La Soubrette
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
La semaine qui suivit ma visite au club hippique, javais promis à Marielle de passer chez elle dans laprès-midi afin de lui remettre ses affaires. Le matin au bureau, je faisais passer les entretiens individuels dévaluation à mes collaborateurs, dont certains faisaient lobjet de plan damélioration, leur performance nétant absolument pas au rendez-vous. Jétais particulièrement attentive à un jeune commercial dont le CV mavait été poussé par Robert qui connaissait sa famille, concessionnaires automobiles dans la région à qui javais acheté ma fiat, et dont le patron avait participé aux enchères. Je me montrais dune grande rigueur et un peu dure voir même hautaine avec lui connaissant son caractère dilettante. Ce qui pouvait passer pour de larrogance de ma part nétait que de lexigence, et je dois avouer que je préférais mettre des distances avec mes collaborateurs, surtout connaissant les attirances et perversions du cousin. Nos affaires prospéraient et je ne pouvais pas me permettre en tant que femme du PDG de montrer une quelconque familiarité. Lhomme était dailleurs très dragueur et depuis son arrivée dans la société narrêtait pas de faire des remarques déplacées et des blagues inconvenantes sur les femmes. Javais décidé de le remettre à sa place, ce quil nappréciait absolument pas. Une fois les entretiens terminés, je déjeunais avec notre directeur commercial, quand par le plus grand des hasards, je tombais sur Sébastien mon neveu avec qui jéchangeais des politesses dusage. Après le déjeuner je pris ma fiat pour me rendre chez Marielle, quand je reçus le SMS de Sébastien. « Ma Chère Tata, tu étais absolument magnifique dans ta jupe écossaise bleu aujourdhui, pourrais ton déjeuner ensemble ?? Je meurs denvie de te revoir
». Je lui répondais, « pourquoi pas, mais quil fallait quil me garantisse de se tenir bien sage
». Je ne souhaitais pas recommencer une aventure avec lui, mais le revoir mavait fait plaisir
Jarrivais chez Marielle, et sonnais à la porte, Robert mouvrit et me fit entrer, Marielle était un peu en retard.
- Installe-toi, je ten prie, ta copine ne devrait pas tarder, tu es toujours aussi élégante
Cette tenue me rappelle une belle soirée chez nous il y a quelques mois.
Je me rendais compte que jétais habillée comme lors de notre soirée de préparation de mariage qui mavait valu lexcitation de toute une bande de senior pervers et affamé. Ma longue jupe fourreau écossaise bleu et mon pull moulant me rendait très pulpeuse.
- Tu veux boire quelque chose
Un café ou autre chose, une coupe de champagne ?
- Non merci Robert, je ne reste pas longtemps, je rends les affaires à Marielle et je repars.
- Tu as le temps en plus avec Richard à létranger pour la semaine, rien ne presse
Jétais gênée, connaissant Robert, je savais quil profiterait de la première occasion pour r de moi. Je minstallais sur le canapé croisant les jambes et me tenant éloigné de Robert.
- En plus, tu arrives juste au beau moment, jétais en train de regarder une vidéo, je suis sûr que tu vas aimer
Il alluma la télé, et démarra un film, et à ma grande surprise, cétait la vidéo de la vente aux enchères du caveau, ou on pouvait me voir sur la scène, en combinaison résille et masque. Jétais abasourdie, aucun mot ne pouvait sortir de ma bouche
Quand dans une ultime tentative, je lui dis :
- Je ne pense pas que ta femme soit très heureuse de savoir que tu montres des films de cul à ses copines en son absence
- Et moi, je ne crois pas que Richard soit franchement heureux de savoir que sa femme se fait filmer habillée comme une pute en se vendant à une bande dinconnu
Quen penses-tu ? Et ne nie pas, je sais que cest toi
- Tu es odieux, comment ma copine a pu tomber amoureuse de toi
- Peut-être parce quelle est aussi perverse que moi
Et maintenant que tu es sur mon canapé, on va reprendre la discussion de la dernière fois
Et je te conseille dêtre docile
Lève-toi maintenant
Tout en maugréant, jobéissais de toute façon, je navais pas le choix
Il me retourna, me maintenant les bras dans le dos, et sortit une corde douce et solide avec laquelle il mattacha, enroulant la corde autour de mes bras croisés, et repassant la corde plusieurs fois autour de mon corps.
- Voilà enfin, ce que je voulais depuis si longtemps, quand je pense que tu tes faite fourrer par tous et que moi jau eu droit quà ta vidéo ; tu vas prendre chère ma salope.
Il ouvrit son pantalon et sortit son sexe, toujours positionné derrière moi, et le frotta sur mes fesses, le tapotant sur ma croupe
Il écarta mon tanga et me pénétra
Il saccrocha à ma jupe et commença à me pilonner comme une bête. Je sentais son sexe tout dur en moi, sûrement bourré de Viagra, ce sexagénaire bandait fort et dur. Il sappliquait à me fourrer comme une oie, quand la porte souvrit et Marielle rentra en hurlant nous voyant tous les deux sur le canapé moi en levrette et son mari en train de me saccager les fesses et le tout avec une vidéo de moi tournant en boucle.
- Non mais je rêve, quest ce que vous êtes en train de faire, je rentre 5 mins en retard et tu baises la première salope qui passe, dit-elle en hurlant
- Non ma chérie, cest elle qui ma provoqué avec sa vidéo, cest une vraie nymphomane ta copine, je nai pas pu résister
Il continuait à me buriner tout en expliquant à sa femme que sa meilleure amie était la plus grosse des cochonnes.
- Arrête de la baiser, avec un cul pareil, tu vas jouir trop vite. Mets-lui ta bite dans la bouche pendant que je vais me changer et méquiper.
Robert me laissa fesses en lair, et se positionna assis sur le canapé, menleva mon bâillon, et sans même me laisser le temps de protester menfonça son gros dard dans la bouche.
Tas entendu ta copine, suce-moi maintenant.
Jobéis comme une bonne soumise que je suis. Mon arrogance du matin laissait la place à la cochonne perverse que jétais et qui aimait se faire forcer et dominer
Je prenais sa grosse bite dans ma bouche et le suçais
Marielle réapparut
Elle était en sous-vêtement noir porte-jarretelles et escarpins mais autour de la taille avait une ceinture gode. Le gode tout noir faisait au moins 20 cm
- Je sais que tu aimes les bonnes bites de black bien grosse donc tu vas déguster ma salope, tu vas voir ce que cest de me piquer mon mec sans demander lautorisation
Elle se plaça derrière moi toujours en levrette sur laccoudoir, fesses en lair, je sentis son gode plonger en moi. Elle sagrippa à ma jupe et me pilonna comme une hystérique. Robert me maintenait par les cheveux forçant lentrée de ma bouche où je sentais son sexe aller et venir. Ils abusèrent de moi comme ça, jusquà ce que Robert se repositionne derrière pour me reprendre la croupe. Marielle me força lentrée de ma bouche avec son gode mobligeant à sucer son gode jusquà ce que Robert se libère giclant sur mon gros cul
Je le sentais gémir et grogner accrocher à mes fesses ses ongles mes marquant ma croupe juste avant de se répandre sur mon cul et ma jupe. Marielle me saisit par les cheveux
- Ce nest pas fini pour toi, on va te garder pour la soirée, tu vas être notre petite boniche, ca tombe bien on a des invités.
Elle mavait attrapé par les cheveux mattirant vers elle pour me dire tout ça, mobligeant à lui confirmer que jétais sa soumise, sa chose, son objet
- Oui, je serais docile, je suis à vous maîtresse
Votre soumise
.
Elle me roula une pelle hystérique, sa langue menvahissant toujours assise sur le canapé ficelé comme une dinde. Robert sempara de moi et me chargea sur ses épaules pour memmener dans la chambre. Il massit sur le lit à barreau et me re attacha les bras en croix au barreau de la tête de lit. Après avoir enlevé ma jupe, me laissant en bas et Tanga, il replia mes jambes pour les ficeler à mes cuisses de chaque côté. Mes chevilles solidement attachées au pied du lit afin décarter mon entre-jambe me laissait comme une femme offerte. Il ne me restait que ma pauvre culotte, et mon pull Wolford moulant qui exagérait encore plus mon corps pulpeux. Avant de sortir il me re bâillonna la bouche avec ma boule de latex et sortit me laissant seule. Jessayais pendant quelques minutes de me libérer, mais je renonçais, et massoupis. À mon réveil, il faisait sombre, javais dû dormir deux bonnes heures, quand Marielle rentra dans la chambre
Elle était toujours en sous-vêtements et dans ses mains portait 3 paquets. Elle sassit dans le lit à mes côtés et menleva mon bâillon pour membrasser tout en me gardant solidement attachée et offerte jambes et cuisses écartées. Sa langue plongea en moi. Je répondais à son baisé de façon gourmande. Jadorais quelle membrasse, elle mavait toujours excité
Nos langues sentrechoquaient, et une forte tension érotique se répandait dans la chambre. Dans sa main, elle tenait un immense vibromasseur, stimulateur massant avec en son extrémité une large tête en silicone soutenue par un bras légèrement articulé. Elle le brancha sur le secteur, et lappareil se mit à vibrer. Elle me le plaqua entre les cuisses au-dessus de mon tanga et me massa avec. Je devenais folle, attachée, immobile totalement écartelée, je jouissais sous les caresses automatiques de ma maîtresse, qui continuait à me forcer la bouche de sa langue gourmande et envahissante. Jétais à elle. Je jouis
Gémissant et me tortillant comme hystérique
Elle savait et connaissait mes penchants
Elle devenait ma dominante et moi son esclave, son jouet, son objet
Elle se releva sans rien dire, me montrant son vibromasseur, quelle se mit à lécher. Elle suçait cet immense gode qui contenait le jus de ma jouissance. Je la regardais en attente de la suite, car je savais que ma soumission ne faisait que commencer
Elle sempara du second paquet quelle brandit en face de moi comme un trophée
- Tu sais ce que cest, ma salope
Oui, je vois que tu as deviné
Cest un harnais facial bâillon avec godemiché. Tu vas mettre cela ma pute et je vais mempaler dessus, et tu as intérêt à bouger ta face de cochonne et me faire jouir si tu ne veux pas que je te donne en pâture à tous mes invités ce soir
.
Vers lintérieur, il y avait une boule quelle me rentra dans la bouche afin de me bâillonner entièrement et à lextérieur un gode dune vingtaine de cm, sur lequel elle allait sempaler. Le tout maintenu par un harnais en cuir quelle mentoura autour du visage. Toujours attachée au lit, avec le harnais sur le visage, elle se positionna au-dessus de moi fesses en lair, écarta sa culotte et sempala sur mon visage. Elle sagrippa à mes cheveux mobligeant à la baiser avec mon visage dune façon totalement bestiale. Elle jouissait sous mes coups de tête continus. Je bougeais rapidement comme un homme en train de buriner le cul dune bourgeoise en chaleur. Elle jouissait gémissant alors que jétouffais sous mon bâillon en train de baiser ma maîtresse
. Elle cessa au bout de quelques minutes, me retirant mon gode et plaçant sa chatte devant mon visage.
- Gouine ma petite boniche, fourre-moi avec ta langue
.
- Ohhhh Marielle, oui
.
- Madame Marielle !!!!! à partir de maintenant !!!!!!
Elle me tirait les cheveux sévèrement en me disant cela. Jobéissais et plongeais ma langue en elle
. Je la suçais la happais, presque meilleur quun sexe, tellement différent, moi immobile sur le lit, attaché de tous les côtés entrain de sucer ma meilleure amie
Elle jouie enfin comme une furie... Elle se releva membrassa longuement, et me tendit le dernier paquet
- Habille-toi avec ça, prépare-toi, ma belle boniche
Tu as du boulot ce soir, on a deux invités et du menage à faire
Elle me détacha, jouvris le paquet dans lequel je trouvais un déguisement
Une tenue complète de soubrette noire en latex composait dune robe à dos nu noire, dune coiffe assortie à la robe, et dune paire de jarretelles de même couleur avec un string dont la ficelle allait sûrement me rentrer dans la raie des fesses. La robe courte était ornée de dentelle blanche dun petit tablier sur le devant, le tout soutenu par un décolleté rond plongeant
Je trouvais également des bas résilles pour jarretelles, des cuissardes noires en latex également ainsi quun masque en dentelle noire de type vénitien me recouvrant une bonne partie dun visage. Pour finir une perruque sexy cheveux noirs avec un brushing sophistiqué. Avec cela, jétais censé être méconnaissable.
- Dépêche-toi, ma boniche, les invités vont arriver.
- Oui Madame Marielle, je fais au plus vite
Elle sortit me laissant seule pour me préparer
. Je revêtis le déguisement, et enfiler la perruque et le masque qui me dissimulait le visage. Je regardais le résultat dans le miroir. Marielle avait le coup dil, tout était à ma taille, et leffet final était très excitant. Ma poitrine ressortait massivement du décolleté et mes cuisses étaient mises en valeur par les cuissardes. Robert nallait pas pouvoir résister longtemps
Je sortais de la chambre et me rendais au salon, ou Marielle et Robert mattendait.
- Va te mettre près de la porte pour attendre et accueillir nos invités
Tu les débarrasseras de leurs manteaux et toccupera de lapéritif. Je ne veux pas tentendre si ce nest pour me dire « Oui Madame Marielle », tu as compris ?
- Oui Madame Marielle
Je me rendis à la porte dentrée, et attendis. 5 minutes plus tard, le carillon retentit, et jouvris
Deux hommes étaient devant la porte !!! Le concessionnaire et son cousin, mon collaborateur que javais eu en entretien le matin même
Jétais piégée !!! Ils allaient me reconnaître
Ma réputation serait détruite et les affaires de mon mari également. Jétais uniquement protégé par mon masque et ma perruque
. Après sêtre exclamé en me voyant, ils entrèrent
- Marielle, tu as un goût exquis, ta nouvelle soubrette est superbe,
- Ahhhh, je savais bien que ma nouvelle boniche allait te plaire
Plutôt bien gaulé non ?
- Hummmmm, jespère que cest une bonne soumise, ta soubrette
On peut toucher, je suppose ?
- Oui bien sûr, elle est là pour cela. Ce nest pas une première main, mais vous devriez apprécier le service.
- Oui je confirme Dit Robert Cest dans les vieux pots quon fait les meilleures purées
. Hahahahahahah
- Ouahhhh une mature en plus, tu vois cousin, tu vas pouvoir te venger de ta salope de patronne avec cette bonne mature
- -Que sest Il passé demanda Marielle à Jérôme ça ne se passe pas bien avec Patricia, tu sais que cest ma meilleure amie.
- -Cest une grosse pute arrogante et hautaine répondit le garagiste elle sacharne sur mon cousin. Je te jure que la prochaine fois quelle machète une bagnole cette salope, je vais lui faire un bon prix en liquide
En plus, je suis sûr que bonne comme elle est, cest une vraie chaudasse
Tout le monde sesclaffait, parlant de moi sans se rendre compte sous mon masque quy, jétais. Jespérais juste que Marielle et Robert gardent mon identité secrète.
- Allez prenons lapéritif
Servez-nous du champagne me demanda Marielle
- Oui Madame Marielle
Je servais le champagne à chacun des invités, qui pendant mon passage, profitèrent de mon corps
Mes fesses pour Robert, et le concessionnaire, ma bouche et ma langue pour Marielle, qui me roula une pelle devant tout le monde
Seul Jérôme ne profita pas de la situation
Métais-je trompé sur le jeune homme ? Lapéritif ce poursuivi : petits fours, tapas, verrines, Toast, champagnes, cocktails, mains sur mes fesses, blagues graveleuses,
Chaque fois que je repartais à la cuisine, Robert me suivait et je subissais une fouille en règle
- Alors comme ça, on joue les patronnes hautaines et arrogantes ma pétasse... Tu vas te faire fourrer comme une oie ma belle ce soir
On va te prendre de tous les côtés
On va tutiliser comme un vulgaire objet ma cochonne, mais dis donc cest quoi ce bordel, tu nes pas censé faire la vaisselle
On tavait prévenu
Pas derreur
Dailleurs, je vais te mettre une bonne fessée pour te motiver un peu, ça va te stimuler, tu vas voir
Il sassit sur une chaise de la cuisine, et me coucha sur ses genoux de sa main gauche, il me tenait par les cheveux et de sa droite me releva ma robe de soubrette en latex moulant, dévoilant mes fesses juste protégées par la ficelle de mon string
Docile, je me laissais faire, quand les premières claques sabattirent sur ma croupe, 1, 2 3 4
clac, clac, clac, à gauche à droite, tirant sur ma ficelle pour la rentrer encore plus profond dans ma raie des fesses
Je remuais mes jambes sous les claques, gémissant
Quand Marielle rentra dans la cuisine.
- Ohhhhh, mais quest ce que tu fais à ma boniche !!! Demanda Marielle, regarde moi cela, tu lui a rougi son beau gros cul
- Ohhhhh ma chérie ta boniche est vraiment trop chaudasse
Je lui donne une petite leçon, faut dire quelle nest pas très efficace en cuisine, peut-être quelle est plus douée pour le nettoyage !!!!
- Ramène le champagne belle boniche et sers les invités ensuite, tu iras nettoyer les WC à létage, apparemment, cest sale !!!!
Jobtempérais, servais les invités, pour ensuite monter à létage et nettoyer les toilettes
Je prenais des gants mappas un sceau une brosse et commençais à récurer les WC
Pendant que je nettoyais, penchais en avant vers la cuvette, la porte souvrit juste derrière moi
Cétait le garagiste et son cousin, qui sétaient glissés derrière moi, pouvant admirer ma croupe tendue vers eux alors que je nettoyais la cuvette. Le garagiste me saisit par la nuque afin de me maintenir dans cette position
- Tiens tiens tiens, voilà notre petite soubrette
Tu as besoin daide beauté ?
Je ne répondais rien
Javais peur quils reconnaissent ma voix, je décidais donc de rester muette et dobéir et de me soumettre, ce qui était la meilleure solution pour rester incognito. Ils avaient refermé la porte nous laissant tous les trois dans ce petit cabinet exigu. Me maintenant par la nuque, il me força à maccroupir devant la cuvette
- Je crois que tu as besoin dune petite leçon soubrette
Quen penses-tu Jérôme. Cest sûrement une bourgeoise chaudasse, un peu comme ta patronne. Que dis-tu de lui faire passer un entretien dévaluation à cette bourgeoise ?
- Oui bonne idée mon cousin, jai bien envie de moccuper de ses grosses fesses
Occupe-toi de sa bouche, cest sûrement une arrogante hautaine qui doit profiter de sa position sociale. On va voir si elle est toujours aussi arrogante avec ta bite dans la bouche. Attends avant, jai une idée, maintiens lui tête sur la cuvette, et toi salope regarde-moi
Le garagiste mavait plaqué la tête sur la cuvette, mobligeant à regarder son cousin qui se dégrafait sortant son sexe et le dirigeant sur la cuvette. De grands jets durine inondèrent la cuvette
Il urinait avec ma tête sur sa trajectoire. Des éclaboussures maspergeaient le visage, juste un peu, histoire de mhumilier et de me soumettre. Je me laissais faire, évitant le risque de la confrontation et de révéler mon identité. Une fois soulagé, Jérôme me demanda dessuyer la cuvette
- Cest cela belle soubrette, nettoie moi la cuvette quon puisse sassoir
Je mappliquais à nettoyer et faire disparaître les gouttes durine sur la cuvette, quand impatient le garagiste me poussa le visage vers la cuvette
« Avec la langue salope !!! ». Je passais ma langue sur le tour de labattant des WC et aspirer la moindre goutte. Pendant ce temps Jérôme avait relevé ma robe et soccupait de mon large fessier dont la ficelle de mon string ne faisait quexagérer ma croupe appétissante
Le garagiste sinstalla sur les WC, sexe libre et fièrement dressé et me pris par les cheveux pour me diriger la bouche vers son sexe. Sous la force de sa poigne, il arracha ma perruque libérant mon carré roux coloré tellement typique de ma bonne tenue de bourgeoise
. Alors que je me retrouvais avec ce gros sexe en bouche, Jérôme, toujours occupé avec mon cul, sexclama !!!
- Oulalala, mais voilà que les vrais visages se divulguent, une bourgeoise, une coupe au carré rousse, des yeux bleus, je crois quon se connaît ma pute ????
- Ten as mis du temps cousin, Jai reconnu sa voiture dans la cour à cette beauté, des modèles comme cela vert menthe décapotable, je nen ai pas vendu beaucoup. Et surtout à des canons comme elle
Plutôt bien conservé la mâture
Jamais vu une gonzesse avec la cinquantaine aussi bien gaulée. Tas vu comme elle est mameleuse, des bons gros pies. Ça a dû être une bonne laitière. Dis-nous salope combien de gosses tas eu
Au moins 5 avec des miches pareilles
- Elle en a trois
Je vois la photo de famille tous les jours sur son bureau
Tu sais du style photo de dynastie ou dallas
Dans le genre famille darriviste qui étale son succès devant tout le monde
. Tu sais que tu as étais très vilaine ce matin patronne, tu mérites une bonne punition... Une bonne fessée sur ton gros cul, je vais te faire bien rougir tes belles fesses ma bourgeoise, tu vas enfin comprendre ou est ta vrai place... Je vois que rouge comme est ton cul, ca ne va pas être ta première fessée de la journée salope...
Ils mavaient démasqué, jétais donc à leur merci, je les écoutais tout en suçant cet odieux garagiste et subissant les mains de mon collaborateur sur mes fesses. Je devais être docile et obéissante
Pendant que je suçais le garagiste, les mains de Jérôme s'abattaient sur ma croupe. Il m'appliqua de grandes claques sur mes fesses. Il se comportait comme un animal... À chaque claque, j'entendais un commentaire... "Ca, c'est pour me traiter de dilettante... Cella la pour non-performant... Celle-là pour me dire de rester à ma place... "... Il arrêta enfin... ". Viens cousin on va la prendre sur la mezzanine, comme ça tout le monde pourra participer...". Me tenant par les cheveux, ils m'entraînèrent sur la mezzanine qui surplombait le salon.
L'espace était grand et très moderne et utilisé comme bibliothèque qui faisait le tour de la plateforme. Le garde-corps était une rambarde en métal avec des câbles donnant un aspect très moderne et loft. Me poussant vers le garde-corps, ils m'attachèrent les mains à la rambarde, je pouvais surplombais le salon où je voyais Marielle et Robert sur le canapé, avec mon amie absorbée à sucer son mari dont elle essayait de réveiller la flamme... Jérôme reprit sa position debout derrière moi et me pénétra en levrette... Il me labourer les reins me tenant par ma tenue de soubrette. Le garagiste quant à lui avait libéré mes seins et replacer sa grosse bite dans ma bouche. Un devant et l'autre derrière ils m'utilisaient comme un objet, inter changeant les positions régulièrement pour ne pas jouir trop vite et multiplier les plaisirs.
Je regardais Marielle sucer et masturber Robert, tout en subissant les coups de reins de mes deux partenaires. Mes seins étaient régulièrement malmenés, par leurs mains gourmandes...
Robert joui enfin dans la bouche de sa femme... Alors que simultanément, Jérôme et son cousin me positionnèrent à genoux pour me recouvrir de leur sperme également. J'étais toujours attachée, masquée, mais mon costume partiellement déchiré, je restais la bouche ouverte afin de recevoir leur semence. Ils me recouvrirent, sur mon masque mon visage, mes seins, j'en avais partout... Pour finir, ils se nettoyèrent le sexe dans ma bouche, me demandant de tout aspirer...
Ils me laissèrent, seule attachée et défaite, sur la mezzanine... et rejoignais Marielle et Robert... Je fus enfin libéré par mon amie 10 minutes plus tard, et pus enfin me rhabiller pour rentrer discrètement chez moi, évitant tout contact avec Jérôme, Robert et le garagiste. Je me doutais bien que la journée suivante au bureau soit compliquée...
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!