52- Zaki Et Sa Femme En Afrique
52- Zaki et sa femme en Afrique :
Je suis Zaki, âgé de 40 ans et enseignant de maths depuis déjà 15 ans. Ma femme Samia, âgée de 30 ans est aussi enseignante de français depuis 5ans. Nous sommes mariés depuis 10 ans mais nous navons pas eu d malgré nos efforts et des tas de médicaments pour ma femme. Tous nos collègues de travail au lycée sont parents de deux ou trois s et cela nous a traumatisé, alors nous avons décidé de nous faire muter ailleurs. Nous avons signé avec un organisme de lONU pour aller dans un pays Africain. Et cest ainsi que cinq mois plus tard, nous sommes partis, en poste, dans une petite bourgade du Mali. Notre village avait une seule école de six classes (1er à la 6em année), trois logements de fonction et six enseignants, nous deux, un autre couple français ( 40 et 50 ans) déjà ici depuis deux ans, et deux maliens célibataires, dont un Directeur (50 ans) et un jeune (30ans). Moi et ma femme occupions un logement, lautre couple français a eu le second et le Directeur, le troisième logis qui était pris en charge par une vielle bonne malienne dans la journée. De plus, le directeur a préféré loger avec lui le jeune malien célibataire. Environ 150 élèves étaient répartis entre nous par classes et années.
On sest installés et tout allait bien durant le premier mois, mais nous vivions un peu séparés des autres. Et cest ainsi quun jour, à la sortie des classes, le directeur nous a invités, ma femme et moi, à la petite fête, chez lui, ce soir, avec tous les autres collègues. On y est allé vers 20h et il y avait de lambiance. On a beaucoup discuté et un peu bu et latmosphère était au début très cordiale. Les quatre autres avaient leurs habitudes depuis déjà deux années et nous avons essayé de nous intégrer à leurs causeries. Soudain, vers 22h, nous avons été rejoins, dans le logis du Directeur, par deux jeunes femmes africaines (20 à 30 ans). Elles ont été bien reçues par nos collègues qui, apparemment, les connaissaient très bien et la causerie a été encore mieux animée.
Le lendemain fut une journée normale et le Directeur nous a renouvelé son invitation pour le soir. Je nétais pas très engagé mais ma femme a insisté, alors on les a rejoint. La soirée était assez animée et encore plus lorsque, à 22h, deux nouvelles africaines ont rejoint le groupe. Ce nétaient celles dhier soir mais elles étaient aussi jeunes et belles que les précédentes et aussi intimes avec nos amis maliens. Le couple français participait sans problèmes aux blagues, aux beuveries, surtout le mari, et même à quelques attouchements. En effet, jai remarqué que la femme française permettait beaucoup de gestes intimes au directeur sur sa croupe et ses seins sans que le mari ne dise mot. Au contraire, celui-ci était occupé avec lune des malienne. Ma femme, prise par lambiance et la bière, riait avec lensemble et ne semblait pas être gênée, mais elle restait correcte, sans se laisser approcher. Moi, jétais un peu gêné et jai assez écourté notre soirée pour retourner chez nous où jai fait quelques remarques à ma femme. Elle en riait en disant quils étaient tous sympas et que cela nous changeait du morne de nos journées et de notre solitude. Jétais un peu inquiet de ses paroles mais je nai rien dis.
Le lendemain soir, nous étions encore en groupe chez le Directeur et les deux femmes qui nous ont rejointes étaient celles de la première soirée.
Dix minutes ou plus, plus tard, ils sont revenus dans le salon, tout normalement. A leurs visages on voyait bien quils venaient de prendre beaucoup de plaisir sexuel. Surprise, immédiatement après, ce fut le Directeur et la femme française qui quittèrent le salon pour aller dans la chambre des plaisirs. Et comme tout à lheure, rien ne fut dérangé dans le reste du groupe qui faisait la fête, buvait, discutait et se touchait sans gêne. Poussé par lexcitation, je suis allé reprendre mon poste découte et jentendais nettement les cris et halètements de jouissances du couple qui baisait dans la chambre. Soudain, ma femme ma touché lépaule, elle mavait suivie et écoutait comme moi, nettement, les bruits érotiques et excitants de la chambre. Elle me pinçait le bras dexcitation et jentendais sa respiration qui saffolait par le désir. Mais je lai repoussée pour regagner notre place. Et un quart dheure après, le Directeur et la française sont revenus au salon. Leurs vêtements, trop rapidement remis, étaient assez dérangés et leurs visages étaient épanouis par le plaisir de la baise.
Mais, par contre, ma femme, qui était à mes cotés, avait des yeux noyés par le désir, surtout depuis quelle avait bien entendu les râles de plaisir de la chambre et le retour du Directeur et de la française. Depuis ce moment, elle narrêtait pas de les observer dans leur coin. Un moment, la française sétait éloignée, vers son mari. Et cest alors que ma femme, sans même me demander, se leva et rejoignit le Directeur dans son coin. Il était resté allongé sur le coté et sirotait sa bière. Seulement, jai remarqué que sa braguette nétait pas bien fermée et même un peu entrouverte. Sil bougeait un peu trop, cest sûr, on pourrait voir son bagage sexuel. Ma femme sest, elle aussi, un peu mise sur le coté, le bras sous le corps et discutait en riant un peu trop à mon gout. Le Directeur lui offrit une bière, puis il releva sa jambe supérieure, ce qui entrouvrit largement sa braguette, mais la cachait aux autres, coté salon. Jai compris ce quil faisait, il montrait sa bite à ma femme. Alors, poussé par un sentiment bizarre mais incontrôlable, je me suis discrètement rapproché de façon à voir le coté braguette. Et, jai bien vu ce que le Directeur montrait bien nettement à ma femme. Il avait sorti sa grosse bite de la braguette et il la pointait bien longue, grosse et large, car elle était fort gonflée, à la vue de ma femme. Ce fut une vision follement excitante même pour moi et ça commençait à mexciter. Ma femme qui était allongée juste à cinq centimètres du gros zob le regardait avec de gros yeux. Elle allongea sa main libre et empoigna cette queue qui lui était offerte, puis elle la branla un moment. Mais le Directeur repoussa la main de ma femme pour remettre sa bite dans sa braguette. Puis, il se releva en tenant ma femme par la main et laida à se relever.
Puis il lamena vers la chambre des plaisirs, sans un seul coup dil vers moi, ni de lui ni de ma femme. Pour eux, je nexistais plus, seul leur désir sexuel était urgent et il fallait lassouvir immédiatement. Je me sentais comme étourdi mais je restais, presque calme et buvant ma bière comme si de rien nétait. Un moment, et la française sest rapprochée de moi et ma dit quelque chose que je nai pas dabord compris. Puis, je lai regardée, et elle ma tenu la main et sest penchée vers moi pour me donner un baiser presque fraternel, sur la joue. Son mari était la bas en train de peloter une malienne. Elle ma chuchoté à loreille, en confidence, un aveu et un conseil. Elle ma avoué que cet homme, ce Directeur malien nétait pas normal comme moi et son mari. En effet, il avait un pieu sexuel tellement long, gros et épais que sa vue et sa puissance étaient un trésor quaucune femme, blanche ou africaine ne pouvait lui résister et que ma femme ne se maitrisait plus. Quant elle a vu sa queue gonflée, une seule chose comptait pour elle, comme pour moi, me dit-elle, cest de la fourrer dans sa chatte et la faire jouir et jouir à hurler à linfini. Cétait un moment magique et incontrôlable pour une femme, alors, je me devais de comprendre la mienne. A partir du moment où nous sommes restés au-delà de lheure fatidique, aucun mari ne pouvait commander la chatte ou le cul de sa femme. Elle a fini par me convaincre dautant plus que ma bite continuait à bander sur limage, que je gardais en tête, du gros zob du Directeur.
Et un quart dheure plus tard, le Directeur et ma femme, après leurs jouissances, retournèrent au salon. Ma femme était rayonnante de plaisir. Je connaissais bien son attitude quant elle jouissait sous moi, mais lair quelle avait maintenant était au-delà de toute description. Sur un signe du Directeur, elle est venue sassoir à mon coté et ma embrassé en me disant merci. Je nai pas compris, mais la française ma expliquée à loreille. Ma femme me remerciait de lavoir laissé jouir pleinement de la grosse queue ensorcelante de notre Directeur malien. Je nai pas fait de commentaire et continuais à boire et à observer. La soirée continuait et par la suite, dautres couples ont rejoint la chambre des plaisirs mais je ne faisais plus grande attention. La française ma invitée à en faire autant mais je nétais pas en disposition psycho et jai dis plus tard. Ma femme, restée à mes cotés, semblait replonger dans lambiance érotique car je voyais quelle se frottait la chatte sous sa robe et soufflait fort. Elle avait envie de baiser mais, apparemment pas avec moi car elle regardait ailleurs. Elle avait fait un signe à quelquun dans le salon et jai vu le jeune malien se rapprocher de nous. Il sest dabord assis à nos cotés et on a bu ensemble en discutant. Puis, il a tenu la main de ma femme qui lui souriait les yeux tout ronds et jai compris quelle en avait envie. Je lui ai fait le signe affirmatif, par le regard, et ils se sont levés pour rejoindre la chambre des plaisirs. Jai quant même compris que ma femme, après avoir gouté le zob du Directeur, avait encore envie dun autre zob malien, africain, peut-être aussi gros, long et épais que celui de notre Directeur. Elle a gouté un zob africain et elle semble ne plus sen passer.
Je me suis étourdi dans la boisson et ce nest que plus tard, que jai senti ma femme qui me secouait. Elle avait fini sa baise avec le jeune, et peut-être avec dautres, et me demandait de partir chez nous, il était très tard, passé minuit. Jai cherché des yeux le jeune africain et il était la bas, enlaçant lune des africaine de près. Je me suis dis que ces africains étaient insatiables et possédaient assez dénergie et de puissance pour baiser plusieurs fois par nuit, ce qui nétait pas mon cas. Et on est retourné à notre logis pour le reste de la nuit. Le lendemain, dans la journée, on a eu une petite conversation, ma femme et moi. Elle voulait sexcuser mais je lai arrêtée. Je lui ai expliqué ce que ma dit la française sur la queue du Directeur et légarement des femmes et elle ma baisé la main de lavoir comprise. Puis jai parlé du jeune malien et elle ma confirmé quil était une réplique du Directeur. Et jai demandé des détails, poussé par une curiosité de cocu heureux. Elle ma détaillé le zob du jeune malien et ses prouesses parfois plus puissantes que celles du Directeur. Ensuite, après avoir jouis tous les deux de sa chatte et éjaculé une bonne rasade de sperme chaud, le jeune malien, affolé par les formes de ma femme, par derrière, la initié à la sodomie. En effet, elle ma avouée quil lavait baisé du cul et elle la laissé faire. Elle avait dabord eu très mal mais il a réussi, avec de la pommade trouvée dans la chambre à lui lubrifier lanus et son zob, puis il a réussi lui ouvrir et écarter le cul, ensuite il a pénétré sa terma avec son gros zob gonflé. Après un moment de surprise et de douleurs atténuées rapidement, elle a commencé à en jouir, daprès ses aveux. La présence du gros zob dans ses entrailles, elle me la détaillé en jouissant de son récit, au vu de ses yeux arrondis et fixes sur le souvenir de ses ébats. Cest sûr, elle a aimé et goûté en donnant son cul et souhaite recommencer le plus souvent, et le plus tôt possible, même avec dautres hommes. Je me souviens maintenant, pendant quelle jouissait du jeune, moi, je métais assoupi dans le salon et ce nest quaprès quelle mavait réveillée pour rentrer.
Elle continuait son récit. Le jeune malien la baisée une seconde fois par la chatte et a terminé par une autre sodomie, cette fois, ce fut très facile et très jouissante, et il a éjaculé par quatre fois, en abondance. Elle me racontait en jouissant de ses souvenirs, presque sans tenir compte de ma présence, et moi je recommençais à bander. Jétais certain que son cul et sa chatte étaient encore remplis du sperme des deux maliens qui lavaient rassasiée. A la fin de son récit, elle ma encore baisé la joue et remercié de cette liberté sexuelle que je lui ai accordée, sans même, réellement, trop réfléchir Mais cétait trop tard. Et cest ainsi que, depuis ce jour, ma femme avait, chaque nuit, ses doses de deux à quatre baises, par devant et par derrière, avec le Directeur et je jeune malien. Le français ne la jamais invitée et elle nen avait pas envie. Ce qui lintéressait, cétaient les zobs africains, très longs, gros et épais et surtout puissants et résistants. Ils pouvaient baiser devant et derrière plusieurs fois sans trop être fatigués et ils éjaculaient en abondance leur sperme brulant de jouissances. Moi aussi, je me suis mis rapidement dans lambiance de la soirée érotique. Jai dabord commencé par baiser la française, presque deux à trois fois par semaine, ensuite, jai essayé les maliennes. Et cest la où jai eu, moi aussi, lenchantement des chattes et des culs africains. Je dirais plutôt que ce sont elles, les maliennes, qui me baisaient le zob. Dès que les pénétrais, elles savaient rouler du bassin pour exciter ma queue à lintérieur de leurs chattes et dansaient avec le derrière quant ma bite était dans leur cul. Elles me faisaient jouir à lextrême et éjaculer en abondance. Je navais jamais eu autant de plaisir avec ma femme par le passé. Depuis que nous prenions nos plaisirs avec les autres, nous avions arrêtés nos relations sexuelles, ma femme et moi.
Mais une nuit, où il pleuvait, ce qui était rare dans cette région, nous avions écourtés notre soirée chez le Directeur, après juste une baise pour ma femme avec lui et moi avec une malienne. Au lit, ma femme, peut-être inassouvie, ma enlacée, chose rare depuis longtemps. Puis, elle a glissé sa main vers ma bite et beaucoup farfouillé pour me faire bander. Cétait assez difficile mais elle a repris ma bite dans sa bouche pour me sucer et branler avec vigueur. Après quelques efforts, ma queue sest assez réveillée pour faire un peu, son devoir. Alors ma femme sest agenouillée sur le lit et me tournant le dos elle ma désignée sa terma. Je navais jamais touché ma femme de ce coté ci. Cétait inédit pour nous, alors jai caressé ses belles fesses et son anus, déjà assez ouvert et palpitant. Ma femme avait une très belle terma, blanche et charnue et dans cette position, je pouvais distinguer, pour la première fois, un peu de son cul rose et cela a donné un choc érotique à mon zob qui sest aussitôt gonflé encore plus. Cétait un tableau nouveau mais tellement excitant, cette terma offerte et cet anus palpitant. Alors, jai caressé ses fesses et avec un peu de salive, jai lubrifié mon zob et jai léché sa raie et son anus. Cétait nouveau pour moi mais très excitant et jai foncé. Empoignant ses hanches dune main, le zob dans lautre, je lai enfoncé dans le cul de ma femme. Il sest enfoncé directement jusquaux couilles. Une jouissance formidable, nouvelle et tellement forte que je suis resté un moment, enfoncé et immobile dans le cul de ma femme. Elle a secoué son derrière, alors jai pris le rythme quil faut. Jai démarré en vitesse mes vas et viens aussi puissants que je pouvais, et en donnant de grands coups de reins. Chaque fois que je menfonçais, jattirais avec force le derrière de ma femme contre mon ventre et je hurlais mon plaisir. Elle aussi semblait jouir car elle hurlait autant que moi. Cétait inédit et je nai jamais eu autant de jouissances que ce soir avec ma femme. Son cul menchantait et me convenait mieux que sa chatte. Et cest devenu, par la suite, la meilleure habitude de nos relations sexuelles. Chaque fois quon avait du vague à lâme ou un peu de sentiment, on faisait lamour avec une belle sodomie. Même ma femme jouissait avec moi car, bizarrement, ce nétait quainsi que ma queue se gonflait au maximum et éjaculait en abondance. Je le sentais bien et ma femme aussi. On a essayé par la chatte, mais je narrivais jamais à gonfler autant ma bite comme il faut, par contre, dès que ma femme moffrait sa terma, mon zob se réveillait, je ny comprenais rien mais nous en profitions. Il a fallu ces soirées avec les maliens pour, enfin, trouver lacte sexuel complet qui nous faisait bien jouir, ensemble, tous les deux. Pour le reste des plaisirs, nous profitions de nos soirées avec les autres. Ma femme jouissait largement avec ses deux maliens, par devant et par derrière et souvent plusieurs fois par nuit. Et moi aussi, je profitais des maliennes qui réussissaient à me faire bander et jouir. Donc tout était parfait. Et entre nous, ma femme et moi, quant on voulait se faire plaisir, on se faisait une petite sodomie avant de nous coucher. Notre séjour sest continué ainsi dans le travail et le plaisir et à nous avons demandé le renouvellement de notre contrat pour lannée suivante.
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