Saisir Sa Chance

Ma voiture était au bout du rouleau. Je n'y connais pas grand-chose en mécanique, je ne pouvais pas l'entretenir moi-même, et chaque passage chez le mécano me coûtait la peau des fesses. J'avais besoin d'une nouvelle voiture.
J'avais aussi besoin de plein d'autres choses, mais l'état de mes finances m'interdisait de m'écarter du droit chemin avec le loyer, la nourriture, les vêtements, l'électricité, tout ça, tout ça ...
Secrétaire médicale dans un cabinet de médecin avec un revenu modeste, l'envie de m'acheter une voiture décente me sabordait.
Il devenait urgent de réfléchir afin d'élaborer un plan. Un meilleur salaire? La dernière fois que j'ai tenté … mon dieu, ce regard!
La prostitution? Pas assez jolie et pas assez salope! Je veux bien le fric, mais pas tout ce que cela impose!
La seule chose que j'ai trouvé, c'était de prendre une colocataire. En partageant l'appartement, je pourrais partager une partie des frais. Si je me débrouille bien, je pourrais peut-être économiser entre 200 et 300 euros par mois.
Et je pourrais peut-être en mettre une partie dans un crédit auto.
J'ai mis une annonce sur le tableau d'affichage dans le supermarché de mon quartier.
Le téléphone a sonné à l'heure du dîner le soir même.
La voix était chaude, grave, masculine … Une voix qui me faisait frissonner les ovaires, mais à aucun moment je n'avais envisagé l'éventualité de partager mon appartement avec un homme.
Mon appartement était trop petit, deux chambres avec une seule salle de bains et les WC dans la même pièce.
Partager mon intimité avec un homme, la promiscuité, sans parler de mon fiancé, Marc.
Le mariage était prévu pour le printemps prochain et je ne pouvais pas demander à Marc d'accepter que je partage mon appartement avec un type.
Le mec s'est présenté en disant s'appeler Joseph, employé à diverses tâches dans une régie immobilière.
En fait, il connaissait mon immeuble puisqu'il avait travaillé ici à plusieurs reprises.


Il a dit qu'il venait juste de se séparer de sa femme et qu'il cherchait désespérément un endroit où se poser.
Joseph avait l'air si pathétiquement déprimé que je l'ai bêtement invité à venir voir mon appartement.
Et cette voix chaude m'intriguait, je voulais voir le mec qui possédait un tel organe. Je fantasmais déjà quand il a sonné à ma porte. Quelle surprise, il était noir! Et alors, noir de chez noir! Aussi noir que l'as de pique! Il n'était pas très grand, juste un peu plus que moi, mais large d'épaules. Monsieur Muscles! Crâne rasé, il se tenait raide dans ses beaux habits pour faire bonne impression.
J'ai invité Joseph à entrer pour lui montrer l'appartement. Ayant travaillé dans l'immeuble, il connaissait bien la disposition.
Mon appartement à deux chambres, j'utilisais la seconde comme espace de rangement.
Joseph est arrivé à me persuader en quelques minutes d'accepter sa candidature.
J'aurais dû demander des références et les vérifier, mais il était si charmant que j'ai dit oui sans réfléchir.
Joseph est reparti, et en moins d'une heure, il était de retour avec ses affaires. J'avais un colocataire!
J'ai aidé Joseph à débarrasser mes affaires pour qu'il puisse s'approprier la pièce.
"Où allez-vous dormir?" J'ai demandé.
"Par-terre, je vais mettre une couverture sur le sol, j'aurais un lit demain."
Je lui ai offert le canapé dans le séjour pour cette première nuit.
Nous avons discuté jusqu'à tard dans la nuit, ce garçon était très sympathique.
Lorsque mon radio-réveil m'a tirée d'un sommeil profond à 7H précises, j'étais comme un zombie.
Le cerveau vide, hallucinée, j'ai enchaîné machinalement les gestes du quotidien.
Totalement nue, je me dirigeais vers la salle de bains pour mes ablutions quotidiennes, lorsque je me suis retrouvée face à Joseph, souriant, en caleçon.
"Oh, merde!" j'ai dis en essayant de couvrir l'essentiel avec mes mains.
"Ce n'est pas grave, si nous sommes colocataires, je vais devoir m'habi?" il se marrait.

Au vu du paquet de noisettes qui déformait le devant de son caleçon, moi aussi il va falloir que je m'habitue!
Je me suis précipitée dans la salle de bain pour reprendre mes esprits.
Après avoir fini ma toilette matinale, je me couvrais d'un vieux peignoir et je me précipitais dans ma chambre pour terminer mes préparatifs matinaux, brossage des cheveux, épandage de crème sur le corps pour rester jeune et belle, et la touche finale, le maquillage.
En fait, cette rencontre accidentelle où Joseph m'avait vue nue était une sorte de manière de briser la glace.
Quand un homme vous a vu entièrement nue, on a beaucoup moins de choses à cacher.
Cela élimine beaucoup beaucoup de pudeur et de retenue.
Je me sentais vraiment plus à l'aise avec lui maintenant que je n'avais plus rien à cacher.
Bizarrement, c'était différent de mon fiancé, Marc. Il avait fallut qu'il me voit entièrement nue plusieurs fois avant que je me sente détendue devant son regard. En fait ce n'était pas le même genre de regard. Avec Marc, c'était un regard concupiscent.
Il me convoitait, me désirait. Il avait un regard affamé. L'éclat de rire de Joseph ne m'a pas mise mal à l'aise, bien au contraire.
Mais je doutais que Marc partage mon point de vue sur la franche rigolade que j'avais partagée avec Joseph quand je lui ai dévoilé mon corps!
Je ne suis pas "Miss France", mais quand même! Même si je n'ai pas un corps d'athlète ni de mannequin, beaucoup de garçons ont essayés de m'attirer dans leurs filets. Mes seins ne tombent pas encore, mes hanches pleines et mes rondeurs invitent au câlin.
Je suis construite pour le confort, pas pour la vitesse ou la performance.
J’ai cru entendre fureter devant la porte de ma chambre entrebâillée. Je me suis levée et, debout face à la porte, je me suis glissée dans ma culotte, puis dans ma brassière, en me tortillant exagérément pour ajuster mes sous-vêtements.
Ensuite, j'ai enfilé ma blouse de polyester blanche et j'ai remonté la fermeture à glissière en pensant:
"Fini la rigolade, faut aller bosser!"
"Je rentrerai ce soir vers 17H30!" J'ai précisé à Joseph en partant.
Je lui ai laissé un jeu de clés pour qu'il puisse aller et venir.
Souvent pendant la journée, j'ai repensé à Joseph et à notre rencontre dans le couloir.
Joseph m'avait vu complètement nue, cela n'avait pas eu l'air de l'embarrasser et cela ne m'avait pas gênée, une sorte de complicité était née de manière instantanée.
Cinq minutes avant l'heure, je me suis enfuie pour rentrer à la maison un peu plus tôt, brûlante d'anticipation et de désir de me retrouver seule avec mon nouveau colocataire. C'était excitant de trouver quelqu'un en rentrant chez soi.
Je l'ai appelé sur son téléphone portable, pour lui demander si il avait envie d'une pizza, et il m'a répondu que j'étais géniale!
Joseph s'était bien occupé pendant mon absence. L'appartement était propre et rangé. Il y avait longtemps qu'il n'avait pas été aussi coquet. La vaisselle rangée, les meubles lustrés, les tapis aspirés, même ma chambre était nickel, mon lit était fait et mon linge sale dans la panière à linge. J'ai été impressionnée par son travail. Nous avons partagé la pizza avec un fond de vin rouge.
J'étais de très bonne humeur lorsque Joseph m'a suggéré de me détendre dans un bon bain chaud.
Il a mis un CD de jazz dans le lecteur pendant qu'il me préparait le bain. Jamais Marc ne m'avait autant chouchoutée.
Quand je suis allée le rejoindre dans la salle de bain, j'ai été agréablement surprise.
La baignoire était pleine de bain moussant parfumé et il avait allumé des bougies autour de la baignoire.
Un de mes négligés sexy était accroché au portemanteau. J'ai compris qu'il avait eu le temps de fouiller dans mes affaires.
"Appelez-moi quand vous serez prête, je viendrai vous frotter le dos!" me dit Joseph en sortant de la salle de bain.
J'ai ôté mes vêtements et je me suis coulée dans l'eau relaxante.
Joseph avait laissé la porte de la salle de bain entr'ouverte en partant.
Je l'ai appelé.
Quand il vint, j'étais entièrement dissimulée sous les bulles.
Il s'est saisi du gant de crin et m'a demandé de décoller le dos.
J'ai replié les jambes et j'ai plaqué mes seins contre mes genoux, mes bras enserrant mes jambes, pour qu'il n'ait pas accès à la face avant. Seules les épaules et la tête dépassaient des bulles.
Jamais personne ne m'a baignée depuis mon enfance. La main ferme de Joseph décrivait des cercles sur mon dos et mes épaules. Quand il est descendu en-dessous des reins, je me suis crispée mais il n'a pas insisté. Quand il a voulu faire les épaules et les bras, je me suis détendue et j'ai posé la tête en arrière sur le rebord de la baignoire.
J'ai fermé les yeux et je l'ai laissé me masser, confiante et apaisée, appréciant le massage revigorant.
Allongée sur le dos, la main de Joseph s'est déplacée sur moi et son attention s'est fixée sur mes seins.
J'étais heureuse tandis qu'il cajolait doucement mes seins aux tétons si sensibles que je les sentais s'ériger.
"Joseph, je pense qu'il vaudrait mieux vous arrêter, maintenant!" J'ai aussitôt regretté mes paroles. Il m'a obéi et s'est redressé.
"Dois-je attendre que vous ayez fini pour vous essuyer?"
Je l'ai regardé dans les yeux, incrédule devant tant de prévenance: "Oui, merci, Joseph"
Je me levais ruisselante de mousse, révélant ma nudité. Joseph me tint la main pour que je sorte avec précaution de la baignoire.
Il a enroulé la grande serviette éponge blanche autour de moi et commence à me sécher en frottant énergiquement.
Mes seins ont eu droit à un traitement spécial, ses mains les ont englobés et malaxés délicatement.
Ensuite mon ventre, puis il est descendu jusqu'à mon entrejambe. Je tenais à peine debout, mon ventre tremblait de convoitise, j'ai écarté un peu plus les jambes pour que sa main puisse passer sans gêne.
Écartant la serviette, j'ai senti ses doigts nus repousser mes grandes lèvres pour se glisser dans ma fente.
Prise de vertige, je me suis agrippée à son bras musclé et j'ai posé mon front contre son épaule, haletante et frissonnante de désir. Sans réfléchir, j'ai plié un peu mes genoux, ouvrant les cuisses, permettant à Joseph d'avoir accès à mes parties intimes.
Quand il s'est emparé de mon clitoris, mes jambes m'ont lâchée et je serais tombée s'il ne m'avait pas soutenu.
C'est à ce moment-là que j'ai décidé de baiser mon colocataire.
Délaissant le déshabillé sexy qu'il me tendait, je l'ai attrapé par le bras pour l'entraîner jusqu'à ma chambre.
Il y a deux jours, je ne connaissais même pas ce mec, maintenant je voulais qu'il me baise!
"Viens par ici, toi!" Ce n'était pas une invitation, c'était un ordre!
Je me suis assise sur le bord de mon lit et je lui ai fait signe d'approcher.
"Viens là, chéri!" Il s'est approché de moi, troublé, les bras ballants.
Audacieuse, j'ai dégrafé son ceinturon, ouvert son pantalon et je l'ai fait glisser sur ses cuisses musclées avec son caleçon.
Sa queue m'a sauté au visage, comme un ressort qu'on libère d'un coup.
C'était une belle queue. Esthétiquement parlant, j'en ai peu vu d'aussi belle. Le sexe de Joseph était d'une forme parfaite.
Le gland en forme de cœur inversé d'une belle couleur ébène violacé, le méat bien profond sur lequel brillait une goutte de liquide.
Son sexe n'était pas gigantesque, mais comme son propriétaire, épais et trapu et la tige se dressait fièrement, bien droite.
Je me suis penchée en avant pour l'embrasser avec ma bouche entr'ouverte.
Joseph grognait doucement lorsque ma bouche gourmande a absorbé son gland.
Je creusait mes joues tandis que j'aspirais profondément, créant une douce et chaude pression autour de sa queue palpitante.
Ma bouche n'était pas habituée à cet exercice et j'avais du mal à absorber un peu plus de sa tige.
Depuis des années, Marc me tannait pour que je lui suce la queue, mais j'avais toujours refusé, trouvant cette activité parfaitement répugnante. Maintenant, j'avais la bite d'un mec que je connaissais à peine, un noir, dans ma bouche, et j'adorais ça!
Incapable de faire pénétrer cette queue plus profondément dans ma bouche, je me contentais de lui sucer le gland.
Ma main droite caressait sa tige charnue, avec beaucoup de difficultés pour en faire le tour.
Ma main gauche soupesait doucement son sac de boules tout en caressant son scrotum.
Joseph grognait et gémissait pendant que ma langue chatouillait le frein si sensible chez les garçons.
Je m'appliquais autant que je pouvais, néophyte pleine de bonne volonté, désireuse de plaire au mâle viril qui me confiait ce bijou.
Je savais que mes agaceries allaient me faire remplir la bouche de sperme crémeux, mais je ne pouvais pas m'arrêter.
Ma main gauche a lâché le sac de boules pour se poser sur mon clitoris, car je savais que j'allais recevoir ma récompense.
Je turbinais mon clitoris comme un banjo lorsque le foutre de Joseph a giclé dans ma bouche.
Je pensais que Joseph se serait masturbé, après m'avoir vu nue, et qu'il n'avait plus son stock complet, mais j'avais tort.
Son premier jet a rempli ma bouche comme un torrent de sperme visqueux. J'essayais de tenir la cadence, mais gerbe après gerbe, de puissantes charges épaisses de foutre envahissaient ma bouche avant que je puisse tout avaler.
J'étais au bord de l' lorsque sa souille a trouvé son chemin dans ma gorge.
Une épaisse mousse blanche visqueuse commençait à couler dans mon gosier pour me remplir le ventre.
Je retirais ma bouche pour attr sa dernière giclée en plein dans mon œil gauche.
La crème nourricière de Joseph a lentement glissé dans mon tube digestif pendant que je léchais sa bite, m'acharnant à la laisser propre.
"Où as-tu appris à sucer la bite comme ça, chérie?" Il m'a demandé.
Si seulement il savait, c'était la première fois qu'une bite pénétrait dans ma bouche.
"Maintenant, fais-moi l'amour, Joseph!" J'ai effrontément réclamé.
J'ai vu les yeux de Joseph s'illuminer: "Laisse-moi une minute, pour reprendre mes forces!" il me souriait.
À quoi pensais-je? Il venait de se vider les couilles dans ma bouche, et tout de suite je lui demandais de me remplir la chatte!
Je crois que le risque d'insémination par ce taureau noir a rendu la chose plus excitante pour moi.
Le pauvre Marc était d'une banalité! J'avais besoin d'exotisme pour pimenter ma vie sexuelle.
Avec Marc, j'utilisais un diaphragme pour me protéger de la conception et si je ne le mettais pas en place avant de baiser, je serais fécondable. Il se trouvait dans le tiroir de la table de chevet, juste à côté de mon lit.
Nous nous blottissons l'un contre l'autre, nus dans mon lit. Ma main caressait la bite de Joseph pour la ramener à la vie.
Je pouvais le sentir gonfler et se tendre et je savais qu'elle serait bientôt en moi.
Joseph avait mis deux doigts dans ma chatte et jouait sa partition, qu'il connaissait sur le bout des doigts.
Je n'avais ni le temps ni l'envie d'interrompre la montée de mon désir pour une impudique histoire de diaphragme.
Je me suis roulée sur le dos en écartant les jambes et j'ai attiré Joseph sur moi.
"Viens, chéri, baise-moi, maintenant!" Gémissante, j'ai regardé le mâle s'insérer en moi.
Je retenais mon souffle en sentant l'énorme gland forcer mon ouverture.
Il entra lentement dans mon vagin, son membre glissant doucement dans le conduit lubrifié par ma passion.
Je gémissais en le sentant me remplir toute.
Une sensation incroyable, sa viande noire écartait mes chairs jusqu'au fond de ma vulve qu'il heurtait doucement.
Il me baisait à la paresseuse, de longs coups lents qui pénétraient jusqu'au fond de mon ventre, une petite pause puis il ressortait, presque totalement, et il revenait se blottir au creux de moi.
Les yeux fermés, j'ai replié un peu plus mes jambes, pour qu'il me pénètre parfaitement et pour mieux ressentir le contact de sa peau sur la mienne.
Je respirais plus difficilement maintenant, geignante et gémissante, poussant le petits cris lorsque le bout de sa bite heurtait le fond de ma chatte, accrochée à ses épaules, avec les orteils qui commençaient à se crisper en ressentant l'inexorable montée du plaisir.
Brièvement, pour me calmer, j'ai pensé à Marc à qui j'avais refusé tout ce que j'avais accordé à Joseph, heureuse de lui offrir mes trésors. La bite de Joseph déclenchait des sensations inconnues en moi, étirant mon fourreau sensible à sa présence.
Mes muscles pelviens serrèrent sa viande et mes jambes se refermèrent d'elles-même autour de lui.
Très vite, j'oubliais Marc et j'accordais les oscillations de mon bassin au rythme de cette queue qui coulissait en moi.
Ensemble, progressivement, nous avons accéléré la cadence et le niveau sonore de nos souffles et de nos cris.
Ses coups étaient longs et puissants.
Chaque poussée de son membre envoyait des myriades de sensations dans mon système nerveux.
Ma chatte s'est mise à couler comme une rivière sans que je puisse l'empêcher.
Bientôt, sa bite émettait des bruits de compression tandis qu’elle s'enfonçait dans ma caverne de plus en plus mouillée.
Je subissais sa charge en l'encourageant, utilisant des mots crus, m'avilissant, le suppliant de baiser la salope que j'étais.
Il m'a baisée longtemps, me faisant jouir plusieurs fois, dans un crescendo de cris et de sensations.
Quand il est venu en moi, j'ai cru mourir tellement l'émotion était forte et j'ai hurlé mon bonheur de femelle prise par un mâle supérieur. Nous avons baisé comme des amants emportés par la luxure.
Ébène et ivoire se sont mélangés dans cette danse antique de l'amour.
Joseph me procurait tellement de sensations, je me sentais si bien quand il était en moi, le pauvre Marc n'était pas de taille.
Ensuite .. ensuite, ce mec était extraordinaire. Après avoir joui deux fois, d'abord dans ma bouche, puis dans mon ventre, il a continué. Après un temps de douceur utilisé à me faire des câlins et des bisous, je l'ai senti se raffermir en moi.
Ses baisers sont devenus plus impérieux, ses caresses sont devenues plus précises, et il a recommencé, lentement, profondément, à aller et venir en moi.
En même temps, Joseph a glissé ses mains sous mes fesses pour s'agripper à mon cul. Et bientôt, ses doigts lubrifiés par nos jus mélangés qui s'échappaient de ma chatte lui ont permis de s'insérer dans mon étroit conduit. D'abord un doigt, puis deux, lentement, patiemment, il a préparé mon anus vierge pour sa bite de cheval.
Bien sûr, quand j'ai compris son désir, j'ai été effrayée par l'épaisseur de son gland, pensant qu'il allait me déchirer en deux.
Il m'a apaisée avec sa bouche gourmande qui dévorait la mienne, avec sa bite de concours qui me rendait folle, et j'ai accepté, docile et amoureuse, de me mettre à quatre pattes devant lui pour lui offrir ma virginité anale.
J'ai toujours eu de la difficulté avec le sexe anal par peur d'avoir mal, et parce que je trouvais cela sale et dégradant.
Mais, amoureuse de mon amant noir, confiante en ses capacités et rassurée par son calme et sa maîtrise, je me suis soumise à sa volonté, offrant mon cul à sa faim de sexe anal.
Bien sûr, au début, il y a eu la douleur, mais Joseph a parfaitement maîtrisé cet instant difficile, patiemment, s'arrêtant à chaque étape de la pénétration pour m'accoutumer à ce barreau qui étirait mes chairs.
Une main sur ma chatte me maintenait en état d'éveil sexuel, l'autre main sur mon mamelon jouait avec mon téton.
Assaillie de sensations multiples, avide de découverte, c'est moi qui me suis empalée sur cette bite qui envahissait mes entrailles.
Bientôt, la houle qui s'est emparée de mes hanches a obligé mon amant noir à s'accrocher à mes flancs pour ne pas être désarçonné.
Mes ruades furieuses ne lui ont pas permis de dompter sa pouliche à la première monte, et c'est au milieu des cris et des lamentations que la bite de Joseph a commencé à gicler en moi, sa crème épaisse apaisant mes chairs martyrisées.
Mon univers s'est transformé en une orbite magique de ciels kaléidoscopiques aux couleurs éblouissantes alors qu'un million de volts d'énergie sexuelle traversait mon corps. Je restais là, repue et épuisée, à plat ventre sur mon lit avec mon amant noir qui me murmurait des mots d'amour. La lave de Joseph a éteint mon éruption volcanique. Je me suis tortillée sous lui comme une biche blessée pour lui faire face et nous avons échangé un long baiser passionné, un baiser d'amour.
Depuis, Joseph et moi ne sommes plus des colocataires. Nous vivons maintenant en couple, amants et amoureux.
Mon ancien fiancé Marc est parti au loin, et j'attends mon premier bébé métis.

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