Rendez-Vous Coquin Dans La Garrigue. Second Chapitre.
La suite de l'histoire écrite à quatre mains avec "Le matou Libertin", un auteur bien connu des lecteurs de HDS.
Voici le second chapitre de cette histoire. J'attends vos commentaires. Sofie
Gérard
Le voyage entrepris avec Marie ressemble plus à une lente promenade quà une cavalcade effrénée
Je vais et viens dans son sexe avec une lenteur savamment calculée
Malgré mon impatience je veux lui donner un maximum de plaisir
je le recherche dans une position quelque peu acrobatique pour des amants de nos âges.
Après avoir introduit mon sexe dans le sien, je prends les jambes de Marie et je les relève pour les poser sur mes épaules. Je domine complètement ma maîtresse et les yeux fermés, elle savoure le bonheur que je lui prodigue jusquà ce quune première jouissance lemporte lorsque mon sexe appuie sur son point G
Un grand râle sort de ses lèvres et je sens les muscles internes de son vagin masser le bout de ma queue
Mais NON, tu ne mauras pas à ce petit jeu ! Je me suis réservé pour une autre joute amoureuse !
Je laisse Marie retrouver son calme puis je recommence à aller et venir dans sa conque juteuse comme un fruit bien mur ! Mais là, cest un plaisir partagé que je recherche. Je ne me contente plus daller et venir en elle mais à chaque fois, mon sexe sort et entre avec vigueur entre les lèvres intimes de Marie
Mon gland, hypertrophié par lenvie (et la savante préparation de la bouche gourmande de mon amie
) ouvre sa voie entre les muqueuses totalement engluée de cyprine.
Je vois la fabuleuse poitrine de Marie subir indirectement mes coups de boutoir mais elle reste ferme et bien ancrée sur son buste
On ne dirait pas que ma maîtresse a cet âge et quelle a allaité ses quatre s (ou en est-ce la raison ?). Ses tétons que jai sucés tout à lheure sont sortis comme rarement je lai vu chez une femme
Ils ressemblent à une petite olive noire
Et Marie mencourage à haute voix en me disant :
- de bien la baiser à fond
- quelle aime çà
- que je la baise bien
- quelle va venir
Moi aussi, je vais venir
Je nen peux plus de retenir ma jouissance et lorsque je sens chez ma maîtresse les prémices de son plaisir, je léperonne vivement une dernière fois et déverse au fond de son vagin quelques giclées de sperme qui se mélangent à sa cyprine.
Oh que cest bon
Je laisse retomber les jambes de Marie et nous basculons sur le côté
avant quelle ne me fasse mettre sur le dos et me domine sans que je sorte de sa chatte et disant que je lai rendue heureuse
Javoue que je suis un peu gêné par ses témoignages à haute voix
Si ces paroles attiraient quelque curieux ?
Mais NON, nous sommes seuls au milieu de vignes et personne ne viendra nous déranger !
Nous sommes bien
et je sais comment employer les heures qui nous restent à passer ensemble !
Marie/Sofie
Gérard se couche sur moi. Jai hâte quil me possède. Jai des souvenirs magnifiés de nos ébats passés. Il prend son temps. Avant de pénétrer, je sens son gland quil frotte autour de mon clitoris tout gonflé dexcitation. Et puis, enfin, il me pénètre.
Je lâche un grand cri avec une première jouissance qui va en amener beaucoup dautres. Je le serre fort contre moi. Mes ongles griffent son dos tendu. Je râle de plaisir. Gérard est aux anges. Je le sens sûr de sa puissance, de sa virilité face à ma soumission. Il prend possession lentement de mon fourreau trempé. Il samuse avec moi. Il ménerve. Je le veux fort, puissant. Je veux quil me pilonne, quil me piétine, quil me défonce.
Enfin, je sens Gérard répondre à ma bestialité. A mon envie pure de sexe, de baise. Je suis toute à lui. Je suis offerte. Je suis soumise à lui et le fait de savoir que Paul me regarde accentue encore davantage mon plaisir si cela pouvait être possible car Gérard sait y faire. Cest un amant hors-pair. Il me baise lentement et profondément. Il sort et rentre pour mieux me posséder. Son sexe est court mais large. Il me remplit la chatte. Jaimerais à la fois que ses coups de reins durent longtemps, mais mon plaisir est aussi de le faire craquer, de le faire jouir. Je veux quil me remplisse de sa crème. Je contracte mon vagin, serre mes cuisses pour mieux emprisonner son gland et lui faire perdre pied.
Jobserve Paul qui essaie tant bien que mal de filmer nos ébats, tout en se caressant. Il se branle. Il sexcite de voir sa femme se faire baiser par son ami Gérard.
Mon excitation, mon plaisir se traduisent bruyamment. Je suis une jouisseuse qui se lâche et qui crie sa jouissance et qui encourage son amant à accen ses coups de reins, à la défoncer, à lui faire perdre la tête comme en ce moment. Néanmoins, je pense quinconsciemment, je crie encore plus fort que dhabitude pour que Paul entende mon plaisir quil doit imaginer à la hauteur de mes cris.
- Allez vas-y mon salaud.
- Baise-moi bien profond
- Ne tarrête pas
- Oh, que cest bon
- Allez, viens, maintenant !!!
Mais NON, Gérard est inépuisable. Il me tue.
- Je jouiiiiiiiii
- Ouiiiiiiiiiii
Alors que je le sens grossir, et lui aussi certainement, il ralentit et sort pour laisser retomber la tension. Il me lève les jambes quil pose sur ses épaules pour me pénétrer encore plus profondément. Je dégouline de cyprine. Ma raie est inondée !!! Je me sens indécente et vulnérable face à mon amant délicieux et puissant. Il samuse à nouveau avec moi. Il frotte sa queue contre moi. Je la sens aller et venir de mon clitoris à mon cul. Je suis trempée
Et puis, il me pénètre à nouveau, brutalement, profondément. Une pénétration qui me coupe le souffle et qui mamène une nouvelle jouissance. Mais là je sens que Gérard va venir. Je crie encore plus fort pour nous accompagner dans cette dernière jouissance.
- Ouiiiiiiiii
- Viennnnnnnns
Et dans un râle ultime, je sens la queue de mon amant encore grossir dans mon étui serré pour se vider enfin en moi. De multiples jets me remplissent. Jadore le bouquet final du feu dartifice que ma offert Gérard pour nos retrouvailles
Je reprends difficilement mes esprits. Gérard est encore en moi. Il est encore gros et dur.
Paul est toujours là. Je lui fais un clin dil, mais je ne sais pas sil ma vue.
Gérard baisse mes jambes et jen profite pour faire basculer mon amant sur le côté et me positionner sur lui. Sa queue toujours en moi.
Je me sens bien. Je me sens épanouie. Je me sens aussi pleine du foutre de mon amant, de son sperme qui sécoule le long de mes cuisses.
Gérard
Quelle belle cavalière
Ma maîtresse me domine désormais en me faisant face
Sa fabuleuse poitrine bien ronde aux tétons proéminents se balance devant mes yeux et ses longs cheveux voilent un peu son visage mais ce que je ressens à ce moment-là nest pas un mythe.
Ma bite est toujours ancrée entre ses nymphes, certes un peu ramollie mais encore assez ferme pour que Marie continue à rechercher les dernières bribes de jouissance
Quelle est belle ainsi
Totalement livrée à son plaisir et au mien
Rarement jai eu comme maitresse une femme de son âge aussi libérée, avide de jouir et participant entièrement à lunion de deux sexes à la recherche du plaisir
Sa position dominante fait que bientôt je sens mon sperme et sa cyprine mélangés sécouler entre mes cuisses
Lun et lautre nous avons eu des sécrétions intimes abondantes
Sans savoir que jallais avoir une chaude rencontre avec Marie, je navais pas recherché de bonnes fortunes à Paris aussi, javais des réserves : Plusieurs semaines sans faire lamour !
Marie sallonge sur moi, elle presse ses seins contre ma poitrine et vient loger sa tête contre mon oreille droite
Nous sommes bien ainsi
Je savoure le bonheur que ma maîtresse vient de me donner quand soudain elle commence à me faire des confidences
Elle mavoue que depuis que son dernier fils a quitté la maison, elle a eu plusieurs amants, encouragée en cela par son mari qui aimait lentendre raconter ses turpitudes avant de lui faire lamour.
Elle me narre aussi son voyage parisien au cours duquel pour la première fois, elle a eu deux hommes pour la baiser en même temps
Elle avait même accepté la sodomie de lun deux, alors, me disait-elle, que seul Paul, son mari avait accès à son sphincter !
Les confidences de Marie ont pour effet de me faire bander à nouveau sans que je sois sorti de sa conque chaude
et jimagine déjà la suite
Lété dernier, ma maîtresse avait semblé être une adepte des postions arrière comme la levrette, une position que jaime aussi car je retrouve un peu cet instinct animal primaire qui parfois me guide
Dès que Marie prend la position souhaitée, je saisis sa taille entre mes mains et je glisse ma bite entre ses cuisses
Je nai pas besoin de la guider, elle trouve aussitôt lentrée chaude et humide dans laquelle je nai quà pousser pour mintroduire dun seul effort
Mon pubis est en contact avec les globes fessiers de mon amie et chaque fois que je me retire, je fais claquer nos deux corps lun contre lautre.
Cest le seul bruit qui vient troubler le chant des oiseaux
Déjà repus de jouissance, notre plaisir est assez long à venir mais je tiens la distance
Cest vrai quavoir sous mes yeux le bassin un peu ample, le taille bien marquée et le dos de Marie a de quoi minspirer
et les paroles que nous prononçons nous excitent.
Mais si moi, je les dis à mi-voix, jignore pourquoi Marie pousse parfois le ton ! Voudrait-elle attirer des curieux ? Ce quelle ma raconté de son voyage à Paris démontre quelle ne dédaigne pas avoir deux hommes pour soccuper delle mais moi, je ne suis pas dhumeur partageuse !
Je viens titiller la rondelle plissée de Marie puisquelle est ouverte
Jintroduis un doigt puis deux que je fais aller et venir aussi profondément que je peux, recherchant à nouveau le point G que je ne tarde pas à atteindre déclenchant ainsi la jouissance de Marie qui rue au-devant de mon sexe quand je tarde trop à lintroduire à nouveau dans son vagin décidément très accueillant.
Mais moi, ce que je veux
cest décharger quelques giclées de foutre sur son dos
Je saisis ma bite dans ma main droite et jenvoie plusieurs jets qui sétalent sur les reins de Marie et je pousse une sorte de rugissement qui me libère totalement !
Pour linstant, nos sens exacerbés sont repus
Nous nous allongeons sur la couverture, blottis dans les bras lun de lautre
Je questionne mon amie sur son voyage à Paris ! Je veux en savoir plus ! Dire quelle est venue dans la même ville que moi pour cette escapade coquine !
Et cest bien volontiers quelle me donne les détails
Cétait chaud !
Marie/Sofie
Me voilà au-dessus de mon amant. Je sens son pieu en moi, lequel a un peu débandé, mais sa taille est encore suffisante pour me donner du plaisir. Je me laisse aller, je me frotte, jondule car je sens que les vibrations ne sont pas totalement parties. La jouissance est encore là, prête à exploser.
Cet instant est magique. Je veux le prolonger le plus longtemps possible. Mes mains sont posées sur le buste de Gérard, tandis que les siennes empaument mes seins encore très sensibles. Mes tétons sont durs. On dirait des petites fraises des bois. Je repense à la chantilly et cela me fait sourire. Mon étalon me les prend entre ses doigts. Je vois quil y prend beaucoup de plaisir. Aussi je me penche pour les lui mettre à la portée de sa bouche pour quil me les aspire, me les lèche, me les tète
Jadore. Ça y est une jouissance me surprend juste à cet instant. Je me cambre. Gérard me prend les fesses à pleines mains pour maccompagner.
Aussitôt je sens son sexe qui grossit à nouveau dans mon fourreau. Quel bonheur
.
Je mallonge sur mon amant. Son sexe toujours en moi. Je me love contre son buste. Il me serre fort dans ces bras. Nous parlons de ce que nous avions fait depuis notre dernière fois. Je lui avoue que, suite à nos ébats amoureux, les relations avec Paul me paraissaient insuffisantes. Paul en était conscient et mencourageait à prendre des amants et à jouir au maximum de mon corps. Jévoque également mon voyage de « femme libre » à Paris.
Gérard ne reste pas insensible à mes confidences. Son sexe reprend de la vigueur et mon amant reprend linitiative. Il me fait basculer, me demande de me mettre à quatre pattes et vient se positionner derrière moi. Je sens ses mains fermes et puissantes saccrocher à mes hanches et son pieu me pénétrer dun coup. Il marrache un râle de surprise et de plaisir.
Mon vagin est encore trempé de nos sécrétions. Gérard en profite. Un vrai bucheron qui me besogne sans pause cette fois. Je le sens excité et jadore les va et vient de sa bite qui me remplit et marrache des cris à chaque poussée. Et comme si cela ne suffisait pas, il me claque les fesses. Je crie, je hurle mon plaisir, ce qui provoque un déchainement chez mon amant. Le coquin profite de sa position pour me caresser la rondelle. Je sens son pouce trempé de mes sécrétions qui pénètre mon anus et qui alterne la pénétration anale avec la vaginale. Cen est trop. Je ne peux mempêcher de jouir dans un râle puissant et long. Gérard tout excité jouit simultanément. Je peux sentir son gland grossir et expulser plusieurs jets de sperme au fond de mon vagin
Nous nous laissons nous affaisser, Gérard positionné sur le côté, derrière moi, toujours en moi. Nous avons mérité une petite pause. Nous sommes en nage tous les deux. Nous avons le temps.
Je reprendrai bien une coupette de champagne avec des fraises.
Gérard sort de mon étui avec regret. Il est daccord pour préparer les fraises et servir le champagne, mais à condition que je lui en raconte davantage sur mon voyage à Paris.
Face à sa demande appuyée, je lui raconte quelques péripéties. Comment je me suis retrouvée à lhôtel avec deux amants pour la nuit. Deux hommes jeunes et puissants qui mont défoncée par tous les orifices. Moi qui ne me laissais sodomiser que par Paul. Mon cul a eu son lot de pénétrations et pas que ce jour-là.
La nuit chez Yves, lami de Paul, avec sa femme Claudia. Là encore, une première fois avec une femme. Je lui ai conseillé daller lire mon histoire de femme libre sur internet puisque javais pris le temps de décrire cette folle semaine avec force détails
Je repense à mon retour à Montpellier et les jours passionnés qui ont suivi avec Paul tout excité par mes péripéties parisiennes
Tiens, au fait, mais où est Paul ? Je ne le vois plus. Il a dû changer demplacement. Quel coquin ce Paul.
Gérard me caresse pendant que je parle. Ses mains sont douces et aériennes. Quand je pense à tout à lheure, quand il me pilonnait, quil mempoignait les hanches, me claquait les fesses
Cétait un autre homme !!!! Jadore ces deux Gérard.
Ses caresses se font plus précises. Ses doigts sont pleins de nos sécrétions qui sortent encore de mon vagin. Il joue avec mon clito et mon anus quil masse délicatement. Il me pénètre et me fait lécher ses doigts trempés dodeurs multiples...
Je marrête de parler pour me laisser câliner et je ronronne comme une chatte que je suis. Je mallonge sur le ventre et je mabandonne aux caresses de mon amant.
Gérard
Marie sabandonne à mes caresses
Allongée sur le ventre, les zones érogènes que je connais déjà ne sont guère accessibles mais je fais avec
Je dépose des baisers dans le creux derrière les genoux
Marie réagit aussitôt ! Jinsiste quelques instants en changeant de cible puis je glisse une main entre les cuisses et remonte jusquà la jointure. De nouveau, les globes charnus reçoivent mes baisers, légers puis de plus en plus appuyés pendant que ma main droite masse lentrejambe de Marie
Elle sattarde un instant sur la rondelle plissée puis elle descend jusquau sexe qui est littéralement inondé de nos sécrétions mélangées.
Il est vrai que jai été généreux
mais je sens que jai encore quelques réserves
Jintroduis deux puis trois et finalement ce sont mes quatre doigts qui entrent dans la chatte de Marie et qui souvre à cette intrusion.
Marie ne dit rien
elle se contente douvrir le compas de ses cuisses et de relever un peu son bassin pour faciliter les choses mais jen veux plus
Dailleurs Diane, une de mes maîtresses parisiennes, mavait surnommé Monsieur Plus car chaque fois que nous étions ensemble il y a quelques années, jinventais toujours des choses nouvelles
Je retourne Marie et là, jai le maximum de ses zones érogènes à portée de main et de bouche
Pendant que je suce les bourgeons de ses seins, Marie commence une masturbation savante de mon sexe
Elle alterne les succions de ma tige et le malaxage de mes bourses puis elle gobe le sac qui pend entre mes jambes et fait rouler mes testicules dans sa bouche ! Waouh
Que cest bon !
Je vrille ma langue dans son nombril et ensuite, je mintéresse à sa conque baveuse que je lèche avec application, faisant rouler le clitoris entre mes lèvres
Marie mencourage en me disant combien cest bon de se faire manger ainsi mais ce quelle me fait est aussi jouissif
Elle jouit la première dans un cri de délivrance et moi, je marrache à sa bouche en lui faisant face à nouveau. En voyant sa fabuleuse poitrine au début de nos ébats, une idée a germé dans mon cerveau de coquin : Jallais moffrir une belle cravate de notaire entre les seins de Marie !
Quand je me suis approché de sa poitrine, elle a tout de suite compris mes intentions et delle-même elle a glissé mon sexe entre ses seins quelle a refermés sur mon vit
Je navais plus quà aller et venir pendant quelques instants pour décharger mon foutre entre ses globes et sur le haut de son buste !
Nous nen pouvons plus
Nous somme repus de caresses et de sensations diverses mais le temps passe trop vite
Nous nous rhabillons et Marie reprend sa Mini cabriolet et sen va
Je ramasse les restes de nos agapes et je quitte moi aussi ces lieux rustiques mais enchanteurs qui me laissent des souvenirs impérissables
Au moment où je gare ma voiture sur le parking de lhôtel, mon portable sonne : Cest Paul
Il me dit quil sait que je suis là jusquau lendemain et il minvite à diner le soir même et disant que Marie et lui auraient regretté de ne pas avoir profité de ma venue à Montpellier !
Daprès son ton et son humeur enjouée, il semble ne pas se douter que jai passé une partie de la journée avec sa femme !
Il me reste deux heures avant de reprendre la route vers le mas que Paul et Marie habitent au milieu des vignes
Jen profite pour me reposer un peu en pensant aux heures chaudes que je viens de passer
Décidément, Marie est une femme merveilleusement coquine, pleine de ressources et denvie qui découvre le libertinage
Daprès ce quelle ma confié, en peu de temps, elle a découvert les étreintes à géométrie variable avec les deux hommes rencontrés dans le TGV pour Paris, la sodomie avec un autre partenaire que son mari, les relations saphiques avec Claudia puis au final une partie à trois avec Yves et Claudia
Puisque Paul semble trouver son bonheur ainsi, je ne lui jetterai pas la pierre.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!