Visite Surprise
Après une journée de jardinage, jéprouvais le besoin de me délasser nue dans la piscine. Elle nest pas bien grande mais suffisante pour se détentre. Etant à larrière-saison, leau était fraîche mais cela faisait du bien.
Allongée sur le dos, deux frites sous la nuque, je sentais la fraicheur de leau et la chaleur des derniers rayons de soleil sur ma peau, mes seins pointés vers le ciel.
Jentendis une voix bien connue : coucou, quel joli tableau pour des retrouvailles ! je sursautais, surprise, de voir un ami de longue date, et que je navais pas vu depuis quelques temps.
Je te rejoins si cà ne te dérange pas , jacquiessais, nous avions passé de si bons moments à une époque
..
Après avoir papoté rapidement sur ce que nous devenions, il sapprocha de moi, se pencha sur mes tétons pour les sucer et les mordiller. Etant toujours allongée, il me demanda douvrir et fermer les jambes régulièrement. Leau ainsi remuée me chatouiller délicieusement le sexe. Mes tétons sous laction de sa langue et ses dents se tendaient de plaisir.
Il me demanda de masseoir au fond de la piscine, je navais plus que la tête hors de leau. Il mécarta les bras me faisant tenir le rebord, et mordonna de ne pas les enlever de là. Il enjamba le rebord et revint avec les pinces à linge trouvées sur le fil. (quelle idée de les laisser là).
Leau froide faisait déjà pointer mes seins, je tremblais, mais était-ce par le froid de leau ou lappréhension de la suite.
Comme je fermais les yeux il mordonna de les laisser ouverts pour mieux voir mes réactions.
Dun coup sec il plaça une pince sur chaque téton, la morsure vive me fit sursauter. Il mécarta les jambes, titilla mon clito déjà gonflé et y plaça deux pinces. Il fouilla mon vagin, faisant se balancer les pinces du clito, provoquant en moi une vague de plaisir malgré la douleur. Je commençais à gémir un peu fort, e pour ne pas alerter le voisinage, il mempli la bouche de son énorme membre, me baisant celle-ci sans répit.
Les pinces se balançaient de droite et de gauche, et il accentua la pression de celles des tétons en appuyant à la base et en les faisant tourner. Je grognais malgré sa queue dans ma bouche. Le supplice atteint son maximum, lorsqu il les arracha dun coup sec, et appuya sur les tétons pour les enfoncer. Les larmes coulèrent sur mes joues tant la douleur était intense. Toujours agrippée au bord de la piscine les assauts de sa bite dans ma bouche saccéléraient, et il se déversa au fond de ma gorge mobligeant à tout déglutir. Le goût acre de sa semence visqueuse empli ma bouche me donnant la nausée.
Il me laissa souffler 2 mn, séchant mes larmes de baisers, et me disant quil voulait remplir mes trous comme avant. Ce nétait donc pas fini
Il me remit les pinces sur mes tétons douloureux, marrachant un cri, quil étouffa de sa main plaquée sur ma bouche : chut me dit il , ou je vais être obligé de te faire taire autrement.
Il me demanda de mallonger sur le ventre, les frites sous le ventre, ce qui fit relever mes fesses à la surface. Il arracha les pinces de mon clito, et entreprit de me fouiller la chatte de ses doigts, et de lautre à travailler mon petit trou. Mes seins ballotaient à chaque mouvement, accentuant la morsure des pinces, je dégoulinais de plaisir.
Sa main sinsinua dans ma chatte , la remplissant et la fouillant. 3 doigts avaient réussi à élargir mon petit trou, qui se dilatait au fur et à mesure, que ses doigts tournaient en moi . je me retenais de crier en me mordant les lévres mais gémissait de plus en plus fort. Jugeant que je pouvais recevoir sa queue dans mon cul, il ôta sa main de ma chatte, javais limpression davoir un trou béant. Il mappuya sur le bord de la piscine, le haut du corps penché à lextérieur, mon cul bien en lair, il me releva le tête pour plaquer sa main sur ma bouche, et senfonça dun seul coup dans mon cul, marrachant un cri sourd, et et me défonça à grand coup, me pilonna avec force, rentrant et sortant de mon anus avec force, javais envie de crier de plaisir et de douleur.
Ca te plait ma salope, mais cest moi qui prend du plaisir pas toi
Tu vas moins aimer la suite : et une pluie de claques sabattirent sur mes fesses, jessayais de mesquiver mais sans succés. Je sentais mes fesses rougir tandis que çà queue me défoncait de plus en plus violemment.
Il déchargea au fond e me entrailles me laissant pantelante.
Voilà ce que tu méritais mavoir laissé sans nouvelles, et ne tavises plus de ne pas me répondre quand jai besoin de ton cul.
Je replongeais dans leau fraîche pour apaiser tous mes sens et ma douleur
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!