Collection Zone Rouge. Poupette. Saison I (1/10)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Javais cinq ans quand Lorette ma maman ma fait faire mon premier défilé de petite mini-miss.
Jignorais que ma vie en serait bouleversée.
À travers moi, elle espérait réaliser son envie du temps ou elle avait vingt ans darriver dans le milieu du mannequinat.
Mais ma naissance ayant entraîné une prise de poids que je lui avais fait prendre à annihiler ces espérances.
Une copine, quand jai eu deux ans, a eu la mauvaise idée de lui dire que ma taille adulte serait le double de celle de mon deuxième anniversaire.
Ce jour-là je suis passée sous la toise, 98 centimes soit 196 centimètres, dans sa tête jétais déjà Claudia Schiffer son mannequin préféré dont elle mavait donné le prénom.
À cet âge jétais aussi blonde que la vedette des défilés des plus grands couturiers mondiaux.
Maman mavait dit que mes grands-mères et mes arrière-grand-mères létaient aussi.
Presque deux mètres et blonde quand je serais adulte, tel était mon avenir du moins pour ma mère.
Les autres poupées qui défilaient en robe de marier avec moi pouvaient toujours essayer de me battre, ma route était toute tracée.
Elle me faisait voyager à travers la France et par la suite ayant tous gagnés dans les pays limitrophes chaque fois quelle savait quun concours y était organisé.
Elle avait tissé un réseau et rien de ce qui pouvait servir son ambition ne lui échappait.
Elle connaissait plusieurs producteurs et certains soirs après le défilé, elle me laissait seule dans la chambre dhôtel avec un verre deau un sandwich et la télé allumée.
Elle partait coiffée impeccablement et revenait les cheveux en bataille sentant la sueur et une odeur indéfinissable pour moi.
Elle se dépêchait daller dans la salle de bains et souvent quand jouvrais la porte elle était assise dans la baignoire ou sous la douche leau lui coulant sur la tête les jambes entre ses mains.
Chaque fois, je la voyais pleurée.
Quand elle en sortait ayant mis son peignoir pensant que jétais trop petite pour comprendre ce qui était le cas au début, elle ouvrait son petit sac à main quelle portait en bandoulière et comptait des billets, au fil du temps, jai compris comment elle les gagnait.
Vers mes douze ans, dans les salles où nous nous produisions, javais pris lhabitude des regards libidineux de nombreux hommes.
Je savais par cur que jentendais ses cris de jouissance dans la chambre après que jai gagné nous rentrions à trois à lhôtel.
Dans ces cas-là, souvent je dormais dans la baignoire avec un oreiller couché sur une couverture quand il y en avait une.
Sil y avait une douche, ils mallongeaient la tête près de la cuvette des W.C.
Dans la nuit pensant que je dormais, il arrivait que lhomme qui prenait ma place dans le lit de maman venait sasseoir sur la lunette et se soulageait sans soccuper de moi.
Jai rapidement compris que maman rendait la monnaie de sa pièce à celui qui mavait aidé à gagner.
Cest dans cette période que je suis devenue « Poupette » car les dames qui nous préparaient ignorant nos noms, nous appelaient toute par ce diminutif au lieu de nous appeler « Poupée ».
Jallais fêter mes 13 ans 8 jours plus tard quand la loi a interdit nos défilés si nous avions moins de 16 ans.
Nous avions un petit logement à Paris où nous étions rarement, là javais ma chambre.
Maman à tous vendus, même plus que nos meubles.
Elle se vendait elle-même les nuits où jentendais des hommes venir.
Les cris de jouissances quils émettaient mont appris ce que le mot sexe voulait dire.
Je dois tout de même dire que malgré cette promiscuité à cette époque jignorais que les sexes des hommes existaient, même quand jétais dans les douches.
Ma petite chatte commençait à sorner dun léger duvet et de tout petits seins.
Mama était peu pudique et se rasait les siens avec des jetables afin dêtre toujours sans un poil sur son intimité.
Je trouvais idiot de tout enlever alors que tous les jours, je comptais les miens, trouvant quils étaient longs à venir.
Les ventes terminées, nous avons pris lavion direction les États-Unis ou mon principal travail en plus de défiler était dapprendre langlais.
Los Angeles cest la ville où nous avions atterri après des heures davion et une attente interminable dans une ville dont jignore le nom.,
Maman avait de nouvelles ambitions, elle était persuadée que si le mannequinat métait fermé, je deviendrais une star hollywoodienne.
Mes cheveux blonds étaient devenus bruns et je mesurais à peine 1 mètre 59. Chaque fois quelle me mesurait, elle me disait que ma croissance venait de commencer et que jallais prendre beaucoup de tailles en peu de temps.
Jai recommencé à défiler jusquau moment de mes 14 ans où elle sest mise en ménage avec celui qui allait devenir mon beau-père.
Cétait organisateur de défiler de mannequin dont des minis dont je faisais encore partie et qui était toujours permise contrairement à la France.
Maman sétait rangée du sexe tarifé.
Au fil du temps apprenant la vie, jai compris quà part la vente de son corps ses revenues était inexistante.
Javais compris que maman pour poursuivre ses chimères avait été jusquà devenir une putain.
Bob sétait le nom de mon beau-père la acheté à demeure, car jai vite compris que la prétendue profession quil exerçait allait pouvoir me faire atteindre le but quelle sétait fixé pour moi.
Il était loin dêtre riche aussi a-t-elle décidé de trouver un travail.
Cest dans un restaurant louche sur un air dautoroute où les camionneurs avaient facilement les mains baladeuses quelle partait tous les jours.
Jallais avoir seize ans quand Bob ma dit quil allait memmener à Las Vegas faire mon premier défilé dans la cour des grandes.
16 ans, maman mavait expliqué quaux USA, cétait lâge légal pour défiler comme adultes.
Javais dans lidée ce qui risquait de marriver, car plus nous grandissions plus nous parlions avec les autres copines de lévolution de celles qui avaient atteint cet âge.
Leur mentor les emmenait dans la ville du jeu et souvent sans jamais en revenir.
À cette époque, javais appris que les garçons avaient une bite entre les jambes et quavec, ils nous baisaient et nous faisaient des s.
Je voyais fréquemment celle de Bob qui me la montrait chaque fois que maman partait travailler et où il était saoul de whisky et de bières.
Pourtant malgré cette promiscuité, jétais vierge.
Il était hautement envisageable quil soit mon premier homme lors de ce voyage à Las Vegas.
Jallais toujours au lycée sans rien apprendre, jétais nul en math bien que je sois devenue bilingue et bonne en sport.
Bob en regardant mes résultats me disait toujours que grâce au sport je serais bonne pour celui en chambre, jétais un peu simplette ignorant le rapport sport et chambre.
Javais un bon copain Bill qui maidait à faire mes devoirs et cest chez lui sur le siège arrière de leur vieille Buick des années soixante que je lai entraîné pour me prendre mes virginités.
Maman et Bob quand ils baisaient sans aucune retenue lui demandait de la prendre par la chatte et aussi de la sodomiser.
Jentendais des phrases comme, « ton cul est divin, jaime te pilonner la rosette » et la réponse de maman « va y mon gros saligaud, tu sais que jaime que tu me défonces le cul ».
Elles avaient été formatrices sur ce quune femme pouvait offrir à son homme.
Jai surpris Bill quand jai écarté mes cuisses et que je le fasse coucher sur moi.
Il a compris que je me donnais à lui et sa verge est entrée directement au but.
Il ma un peu fait mal au moment où mon hymen sest déchiré et dès quil a eu déchargé, je lui ai nettoyé la verge avec ma bouche.
La situation entre Bob et ma mère évoluait de façon que je sois formé au sexe sans pour autant voir des pornos.
Cest un jour dans la cuisine que jai vue maman lui faire une fellation avec les mots qui allaient avec.
Dans la voiture, au moment où il entrait jusquà ma glotte, jai su que le goût de son sperme était similaire à ce que je sentais sur le corps de maman les soirs où elle rentrait décoiffée et où elle comptait ses billets.
Elle devait faire des partouzes où les hommes payaient pour la baiser et cest ce jour que jai eu confirmation quelle se prostituait pour me faire vivre son rêve.
La verge de Bill ayant repris consistance, je suis arrivée à ce quil mencule.
Jai eu plus mal que le dépucelage de ma chatte, malgré que la verge de mon copain soit loin davoir le volume de celle de Bob.
Quand je lai quitté jétais contente du chemin accompli et que ce gros porc de beau-père trouverait porte ouverte avant et arrière si par malheur le dessin que je pressentais marrivait.
Le jour fatidique de mes 16 ans, nous avons pris sa vieille guimbarde pour partir pour Las Vegas.
Il ma fait monter en voiture sans que maman soit là, savait-elle ce quenvisageait son amant pour moi.
Tout le long du chemin après que nous avons changé détat, quittant la Californie pour le Nevada, il sest permis de me mettre sa main sur ma cuisse.
Il mavait obligé de mettre un short sans culotte ras ma moule que nous avions été acheter quelques jours plus tôt.
Arrivés à la ville du jeu et des lumières, nous sommes descendues dans un hôtel miteux où il a pris une seule chambre.
Poupette, nous sommes ici pour mon seul plaisir, au Nevada la majorité sexuelle est de 16 ans alors quen Californie elle est à 18 ans.
Je risquais la prison chez ta mère si je tavais défloré mais ici, je vais te prendre ta petite fleur en toute impunité.
Si tu savais depuis le temps que jen rêve.
Je jubilais intérieurement, car même sil buvait plus que de raison, si je résistais, je suis sûr quil aurait eu ce quil voulait.
Jenlevais mes affaires, je me couchais sur le lit les jambes écarté à 180 degrés.
Vas-y mon salop, baise-moi, jaime ça !
Je lai senti un peu interloqué, lalcool lempêchant de bander, je me suis redressée et je lai sucée très très longuement,
Il sest couché sur moi et quand il ma pénétré il est entré dans une rage folle,
Salope, qui ta baisé, je voulais être le premier, retourne-toi que je tencule, là je serais le premier.
Je me suis retourné et malgré le léger mal quil ma fait en entrant, je voulais lui enlever tout espoir quil soit le premier.
Bourre-moi le cul connard, jai déjà reçu des dizaines de bites dans ma chatte et mon cul.
Tu espérais avoir le plaisir dêtre le premier, regarde, tu entres dans ma rosette sans forcer.
Jadore me faire enculer, quand tu dormais en Californie étant bourrée, je descendais au bar de lhôtel et je trouvais un mec sans scrupule qui se fichait de lâge que javais pour que nous baisions.
Il nen était rien, la seule chose que je voulais cest le rendre malade de lui faire penser que javais déjà connu le loup un grand nombre de fois.
À part la Buick et Bill, je suis arrivée à lui faire croire que jétais une belle salope.
Il a sorti sa verge de mon anus et jai reçu la rouste de ma vie avec ses grands battoirs.
Si mon cul avait perdu sa rondelle, mes fesses sont rapidement devenues rouges.
Tu es comme ta mère une pute.
Il ma mis sa verge dans la bouche.
Un instant, jai eu envie de serrer les dents pour lui sectionner le sexe.
Mais étant au courant de lâge légal ici, jai évité de le faire espérant que dans les mois suivants, retournant en Californie il oublierait sous leffet de lalcool lâge légal dans cet état.
Je savais quavec un bon avocat, je le ferais enfermer eunuque dans une prison où les autres détenus lenculeraient.
Je préparais mon plan contre ce saligaud
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