Mon Nouveau Voisin
Bonjour, je mappelle Julie jai 26 ans et je suis célibataire. Je travaille dans une petite supérette en bas de ma rue où nous sommes trois salariés. Le patron et deux employés avec des horaires décalés. Je travaille donc une semaine en horaires du matin et une semaine laprès-midi. Ma collègue, Tatiana, fait linverse pour pouvoir couvrir la journée. Le patron lui fait les deux, il ne compte pas ses heures.
Cest un homme denviron 35ans, célibataire car il est difficile de trouver quelquun avec toutes ses heures de travail. Il est assez sympa mais beaucoup trop stressé, ce qui lui fait pousser des coups de gueule, mais rarement contre moi.
Tatiana, lautre employée, a 45 ans environ, mariée 4 s. Elle subit plus les montées dadrénaline du patron.
Comme vous lavez compris, je vis en ville, dans un petit T1 de 22m² au premier étage. Si je devais me décrire, on dit que je ressemble un peu à Caroline Garcia la joueuse de tennis, moi je ne trouve pas car elle est jolie et pas moi, je suis assez réservée, limite timide ce qui explique sans doute mon célibat.
Je nai connu quun seul homme dans ma vie quand javais 16 ans, lui 19 et ça ne sest pas très bien passé. Depuis jhésite à franchir le pas, ce nest pourtant pas lenvie qui me manque
Lappartement à côté du mien est lexact symétrie, les deux chambres sont séparées par une fine cloison. Celui-ci était occupé par ma copine Isabelle qui est partie il y a deux mois pour vivre avec son copain moussa car lappart était trop étroit pour deux.
Avec Isa, on est très proche et ça nous est arrivé dêtre au lit ensemble et de se caresser. Cest elle qui ma fait tout découvrir les choses du sexe et mexpliquer comment faire avec un homme. Malheureusement, je nose pas mettre en pratique ses conseils, par timidité sans doute. Les hommes je les regarde de loin, mais je fantasme sur eux le soir seule dans mon lit. Il faut dire que jy arrive très bien, il me suffit de vivre une situation pour la mémoriser et men servir le soir.
Pour le moment, ça me suffit et je me trouve assez bien dans ma vie. Et puis jai aussi le porno qui de temps en temps (rarement quand même) me permet de prendre du plaisir en solitaire. Je ne suis pas une grande consommatrice mais ça permet de me soulager. Et puis il y avait Isa et Moussa, je les entendais presque tous les soirs faire lamour et je dois dire que ça mexcitait follement. Moussa, un black assez musclé, pas trop mon truc mais ce quil arrivait à faire avec Isa était très, très excitant.
Il faut dire que de mon appartement, jentends tout ce qui se passe de lautre côté de la cloison de ma chambre. Venant de chez moi, on nentend rien car cest calme et je ne reçois quasiment jamais personne.
Au boulot, tout va bien, on nest pas hyper bien payés mais ça va. Mon patron nest pas très porté sur la chose et cest mieux ainsi car comme ça, jai la paix. Cest un fou de boulot et il doit bien passer 14h par jour au travail, 7/7 jour. Il ne doit pas avoir le temps à consacrer à la séduction pour trouver chaussure à son pied ! Tatiana dit quil doit encore être puceau et quil ferait mieux de se faire dégorger le poireau de temps en temps. Elle dit aussi quelle voudrait bien sen occuper car cest vrai quil nest pas moche. Je crois quelle a déjà dû essayer de lui faire du rentre dedans et que ça doit être pour ça quil nest pas toujours très sympa avec elle. Dès fois, elle lappelle le PD
Moi, il ne mattire pas spécialement mais je sens parfois son regard sarrêter sur ma poitrine au travers de mon tee-shirt. Ce regard ne me dérange pas et javoue que je me suis mise à rechercher des hauts plus échancrés. Comme ça quand je me penche et quil est en face, je vois quil me regarde plus que daccoutumé. Cet été, jai essayé le petit short et jai trouvé quil avait plus chaud ce jour-là, il avait de plus une petite bosse à lentre jambe de son pantalon, mais ça à lair dêtre une toute petite bite. Pas attirant en tout cas. Tatiana elle, elle aimerait que cette petite bosse soit pour elle mais elle narrive pas encore à attirer son attention.
Elle pas si mal conservée pour une quarantaine bien tassée même si elle est un peu boulotte, elle doit encore plaire. En tout cas, elle na pas dû connaître que son mari dans sa vie même si elle sest mariée à 19 ans. Je ne la vois pas beaucoup au boulot car nous nous relayons à mi-journée. Je la connais surtout car nous sommes sorties quelques fois ensemble, au resto souvent, dans un bar une fois et chez elle quelques fois. Elle dit que je suis belle comme tout et cest un gâchis de me voir toute seule. Elle ma dit aussi avoir vu son mari me reluquer plusieurs fois et que je dois être à son goût. Elle nest pas jalouse mais je lai assurée que ça narrivera jamais, je crois quelle a confiance.
Elle est pote aussi avec Isa, et jai bien vu aussi que Moussa pourrait lintéresser, elle a sans cesse le regard sur son entre-jambe et doit être envieuse dIsa davoir un si gros membre à disposition.
A lannonce de son départ, Isa ma assuré quon se verrait aussi souvent mais je vois bien que ce nest pas le cas, nos visites sespacent et nos confidences sur loreiller me manquent. Son remplaçant est arrivé il y a trois semaines, je ne lai pas vu dès le début, jai juste entendu du bruit à côté. Puis, jai aperçu, par ma fenêtre car je la regarde souvent, un très beau garçon la trentaine, brun, bronzé, assez grand, à lallure sportive et très bien habillé. Au début je nai pas fait le rapprochement mais le soir jai un peu fantasmé sur cette vision, rêvant que cette belle silhouette vienne frapper à ma porte. Je ne me suis pas caressée ce soir là mais jai fait de beaux rêves.
Jai recroisé le jeune homme dans mon quartier et là je lai trouvé vraiment beau, comme je les aime et me disant quil ne devait pas habiter bien loin. Le soir en rentrant, jai vu quun nom avait fait son apparition sur la boîte aux lettres de lappart dà côté : Marc.
Un matin, le jeune homme est venu à la supérette et là jai pu le regarder de près.
Le lendemain, jai pensé à mieux soigner mon apparence, on ne sait jamais. Je me suis maquillée et mis une jupette avec des collants et mon chemisier le plus échancré. Malheureusement, il nest pas venu et cest le patron qui ne ma pas lâchée des yeux. Là il avait un regard plus libidineux et je crois bien que si on sétait retrouvé dans la réserve, il maurait sauté dessus. Je nai pas aimé et je ne reviendrai jamais dans cette tenue. Bien plus tard, japprendrai que cest Tatiana qui a eu droit ce jour là mais que ça na pas été le coup de sa vie. Elle ne men a plus jamais reparlé.
Cela faisait maintenant plusieurs jours que je navais pas vu le beau jeune homme dans le quartier et perdu un peu mes illusions quand, à ma grande surprise au moment où je rentre dans limmeuble, il est là devant moi à fouiller dans une boîte aux lettres puis commence à monter les escaliers. Je reste bouche bée à lui mater lallure élancée, ses épaules, son dos, ses fesses et ses cuisses. Tout me plait en lui, même les trainées de parfum encore présents dans le hall. Je reconnais sans problème la boîte aux lettres quil a visitée, cest celle de Marc ! Ainsi, il se pourrait quil soit mon voisin !
Je sens déjà quelques petits frétillements dans mon ventre et je rentre à mon appart. Jécoute à travers la cloison et jentends la douche couler donc, il y a bien quelquun à côté. Les indices se multiplient et je commence à croire fermement que cest bien lui. Je mimagine le voir dans sa douche et pouvoir le rejoindre. Là ma petite culotte commence à être sérieusement trempée et je mallonge tout en retirant mes fringues. En sous-vêtements, je passe une main dans ma culotte pour fourrager mon petit bouton et une main sur mon soutif à triturer les tétons de mes seins.
Il y va fort car je lentends jouir au travers de la cloison, ainsi il était bien en train de se branler. Là cen est trop pour moi et mon corps tout entier est pris de tressaillements et le jus sécoule de ma chatte par saccade. Quel pied, je nai jamais aussi bien joui de ma vie, ma chatte est trempée et le bout de mes seins est tout dur, presque douloureux. Lui il refait couler leau, sans doute pour évacuer son liquide précieux. Je mets plusieurs minutes à émerger en continuant doucement les caresses sur mon corps. Quand je sors de mes rêveries, jentends sa porte claquer et il sen va. Je me précipite à la fenêtre pour tenter de lapercevoir et jai une vue furtive de lui se retournant et regardant ma fenêtre, moi je suis toute nue derrière. Jai un petit mouvement de gêne. Je ne crois pas quil mait vue mais il faudra que je sois plus prudente à lavenir !
Le reste de la matinée, je me suis douchée et encore un peu touchée en repensant à ce quil avait fait, jai mangé et je suis partie travailler. Le patron avait perdu son regard lubrique et ça mallait bien, je ne voulais pas quil pense avoir la moindre chance avec moi. En soirée, marc est venu à la supérette et je nai pas su lui parler, cest le patron qui sen est occupé et moi je lai regardé discrètement par-dessus les rayons. Il ma quand même dit bonjour et moi jai balbutié maladroitement quelque chose dincompréhensible en ayant limpression de rougir honteusement.
Vraiment quelle gourdasse je fais. Je ne sais pas quoi faire pour quil me remarque. Le soir, je finis à 20h00, je rentre et je ferme la porte en étant claquée autant physiquement que moralement. En préparant ma popotte du soir, jentends rire de lautre côté de la cloison. Je vais dans ma chambre pour entendre mieux et perçois la voix de marc et une autre féminine. Je rage il reçoit une autre femme que moi. Pourvu que ça naille pas trop loin. Je me décide à prendre mon repas, seule comme dhab, et ne pas en tenir compte. Vers 22h je vais me coucher avec lordi.
On dirait quil ny a plus personne à côté. Mais plus au calme, jentends le lit légèrement grincer, il y a un peu de mouvement on dirait, est-il seul ? Je décide de me mater un petit porno sur porn hub pour passer le temps et alimenter mon rêve cette nuit. Pendant mon choix, javoue que je recherche un acteur ressemblant à marc, jentends des petits soupirs et des chuchotements. Là pas de doute, il nest pas seul. Ce doit être des bruits de succions que jentends et je les imagine en 69 se faisant du bien mutuellement, jenvie très fortement la femme qui laccompagne et ôte ma chemise de nuit pour me retrouver en culotte. Je laisse lordi de côté avec un film pris au hasard qui défile.
Les gémissements se font du plus en plus forts et je distingue bien maintenant deux tonalités. Ma main droite prend la direction de mon bas ventre et ma gauche pince le bout de mes seins avec frénésie. Je me masse au travers de ma culotte mais bientôt je trouve quelle est de trop au contact de mes doigts sur mon minou enflammé. Je men sépare et pendant ce temps les bruits deviennent de plus en plus clairs, jai entendu « préservatif » et jimagine marc grimpant sur sa salope de partenaire. Le film porno est lui aussi très suggestif et commence à attirer mon attention, le mec se mettant aussi en position pour pénétrer assez énergiquement sa partenaire, dans la chambre dà côté, elle pousse un petit cri qui devient des gémissements, le lit craque à chaque coup de buttoir que marc lui donne. Moi ma chatte en feu nen peut plus et mes doigts ne suffisent pas à la calmer, je mouille comme une folle et je vois presque marc à la place de lacteur porno du film, il est extrêmement bien membré et à lair de donner un plaisir ravageur à sa compagne. Je mimagine à sa place mais avec marc et ça marche, les gémissements dà côté sont les notre et marc est létalon. Il doit aussi savoir bien y faire car la fille ne se tient plus. Moi, jai sorti un god pour matérialiser ce gros membre qui pénètre lactrice porno.
Tout se mélange et marc et sa compagne jouissent presquen même temps et moi je me suis tellement lâchée que jai dû faire du bruit aussi, sans men rendre compte. Quel pied ! Cest marc qui ma baisée ce soir. Lacteur porno lui nen a toujours pas fini, cest incroyable lendurance de ces mecs-là. Je le laisse poursuivre pour minquiéter de ce qui se trame derrière la cloison. La douche coule, marc lui parle, elle répond à peine, elle semble se chausser, jentends ses talons hauts sur le sol, la porte souvre puis claque. Dis donc, cétait juste un petit coup vite fait ! Une pute ? En tout cas je suis rassurée, il ne va pas me ramener une greluche qui risque de simposer. De toute façon, lappart est trop petit pour deux non ?
Jai décidé, à partir de ce soir de tenter ma chance coute que coute. Il faut absolument quil se couche sur moi avant la fin de semaine, sinon je ne vais pas tenir car je suis dans un état
que même le mari de Tatiana pourrait faire laffaire.
Le lendemain midi, quand je me rends au travail, mes pensées ne sont que pour marc et pour avoir lair moins nunuche que les autres fois, je me suis maquillée et habillée dun style plus sexy. Au travail, je ne pense quà la soirée dhier et mes secrétions vaginales se sont mélangées à la sueur me coulant par la raie des fesses. A un moment, jai une bonne partie de mon corps qui a été pris de frisson quand jimaginait marc derrière moi me tripotant les seins et sa bite tentant de fourailler ma vulve, javais les joues très empourprées et ce couillon de patron a commencé à me faire des avances. Sans parler, il ma saisi par les hanches et tenté de coller sa toute petite bite contre mon cul en disant :
- On dirait que je texcite ma belle, depuis le temps que jattendais ça.
- Moi pas - répondis-je - dégagez de mon chemin et laissez-moi tranquille. Jamais vous mentendez, jamais vous naurez mes faveurs. Je ne vous aime pas vous comprenez !
Devant tant de fermeté, il recule dau moins trois pas en balbutiant quelque chose dincompréhensible. Ce fût le première et la dernière fois quil tenta sa chance. Ensuite, il retourne à ses occupations pour avancer dans ses 14 heures de travail quotidiennes. Pauvre chou, sil était monté comme un âne peut-être, mais là
La journée se termine sans problème et mon patron a réussi une chose, cest à faire retomber mon excitation. Le soir venu, personne dans lappart dà côté, je prends ma douche et je vais donc tenter denvisager une stratégie. Lidéal serait que jarrive à chopper son numéro de portable et lappeler au secours en petite tenue et là, enfermé dans ma pièce, il ne pourrait pas résister bien longtemps à mes provocations. Mes provocations, est-ce que je saurais faire ? Est-ce que je ne perdrais pas tous mes moyens ?
Cest perdue dans mes pensées à imaginer plusieurs scénarii que jentends sa porte qui claque. Au moins il est seul et si je veux agir, il faut faire vite. Je me change rapidement pour mettre ma culotte et mon soutif blancs à dentelle, celui qui me dessine si joliment les seins puis ma petite robe à fleur achetée il y quelques jours, assez courte pour montrer une bonne partie de mes cuisses, mais pas trop pour en laisser deviner, avec un bon décolleté qui lui aussi ne montre pas tout. Jimprovise un peu car ça presse : jentends quil fait couler sa douche. Cest le bon moment. Un petit coup de parfum, un coup de brosse dans les cheveux et me voilà partie à laventure si précipitamment que jen ai oublié mes chaussures.
Je sonne à sa porte, le cur palpitant à la chamade, tout excitée de ne pas savoir ce qui va se passer. Marc met un peu de temps à ouvrir, je comprends le temps de shabiller, moi jaurais préféré quil ne le fasse pas !
Cest un marc tout mouillé (comme moi dailleurs) qui vient mouvrir, il na pas pris le temps de shabiller et une simple serviette autour de la ceinture lui sert à cacher son entre jambes. Il est tellement beau ainsi avec son torse musclé et bronzé perlé de gouttelettes, ses cheveux plaqués car aussi très humides, ses épaules larges et découvertes, son ventre plat, ses bras solides me donnent envie quil me prenne et membrasse vigoureusement. Comme je passe un peu trop de temps à le scruter, il a un regard interrogateur pour savoir ce que je veux.
Moi, ce que je veux, cest quil me prenne et vite, ma culotte va devenir une éponge, donc je balbutie :
- Voulez-vous me prendre
du sel sil vous plaît ?
- Non, pourquoi vous en vendez ?
Cétait assez cocasse, je lavoue, mais moi je ne suis pas très fière. Je dis :
- Bonjour, je me présente, je mappelle Julie, je suis votre voisine- dis-je en montrant ma porte du doigt.
- Bonjour, moi cest marc dit-il en me serrant la main dune poigne ferme et doucereuse en même temps.
Jaime déjà ses grandes mains à la peau si douce.
- Veuillez me pardonner de vous déranger, mais auriez-vous un peu de sel et un peu de lait pour mes crêpes ? alors là jassure !
- Oui probablement, mais comme nous nous sommes présentés, pourquoi ne viendriez-vous pas les faire vos crêpes ici ? Moi je ne sais pas quoi manger et je naurais rien contre une crêpe partie.
- Daccord (même si cest dune autre partie dont je rêve).
- Allez chercher vos ingrédients, pendant que je mhabille. (Honnêtement, vous pouvez rester comme ça), on se retrouve tout de suite.
Oh oui, je me dépêche. Je suis excitée comme une puce, dès le premier soir obtenir une invitation chez lui sest inespéré. Tout ce que javais échafaudé comme plan est tombé à leau mais jai réussi sans réfléchir, spontanément. Je fais le tour de ma cuisine, mais je ny trouve ni lait, ni farine mais il y a le sel. Pour ne pas avoir lair ridicule en napportant que le sel, je décide de prendre un litre de cidre. En espérant quil ait le reste
Vite fait, je me regarde dans la glace, pour savoir ce quil va voir et ma fois, ça ira très bien, je décide juste de me tirer les cheveux en arrière et les tenir par une queue de cheval. Je sais que moussa me disait souvent que jétais très belle ainsi coiffée. Pour le maquillage, ça ira. Comme je crains davoir un peu mouillé ma culotte tout à lheure, jen change rapidement, on ne sait jamais. Cette fois-ci je mets mes chaussures histoire davoir la panoplie complète et un petit gilet noir sur mes épaules.
Là, je suis prête et je retourne chez mon voisin le cur rempli de joie et de bonheur. Lui a passé une chemise bleu ciel à col ouvert, avec les manches repliées aux coudes et un jean moulant jurant quil na pas de caleçon en dessous. Il est très sexy les cheveux encore mouillés mais bien coiffés, louverture du col de sa chemise laisse voir une partie de ses pectoraux fermes et bronzés.
En passant derrière moi, il laisse ses mains me débarrasser de mon petit gilet noir, -pour me mettre à laise dit-il. Il prend aussi la bouteille de cidre et me dit :
- Du coup, cest tout ce que vous avez pour les crêpes ?
- Oui, je pensais être plus riche ! dis-je avec embarras
- Pas grave, je vais voir ce que je peux faire.
- Il y a longtemps que vous habitez là ? - dis-je, en feignant de ne pas le savoir.
- 3 semaines, on sest croisés plusieurs fois je crois (cest bon, il mavait remarqué !). Tout est parfait, jai tous les ingrédients, par contre, je suis une bille en cuisine, vous pourriez vous en occuper ?
- Pas de problème, je fais des crêpes depuis toute petite.
La soirée débute à merveille, mon hôte est prévenant et très bien élevé. Jespère toujours quil va finir par se délurer !
En faisant la pâte à crêpe, les secousses du mélangeage font bouger toutes les parties charnelles de mon corps et ça na pas échappé à son regard, je le vois me mater les seins qui balancent de droite à gauche rythmés par le fouet. Son regard est loin dêtre désagréable et je dois dire que je prolonge volontiers cet exercice vu quil à lair de plaire à lhôte de ses lieux. Puis je dis :
- Maintenant, il va falloir quelle repose 1 heure au frigo
- Ah bon, je ne savais pas. On va bien arriver à soccuper pendant 1h. Déjà, je propose que lon se tutoie, tu ne penses pas ?
- Oh si, ce sera moins formel comme ça et puis ça va me mettre à laise.
- Mets-toi à laise tant que tu veux, ici cest comme chez toi. Je te propose de prendre un petit apéritif ?
- Oui mais je nai pas du tout lhabitude de boire.
- Du champagne, ça ne se refuse pas.
- Dac, mais un tout petit peu, si jen bois de trop, je ne me tiens plus.
- Mon intention nest pas de te faire boire.
Sa voix est suave, virile, masculine, il sexprime très facilement et a un charme fou et encore plus dans sa façon de bouger. En fait, il est en train de me séduire et ça marche plutôt bien, je décide de me laisser faire. Nous sommes assis dans le canapé, le champagne devant nous et je laisse volontairement ma robe remonter sur le haut de mes jambes croisées. Lui, le regard franc et direct, ses beaux yeux bleus envoûtants sont assez accaparants. Pris sur cette fixette, je ne remarque pas que mon verre est vide et quil men ressert un. Cest vraiment un moment délicieux, une soirée idyllique. Je ne suis pas excitée mais bien et détendue. Son sens de lhumour fait mouche. Il marrache tellement de sourires et même de rires jen oublie presque mes objectifs de finir dans son lit et me faire baiser.
Là il se lève et dit :
- Je reviens
- Voilà une photo de moi avec une joueuse de tennis, je trouve quelle te ressemble comme deux gouttes deau.
- Cest Caroline Garcia.
- Oui.
- Tu es sorti avec Caroline Garcia.
- Oui, même mieux, on a été amants pendant treize mois. Avec elle, ça été lamour fou !
- Contente de lapprendre dis-je un brin contrariée
- Non, je ne veux pas te vexer, mais tu lui ressembles tellement, cest troublant !
- On ne se ressemble pas tant que ça !
- Oui, cest vrai, il me semble que tu as un corps encore plus parfait que le sien. En tout cas, moi je suis fan. (de moi ou de caroline ?)
Donc, il ma regardé sous toutes les coutures, bon point pour moi
- Bon cest pas le tout, lâchons les photos et le passé pour revenir à ce soir et nos crêpes, on attaque ?
- Oui, je vais essayer dêtre bonne, car le champagne commence à me saouler.
- Bon ça va aller, est-ce que tu peux mapprendre la cuisine ?
- Pourquoi pas ! Déjà, une poêle très chaude, ensuite un peu dhuile, comme ça, puis une louche de pâte à crêpe, on fait tourner comme ça, on laisse cuire, on retourne comme ça et on met une garniture si besoin, encore un peu de cuisson et on démoule puis cest prêt. Tu vois cest simple !
- Ok, je me méfie de ce qui à lair simple, cest toujours plus compliqué que prévu. Je veux bien faire ma première, mais jaimerai bien quon la fasse tous les deux, à quatre mains ?
- Dac !
Je saisi la poêle, lui se tient derrière moi et met lhuile. Je peux sentir ses pectoraux dans mon dos, son souffle dans mes oreilles et ses mains agiles saisir mes mains. Je trouve quil me colle de toutes les parties de son corps et je commence à sentir sa virilité. Je prends sa main et la met sur la louche, pour quil coule la crêpe. Lui me serre encore de plus près et là je sens son membre durci contre mes fesses. Cest une situation très agréable et je ne fais rien pour résister. Il prend les choses en main en tournant la poêle et moi je mets mes mains sur ses bras musclés. La caresse de ses pectoraux sur mon dos et de sa pine sur mes fesses est terriblement excitante. Je mouille intensément et incline ma tête en arrière pour mieux sentir son souffle. Il retourne habilement sa crêpe et termine parfaitement la cuisson.
En me retournant vite fait vers lui pour être entre ses bras je lui dis :
- Tu tes moqué de moi, tu connais les crêpes !
- Oui, je voulais juste en profiter pour me rapprocher de toi.
Et là, je ne peux pas résister à notre proximité et je prends sa bouche dans la mienne. Nos langues se mélangent voluptueusement dans un long et tendre baiser. Tout en continuant à sembrasser, je le colle littéralement et fait une grosse pression avec mon pubis sur sa tige raidi, pour bien lui montrer mes intentions. Lui, il répond à cette pression par une tension délicieuse et toute virile.
Alors, il éteint le feu sous les crêpes et me dit :
- Viens.
Par la main, il mattire vers la chambre et me dirige vers le lit en me faisant tournoyer. Je fais mine de menvoler et ma chute fait valser ma robe bien au-delà du nombril. Là, il sallonge à côté de moi pour membrasser avec frénésie. Son baiser chaud et langoureux me donne des fourmillements dans le bas du ventre. Puis après, il enlève sa chemise pour libérer ses pectoraux tant désirés. Ce faisant, il oriente sa tête entre mes cuisses tout en tirant sur ma petite culotte en dentelle blanche.
Sa langue commence à exciter ma vulve déjà bien humide et samuse avec les grandes lèvres. Cette douceur provoque en moi toutes sortes de frissons et je suis impatiente quil soccupe de mon bouton de plaisir. Il ne tarde pas et ses passages de langues délicats me font déjà pousser de petits gémissements de plaisir. Quest-ce quil est tendre et doux, rien à voir avec ma première expérience, qui ne sétait pas très bien passée. Là je mabandonne complètement à ses caresses et lui saisi la tête pour le guider là où je veux quil masse.
Débordant complètement de désir, je serre légèrement les cuisses pour lui faire comprendre de passer à autre chose. Il se relève et jen profite pour enlever ma robe. Lui aussi fait sauter ce qui lui reste de vêtements et je peux enfin voir son sexe veineux et droit comme un i, il est tellement beau et de taille impressionnante. Je décide de le gouter, je regarde de très près le méat qui me nargue, puis son gland gonflé de désir pour moi puis je le prends dans ma bouche. Marc apprécie ma caresse et pousse maintenant de petits grognements de satisfaction.
Lui entreprend alors de réaliser laccouplement parfait. Il se met sur moi et soccupe adroitement de mes seins. Les bouts, déjà hyper tendus, apprécient cette caresse me donnant des frétillements jusquau bas ventre. Puis, une main quitte sa zone de jeu, pour prendre sa queue et la guider avec efficacité vers ma chatte toute offerte. Limpatience pour recevoir ce membre dur et chaud, autrement plus efficace quun godmichet, nest pas comblée tout de suite. Marc joue avec son membre à lentrée de ma vulve, sur mes grandes lèvres, faisant suinter abondamment de cyprine mon petit trou. Je ny tiens plus et je veux le sentir en moi. Cest moi qui donne le coup de rein énergique qui permet la pénétration tant attendue. Ensuite, je maccroche à ses robustes épaules, mes jambes autour de sa taille et ses cuisses, je suis ainsi reliée à lui et nos corps ne font quun. Je peux lembrasser dans le cou et lui susurrer mes mots doux à loreille. Il est dans cette position, au plus profond de moi et je peux tout à fait sentir sa chair palpiter dans mon vagin. Il est impatient.
Je me décide à libérer un peu mon étreinte pour quil puisse commencer ses mouvements de va et vient et ainsi approfondir notre plaisir. Lui, il veut changer de position et me fait tourner d1/4 de tour et allongée sur le côté droit, il se positionne derrière moi pour coller son gros membre gorgé de sang contre mes fesses. De sa main gauche, il tripote furieusement mon sein gauche, je trouve cette caresse exquise, puis son membre parvient à me pénétrer sans même être guidé, ma chatte et son gland étant suffisamment humides. Je peux sentir son souffle dans mon cou et son gros membre venir buter le fond de ma chatte. Ses mouvements sont terriblement virils, mais tellement doux à la fois. Jai limpression dosmose et que sa bite est adaptée à mon anatomie. Elle me procure un plaisir intense, jamais connu jusquà maintenant, et je ne peux pas contenir plus longtemps les flots de lorgasme qui arrive. Je jouis intensément, longtemps et profondément dans tout mon corps. Tous mes sens sont mélangés et il me faut un moment avant de récupérer.
Lui nen a pas fini, il a attendu la fin de mon plaisir pour continuer à me pistonner. Là, il ma fait à nouveau changer de position pour me mettre à quarte patte et me prendre sauvagement en levrette. Je le sens tellement bien en moi, ses coups de rein sont tellement précis, jétais tellement en manque de sexe que je ne tarde pas à avoir un deuxième orgasme, tout aussi puissant que le premier.
Mais lui na pas envie darrêter en si bon chemin, quel amant, quelle endurance, cest mon étalon !
Alors il me demande sil peut passer par le cul, moi je lui réponds que je nai jamais essayé par cet orifice et que jai peur davoir mal. Alors, il saisi dans sa table de nuit un tube de vaseline qui devrait permettre à sa grosse queue de forcer un peu mon passage étroit. Moi jai un peu peur, sa queue est si grosse, ça ne passera jamais.
Il me rassure, dit quil ira lentement et que je peux lui dire darrêter à tout moment. Cest daccord, essayons. Là il me fait allonger sur le ventre, cuisses légèrement écartées, il menduit le petit trou de cette pâte visqueuse, puis sen enduis le sexe. Il me conseille de pousser quand il rentre. Là jessaie mais cest trop douloureux et je préfère lui dire de stopper.
Il comprend et sallonge auprès de moi, la queue toujours aussi grosse et dure. Il essuie le reste de lubrifiant inutilisé et moi je me décide à le prendre dans ma bouche. Je commence par une lente succion avec la langue sur son gland et mes mains tripotent ses couilles puis je le prends entièrement dans la bouche avec des mouvements de haut en bas, lent dans un premier temps, puis de plus en plus rapide, ma langue tournoie rapidement autour de son gland et mes mains sont parties explorer ses pectoraux. Pendant tout le temps de mes caresses on ne se quittent pas des yeux et lui produit de petits râles approbateurs sur la qualité de mes mouvements. Il tient encore, tout en éprouvant du plaisir, quel amant vous dis-je ! ça vaut tous les acteurs du porno !
Alors, toujours allongé sur le dos, il minvite à le chevaucher pour masseoir sur sont poteau et ainsi imprimer les mouvements à ma guise. Lui, il peut me caresser les hanches, le ventre, les seins je le vois toujours me regarder avec ses yeux magnifiques prendre du plaisir dans cette position. Une de ses mains descend maintenant vers mon bas ventre et entreprend de soccuper de mon clito. Cette caresse est de trop pour moi et je ne peux pas retenir mon troisième orgasme. Cest puissant et voluptueux à la fois.
Puis, il minvite à mallonger sur le dos et se met au-dessus de moi, sa queue toujours aussi raide, il entreprend de la glisser entre mes seins. Tout en saisissant ceux-ci, il se met à faire des mouvements entre les deux seins. Moi je vois de plus en plus près son méat souvrir à lapproche de ma bouche. Va-t-il jouir ainsi et me gicler sur le visage ?
Non, il change encore de position pour revenir sur moi et me pénétrer de sa bite toujours aussi dure. Quelle nuit de folie ! Là ses mouvements sont moins précis, plus saccadés et son souffle est parlant. Il va venir, je le sais, je le sens. Tout en étant concentrée sur lapproche de sa délivrance, je ne peux que constater que moi aussi je suis toujours aussi émoustillée et je ne tarde pas à le rejoindre dans la jouissance. Cest ensemble que nous explosons et nos liquides organiques se confondent et se mélangent dans lorgane le plus reproducteur de mon anatomie. Jai mes mains sur ses fesses pour ne pas en perdre une goutte. Lui, tous les muscles bandés, pour un gros râle de satisfaction et la déformation de son visage indique lintensité de son orgasme. Moi cest le quatrième ce soir, incroyable, on dirait que je ratt le temps perdu. Certaines femmes nen ont pas un seul dans une vie et moi en une nuit
Après quelques discussions, nous nous écroulons de fatigue pour le reste de la nuit. Ce fût pour moi une nuit magique et je savais quil y en aurait dautres. Je sentais que cétait lhomme de ma vie.
Je tombais amoureuse dès la première nuit.
Depuis, on a réussi à faire et à manger nos crêpes le lendemain, mais après le repas, ça encore dérapé et on a passé à nouveau une nuit formidable. Puis on en a eu marre de franchir nos portes pour se voir, on a décidé de casser la cloison de nos chambres, sans le dire aux proprios, comme ça, on a un appartement plus grand, idéal pour deux !
Voilà mon histoire, jespère quelle vous a plu. Et vous, avez-vous déjà regardé votre voisin par la fenêtre en étant nue ?
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