Mail Innatendu

IL y a quelques années sur le net j’avais répondu à une annonce ; cherche grosse cochonne.
On avait eu un plan cul assez intense et sans suite.
un soir j’ai reçu ce mail : Salut la grosse cochonne comment ça va ? T'es libre et chaude pour faire mouiller ta chatte de salope et me purger les couilles ?
Surprise, une décharge électrique dans le bas ventre, je répondis en me disant, si tu réponds il va falloir assurer.
Ce que je fis. 2h plus tard nous retrouvions, et il m’emmena dans un coin tranquille, et sombre, où ne nous pourrions pas être surpris.
Sur sa demande je n’avais aucun sous-vêtement, une jupe très courte, un bustier moulant, où on voyait bien mes tétons pointer.
Il baissa le haut de mon bustier, libérant me seins. Il tira sur mes tétons en les pinçant, les maltraitants, les giflants forts. Cela me faisait mal, je reculais pour m’y soustraire, mais il m’attrapa par mes cheveux qu’il enroula au tour de sa main, et tira dessus pour me mettre à genou. Je ne pouvais plus m’échapper. Il redoubla la maltraitance de mes seins, je gémissais en essayant de ne pas crier. Malgré la douleur et l’inconfort de la position, je sentais le plaisir monter, mon clito gonflé et mon entre jambe était trempée. J‘avais honte de prendre du plaisir ainsi.
Il tira sur me cheveux pour me relever et m’ordonnas d’écarter les jambes, les mains dans le dos. Je m’exécutais la peur au ventre, dans cet endroit sombre. Il releva ma jupe, et sa main s’enfonça sans difficulté dans ma chatte, tellement j’étais mouillée. Quel tableau je devais donner la jupe retroussée les seins à l’air !! La honte m’envahissait encore.
T’es vraiment une grosse cochonne, une grosse pute, allez répétes le salope, oses l’affirmer et le reconnaître. Je le balbutiais du bout des lèvres, honteuse. Plus fort salope, je n’ai pas entendu, pendant qu’une claque s’abattait sur mes seins. Je répétais ces mots plusieurs fois, ces mots qui avaient du mal à sortir, alors que sa main qui me fouillait toujours, m’a fait gicler plusieurs fois, inondant mes jambes, ma cyprine coulait le long des mes jambes.

il me remit à genou pour me baiser la bouche, maintenant ma tête fermement. Son membre était épais , et emplissait toute ma bouche, j’avais du mal à respirer.
Il me bascula à pattes, pour me défoncer la chatte à grand coups de bite, tapant au fond de mon vagin, me faisant crier de plaisir. Je sentais ses doigts entrer dans mon anus, et fouiller mon fondement, j’avais peur qu’il me fasse un fist anal. Il sorti pour exploser sur mes fesses. De sa main il étala son sperme sur mes fesses, passant ensuite sur mes seins, mon visage pour que je sois souillée de son sperme. Je me rajustais, ma jupe mouillée de ma cyprine et de foutre. Je suis rentrée chez moi ainsi contente de trouver ma douche.