Collection Les Chiennes. Tout Ça Pour Ça (6/8)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
- Petite pute, tu voulais voir Radia ta grande sur, la voilà, jespère que tu vas être plus docile maintenant.
- Nouzha, que fais-tu là !
La jeune fille aussi nue que moi, venant dentrer, cest Nouzha ma petite sur.
Cest en arabe quelle vient se jeter dans mes bras.
- Radia, viens, on retourne chez papa.
- Tu crois quil suffit de le vouloir pour le pouvoir, Jean-Pierre qui ta amené ici est maître de notre destin.
- Que vous disiez-vous, jespère que tu vas la rendre docile.
- Ma sur comprend un peu le français mais est incapable de le parler, cest difficile pour elle de comprendre.
- Je sais, à Marseille, cest mon pote linspecteur Hamed qui lui a traduit ce que nous disions, ça ma permis quelle accepte de venir jusquici.
- Allez le chercher pour quil comprenne ce quelle me dit.
- Tu crois que nous pouvons quitter le service comme nous le voulons !
Il faut que nous fassions attention si nous voulons continuer notre bizness avec vous les filles.
Nouzha reprend la conversation, je sens que ma présence laide à se calmer.
- Quand tu as fui pour éviter ton mariage avec Yassin le copain de papa, ils tont cherché partout.
Ils ont émis lidée que tu étais passée en Espagne.
Jai su quils avaient raison après que je me fus échappée à mon tour.
- Pourquoi ?
- Tu avais fait perdre la face à notre père, il y a quelques semaines.
Jai appris que pour récupérer son honneur que tu avais bafoué, notre père a eu la mauvaise idée que je lépouse.
- Mais tu es trop jeune, tu as 15 ans.
Nouzha éclate de rire.
- Cétait mon âge quand tu as fui, jai 18 ans depuis trois jours.
Cest vrai, ma vie avec ma famille pour moi sest arrêtée quand je les ai quittés.
Le temps a filé depuis que je me retrouve à me prosti.
- Comment mas-tu retrouvée ?
- Il y a eu une enquête au Maroc, notre père a su que tu avais rejoint lEspagne.
Comme toi, jai rejoint Marbella, tu avais laissé des traces qui mont conduit en France au bureau de police de ce fumier à qui je vais arracher les yeux.
- Cest de Jean-Pierre que tu parles !
- Oui, on était dans limpossibilité de se comprendre, je parle quelques mots de Français, cest là quun nommé Hamed est intervenu.
Il était censé traduire.
- Ils tont baisé !
- Bien sûr, ils mont fait croire que je devais venir voir si les indices quils avaient pouvaient venir de toi.
Je les ai suivis sans crainte, des policiers tu comprends, dont Hamed qui me rassurait.
Ils mont conduit dans une maison qui semblait être celle de ce fumier.
Quil me détache je vais le massacrer.
- Nouzha reste calme, tu ignores de quoi ils sont capables, ils risquent de tenvoyer sur un chantier.
- Tu veux que je reste calme, ils mont baisé tous les deux, de vrais porcs.
- Dis, étais-tu vierge en arrivant en France ?
- Bien sûr, quest-ce que tu crois, jai toujours respecté notre père sauf que je me voyais mal mariée à mon âge.
Magda semble simpatienter et regarde Jean-Pierre.
- Elles vont nous amuser longtemps.
Jouvre dans une demi-heure et les filles doivent se préparer, cest samedi on fait toujours le plein.
Jean-Pierre savance et enlève les menottes à ma sur.
Elle a dit quelle sauterait à la gorge de linspecteur ripou.
Elle le fait avant que je puisse la retenir.
Ses ongles partent de dessous lil et labourent toute la joue.
Magda, plus prompte que les autres me montrant pourquoi cest elle qui nous garde, bondit sur Nouzha, lui faisant une clef de bras.
- Remets-lui les bracelets.
Je devais envoyer deux filles sur le nouveau chantier demain matin.
Emmène celle-là dans ta camionnette et reviens chercher sa sur avec dautres menottes.
Cest toi qui vas les emmener à labattage ça va calmer cette petite pétasse.
Labattage, le mot est lâché, entre filles ce que lon nous fait subir sur les chantiers, sapparente à ces pratiques dun autre âge.
Cest ainsi que quelques minutes après nous roulons pour une destination inconnue.
- Où nous emmène-t-on Radia ?
- Tu as le temps de le voir, je tavais dit de rester calme, que crois-tu, je les connais bien depuis que je suis entre leurs mains.
Il faut toujours éviter de les énerver.
Crois-tu que toutes les filles acceptent de se prosti pour les beaux yeux de ces salopards ?
Le parcours est long et, assises les fesses sur la ferraille, nous entendons la musique que le ripou a démarrée.
Et nous finissons par nous arrêter, entre des cabanes de chantier.
Porte ouverte, ils sont deux en plus de Jean-Pierre à nous extraire et nous conduire sur des lits en fer dans un bungalow.
Nous sommes enfermées, Nouzha vient dans mes bras.
- Que va-t-on faire Radia ?
- Subirent tous les hommes seuls qui travaillent ici dont certains sont du pays.
- Es-tu déjà venue sur un chantier ?
- Oui, une fois, méfie-toi sil y a des Marocains, ce sont certaines fois des gars de leur bande comme Hamed.
Surtout aucune demande daide, nous risquerions de rester un ou deux jours de plus.
- Comment le sais-tu ?
- Cest arrivé à Olga, la grande fille qui était avec nous quand tu es rentrée dans notre chambrée.
- Jétais trop en colère, cest toi que je voyais et ce pourri à qui jai loupé les yeux.
- Un ouvrier polonais est venu la baiser, elle lui a parlé dans sa langue, elle sest fait tabasser et est restée une semaine avant de nous revenir dans un état lamentable.
Pourtant elle est la plus forte de toutes les filles qui travaillent chez Magda.
- Que dois-je faire ?
- Allonge-toi et écarte tes cuisses le reste cest comme avec linspecteur et Hamed, tu subis.
Après chaque gars, les serviettes sur le côté te permettant de tessuyer la chatte en attendant le suivant.
- Cest immonde.
- Cest ça labattage.
Dis-toi chaque fois quun pauvre type te saute, cest aussi une victime de cette société où nous avons atterri pour fuir un mari bien plus vieux que nous.
Il a quitté sa famille fuyant la misère.
Pendant des mois les femmes il doit les oublier.
Nous sommes là pour les calmer.
La porte souvre, inutile pour nous de choisir qui vient en nous, le mien est très vieux, il a des poils blancs, il faut que je le masturbe pour quil bande pendant de longues minutes.
De son côté, comme je suis placée je vois Nouzha prise par un homme très balaise qui la prend en levrette avant de décharger.
À la porte un de nos bourreaux regarde sa montre.
- Suivants.
Je pense que chacun a une demi-heure pour tirer son coup.
Mon pauvre vieux reste en plan, sans avoir déchargé.
Sur son lit, lhomme qui baisait ma sur se retire, je vois du sperme couler, il lui a rempli la chatte.
- Essuie-toi soeurette.
Elle le fait, un deuxième homme pour moi sapproche, me relève les jambes et mencule.
Il bandait en arrivant sachant ce quil me ferait.
La première fois où je suis venue sur un chantier, je me suis fait sodomiser deux ou trois fois.
Au bordel, cest fréquent, Magda est très stricte si on refuse, bien des hommes fantasment sur la sodomie leur femme leur refusant ce plaisir.
Je dois reconnaître que certains soirs, jaime que lon me prenne ainsi.
Olga de son côté adore me faire une langue dans mon anus avant de remonter jusquà mon clitoris.
Chaque fois sous ses cunnilingus, je jouis.
Nous sommes prisonnières, mais ces moments ensemble sont des havres de paix pour nous.
Jespère que Nouzha aura son Olga, pour lui procurer ses plaisirs, peut-être Dalia.
Mon cerveau sévade pendant que les pénétrations se succèdent au rythme des :
- Au suivant.
- Au suivant.
- Au suivant.
Quand ces deux mots sarrêtent dêtre prononcés, jignore combien de fois lhomme les a prononcés.
Ce que je sais cest que je voudrais rejoindre ma sur, mais impossible de bouger, je suis cassée, mes yeux se ferment, je pense que je dors
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