Rendez-Vous Coquin Dans La Garrigue. Premier Chapitre.
Une nouvelle histoire qui prend jour en parallèle de celle que j'ai commencée il y a peu sur ce site.
Elle existe grâce à un auteur bien connu "Le matou Libertin" qui m'a encouragée et accompagnée dans ma création.
Il m'a très gentiment proposé d'écrire une autre histoire à quatre mains.
Voici le premier chapitre de cette nouvelle histoire, qui j'espère, vous plaira.
J'attends vos commentaires.
Sofie
Marie/Sofie
La journée sannonce belle.
Paul, mon mari est photographe. Il passe beaucoup de temps à travailler ses photos sur son ordi. Il sagit le plus souvent de photos de moi. Je ne sais combien de photos il doit avoir, mais il nen a jamais assez.
Nous sommes très libres. Paul nest pas jaloux. Au contraire il mencourage à avoir des relations adultérines. Cest un « cochon » candauliste qui ne moublie pas pour autant. Il adore me voir faire lamour avec un autre partenaire.
Pourquoi pas
Cela me permet de lui faire plaisir, et surtout, de me faire plaisir. Il ne ma pas été facile de me lâcher, de faire lamour avec un autre homme. Je nai pas été éduquée dans cet esprit. Il a fallu que jattende ma cinquantaine épanouie pour moffrir un plaisir interdit jusque-là.
Si Paul nest pas présent pendant mes escapades, il exige que je lui raconte tout, avec force détails. Ça lexcite et me fait aussitôt lamour.
Finalement cela ne peut pas faire de mal que de se faire du bien.
Gérard, notre ami et, accessoirement mon amant, ma envoyé un sms pour me demander si jétais libre pour un pique-nique.
Je me doute pourquoi.
Le coquin veut me baiser !!!! Et, je ne suis pas contre. Cest un bel étalon qui sait prendre son temps pour me donner du plaisir. Je dois le retrouver dans la garrigue, près du relais. Il se charge de tout.
Je préviens Paul que je vais mabsenter pour retrouver Gérard. Un large sourire illumine son visage et me serre fort dans ses bras, puis maccompagne jusquà la voiture.
Avant de démarrer, il me fait baisser la vitre pour me demander si je vais le retrouver au coin habituel
Ce que je lui confirme avec un grand sourire coquin.
Gérard
Jai rencontré Marie lan passé quand jétais en séjour naturiste sur la côté languedocienne.
Je déambulais tranquillement parmi les badauds en suivant du regard une jolie brune qui marchait devant moi
Le roulis de ses hanches un peu larges minspirait et je pensais que cela serait bien agréable de faire connaissance
et plus si affinités (comme il est de coutume de dire
).
Soudain, le haut talon dune de ses chaussures a cassé et je me suis précipité au secours de cette femme qui avait manqué de tomber
De fil en aiguille, nous avons bavardé à la terrasse dun café et lié connaissance : en fait, la jolie brune dont je suivais les déhanchements, était une quinqua aux cheveux mi longs, aux yeux noisette dans un visage rieur
Elle avait ce quil faut aux bons endroits, une poitrine avantageuse et des hanches, je lai dit, un peu larges.
Quand je lui ai fait les compliments sur sa silhouette, elle ma répondu quelle trouvait ses hanches trop larges mais que cela était survenu après la grossesse de ses quatre s !
Donc
elle était mariée
et visiblement pas farouche pour me confier des détails intimes alors que nous nous étions rencontrés incidemment moins de dix minutes auparavant !
Jai laissé cette inconnue à la terrasse du café pour aller chercher ma voiture et je lai retrouvée sur le trottoir de la Place de la Comédie : Elle mavait attendu alors quelle aurait très bien pu disparaître.
Marie habitait un peu en dehors de la ville dans un mas perdu au milieu de la garrigue.
Sur le chemin du retour, elle ma fait arrêter dans un chemin creux dans les vignes en disant quelle devait me remercier de ma gentillesse.
Et cest là quelle ma fait une fellation danthologie en buvant mon sperme jusquà la dernière goutte.
Jai revu Marie à plusieurs reprises au cours de mes deux semaines de séjour et jen ai fait ma maîtresse
Nous nous retrouvions sur une des plages puis après quelques temps nous nous esquivions pour faire lamour dans un coin discret au milieu des roseaux ou, lorsquelle ne pouvait pas aller jusquà la plage, elle mavait indiqué un cabanon de vignerons pas très loin de chez elle...
En ce début de printemps, jai voulu profiter dun weekend prolongé pour descendre à Montpellier pour rencontrer un entrepreneur qui doit effec des travaux dans le studio que je compte mettre en vente.
Marie avait répondu favorablement à mon SMS. Je devais la retrouver à notre lieu habituel de rencontre dans la garrigue
Jétais impatient de la retrouver
à plus de cinquante ans, je naurais pas su trouver de maîtresse aussi ardente
avide de baisers, de caresses et de jouissances diverses. Mais aussi, une femme totalement libérée des tabous et disant que son mari lencourageait à avoir des amants
Marie/Sofie
Jétais impatiente de retrouver Gérard. Il nest pas avare de baisers, de caresses et toujours prompt à me faire jouir de toutes les manières possibles. A chaque rencontre, il innove et me fait découvrir un orgasme différent. Jadore baiser avec lui.
Un jour Paul mavait proposé dinviter Gérard à la maison afin de faire connaissance car si il baisait sa femme, il devait être un homme intéressant à fréquenter. Cest comme cela quils sont devenus amis. Mais, cest une autre histoire que je vous raconterai peut être un jour
.
Je suis rapidement arrivée à notre petit coin à nous où nous avons si souvent fait lamour. Jétais toute excitée et je dois avouer, toute mouillée à lidée de retrouver mon coquin. La voiture de Gérard était déjà là. Je me suis garée à côté de sa voiture de location et je suis rapidement sortie de mon véhicule. Jai vérifié mon maquillage. Un petit coup de rouge à lèvres. Jai défroissé ma petite robe courte que je portais sans sous-vêtements, bien évidemment, et jétais prête
Je nétais pas encore tout à fait arrivée à notre point de rencontre que japerçus Gérard.
Une fois nos retrouvailles entamées, il me présenta notre petit coin de paradis, un coin perdu au milieu de la garrigue, que les senteurs de thym et de romarin finissaient de rendre magique. Il avait étalé une nappe rouge et blanche et disposé quelques provisions avec une bouteille de champagne bien fraîche, prête à déguster
Gérard
Nos voitures sont garées dans ce chemin creux qui lan passé nous avait accueillis lorsque nous avions fait connaissance. Nous savions trouver dans un repli de terrain une cabane en pierres sèches qui servait dabri aux ouvriers travaillant dans les vignes et, accessoirement aux randonneurs, surpris par une malencontreuse averse. Devant, il y avait un petit terreplein herbeux sur lequel javais disposé une nappe rouge et blanche et les provisions pour notre pique-nique
Mais aujourdhui
il fait un soleil radieux et la Tramontane ne souffle pas
et jattends Marie avec impatience. A-t-elle réussi à échapper à son mari dont jai fait connaissance
et qui me semble être un fameux coquin !
OUI
Elle est là, elle sort de sa voiture et fait virevolter sa courte robe pour me montrer que dessous, elle est nue
Quand je disais quelle était une femme totalement libérée des tabous qui brident la société, je ne me trompais pas
Nos retrouvailles après tous ces longs mois sont particulièrement chaudes
Dès que Marie est dans mes bras, je lenserre et la presse contre mon torse puis je laisse glisser mes mains pour relever sa courte robe et empaumer ses fesses nues. Waouh
que cest bon
Caresses, baisers mouillés se suivent et Marie se met à genoux devant moi pour aller chercher mon service trois pièces dans mon pantalon
Bien évidemment je suis nu aussi
Quand je vais à un tel rendez-vous, jévite les complications inutiles quun slip, aussi mini soit-il, peut consti !
Bref, Marie commence une fellation baveuse qui fait dresser rapidement mon sexe qui va jusquau fond de sa gorge
car après quelques allers-retours, elle mavale entièrement dans une gorge profonde qui achève mon excitation
Décidément, Marie est une maîtresse dont on ne se lasse pas
Un corps généreux avec des formes un peu opulentes mais très agréables (comme pour moi, lâge est là
) un appétit sexuel sans commune mesure avec des femmes plus jeunes
et une inventivité sans borne.
Nest-ce pas elle qui a suggéré ce lieu de rencontre que nous connaissons déjà pour lavoir fréquenté deux fois lan passé ???
Aussi délicieuse que soit sa bouche, je marrache à lappétit glouton de Marie
Je ne veux pas me vider ainsi ! Je la relève et jouvre le haut de sa robe qui cache deux beaux fruits bien murs dont jagace les tétons du bout de mes ongles pour les faire dresser au milieu de laréole.
Ses baisers redoublent
Ses lèvres sécrasent sur les miennes, la langue de Marie force ma bouche et nous nous livrons à une bataille humide alors que nos langues se livrent un ballet sensuel
La robe ne tarde pas à tomber, sétalant aux pieds de Marie dans une sorte de corolle blanche dont elle émerge, splendidement nue
Je me débarrasse rapidement de mon pantalon et de ma chemisette et je suis face à Marie, dans la même nudité quelle !
Qui peut nous surprendre dans ce lieu caché aux regards indiscrets
Personne ne travaille encore dans les vignes
à moins de connaître lexistence de ce cabanon, nous sommes tranquilles !
Entièrement nus tous les deux, nous nous installons côte à côte près de la nappe
Jouvre la bouteille de champagne qui est au frais dans un emballage ad-hoc et nous trinquons à notre rencontre
Tout en buvant, nous picorons dans les différents plats et sans être pressés par le temps, nous arrivons au dessert : des fraises les premières gariguettes et une bombe de crème chatilly
Malencontreusement, en agitant la bombe de crème, jai appuyé sur le bouton de vidange et deux giclées vont sécraser entre les seins de Marie.
Nous éclatons de rire et je lui dis :
- Imagine que ce soit mon sperme qui tait inondée de la sorte !
Marie/Sofie
Je reconnais bien là mon Gérard, si galant avec un don de lorganisation sans pareil. Son petit coin damour était magnifique
Mais je nétais pas là que pour ça. Il y avait autre chose qui mintéressait en premier lieu : son « service trois pièces » !!!!
Je tombais à genoux pour mapprocher de sa virilité dont je pouvais deviner, sans équivoque, ses contours à travers un léger pantalon. Une queue que jextirpe facilement de son vêtement car Gérard, le coquin, navait pas mis de slip pour davantage de praticité. Je pris en main son sexe déjà gonflé, mais qui ne demandait quà grossir encore. Je commençais à en lécher le gland avec gourmandise, avant de lavaler dans une fellation bien baveuse et profonde. Je vouais une adoration à cette queue qui mavait déjà donnée tant de plaisirs et de jouissances. Je sentais sa bite gonfler de désir dans ma gorge. Gérard ne bougeait plus. Il me laissait le pomper à mon rythme. Son gland était maintenant énorme et je ne pouvais plus le gâter comme jaurais aimée.
Gérard se libéra de ma bouche et me souleva pour membrasser à pleine bouche. Sa salive se mélangeait à la mienne pleine de lodeur de son sexe
Il me regarda avec un grand sourire et défit quelques boutons de ma robe pour titiller mes tétons durcis par mon désir envahissant. Ma robe blanche légère ne résista pas aux doigts coquins de Gérard et finit rapidement à mes pieds. Je me retrouvais ainsi nue devant ses yeux gourmands. Un grand frisson me traversa le corps.
Aussitôt Gérard se déshabilla et nous nous retrouvâmes nus tous les deux. Gérard me fit signe de masseoir sur la nappe et ouvrit la bouteille de champagne. Une « coupette » bien fraîche était la bienvenue.
Nous trinquâmes à nos retrouvailles.
Gérard me décrivit le menu quil avait préparé à mon intention. Un pique-nique gourmand. Il me fit goûter chaque produit quil avait tout particulièrement sélectionné sur le marché ce matin : une tomate cerise, un morceau de fougasse aux anchois, du houmous pioché avec un gressin, un petit morceau de Manchego, du jambon Serrano, des petites billes de melon et des fraises, les premières gariguettes
Pour accompagner celles-ci, il avait prévu de la crème chantilly. Une délicieuse crème artisanale en bombe.
Malencontreusement, en agitant la bombe, Gérard fit une fausse ( ?) manipulation et une giclée de chantilly vint méclabousser les seins
Gérard me suggéra avec un regard malicieux que cela pouvait être une giclée de sperme
Je neus pas besoin de beaucoup dimagination pour voir à quoi il faisait allusion. Aussitôt, je recueillis la crème avec mes doigts et fis glisser ceux-ci dans ma bouche en les léchant avec gourmandise et en fixant Gérard dans les yeux
Le pauvre, je voyais bien quil nen pouvait plus. Son sexe était tendu
Dis, mon cur joli, aimerais-tu finir de nettoyer mes seins avec ta langue
? Gérard ne se fit pas prier. Mais, auparavant, il me renvoya une giclée de chantilly sur le corps.
Nous avons oublié les fraises
.
Gérard.
Nous nous étions assez amusés.
Désormais, je suis maître de la manuvre
.
Jai bien visé avec ce dernier jet de chantilly
Les seins sont nappés de cette crème blanche qui tranche sur la peau halée de Marie
Jaime le contraste
mais cest dautre chose dont jai envie
je couche Marie sur une couverture étendue là : elle nous attend !
Je me mets au-dessus de ma maîtresse et de ma bouche gourmande, je lape la crème sans oublier daspirer les tétons qui se dressent insolemment au milieu des seins ronds, généreux et encore très fermes.
Je relève la tête et je lis limpatience de Marie dans ses yeux
Mon sexe bandé à mort pend sous mon corps
Jagis avec patience, retardant le moment où je vais pénétrer le sexe de Marie, qui, je le sais est déjà nimbé de cyprine
Je prends lentement lascendant sur ce corps qui nattend que ça !
Ma bouche prend possession de ce sexe qui souvre sans contrainte
Jagace le clitoris et glisse ma langue entre les lèvres intimes puis je me redresse
Je musarde quelques instants du bout de mon sexe entre les lèvres intimes de celui de Marie, agaçant à nouveau le clitoris qui est dardé hors de son capuchon
(je moccuperai de lui un peu plus tard) et lentement jentre dans ce puits damour chaud et humide qui souvre à ma pénétration
Mon gland hyper tendu par lexcitation ouvre facilement sa voie et bientôt nous ne faisons plus quun, nos bassins collés lun à lautre, sexe mâle dans le sexe féminin
Dans les yeux noisette de Marie, je lis comme un message silencieux : « quest-ce que tu attends ? »
Et je commence à lui faire lamour
Mon sexe va et vient dans sa conque, lentement pour que ma maîtresse me sente bien
puis jaccélère mes mouvements
Marie/Sofie
La langue, les mains, le sexe de Gérard me bouleversent. Je ne sais plus où jen suis. Je ne suis plus quun sexe entre les mains de mon amant qui peut en jouer, en jouir comme bon lui semble. Je mabandonne les yeux fermés. Cest trop délicieux.
Alors que lespace dun instant, jouvre les yeux, japerçois un homme qui nous observe
Après un instant de crainte, je me mets à sourire. Cest Paul, le coquin candauliste qui est venu pour mater et filmer nos ébats
Je referme les yeux tranquille et sereine, pour repartir en voyage avec Gérard qui fait monter lentement mon plaisir
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