Rendez-Vous Coquin Dans La Garrigue. Second Chapitre.

La suite de l'histoire écrite à quatre mains avec "Le matou Libertin", un auteur bien connu des lecteurs de HDS.
Voici le second chapitre de cette histoire. J'attends vos commentaires. Sofie

Gérard
Le voyage entrepris avec Marie ressemble plus à une lente promenade qu’à une cavalcade effrénée… Je vais et viens dans son sexe avec une lenteur savamment calculée… Malgré mon impatience je veux lui donner un maximum de plaisir… je le recherche dans une position quelque peu acrobatique pour des amants de nos âges.

Après avoir introduit mon sexe dans le sien, je prends les jambes de Marie et je les relève pour les poser sur mes épaules. Je domine complètement ma maîtresse et les yeux fermés, elle savoure le bonheur que je lui prodigue jusqu’à ce qu’une première jouissance l’emporte lorsque mon sexe appuie sur son point G…

Un grand râle sort de ses lèvres et je sens les muscles internes de son vagin masser le bout de ma queue…

Mais NON, tu ne m’auras pas à ce petit jeu ! Je me suis réservé pour une autre joute amoureuse !

Je laisse Marie retrouver son calme puis je recommence à aller et venir dans sa conque juteuse comme un fruit bien mur ! Mais là, c’est un plaisir partagé que je recherche. Je ne me contente plus d’aller et venir en elle mais à chaque fois, mon sexe sort et entre avec vigueur entre les lèvres intimes de Marie… Mon gland, hypertrophié par l’envie (et la savante préparation de la bouche gourmande de mon amie…) ouvre sa voie entre les muqueuses totalement engluée de cyprine.

Je vois la fabuleuse poitrine de Marie subir indirectement mes coups de boutoir mais elle reste ferme et bien ancrée sur son buste… On ne dirait pas que ma maîtresse a cet âge et qu’elle a allaité ses quatre s (ou en est-ce la raison ?). Ses tétons que j’ai sucés tout à l’heure sont sortis comme rarement je l’ai vu chez une femme… Ils ressemblent à une petite olive noire…

Et Marie m’encourage à haute voix en me disant :
- de bien la baiser à fond…
- qu’elle aime çà…
- que je la baise bien…
- qu’elle va venir…

Moi aussi, je vais venir… Je n’en peux plus de retenir ma jouissance et lorsque je sens chez ma maîtresse les prémices de son plaisir, je l’éperonne vivement une dernière fois et déverse au fond de son vagin quelques giclées de sperme qui se mélangent à sa cyprine.



Oh que c’est bon…

Je laisse retomber les jambes de Marie et nous basculons sur le côté… avant qu’elle ne me fasse mettre sur le dos et me domine sans que je sorte de sa chatte et disant que je l’ai rendue heureuse…

J’avoue que je suis un peu gêné par ses témoignages à haute voix… Si ces paroles attiraient quelque curieux ?
Mais NON, nous sommes seuls au milieu de vignes et personne ne viendra nous déranger !
Nous sommes bien… et je sais comment employer les heures qui nous restent à passer ensemble !

Marie/Sofie
Gérard se couche sur moi. J’ai hâte qu’il me possède. J’ai des souvenirs magnifiés de nos ébats passés. Il prend son temps. Avant de pénétrer, je sens son gland qu’il frotte autour de mon clitoris tout gonflé d’excitation. Et puis, enfin, il me pénètre.

Je lâche un grand cri avec une première jouissance qui va en amener beaucoup d’autres. Je le serre fort contre moi. Mes ongles griffent son dos tendu. Je râle de plaisir. Gérard est aux anges. Je le sens sûr de sa puissance, de sa virilité face à ma soumission. Il prend possession lentement de mon fourreau trempé. Il s’amuse avec moi. Il m’énerve. Je le veux fort, puissant. Je veux qu’il me pilonne, qu’il me piétine, qu’il me défonce.

Enfin, je sens Gérard répondre à ma bestialité. A mon envie pure de sexe, de baise. Je suis toute à lui. Je suis offerte. Je suis soumise à lui et le fait de savoir que Paul me regarde accentue encore davantage mon plaisir si cela pouvait être possible car Gérard sait y faire. C’est un amant hors-pair. Il me baise lentement et profondément. Il sort et rentre pour mieux me posséder. Son sexe est court mais large. Il me remplit la chatte. J’aimerais à la fois que ses coups de reins durent longtemps, mais mon plaisir est aussi de le faire craquer, de le faire jouir. Je veux qu’il me remplisse de sa crème. Je contracte mon vagin, serre mes cuisses pour mieux emprisonner son gland et lui faire perdre pied.
Quelle complexité que les jeux amoureux.

J’observe Paul qui essaie tant bien que mal de filmer nos ébats, tout en se caressant. Il se branle. Il s’excite de voir sa femme se faire baiser par son ami Gérard.

Mon excitation, mon plaisir se traduisent bruyamment. Je suis une jouisseuse qui se lâche et qui crie sa jouissance et qui encourage son amant à accen ses coups de reins, à la défoncer, à lui faire perdre la tête comme en ce moment. Néanmoins, je pense qu’inconsciemment, je crie encore plus fort que d’habitude pour que Paul entende mon plaisir qu’il doit imaginer à la hauteur de mes cris.

- Allez vas-y mon salaud.
- Baise-moi bien profond
- Ne t’arrête pas
- Oh, que c’est bon
- Allez, viens, maintenant !!!

Mais NON, Gérard est inépuisable. Il me tue.
- Je jouiiiiiiiii
- Ouiiiiiiiiiii

Alors que je le sens grossir, et lui aussi certainement, il ralentit et sort pour laisser retomber la tension. Il me lève les jambes qu’il pose sur ses épaules pour me pénétrer encore plus profondément. Je dégouline de cyprine. Ma raie est inondée !!! Je me sens indécente et vulnérable face à mon amant délicieux et puissant. Il s’amuse à nouveau avec moi. Il frotte sa queue contre moi. Je la sens aller et venir de mon clitoris à mon cul. Je suis trempée…

Et puis, il me pénètre à nouveau, brutalement, profondément. Une pénétration qui me coupe le souffle et qui m’amène une nouvelle jouissance. Mais là je sens que Gérard va venir. Je crie encore plus fort pour nous accompagner dans cette dernière jouissance.
- Ouiiiiiiiii
- Viennnnnnnns
Et dans un râle ultime, je sens la queue de mon amant encore grossir dans mon étui serré pour se vider enfin en moi. De multiples jets me remplissent. J’adore le bouquet final du feu d’artifice que m’a offert Gérard pour nos retrouvailles…

Je reprends difficilement mes esprits. Gérard est encore en moi. Il est encore gros et dur.

Paul est toujours là. Je lui fais un clin d’œil, mais je ne sais pas s’il m’a vue.

Gérard baisse mes jambes et j’en profite pour faire basculer mon amant sur le côté et me positionner sur lui. Sa queue toujours en moi.

Je me sens bien. Je me sens épanouie. Je me sens aussi pleine du foutre de mon amant, de son sperme qui s’écoule le long de mes cuisses.


Gérard
Quelle belle cavalière…

Ma maîtresse me domine désormais en me faisant face… Sa fabuleuse poitrine bien ronde aux tétons proéminents se balance devant mes yeux et ses longs cheveux voilent un peu son visage mais ce que je ressens à ce moment-là n’est pas un mythe.

Ma bite est toujours ancrée entre ses nymphes, certes un peu ramollie mais encore assez ferme pour que Marie continue à rechercher les dernières bribes de jouissance…



Quelle est belle ainsi… Totalement livrée à son plaisir et au mien… Rarement j’ai eu comme maitresse une femme de son âge aussi libérée, avide de jouir et participant entièrement à l’union de deux sexes à la recherche du plaisir…

Sa position dominante fait que bientôt je sens mon sperme et sa cyprine mélangés s’écouler entre mes cuisses… L’un et l’autre nous avons eu des sécrétions intimes abondantes…

Sans savoir que j’allais avoir une chaude rencontre avec Marie, je n’avais pas recherché de bonnes fortunes à Paris aussi, j’avais des réserves : Plusieurs semaines sans faire l’amour !

Marie s’allonge sur moi, elle presse ses seins contre ma poitrine et vient loger sa tête contre mon oreille droite…

Nous sommes bien ainsi… Je savoure le bonheur que ma maîtresse vient de me donner quand soudain elle commence à me faire des confidences…

Elle m’avoue que depuis que son dernier fils a quitté la maison, elle a eu plusieurs amants, encouragée en cela par son mari qui aimait l’entendre raconter ses ‘turpitudes’ avant de lui faire l’amour.
Il avait besoin de cela pour s’exciter…

Elle me narre aussi son voyage parisien au cours duquel pour la première fois, elle a eu deux hommes pour la baiser en même temps… Elle avait même accepté la sodomie de l’un d’eux, alors, me disait-elle, que seul Paul, son mari avait accès à son sphincter !

Les confidences de Marie ont pour effet de me faire bander à nouveau sans que je sois sorti de sa conque chaude… et j’imagine déjà la suite… L’été dernier, ma maîtresse avait semblé être une adepte des postions arrière comme la levrette, une position que j’aime aussi car je retrouve un peu cet instinct animal primaire qui parfois me guide…

Dès que Marie prend la position souhaitée, je saisis sa taille entre mes mains et je glisse ma bite entre ses cuisses… Je n’ai pas besoin de la guider, elle trouve aussitôt l’entrée chaude et humide dans laquelle je n’ai qu’à pousser pour m’introduire d’un seul effort…

Mon pubis est en contact avec les globes fessiers de mon ‘amie’ et chaque fois que je me retire, je fais claquer nos deux corps l’un contre l’autre.

C’est le seul bruit qui vient troubler le chant des oiseaux…

Déjà repus de jouissance, notre plaisir est assez long à venir mais je tiens la distance… C’est vrai qu’avoir sous mes yeux le bassin un peu ample, le taille bien marquée et le dos de Marie a de quoi m’inspirer… et les paroles que nous prononçons nous excitent.

Mais si moi, je les dis à mi-voix, j’ignore pourquoi Marie pousse parfois le ton ! Voudrait-elle attirer des curieux ? Ce qu’elle m’a raconté de son voyage à Paris démontre qu’elle ne dédaigne pas avoir deux hommes pour s’occuper d’elle mais moi, je ne suis pas d’humeur partageuse !

Je viens titiller la rondelle plissée de Marie puisqu’elle est ouverte… J’introduis un doigt puis deux que je fais aller et venir aussi profondément que je peux, recherchant à nouveau le point G que je ne tarde pas à atteindre déclenchant ainsi la jouissance de Marie qui rue au-devant de mon sexe quand je tarde trop à l’introduire à nouveau dans son vagin décidément très accueillant.

Mais moi, ce que je veux… c’est décharger quelques giclées de foutre sur son dos… Je saisis ma bite dans ma main droite et j’envoie plusieurs jets qui s’étalent sur les reins de Marie et je pousse une sorte de rugissement qui me libère totalement !

Pour l’instant, nos sens exacerbés sont repus… Nous nous allongeons sur la couverture, blottis dans les bras l’un de l’autre…

Je questionne mon ’amie’ sur son voyage à Paris ! Je veux en savoir plus ! Dire qu’elle est venue dans la même ville que moi pour cette escapade coquine !

Et c’est bien volontiers qu’elle me donne les détails… C’était chaud !


Marie/Sofie
Me voilà au-dessus de mon amant. Je sens son pieu en moi, lequel a un peu débandé, mais sa taille est encore suffisante pour me donner du plaisir. Je me laisse aller, je me frotte, j’ondule car je sens que les vibrations ne sont pas totalement parties. La jouissance est encore là, prête à exploser.

Cet instant est magique. Je veux le prolonger le plus longtemps possible. Mes mains sont posées sur le buste de Gérard, tandis que les siennes empaument mes seins encore très sensibles. Mes tétons sont durs. On dirait des petites fraises des bois. Je repense à la chantilly et cela me fait sourire. Mon étalon me les prend entre ses doigts. Je vois qu’il y prend beaucoup de plaisir. Aussi je me penche pour les lui mettre à la portée de sa bouche pour qu’il me les aspire, me les lèche, me les tète… J’adore. Ça y est une jouissance me surprend juste à cet instant. Je me cambre. Gérard me prend les fesses à pleines mains pour m’accompagner.

Aussitôt je sens son sexe qui grossit à nouveau dans mon fourreau. Quel bonheur….

Je m’allonge sur mon amant. Son sexe toujours en moi. Je me love contre son buste. Il me serre fort dans ces bras. Nous parlons de ce que nous avions fait depuis notre dernière fois. Je lui avoue que, suite à nos ébats amoureux, les relations avec Paul me paraissaient insuffisantes. Paul en était conscient et m’encourageait à prendre des amants et à jouir au maximum de mon corps. J’évoque également mon voyage de « femme libre » à Paris.

Gérard ne reste pas insensible à mes confidences. Son sexe reprend de la vigueur et mon amant reprend l’initiative. Il me fait basculer, me demande de me mettre à quatre pattes et vient se positionner derrière moi. Je sens ses mains fermes et puissantes s’accrocher à mes hanches et son pieu me pénétrer d’un coup. Il m’arrache un râle de surprise et de plaisir.

Mon vagin est encore trempé de nos sécrétions. Gérard en profite. Un vrai bucheron qui me besogne sans pause cette fois. Je le sens excité et j’adore les va et vient de sa bite qui me remplit et m’arrache des cris à chaque poussée. Et comme si cela ne suffisait pas, il me claque les fesses. Je crie, je hurle mon plaisir, ce qui provoque un déchainement chez mon amant. Le coquin profite de sa position pour me caresser la rondelle. Je sens son pouce trempé de mes sécrétions qui pénètre mon anus et qui alterne la pénétration anale avec la vaginale. C’en est trop. Je ne peux m’empêcher de jouir dans un râle puissant et long. Gérard tout excité jouit simultanément. Je peux sentir son gland grossir et expulser plusieurs jets de sperme au fond de mon vagin…

Nous nous laissons nous affaisser, Gérard positionné sur le côté, derrière moi, toujours en moi. Nous avons mérité une petite pause. Nous sommes en nage tous les deux. Nous avons le temps.

Je reprendrai bien une coupette de champagne avec des fraises.

Gérard sort de mon étui avec regret. Il est d’accord pour préparer les fraises et servir le champagne, mais à condition que je lui en raconte davantage sur mon voyage à Paris.

Face à sa demande appuyée, je lui raconte quelques péripéties. Comment je me suis retrouvée à l’hôtel avec deux amants pour la nuit. Deux hommes jeunes et puissants qui m’ont défoncée par tous les orifices. Moi qui ne me laissais sodomiser que par Paul. Mon cul a eu son lot de pénétrations et pas que ce jour-là.
La nuit chez Yves, l’ami de Paul, avec sa femme Claudia. Là encore, une première fois avec une femme. Je lui ai conseillé d’aller lire mon histoire de femme libre sur internet puisque j’avais pris le temps de décrire cette folle semaine avec force détails…

Je repense à mon retour à Montpellier et les jours passionnés qui ont suivi avec Paul tout excité par mes péripéties parisiennes… Tiens, au fait, mais où est Paul ? Je ne le vois plus. Il a dû changer d’emplacement. Quel coquin ce Paul.

Gérard me caresse pendant que je parle. Ses mains sont douces et aériennes. Quand je pense à tout à l’heure, quand il me pilonnait, qu’il m’empoignait les hanches, me claquait les fesses… C’était un autre homme !!!! J’adore ces deux Gérard.

Ses caresses se font plus précises. Ses doigts sont pleins de nos sécrétions qui sortent encore de mon vagin. Il joue avec mon clito et mon anus qu’il masse délicatement. Il me pénètre et me fait lécher ses doigts trempés d’odeurs multiples...

Je m’arrête de parler pour me laisser câliner et je ronronne comme une chatte que je suis. Je m’allonge sur le ventre et je m’abandonne aux caresses de mon amant.


Gérard
Marie s’abandonne à mes caresses… Allongée sur le ventre, les zones érogènes que je connais déjà ne sont guère accessibles mais je fais avec…

Je dépose des baisers dans le creux derrière les genoux… Marie réagit aussitôt ! J’insiste quelques instants en changeant de cible puis je glisse une main entre les cuisses et remonte jusqu’à la jointure. De nouveau, les globes charnus reçoivent mes baisers, légers puis de plus en plus appuyés pendant que ma main droite masse l’entrejambe de Marie… Elle s’attarde un instant sur la rondelle plissée puis elle descend jusqu’au sexe qui est littéralement inondé de nos sécrétions mélangées.

Il est vrai que j’ai été généreux… mais je sens que j’ai encore quelques réserves…

J’introduis deux puis trois et finalement ce sont mes quatre doigts qui entrent dans la chatte de Marie et qui s’ouvre à cette intrusion.

Marie ne dit rien… elle se contente d’ouvrir le compas de ses cuisses et de relever un peu son bassin pour faciliter les choses mais j’en veux plus… D’ailleurs Diane, une de mes maîtresses parisiennes, m’avait surnommé ‘Monsieur Plus’ car chaque fois que nous étions ensemble il y a quelques années, j’inventais toujours des choses nouvelles…

Je retourne Marie et là, j’ai le maximum de ses zones érogènes à portée de main et de bouche…

Pendant que je suce les bourgeons de ses seins, Marie commence une masturbation savante de mon sexe… Elle alterne les succions de ma tige et le malaxage de mes bourses puis elle gobe le sac qui pend entre mes jambes et fait rouler mes testicules dans sa bouche ! Waouh… Que c’est bon !

Je vrille ma langue dans son nombril et ensuite, je m’intéresse à sa conque baveuse que je lèche avec application, faisant rouler le clitoris entre mes lèvres…

Marie m’encourage en me disant combien c’est bon de se faire manger ainsi mais ce qu’elle me fait est aussi jouissif… Elle jouit la première dans un cri de délivrance et moi, je m’arrache à sa bouche en lui faisant face à nouveau. En voyant sa fabuleuse poitrine au début de nos ébats, une idée a germé dans mon cerveau de coquin : J’allais m’offrir une belle cravate de notaire entre les seins de Marie !

Quand je me suis approché de sa poitrine, elle a tout de suite compris mes intentions et d’elle-même elle a glissé mon sexe entre ses seins qu’elle a refermés sur mon vit… Je n’avais plus qu’à aller et venir pendant quelques instants pour décharger mon foutre entre ses globes et sur le haut de son buste !

Nous n’en pouvons plus…

Nous somme repus de caresses et de sensations diverses mais le temps passe trop vite…

Nous nous rhabillons et Marie reprend sa Mini cabriolet et s’en va…

Je ramasse les restes de nos agapes et je quitte moi aussi ces lieux rustiques mais enchanteurs qui me laissent des souvenirs impérissables…

Au moment où je gare ma voiture sur le parking de l’hôtel, mon portable sonne : C’est Paul… Il me dit qu’il sait que je suis là jusqu’au lendemain et il m’invite à diner le soir même et disant que Marie et lui auraient regretté de ne pas avoir profité de ma venue à Montpellier !

D’après son ton et son humeur enjouée, il semble ne pas se douter que j’ai passé une partie de la journée avec sa femme !

Il me reste deux heures avant de reprendre la route vers le mas que Paul et Marie habitent au milieu des vignes… J’en profite pour me reposer un peu en pensant aux heures chaudes que je viens de passer… Décidément, Marie est une femme merveilleusement coquine, pleine de ressources et d’envie qui découvre le libertinage…

D’après ce qu’elle m’a confié, en peu de temps, elle a découvert les étreintes à géométrie variable avec les deux hommes rencontrés dans le TGV pour Paris, la sodomie avec un autre partenaire que son mari, les relations saphiques avec Claudia puis au final une partie à trois avec Yves et Claudia…

Puisque Paul semble trouver son bonheur ainsi, je ne lui jetterai pas la pierre.

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