La Lettre 3
Je commençais à monter les marches, et non contrairement à ce quon pourrait penser, pas en courant, javais toujours le sexe extrêmement dur et javais toujours la luminosité qui me dérangeait, jarrivais à létage, toutes les portes étaient fermées, à part une, entre ouverte, jallais vers celle-là et louvrit, je rentrais.
Elle était là, entièrement nue, ce petit corps que javais pris à plusieurs reprises mattendait, assise sur le bord de son lit, les mains cachant son intimité que javais longuement caresser avec ma langue, un petit regard timide, mais un visage rouge dexcitation.
- Alors, on fait quoi maintenant ?
- Je suis toute à toi
Me répondit-elle, me fuyant du regard.
Je décidais de tenter le tout pour le tout.
- Action ou vérité ? Dis-je.
- Action, je suis à fond pour laction ! Répondit-elle.
Alors que javais commencé à mavancer vers elle, arrivée devant elle, je dis alors.
- Hum, action, ton action est donc de me sucer.
Elle fit de gros yeux détonnement, me dévisageait puis me souris en me disant :
- Cest le jeu, ten profites
Tu as raisons.
Et mit sa main sur mon sexe, celui-ci qui était déjà prêt à exploser quelques minutes plus tôt en bas, elle fit des vas et viens et puis rapprochait ses lèvres, tout ce que javais pu tirer delle à ce niveau-là après quelques mois de relation était quelle la lèche, rien de fabuleux, et je vis peu à peu sa petite langue sortir et se déposer sur mon sexe, faire le tour de mon gland.
Je la laissais faire dans un premier temps, elle le léchait ensuite de haut en bas, et puis on aurait dit quelle tenait une glace.
Il était temps quelle suce, je dirigeais mon sexe vers sa bouche, et sans forcer le lui rentrait dedans, elle fermait bien ses lèvres dessus et elle se mit à sucer, maladroitement mais elle le faisait. Timidement elle me regardait mais sappliquait et cétait plutôt bon.
Je finis par venir et me retirait, même si elle en eu en bouche, sur le visage et sur la poitrine, elle me regardait abasourdie.
- Reste ainsi, on ne fait que commencé je dis, met toi à quatre pattes sur ton lit.
Elle se mit à quatre patte sur son lit et se cambrait, je lavais toujours prise en levrette, mis à part au début, mais à lépoque javais un miroir dans ma chambre, et elle se retrouvait face à ce miroir.
Mais ici, je ne comptais pas la prendre, enfin pas de suite, jécartais un peu ses jambes et je repartis caresser son entre jambe comme plus tôt dans la soirée, position différente, sensation différente, elle reparti des plus belles, et après un bon moment, arrivait ce qui arrivait, un second orgasme, je la laissais sur le lit, le temps quelle reprenne ses esprits, les fesses toujours en lair, je la couchais sur le côté et me posait derrière elle, japprochais mon sexe du sien et linsérait.
Je me mis à la prendre, je sentais quelle navait plus le contrôle.
- Tu me suce encore après ?
- Tout ce que tu veux, prends-moi ! Me dit-elle dune petite voix.
Et je la pris, parfois jy allais avec douceur et dautre plus frénétiquement, je magrippais à ses seins que je caressais, je jouais avec sa chatte de ma main et je finis par venir en elle.
On reprit notre souffle tous les deux et me retirait petit à petit, mon sperme coulait de sa chatte sur son lit, jessuyais mon gland contre ses fesses et puis passait devant elle, qui était pleine de sperme et présentait mon sexe.
Elle me regardait avec une non envie, je vais daller en elle, y avait du sperme, tout ce quelle voulait pas hors dun truc quelle navait jamais voulu, je lui rappelais ce quelle mavait dit pendant que je la prenais et elle se résignait, redressant sa tête juste pour pouvoir avoir mon sexe en bouche.
Lequel je lui laissais longtemps dedans, prenant plaisir à son suçage.
Lorsque jeu assez je me retirais.
Elle se redressait, me regardant quelque peu honteuse et me dit :
- Tu veux dormir ici ?
- Tu en as pas eu assez ?
- Je serais prête à recommencer moi
Dit-elle timidement regardant son lit.
- Tu as conscience, que cétait juste ainsi, il ny aura pas de suite ?
- Oui, mais quand tu ne dis pas de suite
?
- Je pourrais éventuellement toujours venir te mettre un petit coup si tu veux.
Dis-je en rigolant et frappant sur son front.
- Que tu es bête, mais tu peux revenir quand tu veux, on prend notre douche ensemble avant que tu ten aie ?
- Oui, pas de soucis.
On partit dans la douche, et alors que leau coulait sur nous, elle se remit à membrasser, avais-je fais une bêtise ? Je ne sais pas.
On sortit de la douche, et alors quelle regardait quoi mettre pour se coucher, je vis une petite nuisette rouge légèrement transparente et lui tendit.
- Sans rien en dessous, que jaie une image avant daller me coucher.
Elle lenfilait et on descendit, je remis mes vêtements et alors que jallais sortir elle me dit.
- Dit, jai une proposition
- Oui ?
-
- Quoi ? Rajoutais-je.
- Si tu restes et me refais du bien, jaccepte que tu aies par derrière
Dit-elle baissant les yeux.
Je rentrais et fermait la porte derrière moi et dit.
- Donc, si je reste et te fais une minette, tu acceptes que toi, qui avant aujourdhui nas jamais voulu sucer de ta vie, je técarte lanus pour te prendre par-là ?
- Oui, tu as bien compris
- Je fais un passage chez moi, quand je reviens, si tu es toujours daccord, tu mattends à coté de ton divan, les yeux bandés, debout.
- Euh, O
Oui.
Apprends lui avoir souris, jouvris la porte et sortit vers chez moi.
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