles pour les micros qui nous entourent.

Béa n’en reste pas là. Sur ordre de notre Maîtresse, accrochée au bras de Maître Alain, elle lui fait signe de venir me remplacer sur la belle queue de Maître Heinz. Elle qui n’est pas adepte de ce genre de pratique. Elle grimace quand cette belle grosse bite s’enfonce en elle. C’est son premier homme depuis son dépucelage. Alors, Maître Heinz m’ordonne de l’aider. Je masse sa poitrine, l’embrasse, branle son clitoris. Puis, son regard plonge dans le mien, sa bouche s’ouvre en grand. Je sens son corps se tend tel un arc et Maître Heinz lui met de grand coup de reins. Ma belle Béa jouit alors, laissant son corps pleinement se libérer de cette peur irraisonnable autant que déraisonnable. Nous embrassons, folles de joie, toutes les deux. Coupez crie Maître Heinz. Mademoiselle se jette sur nous, nous embrasse, folle de joie, elle aussi. Je me retire, les laissant s’aimer lascivement. Je rejoins Maître Alain, sors sa queue dressée, dure comme une barre à mine. Je me mets à la sucer avec vigueur. Autour de nous, c’est une belle partouze qui commence. Maquilleuses, habilleuses, caméramans, preneurs de son, éclairagistes, tous s’en mêlent, tous baisent. Je jette mon amant de toujours dans la mêlée. Maître Heinz se joint à nous, même si ce n’est pas, d’après Mademoiselle, son habitude. Les corps gémissent. Des hurlements se font rapidement entendre. Mais c’est Béa qui nous scotche, quand prise par deux hommes, elle hurle son bonheur, sa soumission éternelle à Mademoiselle, son amour qu’elle nous porte. Je me jette sur elle, la couche, je bois ce foutre qui sort de son cul, enfonçant ma main dans sa chatte. Une soudaine envie de la faire crever de plaisir. Mais voilà, une journée complète, faite de sexe, cela épuise. Ma douce Béa couchée tout contre moi, nous nous endormons sur ce lit sans ne plus rien voir ou entendre de ce qui se passe autour de nous.

À notre réveil, une majestueuse femme nous observe. À son bras, un homme au regard amoureux nous observe.

- Ma belle Janice, je crois que c’est le moment, tu ne crois pas ?

- Je le crois aussi. Mes chéries, mes amours… Non, ce n’est pas comme ça que nous devons vous apprendre la nouvelle. Je recommence. Nos amours, nos chéries, Alain et moi, nous avons décidé de prendre un plus vaste appartement. Il sera situé au sommet de la tour que ta firme, ma chérie, est en train de construire à Berlin.

- Maîtresse, vivre en votre compagnie à tous les deux est juste une nouvelle qui me chauffe mon corps. Maître Alain, si je puis, auriez-vous des vues sur notre Maîtresse ?

- Eh bien, pour ne rien te cacher, nous nous plaisons beaucoup, Janice et moi. Mais il y a une autre personne, deux pour être précis, toi et toi, Béa. Je suis fou de vous, de votre amour, de vos amours. Ma Bibi, me savoir loin de vous, ça me gonfle, je m’emmerde. Alors, avant-hier, avec Janice, on en a longuement discuté. Et puis, vu qu’Agnès va nous quitter pour un autre Maître, un certain Maître Gustave, que ta Maîtresse connait bien, il y a une place qui se libère dans le futur appartement. Bien, je crois qu’on vous appelle pour déjeuner. Entre nous, les filles, il vaut mieux avoir l’estomac plein pour la suite. Cet après-midi, c’est la scène finale, je vous le rappelle.

Une fois douchée, Béa et moi, nous gagnons le grand salon. Il est transformé en un vaste réfectoire. On y déjeune en compagnie de Maître Heinz. Ce dernier nous dit avoir vu quelques scènes déjà tournées. Il semble ravi par ce qu’il a vu. Il nous engage même pour un futur film. Béa et moi, on lui fait vitre comprendre que nous ne sommes pas contre, bien au contraire. Puis, on tourne encore trois ou quatre scènes avant de diner légèrement. Enfin, on se retrouve sous les combles. Là, je suis rapidement écartelée, la tête en bas. Béa subit le même sort en restant, elle, à l’endroit. Maître Heinz commence alors à nous faire subir tout de son art. Dès les premiers coups de martinet, Béa et moi, nous sommes en extase. Il fait tout pur nous faire jouir tout en rendant nos corps encore plus sensibles. Il nous fouette, nous caresse, nous parle tendrement. Une bougie dans mon cul, une plus épaisse dans ma chatte, je sens mon ventre bouillir de cette cire brulante. Sur mes seins, il dépose de lourdes pinces reliées au seins généreux de ma Béa d’amour. Près de Mademoiselle, Agnès, venue voir, se glisse sous la robe de notre Maîtresse. Isabelle et Gertrude, en compagnie de sa Maîtresse, nous regardent subir les désirs pervers de cet homme, ce Maître du SM. Plus il nous entreprend, plus nos orgasmes augmentent en intensité. Quand sa bite s’enfonce dans ma bouche, je peine à retenir un orgasme démoniaque en fixant Gertrude. Cette dernière, je le sais, ne rêve que d’une chose, être à nos côtés et subir comme nous, Maître Heinz. Enfin, c’est l’heure du grand final, les aiguilles. Si j’appréhende, je ne déteste pas. C’est sur mes seins qu’il commence. D’abord par de courtes aiguilles qui s’enfoncent dans mes tétons et partout sur mes nénés. Puis, par deux longues qui transpercent toute ma poitrine de part en part. C’est au tour de mes fesses. Très vite, elles doivent ressembler à un gros hérisson. Puis, d’une pince, il extirpe ma langue et en plante deux autres. Parfois, sur quelques aiguilles, plante de petites bougies. En s’écartant pour passer à Béa, mon Maître se branle, Maître Alain s’entend. Devant lui, une bouche gourmande se pose, celle d’Isabelle. La cire plus que brulante m’oblige à crier ma douleur, mes souffrances. Cela dit, quand Maître Heinz enfonce sa main tout entière dans mon cul, je lui clame vouloir poursuivre l’expérience tout en jouissant. Il a repoussé mes limites au-delà de ce que je pensais encore possible. Il a fait de moi une adepte du masochisme. Seulement, pas un masochisme permanent, non, ce je m’y refuse encore. Sa queue dans ma chatte, il découvre vite combien j’apprécie ses traitements. Près de moi, deux assistants baisent ma douce Béa. La voir prise en sandwich me fait chaud au cœur. Puis, lumière oblige, on nous délivre non sans r encore de nos corps. Une assistante n’y tient plus, elle relève ma tête, me plaque ma bouche contre sa chatte et se soulage longuement. Derrière elle, mon Maître et ma Maîtresse s’embrassent amoureusement. J’ai peu le voir, mais que d’un œil. Je savais que cela allait arriver. Mon Maître sait faire fondre le cœur des femmes en plus de nous baiser comme un dieu.

Assise sur un doux coussin, ma douce Béa tout contre moi, nous nous embrassons en regardant nos désormais Maîtres s’embrasser tendrement.

- Tu vois mon amour, je savais que cela allait arriver tôt ou tard. Je devrais être jalouse et pourtant, je n’éprouve que de l’amour que de les voir s’aimer.

Puis, une équipe de quatre femmes nous entrainent dans une vaste salle de bain. Là, on nous soigne, on nous baigne, on nous bichonne. Même qu’on ne peut s’empêcher, Béa et moi, de leur rendre nos orgasmes.

À suivre…

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