Poupée Chloé Et Monsieur ( N2 - Épisode 2 )

J'entrais ainsi dans une cuisine, moderne, avec un îlot central assez imposant. De grandes baies vitrées faisaient face à la cuisine équipée. Seules les lumières au dessus des plaques de cuisson éclairaient la pièce. Sur le plan de travail près du réfrigérateur il y avait des bols remplis de différents ingrédients que je ne pris pas le temps d'analyser.
Monsieur était appuyé contre un mur à l'extrémité de la pièce face à la porte, nu lui aussi. Il m'observait tandis que je marchais doucement jusqu'au centre de la pièce, entre l'îlot central et la grande table à manger qui occupait l'autre moitié de cette grande cuisine. Il s'approcha lentement de moi et me chuchota à l'oreille" j'ai faim et tu seras mon assiette" un frisson parcouru mon corps.
Il prit ma main, y déposa un baiser puis me conduisit jusqu'à un petit escabeau pour me faire monter sur l'îlot.
" Allonge toi sur le dos, les jambes écartées, les genoux relevés, les pieds posés à plat et les bras le long du corps."
Pendant que je m'exécutais, il prit un des bols posé sur le plan de travail et à l'aide d'une cuillère il déposa le contenu du bol en ligne droite entre mon nombril et mes seins. Je frissonai de nouveau au contact de cette substance froide sur ma peau brûlante. Je sentis ensuite sa langue se poser sur mon nombril et lécher le début de cette ligne, tout mon corps se contracta de désir. Sentir ainsi la langue de monsieur sur moi, m'excitait au plus haut point. Il fit une pause pour avaler, avant de revenir continuer à lécher mon corps. il prit ensuite un autre bol et déposa cette fois-ci une substance plus légère mais toujours aussi froide sur mon téton gauche et posant sa bouche tout autour, avala la crème et finit par resserrer ses dents autour de mon téton, le mordant assez fort pour m'arracher un petit cri. Il en fit de même pour l'autre téton. Je bouillonnais de désir.
Il déposa ensuite sur ma clavicule un cube froid, qu'il goba toujours aussi lentement, puis revint lécher et enfoncer ses dents dans ma chair.

Je devenais son repas et cette idée amplifia mon excitation.
" Ouvre la bouche et garde la bien ouverte" me dit-il ensuite.
Et approchant un bol de ma bouche il y déposa de la chantilly, puis il s'approcha de moi, et dans un baiser mêlant désir et passion il prit toute la chantilly dans sa bouche. Je fermai les yeux...
Il revint ensuite caresser ma langue avec la sienne, il prit ma lèvre inférieure entre ses dents et la tira doucement vers lui. Puis il m'embrassa dans le creux du cou et me mordit tout en aspirant la peau, suffisamment fort pour laisser une marque.
" Tu es ma poupée Chloé et je fais ce que je veux de toi... "
Après un moment à plonger son regard dans le mien, il s'éloigna.
Il se mit, cette fois-ci, face à mon entre jambe avec le quatrième bol dans les mains et fit couler sur mes lèvres, entre mes cuisses bien écartées, un liquide presque brûlant, je fis un cri de surprise. Je sentais le liquide couler doucement le long de mes lèvres. Monsieur approcha sa tête et me lécha sans plus attendre, passant sa langue entre mes lèvres pour caresser au passage mon clitoris, comme une petite cerise qu'il entourait de sa langue. Je levais mon bassin vers lui. La lenteur de ses mouvements me rendait folle, je voulais qu'il me prenne là, maintenant ! Mon corps était comme traversé de courants électriques, c'était presque douloureux. Je sentis au même moment quelque chose de froid à l'entrée de mon sexe, le contraste avec la chaleur du liquide et de la langue de monsieur, était divin.
Monsieur enfonça doucement l'objet froid en moi, qui glissa tout seul, puis il le ressorti et l'amena jusqu'à ma bouche pour me le faire lécher. Il s'agissait d'un concombre, entièrement épluché, bien dur et dont le goût se mariait parfaitement avec le goût de mon sexe... Puis il ramena le concombre entre mes jambes et me pénétra de nouveau avec, je gémis, et il commença les va et vient, accélérant chaque fois que je levais le bassin vers lui pour lui réclamer de continuer.
" Je veux que tu atts tes genoux et que tu les gardes serrés contre ta poitrine !" Dit il soudain, en laissant le concombre en moi.
Il vint près de mon visage, et me montrant une carotte épluchée, arrondie des deux côtés, qu'il trempait délicatement dans de l'huile d'olive, il ajouta " Regarde, ma poupée, ce que je vais mettre dans ton cul.."
L'appétit sexuel que je lisais dans son regard semblait être le reflet exact de celui qu'il y avait dans le mien.
Il repris sa place et je sentis la carotte posée à l'entrée de mon anus, et dans un mouvement d'une extrême lenteur, il la poussa à l'intérieur de moi, commençant par le côté le plus fin. Je la sentais entrer millimètre par millimètre et j'accompagnais cette sensation délicieuse par des geignements de plaisir. Il laissa la carotte enfoncée en moi et repris les va et vient avec le concombre, puis en fit de même avec la carotte en même temps, et je criai de plus belle.
Puis il désynchronisa les va et vient des deux légumes et accéléra le rythme.
Les sensations étaient si intenses, je sentais gonfler en moi l'orgasme. Il fallait que je le prévienne : " Monsieur... Je vais jouir si vous continuez..." hurlais-je
Tout en accélérant les mouvements, il répondit " C'est ce que je veux Chloé ! Jouis maintenant !"
Et dans un cri puissant, tout mon corps se contracta. Des éclairs de plaisir irradiaient le bas de mon ventre de mon clitoris à mon nombril. Monsieur ralentit doucement les mouvements de la carotte et du concombre et mes gémissements devinrent de plus en plus doux et s'arrêtèrent en même temps que les gestes de Monsieur.
Il y eu un moment de flottement.. j'étais un peu abasourdie par cet orgasme.
Monsieur retira les légumes et je reposai mes jambes. Il prit le concombre et en croqua le bout qui m'avait pénétré, puis il m'aida à me redresser. Il me fit descendre de l'îlot, me caressa la joue et dit d'une voix douce " toi aussi tu dois avoir faim..."
Je baissais les yeux et me rendis compte de son érection, un éclair d'excitation et de gourmandise traversa mes yeux... Je me saisi du bol de chocolat fondu et le versai délicatement sur sa queue dressée. Il sourit et me dit " tu vas me nettoyer ça.. il ne devra en rester aucune trace!"
Je me mis à genoux et je commençai à laper, d'abord avec le bout de la langue avec de petits à-coups puis de manière plus prononcée avec la langue entière. Je le faisais consciencieusement, mes mains agrippées aux fesses de Monsieur, qui me regardait faire, l'air amusé. Quand le plus gros du chocolat fut enlevé, je mis son sexe dans ma bouche. Je le suçais avec avidité. Je le ressortai ensuite pour l'observer. Il était si appétissant que très vite je retournais y goûter. Un peu de chocolat avait coulé sur ses testicules et quand je m'en rendis compte, utilisant ma main pour continuer les mouvements de va et vient sur son sexe, je pris celles-ci dans ma bouche pour bien les nettoyer.
Quand je revins à son sexe, Monsieur m'arrêta. " Tu m'as bien nettoyé, poupée Chloé, mais il n'est pas question que je jouisse maintenant"
" Mais Monsieur... Moi j'ai envie de vous sucer encore... J'ai envie de vous faire jouir dans ma bouche, j'ai envie de goûter votre sperme et d'en avaler jusqu'à la dernière goutte.."
" Mais tu n'es pas là pour faire ce que tu veux, tu es là pour m'obéir ! Si je décide que ce n'est pas le moment tu n'as pas à me contredire! " Répondit-il agacé.
Je baissai les yeux, honteuse.
Il ajouta, d'une voix sèche : " tu vas me nettoyer tout ça, tu as 15min, après quoi je te punirai pour ton insolence ! Retrouve-moi dans l'entrée !"
" Oui Monsieur " répondis-je d'une petite voix en le regardant sortir de la cuisine.
Je me mis à la vaisselle, tout en réfléchissant à tout ce qui venait de se passer. J'avais fauté deux fois déjà depuis le début de la soirée. Je méritais une punition plus sévère que la première, je le savais. Mais ça n'enlevait rien à ma frustration...
Une fois la vaisselle finie, je m'attaquais au nettoyage de l'îlot, tout en réfléchissant à ce que pourrait bien être ma punition. Une fessée ? Ce n'était pas suffisant... J'espérais juste qu'il ne me priverait pas du reste de la soirée, qu'il ne me demanderait pas de partir... Je ne voulais pas que cette soirée se finisse maintenant. Quelque soit la punition il faudrait que je l'accepte " je dois obéir à Monsieur, il sait ce qui est bon pour moi" me répétais-je pour me rassurer. La cuisine était rangée et propre, il était temps de rejoindre Monsieur pour découvrir mon châtiment.