Le Dressage
Cela faisait maintenant plusieurs semaines que suite à la partie de poker, je partageais mes périodes de déjeuner avec Marielle à raison de plusieurs fois par semaine. Nous nous retrouvions dans son petit studio au centre-ville vers 12h30 et nous abandonnions lune à lautre. Elle avait hérité de ses parents, et lutilisait régulièrement avec ses nombreux amants. Pour ma part et après des années de libertinage, javais finalement une relation adultère sérieuse en plus avec une femme. Richard, navait toujours pas digéré la partie de poker. Non pas de devoir regarder sa femme se faire baiser par un autre homme, ce qui habituellement lexcité, mais plutôt dans un élan dorgueil masculin, davoir perdu dans un face-à-face viril avec un rival qui avait tout fait pour le provoquer. Nos relations étaient donc un peu tendues et donc jen profitais pour mabandonner entièrement dans les bras de Marielle, avec qui je faisais lamour comme une folle. Elle me faisait découvrir un univers, dérotisme et de fantasme et une sexualité que jignorais jusque la. Elle possédait mon corps, mais aussi mon âme, et mavait rendue totalement addicte. Jacceptais tous ses jeux ou fantasmes les plus pervers. Elle ne scénarisait pas que nos rencontres, mais aussi la préparation, me demandant daller acheter un vibro dans tel ou tel magasin, ou des dessous dans un autre. De me prendre en photo dans des cabines dessayage dans des positions douteuses
Ce jour-là, nous nous retrouvions dans lappartement, avant que je puisse exprimer quoi que ce soit, elle mavait attrapé membrassant avec fougue
- Tu es en retard ma petite boniche
Viens vite sur le lit
- Oui, je narrivais pas à me garer, donc jai dû marcher un peu
Dailleurs, il me semble que jai croisé Christophe qui passait devant limmeuble
- Tu es sûr que cétait lui, demanda Marielle, tout en continuant à membrasser et me caresser
- Oui, absolument, je crois que celui-là, je ne suis pas près de loublier
- Soyons discrète en repartant alors
Tout en me déshabillant, enlevant ma robe me gardant juste en dessous
- Tu nas toujours pas récupéré ta culotte ?
- Chut, tais-toi ma belle, ne toccupe pas de tout cela vient sur moi
Nous étions toutes les deux sur e lit, elle en dessous et moi au-dessus, chacune la tête entre les cuisses de lautre
Elle enfonçant sa langue en moi alors je faisais de même.
- Non mais quest ce que tu fais ici, et comment es-tu rentré ???
- Salut les filles quelle belle surprise de voir toutes les deux ici, je dois tavouer que javais fait un double des clés
- Sorts de chez moi tout de suite, je ne tai pas invité
Jessayais de me relever, mais dune main-forte, il mappuyait sur le dos me maintenant sur ma maîtresse
« Toi la pouliche, ne bouge pas dici et continue à gouiner ta copine
»
- Et bien se serait avec plaisir, mais comme tu ne réponds ni à mes SMS ni à mes appels, jai pensé quil serait plus simple de régler nos dettes en direct, quen penses-tu ? Ça fait maintenant deux mois que jattends que tu viennes chercher ta culotte, pour payer les dettes de jeu de ton mec
- Jallais le faire, Christophe, je nai juste pas trouvé le temps
- En tout cas, tu trouves du temps pour te faire lécher le minou par ta belle bourgeoise
Faut dire quelle a toujours un aussi beau gros cul
Dit-il, avec une vue imprenable sur mes fesses en mon entre cuisses, terrain de jeu de la langue de Marielle
- Elle ta toujours bien plu ma copine, avoue-le ?
- Oui, javoue quelle me plaît bien à ta boniche
Je vais peut-être moccuper delle en attendant
Dit-il en passant sa grosse main calleuse sur mes fesses
Continue de la sucer Patricia, mets du cur à louvrage
- Je tinterdis de la toucher, elle est à moi, si tu la veux, va falloir être plus aimable
- Quest-ce que tu proposes, ma belle ?
- Sa culotte, contre la mienne, je te la donne pour 2 heures au club, et en bonus, cest moi qui te la prépare
- Marielle !!!! Comment tu peux, MMuuummmmmummu », Christophe mavait replongé mon visage entre les cuisses de Marielle
- - Silence, la pouliche, active-toi à la tâche
Hummmm, cest tentant, cest vraiment très tentant Marielle
- Comme je connais bien tes goûts, je tassure quelle sera parfaite pour jeudi, avec tout ce que tu aimes
- OK, mais va falloir quand même que tu me payes les intérêts de retard, alors, jaccepte, mais tu vas me sucer pendant quelle te gouine et après, on sera quitte
Sans une parole, il sortit son sexe, je pouvais sentir entre mes cuisses la bouche de Marielle, quil alterner une pipe pour Christophe et un cunni pour moi.
- Regarde comme elle aime cela ma catin, tu laimes son gros cul
Il va être tout à toi
Quant à toi Patricia, il faudra être bien sage, tu vas donner ton string à Christophe, et tu devras ramener mon tanga et ton string
Tas compris ma boniche
- Huummmmmm, Hummmmmmmm,
je continuais à sucer la maîtresse, sentant sa langue en moi. De temps en temps, elle prenait le sexe de Christophe et frottait le gland contre mes fesses, à lentrée de mon vagin et sur mon petit trou
- Regarde son petit anus, comme il a lair dêtre affamé
.
- Ohhhhh, tes vraiment la reine des putes, ouvre la bouche, je tiens plus
.
Il jouit dans la bouche de Marielle
Toute sa semence
Son liquide chaud
Elle me retourna, se dressa au-dessus de moi mouvrit la bouche et recracha le sperme de Christophe dans ma bouche
- Pour que tu reconnaisses bien le goût
Maintenant Christophe, tu sors, je tenverrai les instructions demain par mail, de préparation
Il menleva mon string, le prit avec lui et sortit, « Maintenant, je vais moccuper de toi ma belle
». Marielle, me recoucha sur le ventre, sallongea sur mon dos pour frotter son sexe sur moi. Elle continua pendant de longues minutes jusquà ce que jatteigne un nouvel orgasme
Le jour qui suivit, je me rendais chez Marielle, selon ses instructions pour une séance dessayage. Grande cavalière, elle participait à beaucoup de concours et notamment de dressage dans lequel elle excellait. Elle avait donc un équipement complet, dun plus grand goût, quelle mavait préparé. Nos mensurations étant à peu près identiques, il ne devait pas y avoir de problème de taille. Léquipement de cavalière était composé dun pantalon blanc, une chemise blanche avec cravate, une veste noire très cintré, une résille pour attacher les cheveux ainsi que des bottes en cuir noire et des gants noirs.
La chemise blanche cintrée et élastique avait une fermeture à l'avant avec 4 boutons, deux poches avant et une bande scintillante au niveau du col, le tout soutenu par une cravate de concours gaufré à nouer, classique en beau tissu piqué et gaufré.
Jenfilais tout léquipement et me regardais dans la glace de la chambre de Marielle. Le résultat, était époustouflant, et cela, malgré mes 50 ans passés et mes kilos en trop. Tout le costume était un appel au sexe, mettant en valeur de manière exagéré mes formes pulpeuses. Je pouvais voir mon amie me regardait avec gourmandise
Elle se positionna dans mon dos et me saisit par-derrière.
- Tu mexcites trop ma belle cavalière, jai trop envie de toi
Viens ici
Elle me bascula sur son lit, baissa mon pantalon écarta mon string et plongea son visage entre mes jambes
Jeu droit à un cunnilingus appliqué de ma copine pendant de longues minutes, qui menvoya vers un orgasme explosif
Une fois apaisé, je me rhabillais et rentrais chez moi avec mon équipement ainsi quune grande enveloppe que je devais remettre à Christophe le lendemain
Je passais la soirée seule à la maison, Richard ayant un diner à lextérieur, je me couchais un peu avant 23h me levant tôt le lendemain devant me préparer pour mon rendez-vous de 10H.
Le centre équestre propriété dun aristocrate de la région et géré par Christophe, était situé à proximité de la ville, en bordure du canal et disposait de nombreuses installations : manèges couverts, deux carrières, des paddocks pour les chevaux et les poneys, une quarantaine de box intérieurs et extérieurs, un club house, une sellerie, des douches pour chevaux, et une forge. A l'extérieur, une grande maison abritait les bureaux, le club house ainsi que les logements de Christophe et des deux palefreniers. On trouvait également, une carrière de 2 500m² éclairée, une autre carrière plus petite, un cross en construction et plus de 10 hectares de prairies qui regroupaient les paddocks pour les chevaux et le pré des poneys. Un environnement idéal pour profiter de toutes les activités, par tous les temps. Les box se répartissaient pour une quinzaine dans une écurie intérieure et pour le reste à lextérieur répartit de chaque côté dune grande allée, appelait « La Rue »
Au bout de la Rue, se trouvait un immense tas de fumier de cheval destiné à enrichir les terres agricoles. Plusieurs tonnes de fumier venant de la litière usagée prélevée dans les écuries et composée de paille et de crottin étaient récupérées au club hippique et redistribué aux agriculteurs et les jardiniers amateurs, afin denrichir les sols.
Le centre équestre proposait un vaste choix de disciplines, aussi bien à cheval quà poney : saut, Cross, Randonnée et notamment le dressage.
À mon arrivée le matin, je garais ma voiture sur le parking vide, et me rendais complètement apprêté vers le bureau de Christophe qui devait mattendre. Le club étant fermé tous les jeudis matin, les lieux étaient complètements déserts. Je rentrais dans la maison et dans le bureau où se trouvait Christophe entourait de ses deux palefreniers
- Bonjour ma belle, je vois que tu es ponctuelle, et que Marielle ta bien préparé
Tu es époustouflante en cavalière, je vois quelle a choisi le thème du dressage pour le costume
. Ça tombe très bien, ça va être très adaptée à notre matinée. Je ne te présente pas Alban que tu connais bien, son collègue est Lucien, mon palefrenier en chef, ancien jockey qui va soccuper de toi ce matin
Jétais debout au milieu du bureau entièrement en tenue avec mon feutre sur la tête. Les deux palefreniers tournaient autour de moi, chacun ayant une cravache dans la main, mobservant, me scrutant comme on scrute un animal ou une proie.
- Tu dois avoir une enveloppe pour moi, ouvre-la, et lis-nous le contenu.
Je mexécutais et ouvris lenveloppe de Marielle et lu à voix haute.
« Ma Chère Patricia, tout dabord merci pour avoir pris ma place. Mon ami Christophe ta organisé une séance spéciale. Comme ton costume lindique il sagit dune séance de dressage. Il va falloir te plier aux consignes et être très obéissante. Tu es sa pouliche pour la matinée. Reviens-moi vite ma belle, et noublie pas mon Tanga. Ta Maîtresse. »
- Les règles sont simples, Patricia. Les culottes sont quelques parts dans le manège, tu as une heure pour me les rapporter. Pour pimenter ta recherche, tu seras poursuivie par mes deux acolytes. Si, ils tattnt, tu subiras une séance e dressage de 10 minutes et sera ensuite relâchée. Si tu es de retour avec les deux culottes dans lheure alors tu seras libérée de ta dette. Dans le cas contraire, ces messieurs auront le droit dutiliser ton corps de pouliche avec les mains uniquement. Tu as droit à 2 minutes davance, donc je te conseille de courir très vite
Je sortais rapidement du bureau, et courais vers le manège. Ne connaissant pas bien les lieux, je décidais de me cacher. Je traversais la rue avec les box de chaque côté et décidais de me cacher dans un le dernier box qui était ouvert. Je fermais discrètement la porte afin de ne pas attirer lattention et me cachais dans le coin du box attendant quils passent. Ils passèrent après quelques minutes, jattendais quils séloignent avant de sortir pour me faufiler et rechercher les 2 culottes. Discrètement, jouvrais la porte, et me sortais, marchant le long des box pour me diriger vers le manège quand un violent coup de cravache sabattit sur mes fesses !!! Lucien sétait caché derrière les box
Il mattrapa par le bras, et mattira vers lui
- Vient ici ma pouliche, pour ta première séance de dressage
Il me passa autour du cou des brides de dressage en cuir avec caoutchouc à l'intérieur et bouclerie en laiton quil fixa solidement. Une fois attaché, il mentraîna vers la sellerie me poussa vers lintérieur et referma la porte. Tout autour de la pièce, on trouvait une multitude de selles et en son milieu des tréteaux en bois. Il sagissait de Porte-Selles pour Tréteau procurant un maintien parfait pour selles amazones ou western. Il me poussa vers lun deux avec une selle western et me demanda de grimper dessus. Une fois, dessus, il enroula la bride autour de la corne afin de me maintenir pencher en avant et dabsorber ma résistance. Il me plaça les pieds dans les étriers et me demanda de prendre la position, assise sur l'arrière de la selle, le buste reculé, et les jambes en avant. Il riait regardant le spectacle de cette bourgeoise en tenue de dressage super chic avec son feutre sur la tête, ridiculement assise sur une selle et un tréteau. Ne trouvant pas ma position correcte, il mappliquait des coups sur ma croupe surélevée avec une cravache d'équitation noire dune longueur de 80cm qui était recouverte de nylon tressé.
- Attends-je vais taider à trouver la bonne position la jument
Il écarta ma veste, ouvrit mon chemisier laissant apparaitre mes gros seins juste protégés par mon soutien-gorge en dentelle blanche à balconnet, et entre lesquelles se balançait ma cravate. Il me palpa mes seins sous prétexte de me faire prendre la bonne position
avec sa main droite tout en continuant à mappliquer un grand nombre de coup de cravache sur les fesses. Au bout de 10 minutes il me laissa enfin repartir.
Je sortais en courant refermant au passage ma chemise et ma veste, sentant les stigmates de la cravache sur mes fesses qui devaient être bien rouge. Je passais devant le tas de fumier quand japerçus tout en haut du tas une fourche plantée avec en son somment la culotte de Marielle. Le tas faisait 2 mètres de haut, et sentait trop fort le crottin de cheval mélangé à la paille putrifié depuis des jours. Sans perdre de temps je grimpais, essayant de ne pas me salir et dattr la fourche. Une fois la fourche en main, je fis glisser le tanga, ayant enfin récupéré un trophée
Je redescendais prudemment du tas de fumier quand un bruit cinglant resonna derrière moi, et je sentis quelque chose sur ma botte. Cétait Alban qui à laider dun fouet sétait saisi de ma jambe droite. Il utilisait une chambrière de dressage dont la flotte en cuir de vachette dépassait les 2 mètres. Il tira dessus, me faisant tomber de tout mon long sur le tas de fumier et mentrainant vers le sol. Jétais recouverte de fumier sur mes gants, ma veste et mon pantalon.
- Alors Madame Patricia, on est toute sale, venait avec moi on va nettoyer tout cela
Il me remit mon feutre sur la tête comme pour accen encore plus mon humiliation, et mentraina vers le hangar à écurie où se trouvait les douches. Je restais docile et silencieuse, fidèle aux instructions de Marielle. Une fois dans le hangar il mattacha les mains avec sa chambrière fixant le tout à un anneau dattache. Me reprenant le tanga le Marielle, il me le plaça dans la bouche afin de ma bâillonner... et pris une brosse dure
- Voici la séance de toilettage Madame Patricia, une belle jument comme vous doit rester propre et lustrée
Il utilisait le bouchon avec des mouvements courts et droits sur ma veste pour que les poils du bouchon pénètrent totalement la veste et le pantalon et fouettent la saleté. Une fois nettoyait, il mécarta les cuisses et passa sa main entre mes jambes.
- Après la croupe il faut toujours nettoyer le fourreau madame Patricia
Vous savez ce quest le fourreau bien sur
À la vue de la position de sa main, je pensais avoir compris. Il commença par le ventre et évolua doucement vers mon vagin. Il me malaxa lentre jambe sorientant vers quelque chose qui navait pas grand-chose à voir avec du toilettage mais plutôt à une masturbation en règle. Il mouvrit le pantalon passa la paume de sa main en dessous et explora mon vagin. Ses doigts tripotaient mes grandes lèvres. Je me tortillais debout devant lui, mabandonnant à cette partie de dressage inhabituelle. Les mouvements concentriques de ses doigts mamenèrent rapidement à une réaction orgasmique inattendue. Il me libéra enfin, me laissant toute chancelante, nettoyée mais avec pantalon et veste tachée. Il sorti le tanga de ma bouche le mis dans la poche de ma veste et me laissa partir.
Je sortais des écuries et me dirigeais vers le manège central. Lendroit était couvert et fermé pour permettre de travailler quel que soit le temps et possédait son propre système d'éclairage pour le travail de nuit. Les murs étaient garnis à leur base d'un « pare botte » et le sol était recouvert d'une substance meuble mélange de sable, de sciure de bois et de copeaux. Au milieu du manège un poney immobile avec une selle western, sur lequel je pouvais apercevoir ma culotte. Je me précipitais pour men emparer nayant plus beaucoup de temps devant moi. Une fois au centre du manège avec ma culotte en main jallais repartir quand japerçus Lucien et Alban, chacun positionné à une extrémité du manège bloquant ainsi toutes sorties. Jétais coincée. Aucune issue
Je ne savais pas comment faire. Je décidais dessayais descalader le mur, mais impossible. Les deux hommes sétaient rapprochés. Alban le plus proche sempara de moi. Il tenait dans la main une longe à tourner utilisée pour le débourrage ou pour le dressage Équipée d'une dragonne, il lentoura autour de ma taille et la fixa à laide du mousqueton
- Allez Madame Patricia, dernier exercice de dressage, le passage dobstacle et la serpentine. 2 tours de passage dobstacle.
Une grande sur mon cul, et il me poussa vers le mur pour commencer mes tours. Récalcitrante, je refusais de courir quand un grand coup de cravache sabattit sur ma croupe. Lucine juste derrière moi avait trouvé le moyen de me motiver. Je me mis à trottiner autour du manège. La scène était surréaliste. Moi en costume de cavalière, feutre sur la tête et botte, tachée de crottin, et tenue en longe par un jeune palefrenier alors que lautre me motivait derrière en me donnant des coups de cravache sur ma croupe. Sur le parcours était disposait des barres dobstacles par terre que je devais sauter au rythme des commentaires dAlban
- Allez !!!!! Allez !!!! On saute !!!! Plus vite !!!! On accélère !!!! Hummm quelle bonne pouliche
.
À la fin du second tour, jétais épuisée. Ils me libérèrent enfin de la longe.
- Faut quon te ramène ma pouliche, maintenant, un dernier exercice, le retour à lécurie de la pouliche et de son poney. Grimpe sur « Cacahouète » maintenant
Je grimpais sur le poney, obéissant aux deux palefreniers, espérant être de retour juste à temps
Une fois en selle, Lucien écarta ma veste et tira sur ma chemise jusquà la déchirer en deux, laissant apparaître mon opulente poitrine protégée par mon SG blanc lise charme «Art et Volupté ».
- Faut te tenir bien droite la jument, si tes mamelles ballottent tu prends un coup de trique ; tas compris.
Hochant la tête, jacquiesçais, et nous prenions le chemin des box. A chaque fois que ma position changeait, je prenais un coup de cravache sur la croupe de la part de Lucien. Une fois arrivée au box,, je descendais du poney, et sans pouvoir rien faire mes mains se retrouvèrent ligotée par la longe quil fixèrent au plafond afin de me tenir bras vers le haut.
Une fois « Cacahouète » attachée les 2 palefreniers se frottèrent à moi. Me caressant la poitrine, membrasant dans le cou, pelotant mes gros seins. La main dAlban replongea sous ma culotte, et reprit son travail de stimulation. Il jouait avec mon clito, alors que Lucien me tétait mes gros seins. Afin déviter toute protestation, il mavait remis mon string dans la bouche. Jétais totalement défaite, feutre sur la tête, chemisier déchiré, seins à lair, pantalon ouvert et baissé à lentre-jambe, et le tout salement décoré de fumier de cheval. Christophe nous regardait, laissant ses palefreniers jouer et r de mon corps. Alban se masturbait en même temps avec sa main, alors que Lucien frottait sa queue contre mes fesses. Je sentais que Christophe simpatientait, mais le spectacle de cette bourgeoise défaite à sa merci, abusée par ses employés lexcitait au plus haut point. Je le voyais me regardais avec délectation, gourmandise. Il allait pouvoir me prendre, dans cette situation totalement humiliante. Mon état, complètement défaite après cette heure de dressage était tellement paradoxal avec la qualité de ma tenue et ma position sociale.
- Détacha là et amené là sur la paille, on va finir sa séance de dressage maintenant
Alban me détacha, me poussa vers les bottes de paille, et me força à magenouiller devant Christophe qui me demanda de le sucer.
- Prends-moi en bouche ma pouliche, sois une bonne soumise et suce moi
Jétais agenouillée devant lui, dans ma tenue complètement défaite, seins à lair, avec ces trois hommes autour de moi, et un air complètement ridicule avec mon chapeau sur la tête, et la grosse bite de Christophe qui venait de pénétrer ma bouche. Il ne me laissa même pas le sucer, de sa main, il saisit mon chignon et ma résille et commença à me baiser la bouche. Des mouvements de va-et-vient rapide qui métouffait, alors que Alban me tenait les brais dans le dos, et que Lucien continuait à me palper mes grosses miches.
- Voilà, tu as trouvé ta vraie place pouliche, à genoux avec mon sexe dans la bouche.
- Quest-ce quelle est bonne patron, on pourra aussi se faire sucer
- Non, jai promis à son amie, mais tu me donnes une nouvelle idée
Christophe menleva mon feutre et mon string de la bouche pris la culotte de Marielle dans la poche de ma veste, et me recouvrit la tête avec, me recouvrant comme une capuche. Il replaça mon feutre. Il me retourna pour me placer à 4 pattes sur une botte de paille, et se positionna derrière moi
- Voilà, vous pouvez utiliser sa bouche maintenant, avec cette capote en dentelle, je tiens ma promesse.
Alban fut le premier à forcer lentrée de ma bouche au travers du Tanga de Marielle. Protégée par la culotte, il ne pouvait me pénétrer la bouche complètement, mais suffisamment pour y trouver un plaisir extrême. Christophe lui mavait pénétrée par-derrière. Baissant mon pantalon et mon string à mi-cuisse, jétais les cuisses serrées défoncée par sa bitte monstrueuse alors, que Lucien continuait à jouer de mes mamelles. Christophe me saccager les fesses tenant fermement ma veste dune main, et jouant dune cravache avec lautre pour e claquer le cul
- Allez la jument, bouge-moi ton gros cul !!!! Hue, Allez, fouette cochet
Des bêtes, des animaux en rut, déchaînés sur leur proie captive et soumise. Il me faisait jouir comme une folle. Alban jouit rapidement dans la culotte et maspergeant au passage les cheveux, laissant ensuite la place à Lucien. Ce dernier plus vicieux profita de la situation, pour écarter légèrement le tanga et glisser sa bitte au fond de ma bouche, me bâillonnant en même temps. Christophe ne sétait aperçu de rien, et Lucien à son tour me basait la bouche
Forte heureusement et beaucoup moins résistant qu'Alban, il me gicla au dans la bouche instantanément
Christophe changea de position me prenant sur ses genoux en amazone
- Allez, pouliche, une bonne cavalière doit savoir aussi monter en amazone, vient tasseoir sur ma bitte.
Assise sur lui il continua à me saccager dans cette position, tout en me malaxant mes gros seins. Je pouvais apercevoir les deux palefreniers jouer avec leur téléphone pour filmer la scène au prendre des photos, encouragé par Christophe « Oui, cest bien, ca nous fera de jolie souvenir de la bourgeoise, dressée
».
Il me retourna encore, me poussant couché sur le dos sur la paille, et ramenant mes deux jambes en lair, en me tenant les chevilles. Il me re pénétra et recommença ses va-et-vient. Il pouvait me voir jouir sous ses coups de reins et se penchait sur moi afin daugmenter les sensations au niveau de mon vagin, amplifié par le mouvement de son bassin. Mes bras, tendus au-dessus de ma tête, étaient maintenus par Alban qui se délectait de la situation. Christophe dune main me tenait par les chevilles placées sur son épaule gauche et de lautre main me donnait de grandes claques sur ma fesse gauche comme à une jument quon veut motiver. Sous cette violence de sexe, je gémissais de plus en plus fort en rajoutant un peu pour lexciter encore plus !!!
- Ohhhhh mon dieu, Ohhhhh mon dieu, non, tu es trop gros
. Ohhhhh mon dieu au secours
.
- Allez bouge la bourgeoise, vas y ma belle pouliche.
Criant de plus en plus fort, Alban me mis mon string dans la bouche en dessous du tanga de Marielle qui me servait toujours de cagoule. Jétais prise comme un objet, subordonnée au moindre caprice des flots. Emportée par un vertige délicieux, je subissais une pénétration profonde et très jouissive bien quhumiliante. Il profitait d'une large vision de moi dépoitraillée et était maître de la situation. Il ralentit ou accélérait le va-et-vient changeait l'inclinaison de mon bassin ou l'angle de mes cuisses. Il se maintenait jusqu'au bout, jusqu'à l'atteinte du plaisir suprême. Il se déversa enfin sur moi, de grands et longs jets sur mon corps et mes habits ainsi que sur mon visage toujours cagoulé avec le tanga de mon amie.
Il me laissa quelques minutes allongée à moitié nue et recouverte de sperme pendant quil se rhabillait, et sadressa à Alban et Lucien.
- Rhabillait la, nettoyait là et ramenait là à sa voiture le dressage est terminé. Quant à toi ma belle, jespère te revoir bientôt, mes jeudis matin te sont réservés
Il sortit, me laissant seule avec les deux palefreniers, qui me relevèrent, me rhabillèrent, et me raccompagnèrent à ma voiture. Une fois au parking, ils ouvrirent ma voiture. Jallais minstaller au volant, quand Christophe qui nous avait suivi exclama
- Hoooo attendez vous avez oublié de la nettoyer !!!!
- Oui patron, on sen occupe, on va déjà lui nettoyer les bottes
Lucien rentra dans la voiture baissa la vitre conductrice, pendant qu'Alban me poussait dans louverture. Il remonta le carreau me coinçant la tête dedans et ne pouvant plus bouger. Alors que je voyais en même temps Alban sortir son pénis, et le diriger vers moi un grand 4x4 range rover se gara à nos côtés
Il me pissa sur les bottes, alors que je pouvais voir un homme sortir de sa voiture et nous regarder
Son urine me recouvrait les bottes et aussi mon pantalon. Une fois soulagée Lucien procéda de même et se soulagea sur moi, tout en tenant la porte afin que je ne puisse me soustraire.
- Voilà maintenant, tu es toute propre ma pouliche, tu peux rentrer chez toi avec tes trophées
- Bonjour messieurs, je vois que vous avez une nouvelle adhérente pour le jeudi matin, mais qui est cette belle jument ? Mais je vous connais, Madame Dupont !!!! La belle Patricia en personne, je constate avec plaisir, que vous vous mettez enfin à léquitation
Il va falloir venir me voir au château afin que je vous donne quelques conseils
Christophe à qui appartient cette belle pouliche ?
- À Marielle, Monsieur le Marquis, je lai gagné dans une partie de poker
- Bien, très bien, jappellerai Marielle alors, nous sommes en affaires avec son mari, elle ne peut rien me refuser
Laristocrate de la vente aux enchères était devant moi !!! Constatant mon humiliation
Jallais donc devoir gérer également un nouvel acteur qui avait déjà sans le savoir profité de moi lors de la vente
.
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