Beau-Papa Chapitre 9 Le Jeune Homme Hyper Membré Est Infatigable.
Beau-papa
Chapitre 9
Le jeune homme hyper membré est infatigable.
-Détachez-moi les filles ! A moi de faire un peu dexercice !
Sitôt détaché, il nous positionne sur le dos au bord du lit, les jambes dans le vide. Il me murmure à loreille :
- Ne t'inquiète-pas Lucie, je serai très doux... laisse-toi faire...
Suite :
Il passe de lune à lautre nintroduisant que la tête de son nud dans notre fente en sappliquant à le frotter sur la partie la plus innervée de notre temple à plaisir, montrant sa science et une longue expérience. Monsieur Paul sest rapproché pour profiter du spectacle et avoue quil ma trompée.
-Excuse-moi du subterfuge Lucie ! Mais je ne pouvais pas te dire dès le début que Claude malgré son physique trompeur qui lui donne un air dadolescent domine déjà lart damener sa partenaire au paroxysme du plaisir.
Claude est très endurant et ne faiblit pas malgré sa double performance. Il continue ses mouvements allant de plus en plus profond, nous amenant lune après lautre à lorgasme.
Il relève mes cuisses et s'enfonce lentement de plus en plus profondément. Quelle différence de sensation avec la queue de mon mari deux fois plus petite. Il me fait ressentir chaque centimètre de son incroyable pénis qui bute au fond de mon sexe avec prudence, me laissant quelques instants pour m'habi.
Il reste très doux, faisant coulisser son jonc vigoureux lentement et profondément. Il tient le rythme et quand il me sent de nouveau prête au plaisir laisse ma chatte béante, orpheline, pour soccuper de celle dIngrid et vice-versa.
Il continue d'aller et venir en nous, jamais je n'ai ressenti un plaisir si long, si intense. Je découvre que mon corps est fait pour le plaisir, le donner et le recevoir. Je tremble de tout mon corps sous son regard très doux, fier de me sentir vibrer comme une midinette entre ses mains.
Mais toute chose à une fin, même les meilleures.
Il sétend entre nous, passant un bras autour de notre cou pour que nous nous blottissions contre lui pour cinq bonnes minutes de repos. Je ne me suis jamais sentie aussi bien, caressant sa peau couverte de sueur. Je regarde son sexe qui a débandé enfin.
Même au repos, il est encore impressionnant. Prises dune même idée, Ingrid et moi amenons une main au contact de sa verge flasque. Au contact de nos doigts, un frisson parcourt son corps.
Sous nos caresses dune extrême douceur, ce morceau de chair à la peau devenue hyper sensible réagit avec une vitesse étonnante si bien qu'en quelques minutes, le mandrin de Claude retrouve sa taille impressionnante.
Nous nous amusons à le décalotter, admirant le gland énorme, à en exciter du bout de nos ongles les veines qui gonflent le long de la verge, à en pétrir les bourses si généreuses. Monsieur Paul reprend la parole :
-Lucie
Acceptes-tu quil te sodomise ? Cest à toi de décider si tu veux tenter lexpérience avec un tel gourdin. Tu as la chance aujourdhui que Pierre et Ben tont préparée sinon je ne te proposerais pas de subir sans préparation un tel outrage !
Sans trop réfléchir aux conséquences, excitée comme je suis et embrumée par le plaisir janone de la tête.
Claude me met sur le ventre au bord du lit et joue avec mon petit trou, y plantant son pouce dedans. Je le laisse faire, allant même jusqu'à remuer du popotin pour mieux le sentir.
- Tu veux me sentir entre tes fesses?!
- Oui ! Mon corps réclame encore du plaisir, encore et encore.
Claude se place derrière moi, je sens ses mains sur mes hanches puis sur mes fesses qu'il écarte. Il pose son imposant gland à l'entrée de mon anus et force mais son engin est trop gros. Il me délaisse pour soccuper dIngrid qui sans sourciller accepte un tel intrus dans son cul. Il la lime un instant et revient à la charge de mon petit cul.
Elle vient à mon secours en enduisant son défonce-cul et mon petit trou dune bonne couche de lubrifiant toujours présent depuis tout à lheure.
Il se rapproche et pousse son membre aux dimensions hors-norme avec laide DIngrid qui sen est saisit à la base. Glissant une main entre nos deux corps, jessaie moi aussi de men saisir pour le réfréner quand je sens mon sphincter céder.
Lors de la progression du boutefeu, je retire ma main puis Ingrid fait de même.
J'ai l'impression que je me déchire sous l'effet de la formidable poussée mais la douleur est atténuée par longuent et les précédentes intromissions qui mont préparé pour recevoir un tel engin.
Son énorme membre se déplace dans mon fondement désormais comme dans du beurre.
Il me lime doucement le temps que mes chairs shabituent puis de plus en plus fort, m'empalant sur son rostre jusqu'à la garde et mes gémissements envahissent la pièce.
Sa verge atteint des endroits encore inexplorés. (Désormais, je naurai plus jamais peur de passer une coloscopie).
Bien planté au fond de mon derrière, il redresse mon buste et att à pleines mains mes seins en essayant de membrasser.
Je m'abandonne totalement à ses coups de reins et sens de nouveau poindre un nouvel orgasme.
Je vois dans son regard le plaisir qu'il prend à mamener une nouvelle fois à la jouissance et lorsque quil devine que je suis au bord de lexplosion, il resserre son emprise sur mes seins pour coller son torse à mon dos et accélère encore le mouvement, son bas-ventre tapant de plus en plus fort contre mes fesses jusquà ce quun plaisir immense m'envahisse.
Fatigué, il se laisse aller sur le lit pour quune nouvelle fois nous utilisions les anneaux pour sasseoir sur sa queue raide, accompagnant de ses mains sur nos hanches notre gymnastique si particulière.
Cest nous désormais qui imprimons notre rythme, allant et venant sur ce membre décidément infatigable.
Cest moi qui att le pompon quand il se déverse en moi. Quand je me retire de sa lance, un flot de foutre se déverse sur lui. Nous nous sommes presque battues pour en avoir chacune notre part.
Jean sest rapproché de moi et ma demandé :
-Alors ! Cette dernière leçon a été fructueuse ? Je ne te ferai plus jamais revivre de telles bacchanales mais il fallait que tu saches jusquoù tu étais capable daller. Tu me pardonnes ?
Je le rassure aussitôt :
-Je suis complètement vannée mais je naurais jamais cru être capable de ça ! Tu mas ouvert les yeux !
Après une douche salutaire, nous sommes repartis. Dans la voiture sur la banquette arrière, je remarque des catalogues de robinetterie. Décidément, il a pensé à tout.
Heureusement que les s ne sont pas à la maison car je suis complètement vannée et ai une démarche bizarre, ressentant enfin dans mon arrière-train lintense supplice quil a subit.
Depuis cette journée mémorable, je suis devenue une vraie chienne en chaleur devenant bien sûr la maîtresse de mon beau-père mais pas que de lui. Si ma vie de couple est morte mais que je reste quand même avec Bruno pour ménager mes s, jai depuis fais profiter de mon nouveau statut beaucoup dhommes.
Mon mari ma fait cocue, il porte désormais tels les bois dun cerf à six cors, de multiples cornes !!!
Et mon plus grand plaisir, cest que jen fais porter à ma belle-mère et à ma belle-sur aussi.
Son mari Anthony ma surprise un jour avec Jean et sans grande difficulté entre « pièces rapportées », on sest très bien entendus pour quil devienne lui aussi mon amant.
Jai aussi dévoyé plusieurs des amis de mon mari qui ne se sont pas gênés pour me passer dessus.
Je ne sais pas si Bruno sen est rendu compte mais je men fou !
Fallait-pas commencer !!!
FIN
Ps : Cette histoire date de quelques années. Quelle na pas été ma surprise quand mon gynéco a du prendre un successeur et que je suis tombé sur Claude. Son physique sétait bien amélioré. Le jeune homme que javais connu sétait bien étoffé.
Jai eu droit à une visite médicale très « poussée » et je me demande si la aussi il ny avait pas eu du changement. Les souvenirs sont si trompeurs
Mais quand il a voulu me sodomiser, je nai pas pu laccepter. Il va falloir que je mentraine avant mon prochain rendez-vous pour renouveler lexploit réalisé chez monsieur Paul
Fin.
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