Une Rencontre Fulgurante
Ils étaient entrés en relation via une application de rencontre. Il avait été étonné que sa visite du profil de linconnue avait déclenché un signe de la dame. Sans aucune phrase de présentation, elle se présentait comme cadre sup, aimant les jeux de rôles
très vite il lui propose de visionner ses photos, inutile pense-t-il, de prendre du temps à choisir ses mots si son physique ne convient pas
cétait déjà arrivé bien trop souvent : son verbe plaît, semble correspondre en tout point à la recherche de celle qui lit, peut-être même parfois un tantinet trop et quand les photos sont découvertes, ce sont remerciements et fin de non-recevoir.
Mais pas cette fois-ci : il plaît aussi en photo.
Mais madame est rapide, elle demande vite un numéro de téléphone et sagace quand il hésite : très occupée, elle na pas de temps à perdre en minauderies.
En moins de temps quil nen faut à ton meilleur pote pour vérifier que ta femme est une vraie bonde comme disait San A., le whatsapp chauffe. Premières photos et la dame aime jouer : présentation de la lingerie, jambes croisées, décroisées, téton dressé, et un ticket surmontant sa chatte quil aimerai appeler béta-mèche comme la touffe se dresse comme une seule brassée de paille.
Lui envoie quelques gros plans de son gland, au lit, au bureau, en extérieur pour lui faire prendre lair.
Et les échanges fusent, un peu romantiques, surtout crus, promesses de jouissances multiples, de doigts fouillant les entrailles, de langues mutines léchant des anus bien plissés et des « han » et des « ha » et des « oh » et des bas qui font débat.
Elle na pas de temps dans sa vie pour rencontrer un amant, cest entre 7h00 et 8h13 puis entre 9h00 et 10h00 et pas tous les jours et cest ainsi et pas autrement. Il se met à disposition, prendra des RTT, elle hésite, dit oui, dit non, se ravise encore, veut un amant mais veut être aimée, mais non, ce nest pas possible, mais oui viens me pénétrer longuement.
Mes chers lecteurs je vous le dit : Il est resté bien calme, a trouvé solution à tout, a résisté aussi et elle a aimé
rendez-vous est donc pris.
Avec son mari, elle tient un hôtel-gîte-restaurant bientôt étoilé ils lespèrent, aux portes de la capitale. Il devra se faire passer pour un client qui aura loué un gîte. Elle laccueillera, linstallera et surtout, reviendra le lendemain à 7h00 pour un premier câlin.
Lui se prépare, choisis ses menus durant plusieurs jours pour préparer la caresse promise de sa prostate adorée. Il se rase complètement, il masse les jumeaux à la base de sa tige avec de la crème parfumée.
Le jour prévu, elle se ravise : non elle na pas de temps à consacrer à une aventure, il sera déçu, elle aussi. Adieu. Lui a tout prévu : son planning, ses s, sa mise en beauté. Il ne lâche rien, elle cède de nouveau.
Le chemin devait être rapide, mais de multiples messages lobligent à sarrêter sans cesse pour lire et répondre. Il en profite pour se caresser un peu.
Voilà, il se gare enfin, appelle comme convenu
Elle répond, la voix un peu troublée car son mari est à côté delle. Il doit savancer sous le proche, elle lattendra pour lui ouvrir le gîte.
Première fois quil entend sa voix, elle est très très douce.
Il la voit : toute menue, dans un manteau blanc à longs poils sarrêtant juste au-dessus de la taille, des jeans moulants et une paire de baskets. Lui se dresse, imposant par sa taille, sa carrure et son calme.
- « je vais vous faire visiter » et ils entrent dans la première pièce de cette maison étroite à trois étages.
- « la cuisine »
Et ils montent des escaliers en bois.
- « le salon » il avance sa main pour toucher son visage
Ils montent encore des escaliers presque aussi raides que sa queue et il caresse directement les fesses et les cuisses de la belle ; ils nont pas de temps du tout, il va donc prendre les choses en main, bien décidé à ne pas attendre le lendemain pour consommer ses promesses.
- « la chambre
mais quest-ce que tu fais ? »
Il ne dit rien, se colle contre le dos de la dame, lui caresse les flancs, ses mains remontent vers ses seins, il la pelotte, la tâte, la frotte, lui fait sentir la grosseur dans son pantalon.
Elle se retourne, lembrasse, tente de maîtriser un peu la situation qui lui échappe, pense aux quelques minutes qui lui sont dhabitude nécessaires pour faire visiter le logement
Il ouvre les jeans, fait glisser le pantalon, à genoux devant elle. Il colle son nez dans le creux des cuisses de la dame, découvre un body à pressions que ses doigts ont tôt fait de faire sauter. Et hop, des baisers couvrent le pubis de la belle : il la pousse sur le lit, la lèche avec avidité car il sait le temps compté.
Sa langue fouille la chatte, il remonte les cuisses prises dans les jeans au-dessus de sa tête et a désormais accès à linimité exposée : si elle mouille fort sa maîtresse tout juste rencontrée, elle respire encore plus fort, surprise de se faire prendre ainsi. Deux doigts viennent écarter ses chairs et les frottent avec vigueur.
La situation complètement incongrue dun inconnu lui bouffant la chatte, deux doigts fouillant sa grotte, le temps filant à une vitesse folle : tout cela amène la belle chef dentreprise à une jouissance aussi rapide quélectrisante
.
Lesprit brumeux, elle se redresse, se précipite pour donner à son tour. Il baisse son pantalon, elle arrache presque son boxer et aspire goulûment une bite bien dressée. Il est debout, elle est assise sur le lit, penchée sur un gland bien dressé.
Elle suce, elle avance la main pour tâter les couilles de son amant, elle bave pour humidifier lensemble.
Là, chères lectrices, je vais faire un aparté plus à destination de ces messieurs qui me comprendront sans doute :
Ce moment messieurs, où votre maîtresse met tellement de cur à louvrage, où vous sentez quelle aime vraiment sucer votre tige, où elle prend soin denflammer toutes les zones érogènes de votre bas entre en même temps, dans un mouvement sensemble qui fait se mettre en route la machine à soupe : où vous sentez la production de sperme semballer dans vos coucougnettes, ce moment où toute lénergie de votre corps vient se concentrer dans la zone comprise entre votre nombril et vos cuisses sans distinction aucune, ce moment rare où vous sentez que vous allez atteindre un véritable orgasme, un vrai, un complet, ce moment était pour lui il le sentait.
Son Orgasme donc fut dune intensité rare. Sa maîtresse lui gobait les couilles, caressait sa tige, inversait la tendance : il éjacula dans une apothéose de sensations, un vrai feu dartifice dans la bouche de la belle. Il défaillit littéralement.
Oui, il défaillit. Vous savez ce mot employé par les femmes pour exprimer leur « petite mort » : en cet instant extraordinaire, en cette fulgurance, il comprit le sens de ce mot. Il comprit que plus rien ne serait jamais comme avant. Il comprit tout le temps perdu à croire que ses éjaculations étaient des orgasmes.
Elle senfuit après un léger baiser, le laissant là, pantalons aux chevilles.
Il comprit quil navait rien vécu auparavant.
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