La Lettre
20h30,
Je rentrais du travail après une longue journée qui se terminait par une réunion, une heure de train puis un autre de 20 minutes et 5 petites minutes de la gare à chez moi avec la voiture.
Je nétais pas mécontent de rentrer ma voiture au garage, jallais prendre le courrier dans ma boite aux lettres et je vis quil y avait une lettre pour les voisins dà côtés.
Je fais quoi ? Je lamène demain ou de suite ? Un dernier effort ? Allais ! Soyons fou.
Bon, il faut savoir que jai repris cette maison à mes parents, jy ai vécu une bonne partie de ma vie et que mes voisins, la voisine, cest mon ex, elle est venue habitée quelques années après que nous nous mettions ensemble
Je pense que son mari du lapprendre vu son manque de politesse à chaque fois que lon se voyait.
Ce nétait pourtant pas une relation qui sétait mal terminé si on laisse de côté le fait que je lavais quitté, une personne bien, discrète, toujours prête à aider, mais quand il ny a pas de sentiments
Je frappais à leur porte, elle vint ouvrir.
- Salut, jai ceci qui est arrivé chez moi par erreur !
- Ah merci ! Me dit-elle grand sourire.
- Allais, je rentre chez moi, la journée à été longue.
- Tu ne veux pas rentrer boire un verre ?
Hein ? Ton mec ne va pas beaucoup aimer ! Me dis-je pour commencer et puis a part des bonjours lorsque lon se croisait, on se parlait plus vraiment, ce qui était plutôt normal.
- Je ne veux pas vous déranger. Dis-je poliment.
- Tu ne me déranges pas, je préparais à manger et jai fait bien trop pour moi toute seule, si tes un peu patient, tu peux manger avec moi, tu viens de rentrer du travail, non ?
- Oui, enfin, je ne veux pas mimposer.
- Tu ne timposes pas, je tinvite.
- Soyons fou.
Et je rentrais, elle passait devant moi, cest vrai que ça sentait bon, par contre, elle était déjà en pyjama, enfin elle portait un peignoir, blanc, plutôt fin.
Je la regardais, une petite rousse-châtain de 1m58, qui ne pesait pas plus de 52 kg, des crolles
Un joli petit fessier et un petit 85b.
Dommage que jai préféré te quitter parce que je navais pas de sentiment pour toi, et que tu suçais pas aussi.
Elle minvitait à masseoir, dans le salon, je regardais tout autour de moi, elle me proposait à boire, jacceptais un verre de vin blanc, lorsquelle revint elle sassit dans le divan en face de moi.
Je pu remarquer sa peau sous son peignoir, au-dessus, elle ne portait rien, je mefforçais de ne pas penser plus loin, visiblement, ses jambes étaient nues aussi.
- Il ne viendra pas, il ne viendra plus.
- Il est parti ?
- Oui, avec une autre
- Désolé, cest pour ça que je suis ici ? Tu avais besoin de compagnie ?
- Peut-être bien oui.
- Si un jour, il te faut du sel, tu peux passer à la maison.
- A mon avis, cest plus vite toi qui viendra chercher quelque chose quil te manque.
- Je pense aussi.
On rigolait alors et je bu mon verre.
Alors quon parlait de tout et de rien, quelle faisait des aller et retour dans la cuisine, elle minvita à la table, on se mit à manger, cétait vraiment bon, javais un peu du mal à détourner mon regard du morceau de peau que je voyais.
Lorsquon eut fini, je la félicitais pour son plat.
- Merci, tu veux rester un peu que lon regarde un film ou quon fasse quelque chose ?
- Quon fasse quelque chose ? (Oui, javoue jai pensé mal)
Elle rougit et repris alors
- Ben, un jeu de société ou je ne sais pas quoi, même juste discuter.
- On peut, si ça peut te faire du bien, mais jaurais aimé dabord rentrer me prendre ma douche.
- Tu peux la prendre ici.
- Je nai rien pour me changer ici.
- Tu risques de prendre longtemps ?
- Non, le temps de sauter dans ma douche, etc
- Je tattends alors ! Dit-elle souriante.
Je partis et rentrais enfin chez moi, alors que je me dirigeais vers ma salle de bain, je me demandais ce que je faisais, cette fille était tout ce quil y avait de plus gentil au monde, de plus pur, elle navait jamais dévié et moi javais des pensées malsaines.
Une fois sous la douche, jeu du mal à menlever les images, mais jy arrivais. Jenfilais un pantalon de training et un tee shirt, il faisait bon, et jallais éviter daller dans ma tenue de pyjama à moi, boxer.
Je retournais chez elle.
- Tu tes fait attendre !
- Vraiment ?
- Non, je te taquine tu as été plutôt vite. Dit-elle en me poussant avec sa main sur mon épaule.
- Alors on fait quoi ? Dis-je.
- Tu veux faire quoi ?
- Tes sûr que tu veux me demander ça ?
Et oui, fallait que je la taquine, jétais ainsi ! Mais je pense que mon inconscient se voyait déjà en elle.
Elle rougit encore.
- Tu veux un verre ?
- Tu veux me saouler ?
- Non, mais moi je suis sur place et toi tu habites à coter alors pourquoi pas !
- Allais, daccord !
On se remit dans nos divans respectif, jambe croisées, pencher un peu verre moi et tenant son verre de vin en main, elle me dit :
- Et si on jouait à un jeu, un pose une question, lautre doit dire la vérité.
- Ça pue comme jeu ça.
- Tu as peur de répondre ? Dit-elle un peu en confiance.
- Je te donne une contre-proposition, action ou vérité.
- Javais oublié que tu allais toujours au-delà des choses
- Tu vois !
- Daccord, on joue à cela si on joue un peu à mon jeu.
Je pris un instant pour réfléchir et acceptait.
- Je commence ! Dit-elle sachant déjà par quoi elle allait commencer.
- Daccord.
- Pourquoi tu mas quittée du jour au lendemain ?
- Mes sentiments ne se développaient pas
Tu méritais mieux que ça.
- Ok, passons
A toi !
- Tu as eu combien de mec en tout ?
- Trois. Mon ex avant toi, toi, et lui
- Dac !
- Et toi, après moi, tu as couché avec combien de fille ?
Je me mis à compter, il y avait quand même un grand nombre dannées qui sétaient écoulées, javais eu quelques relations pseudo sérieuse, quelque coup ainsi et surtout deux plans cul réguliers.
- 13.
- Hey ben
- A moi, dis-moi deux choses que et tu aimais chez moi, une de moi en tant que personne et lautre sexuellement.
Elle rougit mais fit le jeu.
- Tu étais à lécoute et attentif, tu noubliais rien de ce que je te disais, tu pouvais dire à lavance presque ce que je voulais et sexuellement, quand tu me faisais une minette, javoue que ça, jai pas beaucoup dexpérience différente mais tu mas données des sueurs.
- Content de le savoir. Dis-je, pas peu fier de moi.
- Je te pose une dernière question, pourrais-tu envisager une relation à nouveau avec moi ?
- Non, jaurais trop peur de te refaire du mal, je continue à penser que tu mérites mieux que ça.
- Daccord, pose ta dernière question. Dit-elle un peu blessée.
- Je me demandais, sous ton peignoir, tu portes quelque chose ? Jai pu remarquer que lon y voyait ta peau.
- Juste un string, à la base, je nattendais pas de la visite donc jai vite enfilé mon peignoir.
Trop tard, là, je limaginais complètement nue juste en string sous son peignoir, jétais presque sûr de pas tenir et de tenter de la prendre.
- Donc, on joue à action ou vérité maintenant ? Me dit-elle.
- Cest cela, oui
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