Collection Zone Rouge. Poupette. Saison I (9/10)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je viens de raccrocher mon téléphone après ma communication avec Tex.
Je dois jouer serré et je pense y arriver au moment de prendre mon avion pour Vegas.
Je ramasse mon sac où j’ai mis quelques vieilles tenues qui plaisaient à mes clients.
Je suis fière d’avoir une nouvelle fois pigeonné ce con d’inspecteur car comme tous les hommes s’il croit que je vais partager mon magot avec lui, il peut se carrer sa bite dans l’œil jusqu’aux couilles même si ces termes sont vulgaires.

- Bonjours madame, je viens m’occuper de Marina.
- Je te reconnais tu es Poupette, tu venais avec Bob, ce con il s’est suicidé en sautant de la terrasse du balcon de chez le patron.
- Comment savez-vous tout cela ?
- Le patron m’a téléphoné pour me signaler ta venue et surtout de réceptionner Marina la nouvelle que tu vas mettre au tapin ce soir.
Dit moi, tu connais le sénateur !

Je vois qu’elle connaît le réseau bien qu’il semble cloisonné, Bob et les autres Macs semblent être ses contacts.

- Monte, elle pleure toutes les larmes de son corps car je l’ai enfermée jusqu’à ce que tu arrives.
- Merci, je vais aller la retrouver pour la prendre en main.
- Si elle te pose des problèmes appelle-moi le téléphone avec mon appartement fonctionne.
Les filles sont dans l’impossibilité d’être en communication avec l’extérieur dès qu’elles ont franchi la porte de l’hôtel.
Il faut être très prudent dans notre métier.
- Il y a longtemps que tu travailles ici.

Elle éclate de rire.

- Je suis la première fille que Bob a fait tomber dans ses filets pour le compte de notre réseau.
J’étais jeune et jolie à cette époque.
Ils étaient beaux comme des dieux.
Ils revenaient du Vietnam et le sénateur a réussi à me faire croire qu’il était un héros alors que c’était Bob qui avait tout fait quand il a sauvé sa section en montant seul à l’assaut.


Avec son pois chiche au cerveau il est sorti de son trou sans voir que les autres et surtout son chef de section restant terré.
La mitrailleuse qui était devant lui c’est enraillé et il a réussi à les deux Viets qui la servaient.
- Comment l’as-tu su ?
- J’étais la régulière du sénateur, il me promettait qu’il allait m’épouser.
Bien sûr je l’ai cru.
Il a fini par me refiler à Bob, sans me demander mon avis bien sûr.
C’est un soir où j’étais dans le pieu avec ton beau-père, il avait fêté une bonne nouvelle que le sénateur lui avait donnée, étant un peu saoul qu’il m’a raconté comment le sénateur était sorti de son trou pour désouder les deux Viets à la mitrailleuse.
C’était contraire à ce que m’avait dit Johnny belle gueule qui savait la vérité.
Il m’a expliqué qu’il avait réussi à force de persuasion dans son esprit simpliste à ce que Bob raconte que c’était lui qui avait fait cet exploit.
C’est grâce à cela qu’il est arrivé à se faire élire sénateur et qu’il se serve de cette situation pour développer notre réseau.
Quand j’ai été moins rentable à monter les clients il m’a installé ici où je lui suis toujours utile.
- Merci de m’avoir expliqué tout cela.
Tu as été la pute de Bob mon beau-père, dire, qu’il a été jusqu’à me prosti alors qu’il avait épousé maman.
- Poupette si tu savais le nombre de Mac qui son marié avec les mères des filles qu’ils prostituent, ce sont des chiens avec les femmes.
Ils ont pour eux la patience, une jeune fille comme toi, le rapportent plus que de vieilles peaux comme moi ou ta mère.
- Je sais, j’ai vécu leur système et le sénateur me l’a expliqué.
- S’il te l’a dit c’est qu’il a confiance en toi !
C’est rare qu’il fasse de telle confidence et je dois t’avouer que voir qu’il te donne une fille à Maquer m’oblige au respect car tu es la première fille à qui il offre un tel poste à responsabilité.


Je me garde bien de lui dire que nous allons nous marier.
À son âge il faut que j’évite un nouveau problème à mon futur il semble en avoir assez comme cela en ce moment et remplacer sa maquerelle en serait un supplémentaire.

- Tient prendre se passe qui ouvre toutes les portes mêmes de l’entrée de l’immeuble, le sénateur m’a dit de t’en donner un comme en ont tous ses responsables des filles, tu pourras entrer dans la chambre de Marina sans problème.

Quand je prends le passe, je repense au passé, j’avais pu quitter l’hôtel pour me rendre chez la couturière, il avait du ce passer un fait inconnu pour qu’ils renforcent la surveillance des filles.

- J’y pense tu aurais peut-être envie d’une autre chambre pour éviter de coucher avec une fille.
J’ai tellement l’habitude que les macros couchent avec leurs putes que j’ai oublié de t’en préparer une.
- Tu l’as dit les macs couches avec leurs putes pourquoi ferais-je différemment.
- Tu aimes brouter des chattes, j’aurais horreur de cela mais si tu prends ton pied avec les filles pourquoi pas.

Sur ces paroles je monte deux étages, si elle savait qu’à part Abby pour laquelle j’ai de l’intérêt depuis peu, les amours féminins me sont inconnus.
Arrivé à l’étage, j’ouvre la porte Marina belle noire de presque deux mètres essaye d’ouvrir la fenêtre.
Elle est en pleurs.

- Tu peux toujours essayer, bien d’autres ont essayé avant toi et ont compris dans quel piège elles sont tombées.

J’arrive derrière elle, je la prends par les cheveux et je la traîne jusqu’au lit où je la fais tomber.

- Écoute que je t’explique ce que j’attends de toi.
- Vous allez me faire du mal, je le dirais à Maman.
- Celle qui depuis des mois essaye d’avoir l’identité américaine et qui se heurte à un mur.
- Comment le savez-vous ?
- Petite sotte, comment crois-tu que tu as gagné plusieurs concours de suite dans le monde des bisounours ?
- Bisounours, expliquez-vous ?
- Pour commencer sèchent tes larmes, ce soir tu entres dans le monde des adultes.

- J’ai du mal à comprendre nous allons défiler pour un couturier tout à l’heure, il faut avoir 16 ans au Nevada, c’est mon anniversaire aujourd’hui.
- Je vois j’ai affaire à une pucelle, tu vas défiler mais devant des bites que tu vas devoir honorer.
Je vais te conduire dans un hôtel où tu vas attendre au bar que je t’envoie des hommes que tu suivras dans leur chambre.
Même si tu es vierge, à ton âge, ta maman a dû te dire comment on fait des bébés.
Tient avale cette pilule, inutile de te faire engrosser, tu écarteras les cuisses et ils t’emmancheront.
Tu leur feras toutes les gâteries dont ils auront envie.
- Une gâterie, expliquez-moi ?
- Pucelle et ignorante, tu commenceras à les sucer et après tu leur offriras ta chatte ou ton cul suivant leur besoin.
- Je dois mal comprendre tu veux que je me prostitue.
- Enfin tu comprends, oui c’est cela, je suis une pute qui a commencé comme toi un jour et qui s’occupe des filles maintenant, je connais toutes les ficelles du métier.
- Laissez-moi partir je vais aller voir la police.

Je l’empoigne de nouveau par les tresses de ses cheveux.
Je tire tellement fort qu’elle hurle en éclatant en sanglots.

- Si tu cherches à m’échapper et que tu ailles chez le flic, tu vas recevoir la rouste de ta vie.
Ta mère recevra l’une de tes tresses que celui qui s’occupera définitivement de toi lui aura envoyée.
- Mais je suis vierge.
- On va remédier à cela déloque-toi.
- Déloque-toi, que voulez-vous dire.
- Enlève tous tes vêtements et couche toi nue sur le lit.

Elle enlève ses vêtements tout en reniflant, je prends le combiné.

- Allo patronne as-tu un gode ?
Je sais que c’est personnel, mais j’en ai besoin, sinon avez-vous des bananes.
Vous me montez votre gode, oui je vous le laverais !
Non, j’ai des affaires dans mon sac mais pas ce type de matériel, quand j’en ai envie, je sors et je me fais une queue pour la nuit.

Oui j’attends.

Le regard de Marina semble ailleurs, il faut dire que ma conversation avec la patronne en entendant la moitié a pu la surprendre.
L’important c’est que je la débarrasse de ce que Bill m’a enlevé dans la Buick rendant fou de rage mon salaud de beau-père que j’ai su désouder avant de le faire cramer vendredi.

- Merci patronne, je te le redescendrais tout à l’heure.

Je la tutoie avec plaisir, je veux qu’elle comprenne à qui elle a à faire.
La patronne doit avoir eu des clients bien montés et pour une première fois Marina va déguster.
Le sex-toy qu’elle me donne est aussi bien membré que mon poignet.

- Écarte les cuisses, dans deux secondes tu vas entrer dans le monde des femmes adultes avant de devenir jolie pute noire…

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