Beau-Papa Chapitre 8. Lucie Découvre Que Claude Est Un Véritable Etalon.
Beau-papa
Chapitre 8.
Lucie découvre que Claude est un véritable Etalon.
Mais plus je mapplique, plus je sens croître et grossir ce pal, je dois reculer mon visage de son bas-ventre contrainte et e car son organe atteint une taille considérable, je peux même poser mes deux mains sur la hampe sans pour cela arrêter de la sucer. Quel chibre !!!
-Retire-lui son bandeau Ingrid !
Suite :
Je vois enfin lheureux possesseur de cette poutre hors-normes. Je suis stupéfaite en découvrant le jeune homme malingre, dune stature mince, presque délicat, qui était assis dans le fauteuil.
Je réalise soudain que ce que tenait dans sa main monsieur Paul devait être cette queue monstrueuse qui sortait de la poche trouée de son jeune voisin !
Linstant de surprise passé, je m'installe confortablement entre ses cuisses et reprends ma fellation, observant du coin de l'il ses réactions qui ne tardent pas, il mencourage :
- Continue ! Tu suces très bien... Ingrid, lèche mes bourses en même temps, j'adore ça...
Nous nous appliquons encore plus, répondant à ses souhaits, les devançant même. Nous nous mettons face-à face la bouche collée sur sa verge quil fait glisser entre nos lèvres. Ma langue parcourt son sexe de bas en haut, s'attardant sur ses bourses.
Je le reprends en bouche, il sagrippe à mes cheveux et ondule du bassin accompagnant mes mouvements de tête de ses mains mais je ne peux en supporter quune infime partie, crachant et métouffant quand il essaie daller plus loin.
Déçu, il présente son engin à Ingrid qui sous ses airs dinnocence ma lair dune sacrée salope.
A Chaque coup de reins, il senfonce un peu plus loin arrivant presque à coller les lèvres dIngrid contre son bas-ventre.
Mais comment peut-elle faire ça sans cracher tripes et boyaux ?
Pendant des minutes interminables, nous nous escrimons sur son sabre quand enfin il mordonne dun ton autoritaire:
- Suce-moi.
Toute excitée, j'ouvre la bouche et me jette sur son sexe tout en le caressant et pétrissant ses bourses.
- Ooouuuiii... c'est bon!!!! Aaahhh ! Tu suces comme une pro... je vais jouir... continuuueee!! Ne t'arrête surtout pas!!!... arrrrrrhhh!!!
Des spasmes secouent sa verge et un peu de sperme s'écoule sur ma langue. Mais la suite de son éjaculation est si dantesque, sa jouissance si abondante que je ne peux en avaler quune infime partie avant de le repousser de toutes mes forces en toussant. Il prend alors sa verge en main et se branle pour entretenir la plus formidable éjaculation quil ma été donné de voir. Des jets continuent de sortir du méat quil dirige vers nos visages, les recouvrant de foutre. Jamais vu ça !
Jentends comme dans un état second monsieur Paul faire ses commentaires à Jean :
-Pas mal hein ? Il bat tous les records. Mais tu nas encore rien vu !
Mais moi, je vois !!! Je vois que malgré sa jouissance, cette tige pharaonique ne baisse pratiquement pas la tête. Ah ! La fougue et la vitalité de la jeunesse !!!
Il nous fait nous relever et je réalise que je suis plus grande que lui. Par rapport aux deux autres hommes, il doit bien faire une tête de moins rendant encore plus incroyable la proportion de sa verge.
Il membrasse dans le cou, ses baisers descendent sur mes seins beaucoup plus volumineux que ceux dIngrid puis mon ventre avant que sa bouche ne se pose sur mon sexe. Ses mains habiles remontent sur mes seins, les malaxant pour les faire durcir et redescendent ensuite vers mon entrejambe, effleurant mon petit bouton plusieurs fois. Lexcitation ne me quitte plus et mon sexe se lubrifie encore annonçant un nouveau point de non retour.
Je me laisse aller sur le lit, il revient à la charge et je retrouve dans ses gestes la douceur des caresses de Jean. Sa langue commence à fouiller mon intimité pendant quIngrid se charge de me prodiguer des caresses sur ma poitrine et de me faire goûter sa salive dans un baiser entre filles.
Je sens une onde de plaisir irréversible monter en moi. Une véritable explosion de plaisir vrille mon corps. Soudain monsieur Jean donne de nouveaux ordres :
-Ingrid ! Attache Claude et fais voir à Lucie comment se servir des accessoires fixés au lit !
En servante dévouée à son maître, elle étend Claude sur le lit et fixe lextrémité de ses quatre membres aux montants du lit puis détache des anneaux du toit de lit et les laisse pendre avant de me suggérer :
-Regarde et observe bien comment je fais puis ce sera ton tour, je ne te demanderai pour linstant que de tenir sa verge à la verticale, pour le reste, je te fais confiance
Le bout du gland touche pratiquement la poitrine du jeune homme, je me saisis avec précaution de la hampe à deux mains et la redresse, mes doigts sont loin den faire le tour. Ingrid sest assise sur son ventre, les jambes allongées contre les siennes, elle se saisit des anneaux et se hisse à la force des bras.
-Vise bien Lucie !
Elle se laisse redescendre et sempale sur le pieu dantesque telle une suppliciée du comte Dracula. Ses grandes lèvres en forme dailes de papillon sont entrainées par le pal formant une dépression sous la poussée inexorable de cet obélisque. Jai mon visage à moins de vingt centimètres de cet incroyable spectacle et quant à la force des bras, elle se soulève avant quil ne la déchire, la peau tendre de sa vulve suit le sens inverse et épouse sur plus de deux centimètres le chibre si épais. Son coquillage passant de cratère profond au volcan à la chambre magmatique complètement obstruée par le braquemard de Claude.
Je profite de chaque occasion où elle « déchausse » pour enduire de ma salive la teub et en goûter les sécrétions intimes des deux protagonistes avant de réaligner le missile et la cible.
Lexercice est assez fatiguant pour la femme et elle me demande de la relayer.
Je prends la position et descends à mon tour au devant du braquemard tenu par Ingrid.
Pour la taille ça va car Ingrid veille au grain en tenant ferment la verge à la base pour en réduire la longueur qui doit largement dépasser le quart de mètre.
Mais lépaisseur de ce vit est encore un cran supérieur de ceux de Ben et de Pierre. Je ne me suis jamais senti aussi pleine, aussi remplie.
Claude a le beau rôle, ne se fatiguant pas mais nous devons nous relayer de plus en plus souvent sur son axe dairain en évitant de descendre trop bas, et pourtant nous échouons à lamener au plaisir.
-Détachez-moi les filles ! A moi de faire un peu dexercice !
Sitôt détaché, il nous positionne sur le dos au bord du lit, les jambes dans le vide. Il me murmure à loreille :
- Ne t'inquiète-pas Lucie, je serai très doux... laisse-toi faire...
A suivre
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