Collection Zone Rouge. Poupette. Saison I (8/10)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Mon téléphone se met à sonner au moment où j’entre chez cette jeune femme que j’ai faillé en propulsant Bob mon beau-père et putain d’enfoirer de souteneur du 10ème étage.
L’appartement est une vraie bonbonnière, au mur au lieu de tableau de maître, comme chez mon futur mari, ce sont des photos de femmes qui les ornes.
À première vue j’ai l’impression que la jeune femme aurait des goûts la portant à aimer les femmes.
Elle en a le droit, à ce jour mon parcours est hétéro.

J’écoute.
Yes, pardon oui.
L’Amérique me ratt.
C’est un oui de soulagement, le médecin qui a accepté de me faire un test du sida à l’hôpital m’avait promis de me convoquer dès qu’il aurait les résultats.
Comme il est favorable pour moi, il s’est permis de faire une petite entorse au règlement et de m’appeler avant de venir retirer le rapport de ceux qui ont fait le contrôle.

• Tu as l’air heureuse, une bonne nouvelle !
• Plutôt deux fois qu’une, mais je préfère évitée d’en parler, c’est personnel.
• Dit moi, comment t’appelles-tu, moi Abby, et que fais-tu, l’inspecteur Tex lorsqu’il a parlé de toi à garder ses renseignements pour lui..
Il a simplement dit que tu avais été témoin de la chute de mon beau-père alors que tu rentrais chez toi !
• Je suis infirmière et je rentrais de mon travail quand cela est arrivé ?
• Bonjour Abby, moi c’est Claudia, de mon côté, je faisais des études, mais je les arrête.
• Que vas-tu faire ?
• Je suis à la croisée de plusieurs chemins, à ce stade de ma vie là encore je préfère attendre avant de t’en dire plus.
Tu comprendras tout dans quelque temps.

Là encore, je tisse ma toile, pourquoi raconter certains faits ou certaines choses à des tierces personnes tant qu’elles sont à l’état d’embryon.

• J’aimerais que nous nous voyions dans les jours prochains, j’aimerais t’inviter au restaurant.


• Non, j’ai horreur de sortir, je t’invite ici samedi soir je suis de repos.
• Aucun problème on se fait la bise.

Elle avance sa bouche vers ma joue, insidieusement sa main vient me frôler le sein.
Ses lèvres se posent à la commissure des miennes m’électrisant.
Une orangeade bue, je la quitte et reprends l’ascenseur.
J’ouvre ma porte, Pépère est dans son bureau travaillant à sa table, il a devant lui des livres qui semblent être de compte.
Le tableau est tourné sur ses gonds et le coffre est ouvert, pour éviter de paraître trop intéresser, j’ai un œil qui traîne et je me place derrière lui.
Des lingots qui brillent, des paquets de billets et un étage de classeur.
Sur ses cahiers, je peux voir des colonnes.
Bob suivi de colonne de chiffres où je remarque en tête mon nom de pute « Poupette ».
Une deuxième avec le nom de Fil de fer et d’autres noms de filles dont des prénoms que j’ai connu à Vegas du temps des mini-miss.
Certaines de ces filles semblent leur rapporter un maximum de dollars quand je vois les sommes dans les colonnes.
Elles ont toutes atteint leurs 18 ans et sont certainement passées dans des réseaux californiens.
Johnny belle gueule qui doit gérer trois filles.
Pépère voyant que je regarde veut fermer son livre.

• Si tu veux que notre mariage se déroule sous un signe de confiance fait moi participer à tes affaires.
• Tu as raison, tu peux être ma suite, tu es assez intelligente pour cela, en me parlant des soupçons de l’inspecteur de police, tu as capté ma confiance et surtout, tu m’as prouvé que tu étais diabolique.
J’ai un gros problème après la disparition de Bob, il devait faire faire ses débuts à une de nos filles qui vient d’atteindre ses 16 ans demain et tous les autres Mac ont aussi des filles à superviser, nous allons perdre de l’argent.
• La fille doit être amenée à l’hôtel où j’allais avec Bob à Vegas !
• Oui, il m’appartient et le comparse joueur ayant été chanceux est déjà prévenu, je vais l’appeler pour lui dire que le coup est annulé.


Me dire que l’hôtel où nous nous préparions est le sien est une marque de confiance et je vois que je suis sur le bon chemin pour capter son magot.

• Hors de question que nous perdions de l’argent à cause du suicide de Bob, mon aimé.

En lui prononçant ces mots, je lui passe mes mains dans ses cheveux gris très clairsemés.
Ma main descend vers sa poitrine, la sensation sous mes doigts des replis de sa peau à cause de sa vieille devrait me répugner.
C’est le cas alors je pense à la peau de la petite Abby qui doit être douce et j’arrive à surmonter l’épreuve.

• Je sais comment faire, j’y suis passée, c’est moi qui vais y aller.
• Tu vois, j’avais raison, tu es diabolique, je vais te donner la somme d’argent que tu remettras au comparse, c’est Bob qui devait lui donner.
• Mets-moi ta voiture et ton chauffeur à ma disposition, il va falloir que j’apprenne à conduire.
• C’est par avion que tu rejoindras Vegas.
Certes mon chauffeur te conduira mais à l’aéroport, tu prendras ce billet avec l’argent, je l’avais fait acheter pour Bob, je devais lui remettre après t’avoir sautée.
Qu’il est con de c’être suicidé.
Tout reprend sa route normale grâce à toi
Je t’apprécie de plus en plus.
Au fait, la cérémonie pour ta maman aura lieu Vendredi à 15 heures, j’ai tout mis en place.
• L’inspecteur m’a autorisé à incinérer Bob, il suffit d’appeler la morgue de l’hôpital et de faire d’une pierre deux coups.
• L’inspecteur, tu l’as revu aujourd’hui.

C’est ce que je pensais il est suspicieux.
Surtout de la façon dont il me pose la question.
Il faut réfléchir vite, inutile de lui dire que sa fiancée le lendemain de sa demande en mariage s’est fait sauter par l’homme qui voulait l’arrêter.

• Je l’ai appelé, car un membre de son équipe a volé une boîte avec quelques souvenirs de ma jeunesse quand j’étais chez mon beau-père.


Là encore, j’évite de lui dire que je grugeais beau-papa quand il était bourré et que j’avais une cagnotte cachée, vu le livre de comptes, c’est indirectement lui et son organisation que je volais même si cet argent je l’avais gagné avec mon cul.

• Pour Bob, demain ce sera fait.
• Bien, assez parlé, au lit le temps de ranger tout cela.
• Tu as l’air encore contrarié.
• Oui, mais réglons chaque chose en son temps, quand tu auras enterré ta famille, je t’expliquerais ce qui dé dans mon bisness.
Allé au lit.

Une fois couché après ma douche le sénateur m’attend la braguette de son pyjama faisant sortir sa verge rabougrie.
Je la prends avec deux doigts et je commence en le masturbant vigoureusement.
J’arrive à ce qu’elle s’allonge suffisamment pour qu’en continuant mon geste ma bouche att son gland.
Après quelques minutes de ce traitement trois gouttes de sperme viennent dans ma bouche.

• C’est incroyable ce que tu arrives à me faire faire, ça fait si longtemps que jouir m’était impossible.

C’est son dernier mot, il dort.
Le lendemain, je suis à l’aéroport pour Vegas, les billets en poches pour mon comparse et une fiche que le sénateur m’a donné avec tous les renseignements nécessaires pour que Marina accepte de baiser avec notre comparse, pseudo gagnant, si elle est capable sans problème d’écarter les jambes.
Je profite de la demi-heure d’attente pour sortir mon portable.

• Allo, Tex.

Même si depuis quelques jours j’ai arrêté de me prosti, je suis restée une pute dans toute l’acception du terme.
Dès que j’ai Tex, je lui balance ce que je vais faire à Vegas.

« Oui, c’est Claudia.
Oui, je t’appelle pour te mettre au courant.
Oui, une nouvelle, Marina à qui Bob devait faire passer son examen dans notre monde des prostitués.
Non, c’est moi qui l’ai proposé au sénateur.
Arrête de gueuler Tex si je le fais c’est pour qu’il ait cent pour cent confiance en moi car c’est un moyen qu’il me donne le code du coffre.

Oui, attend la suite pour avoir le code je vais jouer sur son âge et s’il hésite à me le donner tout son travail depuis des années risque de disparaître et mes revenus avec.
Je t’ai dit d’arrêter de gueuler, mais non, je vais te donner le réseau dès que j’ai la combinaison du coffre, crois-tu que je veux te faire un petit dans le dos.
Oui, tu passeras commissaire quand je t’aurais donné les registres mais promets-moi, les lingots et les liasses de billets resteront ma propriété.
Oui, tu as raison, quand je t’appellerai pour que tu arrêtes mon mari, il me sera facile de l’immobiliser et de planquer son magot ailleurs en laissant dans le coffre ses registres que tu trouveras quand je te l’ouvrirai devant toi permettant sans mentir qu’il était seul dedans.
Oui, tu as raison je laisserais une liasse de billets de 100 $ avec les registres pour faire croire que cet argent était là pour ses menus besoins.
Oui, tu as raison, tu sais qu’il a placé ses biens personnels surtout dans la pierre et que c’est moi qui hériterais de tous.
Oui, je t’en ferai profiter.
Quoi, tu veux m’épouser quand il sera mort.
Oui, c’est une idée, tu es beau, tu baises bien on va bien s’entendre.
Oui, on va faire une équipe diabolique et surtout de choc.
Tais-toi Tex, ils nous appellent pour le vol vers Vegas, je dois aller prosti cette pauvre fille malgré l’envie que j’ai de lui dire de partir en courant.
Oui, nous lui donnerons quelques liasses du coffre pour qu’elle démarre une nouvelle vie. »

Voilà la teneur de ce que j’avoue à Tex pour mieux le pigeonner, que croit-il, que je vais partager mon magot quand je l’aurais capté, c’est mal me connaître, mais il va falloir jouer serré…

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