Black Is Beautiful (6) Black In France
Voici le récit de mes aventures avec 3 Africaines en France connues chastement en Afrique. Tout dabord Odette (prénom changé). Je lai connue en Afrique, nous avons travaillé ensemble deux ou trois ans avant quelle sen aille en France. Elle na pas le charme, ni la séduction des précédentes, est-ce pour cela que je navais pas entrepris de drague avec elle ? Lors dun congé, je lai retrouvée en France, nous avons passé un après-midi touristique comme deux amis, heureux de se retrouver, le soir venu après un repas au restau, nous sommes allés au cinéma et là dans la pénombre de la salle, jai senti une main se poser sur ma cuisse. La laissant faire, elle est remontée insensiblement vers le siège de mon plaisir. Une caresse enveloppante sur mon pantalon, mon engin, nest pas resté indifférent à cette approche sensuelle et sest vite trouvé à létroit. Je lai libéré et la main exploratrice la saisi pour un long massage fort agréable. Je me suis penché vers Odette à la recherche de ses lèvres pulpeuses, tandis que ma main partait à la découverte de son intimité. Mais elle a retenue mon geste me disant quelle a eu ses règles. Jai donc laissé triturer mon sexe pendant toute la projection du film, les yeux fermés pour goûter aux zones sensibles excitées de ma queue en érection. Je veillais toute fois à ne pas jouir et à garder ma semence pour un éventuel futur prometteur. La séance de massage et cinématographique terminée nous nous sommes rendus au lieu dhébergement, et dans le noir, jai rejoint sa chambre. Jai mis à terre le matelas pour éviter que le lit, par ses grincements, ne trahisse une activité devant rester secrète.
Rapidement, je me suis mis à nu, pendant quelle se dévêtait. Heureusement, elle était au terme de ses règles, sa serviette hygiénique ne révélant plus de trace, jallais pouvoir plonger ma verge dans son intimité en toute tranquillité. Je me suis donné à fond, elle était réceptive et active, je sentais quelle prenait un plaisir intense dans cet échange de nos fluides amoureux.
Nous devions nous rendre dans ma famille ; en cours de route, elle ma dit quelle regrettait de ne mavoir pas vu un mois plus tôt car à ce moment là, elle était encore vierge. Lâge avançant, elle a craint que son hymen soit plus difficile à déflorer. Elle est donc allée voir son gynécologue pour lui partager ses peurs et lui demander de lui ôter sa virginité. Celui-ci a chaussé un préservatif et la pénétrée, elle a trouvé cet acte médical douloureux. Moi, javoue que je navais aucune envie de lui prendre sa petite fleur, préférant profiter un maximum de son vagin ouvert pour une copulation tout en plaisir et sans douleur. Ainsi elle a pu me donner tout la jouissance dont elle a rêvé et jai pu goûter sans limite cette étreinte amoureuse.
Dans ma famille, nulle question de parler de nos exploits sexuels passés ou futurs. Une chance, la maison de vacances familiale est à la campagne, nous en avons profiter pour une petite escapade et dans le fourré dun petit bois tout proche, nous avons remis le couvert. Je me suis assis sur un tronc, la bite à lair, après avoir ôté sa culotte, Odette est venue sempaler sur mon pic fièrement dressé. En pleine nature nous avons joué la parade nuptiale avant un orgasme campagnard de première. Puis, nous avons repris tranquillement notre ballade pour effacer cette petite folie bucolique et revenir auprès des miens comme deux amis ayant devisé tranquillement en chemin.
Jai eu loccasion de la voir à nouveau, nous nous donnions rendez-vous dans des hôtels de gare pour des ébats intenses sachant quils nous étaient comptés. Une amie à elle, nous a prêté son appartement, nous pouvions alors passer de longs moments ensembles, cétait lété, nous vivions nus, jaimais contempler son corps tandis quelle sadonnait aux travaux ménagers. Elle nest pas noire - noire comme dirait Murielle Robin, non, elle est teint clair (ainsi définie sur sa carte didentité).
Elle ma dit quelle était allée voir son gynécologue pour obtenir la pilule contraceptive. Nous pouvions, sans crainte faire lamour (Sans doute, nos deux premiers coïts menés à terme lont-elle inquiétée). Nous étions daccord que nos ébats nouvraient pas la perspective dune vie commune. Cétait pour elle un entraînement en attendant de trouver un mari. Ce qui est fait, elle a trouvé un français et lui a donné un .
La deuxième, Éliane, la Peule, je lai connue chez son mari en Afrique. Ils ont ensuite déménagé en France, et jai eu loccasion de la voir seule, ils avaient un petit appart à Paris, son mari étant resté à la maison familiale. Nous avons commencé des sorties nocturnes en tout bien tout honneur. Je navais nul intention de draguer une femme mariée. Mais voilà, au cours dune sortie cinéma, le film un peu violent a précipité Eliane contre moi. Et moi,(émoi) mâle, je lai accueillie sur mon sein protecteur, une douce chaleur m'envahit. Mes lèvres se sont posées sur sa tête crépue, jaime les femmes au naturel sans chevelure défrisée. Ce nest pas allé plus loin, mais au sortir de la salle, je lui ai tendu mes lèvres quelle a saisi aussitôt, ce qui voulait être un chaste baiser, sest transformé en un échange gourmand de nos langues et de nos fluides. En prenant sa respiration, elle ma dit : « Enfin, depuis le temps que jattendais cet instant ! » Moi, tout surpris et un peu pataud, je navais pas compris que depuis notre rencontre, elle me lançait des signaux pour que je la prenne sans retenue.
Serrés lun contre lautre nous avons poursuivi notre marche jusquà son appartement pour enfin exprimer pleinement les sentiments que nous avions lun envers lautre. La porte à peine fermée, nous nous sommes déshabillé gardant, le plus possible, nos lèvres collées lune à lautre dans un long baisé langoureux. Précédemment, javais déjà fait allusion à cette Peule qui navait pas la finesse des traits de ma gazelle. De plus, étant maman, sa poitrine ne pointait plus aussi fièrement mais cétait une baiseuse hors paire et super active à la recherche de toutes les positions du kama Soutra, elle men a appris un rayon sans doute sétait-elle bien entraînée avec son mari. Me voilà commettant ladultère avec passion, sans penser au mari cocu. Mais je crois que cétait un couple assez libre car elle ma raconté quils ont fait des parties à trois, elle offrait à son cher époux de belles blacks. Mais, nous navons jamais évoqué notre aventure avec lui dautant quon sétait servi sans sa permission.
Chaque occasion était bonne pour une baise intense. Mais le souvenir le plus fort qui me reste avec elle, en dehors de nos gymnastiques sexuelles, cest lors dune visite chez eux. De passage, javais demandé lhospitalité dune nuit sans imaginer quelle nuit elle allait moffrir. Sagement, la soirée achevée, je me suis retiré dans la chambre dhôte et me suis endormi. Au milieu de la nuit, je ne puis dire lheure, jai senti un corps nu se plaquer contre moi, jai compris que laudacieuse avait quitté le lit conjugal pour rejoindre son amant. Elle mannonce tout de go quelle vient de faire lamour avec son époux et quil sest endormi, son vagin tout humide du sperme de celui-ci. Elle tenait une petite serviette entre ses cuisses pour ne pas laisser de traces dans son déplacement adultérin. Et jai donc plongé ma queue dans son sexe encore tout frétillant et chargé de semence. Elle na pas voulu que je porte ma bouche à son con pour que je puisse goûter à la sève de son mari, je ne lui ai pas dit que je tétait des queues pour mabreuver.
La troisième black enfin, connue elle aussi en Afrique, à lépoque elle était fine presque maigre, grande et élancée. Comme elle avait une sans compagnon, je nai pas chercher à lapprocher. Elle, non plus, je ne lai pas calculée alors quelle était une fort belle jeune maman. La présence de sa fille sans doute étant une barrière naturelle à tout approche sexuelle sans visée de vie à commune. Je lai retrouvé en France, à loccasion de sessions de formation. Un dimanche, je lui ai proposé de visiter la région où javais passé mon enfance. Temps ensoleillé, nous avons sillonné les chemins, lun près de lautre. Plusieurs fois, jai eu à lui prendre la main pour lui éviter une chute, ses chaussures nétant pas adaptées à une telle ballade. Finalement, pour plus de sureté, elle a pris mon bras et tel un joli couple (en tout innocence) nous avons poursuivi notre promenade campagnarde.
Cest à la nuit tombante que nous avons rejoint la voiture devant nous ramener à notre Centre de formation où nous logions. Il faisait maintenant nuit noire, et tout en conduisant, jai senti une main se poser sur mon genou. Je lai accueillie sans réagir poursuivant ma route, attentif à ma conduite. Mais imperceptiblement, je me suis rendu compte que cette main posée innocemment sur mon genou, se trouvait déjà à mi-cuisse, étrange. Au fur et à mesure que nous nous approchions de notre point de chute, la main progressait si lentement, quil fallait toute mon attention pour réaliser le but final de sa translation. Nous étions à lentrée de la ville, sa main toujours posée sur ma cuisse, mais son petit doigt se détachait pour titiller une bosse naissante, située entre mes jambes et qui commençait à se sentir à létroit. Aussi, tenant le volant dune main, jai dégagée ma queue tendue vers ces caresses si discrètes. Jai eu droit à une prise en main totale de ma verge toute heureuse des attentions qui lui étaient prodiguées. Malheureusement, nous étions déjà arrivés à bon port, à mon goût un peu trop rapidement car cette approche tout en finesse et subtilité a été un vrai délice ; heureusement, quelle promettait une suite plus intense et plus profonde. Je lai accompagnée nuitamment, sans éclairer les couloirs jusquà sa chambre et je lui ai dit dentrer seule et de tirer les rideaux. Je lai rejoins, quelle fougue, nous nous sommes retrouvés nus dun coup. Jenvisageais de longues caresses avant denfiler ma queue dans son intimité mais, elle, avide de sexe sest jetée sur lui et la englouti, jétais assis sur le lit, cest elle qui a mené la danse comme si son vagin avait été privé depuis de long mois de verges actives. Nous avons fait lamour trois fois, je crois, avec une pause intime. Puis, totalement épuisé, je lai laissée à ses rêves nourris de nos ébats pour rejoindre ma chambre.
Avec elle aussi, les hôtels nous ont servi de lieu de rendez-vous. Ce que jaimais, cest quelle mattendait nue quand jarrivais dans la chambre après une journée de labeurs loin delle. Je pouvais jouir en elle sans crainte, elle prenait la pilule.
Un soir, où il nétait pas possible de nous retrouver dans une même chambre, nous sommes allés dans un parc nuitamment et je lai prise par derrière et me suis introduit dans son con pas dans son cul, (je nai sodomisé aucune de mes conquêtes féminines). Jai ensemencé le sol de mon sperme car elle navait pu prendre sa pilule. Repassant une quinzaine de jours plus tard sur le lieu de nos ébats debout, une plante avait fleuri, je lai cueillie et séchée en souvenir de notre amour. Elle est retournée en Afrique, et là, lors dun de mes voyages, nous avons pu faire lamour une dernière fois dans sa voiture car elle sétait mise en couple.
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