Madeleine, Ma Vieille Voisine Est Une Coquine

Madeleine


Je me trouve dans le jardin pour nettoyer un peu les plates bandes et les rosiers, lorsque qu'une voix m'interpelle :
« Bonjour monsieur ! »
Je me redresse et aperçois de l'autre côté de la clôture, une dame d'un certain âge.
« Bonjour madame !
Je suis votre nouvelle voisine. C'est la première fois que je vois quelqu'un dans votre maison
Je ne suis pas tout le temps là et ma femme sort peu au jardin.
J'ai vu qu'il y avait des voitures. Il faut dire que je ne suis là que depuis une quizaine de jours.
Ah oui ! Je suis moi-même rentré hier soir.
Voulez-vous prendre un café  ?
Avec plaisir. Je range mes outils, je ferme la maison et j'arrive
Vous allez trouver  ? C'est par la petite venelle.
Oui, oui, je vois où c'est.
A tout de suite. »

Dans ce petit lotissement, les gens se parlent en de rares occasions. N'ayant rien de particulier à faire et étant seul à la maison, je me dis que c'est une occasion de faire connaissance avec cette nouvelle voisine.
Après quelques minutes, je sonne à la porte de la dame qui vient m'ouvrir. C'est la première fois que j'entre chez un voisin de ma femme, même si cela fait plus de dix ans qu'elle a acheté sa maison dans cette banlieue bordelaise.

La dame me fait visiter sa maison, toute heureuse de me montrer les aménagements qu'elle y a réalisés. Je m'attendais à un intérieur ancien, mais je découvre une cuisine moderne toute équipée, un salon bien lumineux avec un grand canapé d'angle. Elle me montre même brièvement sa chambre avec dressing et la salle de bain, elle aussi flambant neuve avec une douche « à l'italienne ».

Nous nous installons autour de l'îlot de la cuisine sur des tabourets hauts et la dame prépare les cafés avec la machine à expresso.
«  Alors, si j'ai bien compris vous ne vivez pas tout le temps à côté  ? Excusez-moi si je suis indiscrète.
Il n'y a pas de mal.

En fait, j'ai de la famille au Béarn et j'alterne à peu près tous les dix ou quinze jours entre ici et là-bas.
Le Béarn  ? C'est où  ?
Ah ! Je vois que ma province est méconnue ! C'est la région de Pau, ville de naissance du célèbre Henri IV, entre Biarritz et Lourdes, proche du Pays basque.
Ah oui, excusez-moi, la géographie n'est pas mon fort.
Ce n'est pas grave, vous n'êtes pas la seule à mal si le Béarn. Et alors, vous venez de vous installer  ?
Oui. J'avais un appartement à Paris. J'en avais marre de la ville et j'ai eu une opportunité intéressante.
Et pourquoi Bordeaux  ?
J'ai entendu parler que c'était une jolie ville. Je voulais le sud mais pas le sud est qui est inabordable et paraît-il assez mal famé. Et puis ici, il y a l'Espagne pas loin et le sud ouest est réputé festif.
C'est vrai. Vous avez préféré la banlieue  ?
Oui, la ville j'ai donné et je voulais une maison. Celle-ci me convenait. J'ai fais l'affaire en huit jours. Vous connaissiez les propriétaires avant moi  ?
Je voyais la dame quand elle faisait son jardin potager, mais depuis quelques temps elle ne devait plus pouvoir s'en occuper. Tout a été arraché et ces derniers mois je ne la voyais plus du tout.
Elle est décédée et ce sont ses s qui me l'ont vendue.
Vous savez, ici, le gens ne se fréquentent pas beaucoup, ce n'est pas comme par chez moi en campagne, où tout le monde se connaît. Vous êtes d'ailleurs la première personne du voisinage chez qui je rentre.
Ah bon? Il y a longtemps que vous habitez là  ?
Ma compagne a acheté il y a une dizaine d'années.
Ah quand même !
Eh oui !
Je vous embête peut-être avec toutes mes questions  ?
Non, pas du tout ! Moi aussi j'aime discuter. C'est tout de même plus agréable que de se croiser sans rien dire.
J'ai aperçu parfois une jeune fille, c'est la votre  ?
C'est la fille de ma femme, moi j'ai un fils qui vit dans les Landes.
Et vous, vous connaissez Bordeaux  ?
Oui, même mieux que ma femme qui y vit pourtant depuis plus de vingt ans.
J'adore m'y promener et flâner en prenant des photos parfois.
Je... Enfin, je ne veux pas vous déranger, mais...
Dites-moi.
Vous voudriez bien m'y accompagner et me faire visiter, pour que je connaisse un peu  ?
Oui ! Avec plaisir ! Moi j'y vais en transport en commun. C'est plus pratique et agréable. Entre les bouchons et le prix des parkings, aucun intérêt à prendre la voiture. En plus il y a un arrêt de bus à cinquante mètres d'ici, qui amène directement au centre.
Eh bien, un de ces jours, si ça ne vous dérange pas, ou si ça ne gêne pas votre femme...
Aucun problème. Je suis à la retraite et elle travaille, alors, j'ai du temps de libre.
Vous avez peut-être des occupations  ?
Je bricole un peu et parfois le jardin, mais très peu, je tonds surtout la pelouse, alors cela me fera du bien de me promener en compagnie. Tout seul, c'est moins agréable, même si j'adore.
Mais vous êtes jeune et moi une vieille femme, ce n'est peut-être pas très intéressant.
Je ne vous trouve pas vieille, excusez-moi.
Vous me donnez quel âge  ?
C'est une question compliquée. Je ne voudrais pas vous vexer.
N'ayez aucune crainte pour çà.
Je dirais... soixante, soixante cinq... pardon.
Vous êtes un flatteur jeune homme.
Pas si jeune, j'ai soixante cinq ans.
Et moi soixante dix neuf.
C'est pas vrai !
Ne faites pas l'étonné.
Non, non, je n'aurais jamais cru. Franchement vous êtes... superbe... pardon !
Merci. Vous êtes trop gentil !
Je le pense vraiment ! Je veux bien signer pour être comme vous à votre âge.
Dites, on pourrait s'appeler par nos prénoms, ce serait plus pratique  ? Moi c'est Madeleine.
Charmant ! Moi c'est Jean.
Eh bien Jean, vous prendriez un autre café  ?
D'accord. Le votre est excellent. »
A ce moment, quelqu'un frappe à la porte. Madeleine va ouvrir et revient avec une autre dame.
« C'est ma voisine Huguette, elle habite de l'autre côté du square.
Huguette, voici Jean, mon premier voisin. Il habite la première maison de la rue et nos jardins sont mitoyens. Nous prenions le café, en veux-tu un  ?
D'accord. Bonjour monsieur Jean. Je vous ai aperçu quelques fois, mais je ne vous avais jamais rencontré.
C'est ce que je disais à Madeleine, ici on se parle peu entre voisins.
C'est vrai et c'est dommage. Avec Madeleine on s'est vues le jour de son aménagement et nous avons aussitôt discuté, maintenant on se voit quasiment tous les jours. Il faut dire que je ne peux pas aller bien loin avec mon mari qui est infirme. D'ailleurs j'amène toujours l'interphone ici pour pouvoir l'entendre. Je le laisse dans l'entrée car il ne porte pas plus loin. »
Les deux femmes ont l'air complices et ma foi plutôt sympathiques. Je demande d'aller aux toilettes et à mon retour, je surprends un geste de tendresse entre-elles. J'ai même l'impression d'avoir interrompu une étreinte. Décidément ces deux femmes m'ont l'air assez intimes !
Je les quitte après un moment en promettant à Madeleine de passer le soir même, prendre l'apéritif avec ma femme.
Au retour de celle-ci, je l'informe de l'invitation de la voisine, ce qui la surprend, aussi je lui raconte notre entrevue. Elle n'est pas enthousiaste mais accepte tout de même de répondre à l'invitation de notre nouvelle voisine.
Après les présentations, comme pour moi le matin, Madeleine lui fait faire le tour de sa maison. Elle est manifestement fière de la montrer. Ma femme adore la douche et m'indique que ce sera le prochain aménagement que je pourrais faire à la maison.
Madeleine a préparé beaucoup de toasts et l'apéritif se prolonge en discutant. Huguette s'est jointe à nous après avoir couché son mari. A un moment Madeleine et elle sont dans un coin de la cuisine et nous n'entendons rien. Ayant surpris leur « connivence » le matin, j'entraîne ma femme et discrètement nous les découvrons enlacées en train de s'embrasser. Ces deux mamies sont des coquines !
Nous regagnons notre place comme si de rien n'était.
A leur retour, les deux femmes ont les yeux brillants. Ayant entendu, soi-disant, un bruit sur l'interphone, Huguette nous laisse. Après un moment, nous faisons de même. Madeleine et ma femme ont sympathisé et se sont trouvé des intérêts communs. C'est assez rare de la part de ma moitié, mais le courant est bien passé.
De retour à la maison, ma femme est toute émoustillée. Quand nous allons au lit, elle enfile une nuisette sexy contrairement à son habitude de coucher en pyjama. C'est généralement le signal qu'elle a envie de faire l'amour.
Ce soir, elle est particulièrement « chaude » et réclame des caresses. Bien sûr, j'adhère immédiatement à ses désirs et me retrouve bientôt la tête entre ses jambes, pour lui prodiguer un cunnilingus qu'elle adore. Je trouve sa chatte bien humide et elle répond rapidement à mes caresses. Son bouton érigé a droit à toute mon attention et un doigt plongé dans son antre liquoreux lui procure très vite un premier orgasme.
Je monte sur elle pour la pénétrer, mais surprise, contrairement à son habitude, elle accepte mon baiser au goût de sa chatte. Auparavant, elle refusait cela et exigeait que je m'essuie les lèvres avant de l'embrasser. Tiens tiens ! La vue des deux gouines l'aurait-elle fait changer d'idée sur la chose  ? Ou bien est-elle si excitée qu'elle l'oublie  ?
Nous sommes libertins mais lors de nos rencontres, ma femme ne fait rien avec les autres femmes, si disant hétéro pure et dure. Lorsque je « m'amuse » avec des hommes elle ne voit rien à redire, mais refuse toujours les contacts avec les autres femmes.
Pour l'instant je ne me préoccupe pas de cela car ce soir, bien « allumée » ma femme croise ses jambes autour de ma taille et quémande encore plus de vigueur. Elle passe également ses bras autour de mon cou et m'embrasse voracement en échangeant salive et ses fluides sans aucun recul.
Notre coït est ardent et transpirants tous les deux en cette nuit d'été, nous jouissons presque simultanément, ce qui est là aussi assez rare.
Après ce véritable assaut, nous restons enlacés un moment et ma femme sombre assez vite dans un sommeil profond.
Le lendemain, comme convenu la veille, je retrouve Madeleine chez elle pour le café après le départ de mon épouse pour son travail. Nous avions convenu d'aller à Bordeaux pour la journée. Nous allons prendre les transports en commun, d'une part pour plus de facilité et cela lui permettra de connaître les lignes à emprunter.
Nous quittons sa maison par la venelle qui donne directement sur la grande avenue où se trouve l'arrêt de bus tout proche. J'ai une carte d'abonné et je paye le ticket de Madeleine. Elle me demande comment faire pour en avoir une. Je lui dis que pour commencer elle pourra prendre une carte de dix voyages à l'arrêt du Tram qui nous allons rejoindre, elle verra ensuite si ses déplacements justifient l'achat d'un abonnement.
Dans le bus, nous sommes serrés l'un contre l'autre sur les sièges étroits et je respire son parfum très agréable. Sa cuisse collée à la mienne ne fait rien pour s'éloigner.
Au changement pour prendre le tramway, pour traverser la route, Madeleine me prend le bras. J'avais oublié qu'elle a presque quatre vingt ans.
Le trajet est assez long, mais agréable. A cette heure là il y a peu de monde. La demi heure passe vite, car nous discutons ensemble tout en découvrant le paysage, surtout à partir de la gare. Madeleine se félicite d'avoir trouvé un guide « charmant » qui veuille bien passer du temps avec une vieille femme.
« Mais vous n'êtes pas vieille ! Dis-je
Vous êtes trop gentil, mais je sais ce que je dis. J'ai tout de même quinze ans de plus que vous.
Vous ne les faites pas et franchement, si on demandait aux personnes autour de nous, il ne verraient pas de différence.
Flatteur que vous êtes !
Pas du tout ! Je vous trouve très...
Très quoi  ?
Pardonnez-moi. Je ne sais comment vous dire sans vous choquer.
N'hésitez pas. Je ne suis pas bégueule et vous saurez qu'il en faut beaucoup pour me choquer.
Très... belle !
Oh le coquin ! Ne rougissez pas ! Allons ! Laissez-vous allez voyons ! Vous pouvez dire comme les jeunes : bonne !
Je ne suis plus jeune.
Alors dites-le comme un vieux. Vous savez, j'aime les mots un peu cochons. Avec mon défunt mari nous étions très coquins et même... libertins !
Non  ?
Là c'est moi qui vous choque.
Disons que je suis surpris. Pas choqué car... avec ma femme... nous le sommes aussi.
Eh bien dites-donc, petits coquins, vous cachez bien votre jeu tous les deux ! Bon alors, vous me trouvez comment  ? » Je me penche à son oreille et lui murmure
« Vous êtes bandante !
Oh, ça j'adore ! Je fais encore bander un homme ! » Sa remarque faite à haute voix fait retourner quelques voyageurs hilares ou gênés et doit me rendre cramoisi. Heureusement pour moi, nous arrivons à la station où nous devons descendre. Je prends la main de Madeleine et je l'entraîne derrière moi à l'extérieur de la rame, presque en courant.
Sur le quai, Madeleine est morte de rire. Elle m'enlace et m'embrasse chastement sur les joues, mais fini par un petit baiser sur mes lèvres.
Vous êtes chou ! » Un peu surpris je reste bêtement les bras ballants et c'est Madeleine qui me « réveille » en questionnant :
Bien. Maintenant, où m'amenez-vous  ?
Nous allons passer de l'autre côté de la Garonne, par le pont de pierre. On aura une belle vue et la ballade est agréable maintenant qu'il n'y a plus de voitures. »
Pour traverser la route, Madeleine me prend la main. Elle est chaude et le contact est agréable. Sur le pont, nous nous arrêtons pour que je lui présente le fameux « port de la lune » en forme de croissant. Sous nos pieds, le fleuve charrie ses eaux toujours boueuses, conséquence des marées. J'en profite pour faire des photos de la ville. Au loin on aperçoit les piliers du pont Jacques Chaban-Delmas du nom de l'ancien maire bâtisseur de la ville et que tout le monde à Bordeaux appelle le pont Chaban, son pseudonyme dans la résistance.
Quand Madeleine s'accoude au pat, je la prend en photo. Elle se récrie tout d'abord, puis s'amuse à prendre des poses. Je la trouve charmante et lui dis qu'elle est très belle avec ces couleurs.
« Vous êtes un petit voyou mon cher Jean !
Vous m'inspirez !
Dites, nous pourrions nous tutoyer, ce serait plus sympa, si vous le voulez bien.
D'accord. Je n'osez pas vous le demander.
Osez, osez mon jeune ami ! Ça me rajeunira.
Vous... Tu... n'en a pas besoin !
Tu es un coquin ! »
Nous reprenons la ballade en faisant plusieurs arrêts. Je lui montre la perspective des quais, La porte Caillaux, la place de la bourse avec le miroir d'eau et nous arrivons enfin sur la rive droite et la place Stalingrad.
Madeleine est enchantée de la promenade en découvrant la magnifique ville qu'est devenue Bordeaux. Nous tournons à gauche vers le quai qui est maintenant une promenade bucolique avec des arbres. Plus de traces des anciens bâtiments industriels qui bordaient la Garonne de chaque côté.
Arrivés face à la place de la bourse, un square avec des bancs nous fait faire une pause. On s'assoit face au magnifique panorama qui s'offre à nous. Assis l'un près de l'autre, je m'étale en écartant mes bras sur le dossier. De cet endroit, on a une vue quasi totale sur les quais et les belles façades en pierre.
L'intérêt de notre situation est qu'elle permet de découvrir les différents quartiers qui composent la capitale aquitaine. De Saint Jean à Bacalan en passant par saint Michel, les Quinconces, et les Chartons, on a une belle perspective de Bordeaux et cela donne une bonne idée de sa géographie, du moins pour ce qui borde le fleuve. Tout en parlant, ma main droite glisse et se pose sur l'épaule de ma voisine. Elle tourne alors sa tête vers moi en souriant. Elle a l'air émue et je le suis aussi. Nous rejouons alors la fameuse scène de  « Le quai des brumes », le film avec Jean Gabin et Michèle Morgan.
« T'as d'beaux yeux tu sais  ?
Embrasse-moi ! »
Nos visages se rapprochent lentement. Nos lèvres se touchent, nos bouches s'ouvrent et nos langues se cherchent. Ses lèvres sont douces et ourlées. Pas du tout les lèvres d'une vieille femme. Notre baiser se prolonge longtemps, longtemps, avec parfois de brèves interruptions pendant lesquelles nos yeux se dévorent. Mais très vite nous avons le besoin de reprendre le contact.
Ma main gauche restée libre se pose sur son sein et ma partenaire ne fait rien pour la repousser, au contraire, elle pose la sienne sur mon entrejambe où elle trouve une bonne érection. Sans lâcher mes lèvres elle pousse un « mmmhhh » de satisfaction et frotte carrément ma queue à travers le tissu du pantalon.
Plus rien n'existe autour de nous. Comme tous les amoureux sur les bancs publics, nous n'avons que faire de ce qui se passe autour de nous, ni des regards des passants, ni du paysage que nous contemplions il y a peu de temps.
Quand enfin nous nous détachons, je vois les yeux de Madeleine qui brillent. Cette femme n'a plus quatre vingt ans. J'ai envie d'elle et je sens qu'elle est dans les mêmes dispositions vis à vis de moi.
«  Que c'est bon ! Dit-elle doucement. C'est fou ce que c'est bon ! Tu n'a pas honte de profiter d'une vieille femme sans défense  ?
Ni vieille ni sans défense. Tu es une belle femme qui me fait envie.
Moi aussi j'ai très envie de toi. Ma culotte est trempée depuis que je suis dans le bus et maintenant je ne te dis pas !
Ça prouve au moins que tu en as mis une.
Petit cochon ! Tu crois qu'à mon âge on se promène le cul nu  ?
Et pourquoi pas  ?
Ça m'arrivais autrefois, mon mari me le demandais, mais je suis trop vieille pour jouer à ça.
Je ne crois pas. Tu n'as pas de problème.... de fuite  ?
Voyons ! Ça ne se demande pas... non aucun.
Qu'est-ce qui t'empêche de l'enlever alors  ?
Ici  ?
Chiche !
Mon jeune voisin est un vicieux ! Sur qui je suis tombée  ? Tu... es sûr  ? Si quelqu'un me voit  ?
Je ne crois pas que ça te gênerait, mais maintenant elle doit être à tordre. Ce serait bien de l'aérer.
Eh bien toi, tu n'es pas gêné au moins ! Tu te rends compte qu'on est voisins , que l'on ne se connaît que depuis hier et déjà tu me demandes d'enlever ma culotte en public  ? . . . A mon âge ?
Arrête un peu avec ton âge. Je suis sûr que tu en meurs d'envie.
Oh oui ! Mais... surveille un peu autour. »
Elle tourne la tête de tous les côtés pour vérifier que nous sommes seuls et d'un coup, glisse ses mains sous la robe pour descendre sa culotte. Alors qu'elle se trousse, je remarque qu'elle porte des bas.
« Mais tu es une coquine ! Tu avais prémédité notre sortie et tu étais habillée sexy !
Pas du tout !
Et ces bas alors  ?
C'est mon mari qui voulait que je ne porte que ça. J'ai pris l'habitude et je ne sais plus m'habiller qu'ainsi.
C'est super ! Et... avec jarretelles  ?
Bien sûr petit coquin ! »
Pendant ce dialogue surréaliste, Madeleine s'est débarrassée de sa culotte et me la montre. Bien sûr, je m'en saisi et la porte à mon nez pour la sentir. Elle est bien humide et les effluves de son linge intime sont délicieuses. Ses fragrances m'enchantent.
« Il faudra que tu la remettes si tu ne veux pas mouiller ta robe. Elle est très jolie, et très... goûteuse !
Salaud ! »
Je replonge sur sa bouche, alors que la mienne est encore imbibée de sa mouille et nous reprenons nos baisers enfiévrés. Je glisse une main sous sa robe et Madeleine ne fait aucun obstacle. J'ai même l'impression qu'elle écarte bien ses cuisses.
Quand mes doigts touchent sa vulve, je découvre des lèvres totalement glabres. J'arrête mon baiser et lui déclare :
« Salope ! Tu n'as pas de poils !
Je suis épilée définitivement depuis longtemps à la demande de mon mari qui était aussi vicieux que toi. Tu aimes  ?
J'adore tu veux dire et il me tarde d'y plonger ma langue et mes lèvres. »
J'enfonce deux doigts dans sa chatte brûlante et trempée. Je la branle ainsi sans oublier son petit bouton que je sens tout dur. Madeleine réclame « embrasse-moi vite » Quand je plaque mes lèvres sur les siennes, c'est pour couvrir le cri qu'elle pousse et que ma gorge atténue.
En quelques secondes, Madeleine a jouit sous mes doigts et quand je me recule je peux voir ses yeux bleus troublés de plaisir.
« Oh merci ! Que c'est bon ! Tu te rends compte qu'on est là sur ce banc et qu'on se comporte comme des ados.
Des ados un peu délurés tout de même. Je dirais comme des jeunes que nous sommes toujours.
A quatre-vingt ans bientôt, je me dévergonde dans un lieu public avec un homme plus jeune que moi, qui me branle et me fait jouir comme une collégienne !
Tu es une adorable collégienne octogénaire.
Tu es gentil, mais dis-moi. Tu as déjà eu des expériences avec des vieilles femmes  ? Ça n'a pas l'air de te gêner.
J'adore toutes les femmes. Quand j'avais vingt deux, vingt trois ans j'ai craqué pour une femme plus âgée. Malheureusement j'ai fais l'erreur de lui dire que pour moi elle avait trente cinq ans, alors qu'elle en avait trente, elle m'a snobé. Depuis je suis rarement sorti avec des femmes plus âgées, plutôt avec des plus jeunes. Ma première femme avait douze ans de moins que moi.
Eh ben dis-donc ! Mais tu ne m'as pas dis. As-tu eu des expériences avec des vieilles.
Je me suis rendu compte de mon attrait pour des femmes plus âgées en allant au sauna. J'ai « coquiné » avec une femme de soixante dix ans et son mari. Depuis, j'ai eu une aventure avec une femme de soixante quatorze ans et je la revoie de temps en temps.
Elle est belle  ?
On ne peut pas dire çà. Elle est plutôt ronde, des cheveux blancs et de grosses jambes.
Mais tu l'as draguée quand même.
C'est un peu elle qui m'a dragué, mais j'ai vite suivi.
Tu la connaissais avant  ?
Oui, depuis que j'étais jeune. Je savais que c'était une « chaude ». Son mari s'était battu avec son amant de l'époque à cause d'elle il y a longtemps, alors j'ai eu envie d'essayer.
Et alors  ?
En fait, elle ne connaissait pas grand chose. Elle baisait de façon plutôt « traditionnelle ». Je lui ai fais découvrir le cunnilingus.
Non  ?
Eh oui ! Elle a découvert ça à soixante dix ans passés, pourtant sa vie sexuelle a été bien remplie, mais ses amants n'étaient pas très originaux. Je lui ai fais aussi aimer la sodomie qu'elle avait pratiqué une fois mais avait eu mal. Elle accepte toujours mes idées un peu folles même si j'ai eu du mal à l'amener dans un sauna. Elle avait honte de son corps. Je l'ai convertie au naturisme et je lui ai rasé la chatte.
Tu es un salaud, mais j'adore. Je suis donc ta plus vieille  ?
Oui, mais nous n'avons pas fait grand chose encore.
Tu crois ça toi  ?
On s'est roulé des pelles pendant une demi heure et je t'ai branlée.
Et tu m'as fait jouir, salaud ! Mais toi tu n'as rien eu.
C'est déjà bien et je ne compte pas en rester là !
Et... l'autre... vieille, tu la vois toujours  ?
Un peu moins. Elle a, enfin, je lui ai trouvé un homme.
T'es pas croyable !
Elle voulait un homme qui puisse rester avec elle et avec moi ce n'était pas possible. C'est un arabe... super bien monté ! Il est amoureux de sa motte poilue.
Je croyais que tu l'avais rasée  ?
A la repousse tous ces poils étaient blancs. J'ai trouvé ça joli et elle a maintenant une belle touffe de la même couleur que ses cheveux. Je peux te dire que son amant est particulièrement excité par çà.
Mais... Tu les as vus ensemble  ?
Oui et j'ai même participé. Un super moment !
Tu es incroyable ! Mais... ta femme... Ça ne la dérange pas  ?
Je t'ai dis que nous étions libertins. Elle ne l'a jamais vue, car l'autre habite dans mon village. Je lui ai simplement montrée en photo.
Tu en as une  ? Je peux la voir  ?
Oui, attend. »
Je sors mon téléphone portable, je recherche la photo et lui montre.
« Mais... elle est nue !
Ben oui. Comme ça, c'est plus parlant.
Elle est...
Grosse.
Ce n'est pas ce que je voulais dire. Elle a un beau visage et avec ses cheveux... et sa motte tous blancs, elle a beaucoup de charme. Je suis moins bien qu'elle.
Ça, tu m'en laisseras juge, mais d'après ce que je devine, tes formes sont plus harmonieuses.
Mes seins tombent.
Les siens aussi.
Je suis grosse.
Rien à voir avec elle. Tu as des formes qui sont plutôt attrayantes.
C'est vrai, mais...
Ne cherche pas de raison de te défiler. Mais dis-moi, tu n'as pas faim  ? Il y a une guinguette un peu plus loin, on pourrait y déjeuner. Tu vas voir c'est sympa au bord de l'eau avec vue sur la ville.
Il faut que tu me rendes ma culotte. Je ne peux pas y aller comme çà.
Pourquoi pas  ?
Salaud ! Non mais il faut que... Je m'essuies... un peu, j'ai beaucoup coulé.
Et j'ai adoré !
Oui, mais je ne voudrais pas tâcher ma robe... comme tu as dis.
Tu n'as pas de mouchoir  ?
Si mais... pour m'asseoir au restaurant...
Tu n'auras qu'à relever ta robe.
Ce n'est pas propre.
C'est vrai. Sur la chaise, d'autres s'y sont peut-être assises le cul nu.
Je... Arrête ! Je vais encore mouiller !
J'espère bien! Allez, on y va  ?
Ma culotte.
Bon, d'accord... pour cette fois-ci »
Nous quittons notre banc et nous dirigeons vers la guinguette. En chemin, Madeleine se laisse enlacer et échange un baiser sur les lèvres avant de rentrer.
Le serveur nous place juste au bord de la terrasse, près du fleuve. Il n'y a pas grand monde pour l'instant. L'affluence arrive après la sortie des bureaux.
Ayant choisi juste des huîtres et un dessert – Il faut rester léger pour la suite – Je commande une bouteille de blanc que nous dégustons comme apéritif.
A table face à face, je sens bientôt le pied de Madeleine sous la table, qui me caresse la jambe. La coquine a les yeux brillants. Pendant le repas, nous continuons notre discussion un peu osée, malgré le monde aux tables voisines. En face de moi mais dos à Madeleine un homme semble réjouit de nous entendre, surtout que je ne me gêne pas pour exciter ma compagne de table.
A un moment, elle me demande si j'ai aussi une photo de ma femme... comme l'autre.
« Et c'est moi qui suis vicieux  ? C'est vrai que tu aimes aussi les femmes !
Co... Comment ça  ?
Ne le nies pas, je, enfin on, vous a vues hier soir avec ma femme quand vous étiez à la cuisine avec Huguette ! » Le mec en face n'en crois pas ses oreilles.
Je...
Ça ne nous gêne pas, mais ça fait deux coquines de plus dans le quartier !
Elle est en manque... au cause de son mari infirme et... elle ne veut pas le tromper.
Avec une autre femme ce n'est pas tromper  ?
Elle lui a dit. Depuis un moment il lui a fait acheter des sex-toys.
Tu es une rapide tout de même. En quinze jours que tu es là, tu as déjà une maîtresse et bientôt un amant !
Un amant  ?
Parce que tu crois que je vais te laisser tranquille  ?
C'est vrai que j'en ai envie. On pourrait pas... cet après-midi  ?
Bien sûr. Attend. Je vais demander au garçon s'il y a un hôtel dans le coin.
Qu'est-ce qu'il va penser  ?
Qu'on a envie de baiser.
Tu... »
Quand le serveur nous apporte les cafés, je l'interroge et avec un sourire en coin, il m'indique un petit hôtel dans la rue en face. « Il n'est pas très moderne mais confortable » Madeleine ne sait plus où se mettre, surtout quand l'homme la regarde en souriant.
Après son départ, pour reprendre contenance, elle me réclame la photo de ma femme.
« Tu veux ma la piquer aussi  ? Tu sais, elle n'aime pas les femmes.
Tu as essayé  ?
Oui, mais même en soirée en groupe, elle n'accepte pas leurs caresses, à part quelques contacts inévitables.
Elle est très belle. A côté, je suis une vieille peau. » Déclare Madeleine en voyant la photo. Elle fait glisser l'écran et en découvre d'autres, puis retrouve celles de l'autre maîtresse et même d'autres femmes, plus jeunes.
Tu fais une collection  ?
Je les montre à ma femme. Ce sont des personnes qu'elle ne connaît pas. Quelques fois, quand elle vient chez moi et qu'on en rencontre dans la rue, elle se marre quand la dame semble gênée en face d'elle.
Et moi, tu vas me mettre dans ton tableau de chasse  ?
Bien sûr ! Tu dois être superbe avec tes dessous affriolants.
Moi qui me croyais vicieuse, je suis dépassée ! Mais dis-moi, et Huguette, elle te plaît  ?
Pas vraiment. Ce n'est pas mon style de femme. Elle est maigre, n'a pas de poitrine.
Elle est très musclée.
Et son mari.
Elle n'est pas obligée de le lui dire.
Je ne sais pas. Elle ne m'attire pas trop.
Ce n'est pas grave. Et ta femme, tu vas lui dire pour nous deux  ?
Bien sûr, mais pas tout de suite. J'ai envie de profiter un peu de ce moment où tu es ma maîtresse cachée, c'est excitant, mais je lui dirai assez vite. »
Nous quittons le restaurant sous l’œil égrillard du serveur. Madeleine est un peu « pompette ». Elle a abusé du vin blanc et se pend à mon bras. Arrivés à l'hôtel elle a un moment de panique et est rouge tomate quand je demande une chambre au patron.
« C'est pour combien de nuits  ?
On va dire deux ou trois heures. » Madeleine ne sais plus où se mettre.
Vous n'avez pas de bagage donc  ?
Nous avons tout sur nous... enfin sur nous... »
L'homme se marre. Habitué à ce genre de couple qui vient se retrouver en cachette dans son établissement. Il me donne la clé
« premier étage, je vous donne une chambre sur l'arrière, c'est plus calme !
Merci »
La chambre est simple, mais propre et agréable et possède un coin toilette. Il y a même un petit balcon qui donne sur une cour intérieure. Effectivement on n'entend aucun bruit venant de l'extérieur.
Debout près du lit, on s'enlace et on s'embrasse à nouveau furieusement, mais étant à l'abri des regards, j'entreprends de déshabiller ma partenaire qui se laisse faire. Il me tarde de la découvrir dans ses dessous sexy, surtout depuis que je sais qu'elle porte des bas.
Sa veste vite enlevée, je m'attaque à la robe et trouve bientôt, aidé par Madeleine, la petite fermeture qui permet d'ôter le vêtement. Je la découvre enfin dans ses dessous. Je m'éloigne d'elle en la tenant par les mains pour l'admirer. Elle est un peu anxieuse. Pour la rassurer et parce que je le pense, je lui déclare :
« Tu es superbe !
N'exagère pas ! Je connais mes défauts. Regarde, j'ai du ventre, ma peau se plisse.
Arrête ! Tu as vu l'autre, tu es cent fois mieux fichue et pourtant avec elle je bande et je la baise. »
Je fais glisser sa culotte et je dévoile son bas ventre imberbe avec de jolies lèvres un peu pendantes. J'entreprends son soutien gorge et je peux alors voir ses seins. Certes, ils tombent, mais gardent un beau galbe. Elle me dira plus tard faire du quatre vingt quinze E. Mais surtout ils ont de grandes aréoles presque noires avec des tétons déjà bien dressés.
Je plonge dessus et me régale de les téter. Ils sont bien durs et j'en roule un entre mes doigts. Madeleine se recule et se laisser aller sur le lit. Face à elle, je me déshabille et exhibe fièrement une belle érection. « Mmmh murmure-t-elle. Elle est belle... et toute rasée. J'adore ! »
Une fois nu, je m'agenouille entre ses jambes pour y retrouver ses effluves odorantes. Je me délecte rapidement de son jus abondant – on dit que les femmes âgées ne mouillent plus, mais ce n'est pas son cas – Madeleine appuie ses mains sur ma tête alors que ma langue plonge dans ses nymphes. Je suçote ses lèvres et débusque son bouton que je cajole. Madeleine se pâme mais en veut plus.
« Viens! Prends-moi ! Je veux ta bite mon salaud ! J'attends depuis ce matin ! »
Nul besoin de me guider. Je m'enfonce lentement dans son antre liquoreux, en provoquant des soupirs de plaisir chez ma partenaire.
Longuement, en alternant les pénétrations profondes, les sorties et les petits coups à l'entrée de son vagin, je baise ma presque octogénaire, qui semble apprécier notre rapport. Elle noue ses jambes autour de ma taille et me donne sa bouche couverte de ses sucs.
Mon opération porte ses fruits car Madeleine ne tarde pas à jouir une première fois. Je me déboîte, la retourne et c'est en levrette que je la reprends alors. Son beau cul encadré par le porte-jarretelles offre une vue aphrodisiaque. Je vois au dessus de ma queue, son anus qui palpite.Je sais déjà que je pourrai la prendre par là sans qu'elle ne refuse, mais pour l'instant, je me consacre à sa chatte qui en réclame encore.
La position et la tenue suggestive de ma maîtresse font que je sens monter ma jouissance. Nous ne risquons rien, aussi je me laisse aller à éjaculer mon foutre gluant dans la chatte enfiévrée alors que Madeleine jouit à nouveau.
Après ce premier « round » nous avons besoin de récupérer. Enlacés dans les bras l'un de l'autre nous somnolons un peu pour laisser redescendre la tension, tout en continuant à nous embrasser et nous caresser.
« Je suis morte ! Dit alors ma compagne. Que c'est bon un homme !
Mieux qu'une femme  ?
C'est différent. Mais sentir ton sexe en moi, c'est quand même génial. Mais... tu rebandes déjà  ? Dit-elle quand sa main se pose sur ma bite.
Eh oui, ma belle ! Tu ne crois pas t'en sortir avec si peu  ?
Je n'en reviens toujours pas que tu bandes pour une vieille comme moi, mais que tu ais encore envie alors que tu as eu ce que tu voulais...
Tu le voulais un petit peu aussi non  ?
C'est vrai ! Mais moi, c'est normal que je sois excitée par un jeune.
Pas si jeune tout de même.
Peut-être, mais pour moi c'est valorisant.
C'est que tu es bandante ma vieille salope !
Oh oui ! Traite-moi de salope ! Je suis une salope et j'aime çà ! Certains diraient que je suis une pute...
Tu es une pute ! Une belle pute qui donne envie de la baiser dans tous les sens.
C'est vrai  ? Tu veux encore de moi  ?
Je te rappelle qu'on a dit au patron qu'on prenait la chambre pour deux heures ou trois. L'après-midi n'est pas finie. Viens.
Que veux-tu faire encore  ?
Viens sur le balcon. Je vais te baiser debout contre la balustrade.
Tu es fou ! On pourrait nous voir !
Tu as honte  ?
Non, mais tout de même !
Allez, viens ma salope et si tu cries un peu, les voisins sauront que tu es bonne.
J'y crois pas ! Au secours, je suis tombée sur un fou !
Et tu aimes ça !
Oh oui ! Baise-moi comme tu veux et... si tu veux... au petit... aucun problème !
J'ai bien vu que ton trou du cul frémissait et que tu aimais ça, mais chaque chose en son temps. On ne va pas passer toute la panoplie aujourd'hui. Il faut en garder un peu.
Parce que... tu voudras recommencer  ?
Pas toi  ?
Si bien sûr mais je croyais que...
Ne crois rien, ne pense rien, et profite. Maintenant que je t'ai trouvée, je ne vais pas te lâcher tout de suite, sauf si tu ne veux plus.
Et ta femme  ?
Ça ne change rien pour elle. Ce soir, je vais m'occuper d'elle, même si c'est un peu en pensant à toi de l'autre côté de la clôture, dans la chambre ou tu te branleras.
Monstre que tu es !
Salope ! Vieille pute !
J'adore quand tu m'insultes comme ça !
En attendant, tu vas te mettre à genoux et me sucer la bite avant que je te baise sur le balcon. 
C'est vrai que je ne t'ai pas sucé encore. Je manque à tous mes devoirs !» Dit-elle en riant.
J'ouvre la porte fenêtre sans sortir et Madeleine à genoux devant moi, me prend la queue en main et commence à lécher mon gland tout en branlant la tige. Elle est douée la salope et a dû en avaler souvent. Elle alterne les suçons sur le bout avec sa langue fureteuse dans le trou du méat, puis absorbe la totalité de ma verge, jusqu'aux couilles, dans une gorge profonde que ne renierait pas la plus douée des putes bordelaises.
A nouveau bien dur, je la relève et la pousse sur le balcon. D'elle même, elle se penche sur la balustrade, m'offrant la vue de son beau cul. Ses seins pendent dans le vide. Ses jambes gainées de nylon noir offrent un magnifique écrin. Elle fait ressortir ses fesses, consciente de l'effet produit sur mon désir. Sans plus attendre, d'une seule poussée, je m'enfonce jusqu'aux couilles dans son vagin. J'agrippe ses hanches pleines et fais claquer mon bas ventre sur ses fesses blanches.
Madeleine manifeste son plaisir sans se soucier du monde qui peut l'entendre. Je sens sa mouille couler sur ma queue alors que d'une main, elle s'astique le bouton. Encore une fois elle jouit en poussant un râle profond qui résonne dans l'arrière cour.
Je la retourne pour la prendre dans mes bras et on s'embrasse à nouveau goulûment. Son souffle court traduit l'intensité de son plaisir. Son corps et brûlant et exhale une bonne odeur de femme repue.
Peu à peu néanmoins le calme revient. Nous rentrons dans la chambre et j'entraîne Madeleine sous la douche pour récupérer un peu. L'inconvénient est que cela masque ses senteurs de femelle comblée, mais cela nous fait du bien. Je me rend compte un peu tard et elle aussi, qu'elle n'a pas retiré ses bas et qu'elle devra les enlever pour rentrer à la maison.
Peu importe. Pour l'instant, nous nous retrouvons sur le lit pour un échange de câlins et de baisers. La femme qui est dans mon lit a presque quatre fois vingt ans, mais fait partie des meilleures maîtresses que j'ai pû tenir dans mes bras. Il faut dire que son passé libertin avec son mari y fait pour beaucoup.
Bien sûr avec ces contacts je rebande vite. Quand elle s'en étonne, je lui fais remarquer que sur le balcon je n'ai pas joui « A mon âge il faut garder des forces ! »
Elle en rigole et me traite de fou qui veut la de plaisir. Qu'elle ne pourra jamais supporter autant d'assauts. Cela ne l'empêche pas de se retrouver au dessus de moi en soixante neuf pour une séance en règle de léchage branlage et suçage.
Quand d'un doigt elle titille mon anus et que je lui ouvre en grand le passage, elle glousse et après avoir mouillé un doigt, me l'enfile dans le cul. Bien sûr, j'agis de même avec elle. Un peu fatiguée malgré tout, alors qu'elle veut s'arrêter, je lui demande de venir s'agenouiller autour de ma tête pour la lécher et boire à sa source intime.
J'adore cette position où l'homme reçoit la mouille de sa partenaire qui coule sans effort. Sa chatte lisse est un régal. J'écarte ses grandes lèvres pour pomper son clito et glisser ma langue dans sa foufoune. Madeleine me gratifie bientôt de son bon jus que j'avale avec délectation.
Elle n'en peut plus et demande grâce.
« Tu as dis toi-même qu'il fallait en garder. Je vais avoir du mal à rentrer. Il va me falloir un remontant pour y arriver.
Tu n'as qu'à me pomper, je vais t'en donner moi, du remontant !
Et ta femme ce soir, tu crois que tu vas pouvoir  ?
Ne t'inquiète pas pour ça. Elle a des arguments pour me faire bander. »
Couchée en travers du lit, Madeleine voracement, me taille une pipe d'enfer qu'elle agrémente d'un doigt dans mon cul, ce qui provoque inévitablement la montée de sperme qu'elle avale sans retenue d'un air gourmand, après me l'avoir montré dans sa bouche ouverte.
Une dernière douche pour moi pour enlever les odeurs de sexe, uniquement avec de l'eau pour ne pas sentir le savon. Madeleine, elle, veut garder ce parfum d'homme sur sa peau. Elle ne se lavera que demain.
« Et si Huguette vient te voir ce soir  ? Elle va sentir quelque chose.
Je suis morte. Je lui dirais que je suis fatiguée de la balade, ce qui est vrai et je lui demanderai de passer demain matin. Elle comprendra. Il ne faut pas non plus qu'elle s'impose trop.
Tu étais bien contente de l'avoir sous la main à défaut d'un homme. Tu ne crois pas qu'elle va se douter de quelque chose ?
Ça te gêne  ? Non. On lui dira plus tard, quand tu l'auras baisée... si tu le veux. Non, généralement le soir, elle ne peut pas rester. Elle me fait juste un petit coucou.
Un baiser tout de même  ?
Oui, aussi, salaud. Espèce de vicieux !
Tu peux parler toi !
Bon, d'accord. On y va  ? tu sais qu'il est presque dix huit heures  ? On a un peu débordé sur le temps prévu.
Cochonne !
Cochon toi-même ! »
Je laisse la clé au patron en lui disant merci et il me répond « C'est quand vous voulez monsieur dame »
En quelques minutes nous sommes à l'arrêt du tram et après le changement de ligne de l'autre côté du pont, blottie contre moi, Madeleine s'endort sur mon épaule, malgré tout fatiguée par nos exploits et l'émotion de la journée.
Il est plus de dix neuf heures lorsque je la laisse devant sa porte. Un rapide baiser sur la bouche et je rentre chez moi, non sans lui avoir promis de refaire rapidement une vraie visite de la capitale de l'Aquitaine.
Ma femme a préparé le dîner et il faut que je lui fasse un compte rendu de la promenade, pour lequel j'invente la traversée en bateau bus, la promenade sur les quais et la visite du grand théâtre. Ce qui rempli bien la journée.
Après le repas, je suis un peu « flapi » mais ma femme est d'humeur câline. Heureusement j'ai des ressources et je parviens facilement bander et à la faire jouir. Elle ne s'étonne pas que je n'éjacule pas, car il m'arrive souvent de ne pas le faire. Il faut dire que généralement elle s'endort rapidement ensuite. Pour une fois je dois être le premier à sombrer.
Le lendemain, je vais dire un bonjour à ma voisine qui se limite à une séance de baisers et de caresses interrompue par l'arrivée de Huguette qui nous trouve assis devant le café heureusement servi.
Trois jours plus tard, nous retournons en ville avec Madeleine pour une visite plus détaillée des vieux quartiers. Pas de séance à l'hôtel cette fois-ci. Il faut dire que nous avions fait l'amour chez elle l'après-midi précédent après que Huguette soit passée et que ma tendre voisine m'ait appelée. J'ai ainsi pû profiter de sa chambre joliment aménagée avec des miroirs nous renvoyant notre image en pleins ébats « une habitude avec mon mari » me déclare ma coquine octogénaire.
Comme d'habitude, après une dizaine de jours passés chez ma femme, je retourne dans mon pays. Un matin sur la place, je rencontre Thérèse, la maîtresse dont j'ai parlé à Madeleine, qui en me faisant la bise, me glisse à l'oreille.
« Il y a longtemps que je ne t'ai pas vu ! » Le sous-entendu étant flagrant je lui dis.
Moktar n'est pas par là  ?
Il est au bled dans sa famille.
Et tu es en manque salope !
O... Oui ! Tu veux bien venir me voir encore  ?
Je passe prendre l'apéritif ce soir vers dix neuf heures.
Mais... il va faire jour ! Tu n'as pas peur qu'on te voit  ?
Ça ne me gêne pas. A toi peut-être  ?
Tu es bête. Mais la voisine risque de passer devant chez moi. Elle promène son chien à cette heure là.
Eh bien elle te verra en train de te faire baiser sur la table de la cuisine !
Tu n'y pense pas  ?
Si. Au contraire ! J'ai très envie de recommencer comme la première fois. Tu te rappelles  ?
Salaud ! Tu sais bien que oui. Moi aussi j'ai envie.
Eh bien c'est arrangé. Ce soir je te baise sur la table et si ta voisine passe, elle pourra profiter du spectacle !
Tu es vraiment un salaud. Que va-t-elle penser de moi  ?
Rien de plus que ce qu'elle pense déjà. Que tu es une salope et elle sera jalouse de toi.
Tu crois ça ?
Elle sait très bien que je baise avec toi. Elle m'a d'ailleurs fait une remarque dans ce sens et a semblé regretter que je ne fasse pas pareil avec elle.
Tu veux la baiser elle aussi  ?
Pourquoi pas ! Elle est plutôt pas mal non  ? Ah je vois. Tu serais jalouse ! Je te rappelle que tu as Moktar et quand il est là, tu ne penses pas à moi.
Tu sais très bien que tu peux venir.
Ça serait sympa de baiser tous les quatre ensemble !
Tu es vraiment un obsédé toi !
Et tu aimes ça, non ? A ce soir alors !
Salaud ! Bien sûr que tu peux venir.
Et te baiser.
O... Oui ! »
Ce dialogue surréaliste au milieu de la place où on pourrait nous entendre, ne fait rien pour arranger la trique que j'ai. Nous nous séparons tout de même et je peux voir dans ses yeux qu'elle est aussi excitée que moi.
Le soir, après l'apéritif et la séance de baise sur le coin de la table, malheureusement la voisine n'est pas passée, je rentre chez moi et je me couche de bonne heure après avoir dîné.
Comme chaque jour quand je suis au pays, j'appelle ensuite ma femme pour un petit coucou pendant lequel on se raconte la journée. Je ne lui cache pas ma rencontre avec Thérèse, puisqu'elle la connaît et qu'elle connaît ma relation qu'elle ne comprend toujours pas. Elle réagit comme chaque fois par un « Salaud ! » Bizarrement, je trouve que ce soir, son ton est différent. Il me semble même qu'elle n'est pas chez elle et d'avoir entendu doucement une voix à ses côtés.
Je ne dis rien, mais ma libido démarre vite et je me rappelle des paroles de Madeleine. Serait-elle avec elle  ? Ma femme ne s'éternise d'ailleurs pas et après un rapide bisou, elle arrête la conversation. Je ne raccroche pas et avant le déclic de fin, il me semble encore entendre un petit bruit mouillé.
Je suis sûr qu'elle est avec Madeleine. Je lui avais pourtant dis que ma femme était une hétéro pure et dure, mais je crois la coquine capable de tout. Je ne suis pas jaloux, au contraire, je trouve la chose excitante. Ma voisine aurait-elle réussit là où d'autres y compris moi, ont échoué  ?
J'en aurai le cœur net, mais bizarrement je bande comme un fou en pensant à ma femme dans les bras de ma voisine.
Le lendemain cette pensée me taraude. J'appelle Madeleine chez elle. Elle est surprise de mon appel. C'est en effet la première fois depuis qu'on se « connaît »
« Pourquoi m'appelles tu  ?
Je voudrais savoir si hier soir tu étais avec Rose quand j'ai appelé.
N... Non pourquoi  ?
Arrête! Je suis sûr qu'elle n'était pas seule et avait une drôle de voix, contrairement à d'habitude.
Pourquoi veux-tu que ce soit moi  ?
Parce que tu es une coquine, que tu m'a dis que tu la trouvais belle et que tu aimes les femmes.
Tu es quand même un drôle d'oiseau toi ! Tu penses que tout le monde est obsédé comme toi  ?
Tout le monde non, mais toi tu es une salope et je te rappelle qu'avec moi tu as démarré au quart de tour.
Toi, ce n'est pas ta femme et tu m'as même dis qu'elle était hétéro pure et dure. Ce n'est pas parce que maintenant je la connais que je cherche à la pervertir.
Tu sais bien que je ne considère pas ça comme une perversion, au contraire, j'adorerais que tu la convertisse à l'homosexualité féminine.
Tu es un drôle d'oiseau toi.
Bon, dis-moi si oui ou non vous étiez ensemble hier soir quand je l'ai appelée.
D'accord, j'étais avec elle.
Et vous vous amusiez non  ?
Pour tout te dire, on s'embrassait et on se pelotait, un peu comme avec toi sur le banc. On n'a rien fait de plus.
C'est déjà bien, j'aime ! Et alors  ?
Je crois qu'elle n'est plus aussi hostile pour une relation avec une femme.
Je te fais confiance pour l'y amener.
C'est vrai  ? Tu es d'accord  ?
Bien sûr. Maintenant tu vas être surbookée, à ton âge. Un amant et deux maîtresses, comment vas-tu y arriver  ?
Tu es un salaud ! Mais que vas tu faire  ?
D'abord, tu vas garder ça secret un moment, au moins jusqu'à que je revienne. Tu vas l'amener à faire l'amour avec toi. Si tu veux, elle a des jouets à la maison, alors essaye d'en profiter avec elle, il y a tout ce qu'il faut pour cela.
Et après  ?
On verra. J'adore déjà cette sensation d'être cocu, en plus venant de toi. Tu me raconteras au fur et à mesure. Je ne vais rien dire ou faire pour qu'elle pense que je suis au courant.
Le problème c'est avec sa fille, elle a peur d'être découverte par elle avec moi, c'est pour ça qu'hier soir, on en est restées à des caresses, si elle était rentrée, nous étions rapidement à discuter entre nous.
Profite d'un week-end quand elle travaille ou qu'elle sort avec son copain. Je ne suis pas là celui-ci, je ne rentre que à la fin de la semaine prochaine, alors fonce ! »
Le soir, j'appelle ma femme et nous parlons de notre journée, sans aborder le sujet de Madeleine. Deux jours passent et je sens qu'un soir elle a envie de me dire quelque chose. C'est d'elle même qu'elle m'annonce que vendredi soir elle va manger chez la voisine qui l'a invitée.
« C'est très bien ! Ça lui fait de la compagnie et elle est très sympathique. Envois-lui le bonjour de ma part et dis lui qu'à mon retour, je suis d'accord pour retourner visiter Bordeaux. Je t'embrasse. »
Le lundi suivant, j'appelle Madeleine dans la journée pour savoir comment s'est passé le week-end. Notre voisine est tout guillerette et me raconte la soirée du vendredi.
« Huguette est venue prendre l'apéritif avec nous. Je me suis arrangée pour « forcer » un peu sur les doses d'alcool. A un moment, Huguette m'a rejointe à la cuisine pour m'embrasser. Je me doutais que ta femme devait nous surveiller, aussi j'ai fais durer un peu. J'ai entendu un bruit à côté et j'ai pensé qu'elle avait dû nous voir. Je savais qu'ensuite, Huguette partirait, car elle ne reste jamais longtemps le soir.

Après son départ, j'ai resservi une tournée et me suis assise à côté de ta femme. On parlait de tout et de rien mais je sentais qu'elle était crispée, comme en attente de la suite. J'espérais qu'elle n'était pas jalouse de Huguette et notre petit intermède ne l'avait pas rendue méfiante. Que le fait que j'embrasse aussi l'autre voisine ne l'avait pas braquée contre moi.
J'ai parlé un peu de toi, de vous, de votre vie. A un moment j'ai réussi à prendre un biscuit apéro en même temps qu'elle. Nos doigts se sont touchées. Elle ne s'est pas retirée, alors je lui ai pris la main et l'ai tenue dans la mienne. Voyant qu'elle se laissait faire, j'ai posé mes lèvres sur sa main et elle a frissonné.
Lentement, je me suis penchée vers elle et nos lèvres se sont trouvées. J'ai glissé alors vers son cou pour l'embrasser.
Elle est très sensible de là.
Je m'en suis rendu compte, car elle a aussitôt soupiré et s'est laisser aller. Je l'ai entourée de mon bras et je suis revenue à sa bouche. Elle a tout de suite participé à mon baiser et nos langues se sont mêlées.
On s'est roulées des pelles à n'en plus finir, un peu comme avec toi sur « notre » banc. Mes mains sont parties à l'assaut de ses seins, les siennes sur les miens. Puis je suis descendue petit à petit sur son ventre, jusqu'au genou et suis remontée sous sa robe. Elle était complètement abandonnée.
Arrivée à mi-cuisses, j'ai constaté qu'elle portait des bas. Au dessus, sa peau était douce et chaude. Elle a laissé remonter ma main en écartant un peu ses jambes. Je suis arrivé à sa fourche et là, surprise, j'ai senti sa peau nue et épilée.
Petite coquine ! Ai-je dis en abandonnant ses lèvres, tu n'as pas mis de culotte ! Tu avais donc envie que je te caresse ! Regarde, moi-non plus je n'en ai pas.
J'ai relevé le bas de ma robe pour lui montrer ma chatte, déjà humide. Moi non plus je n'ai pas de poils !
Sans attendre plus, je me suis agenouillée entre ses jambes et j'ai plongé ma bouche sur sa chatte. Elle s'est abandonnée à ma caresse. Très vite ses soupirs de plaisir ont monté. Je prenais d'assaut son clito gonflé et j'enfonçais deux doigts dans son antre dégoulinant de mouille. Je l'ai branlée et sucée jusqu'à qu'elle me gratifie d'une bonne rasade de cyprine en plaquant fort ma tête contre son bassin.
Oui, elle mouille beaucoup comme ça et je te dis pas quand j'arrive à la faire s'agenouiller sur ma bouche. Mes mains sur ses seins, elle coule abondamment et je m'abreuve de son jus. Malheureusement elle ne veux pas souvent car ça la « vide » complètement et elle n'a plus d'énergie... Et alors  ?
En sortant de dessous sa robe, je suis remontée sur elle et on s'est embrassées comme des folles.
Eh oui ! Maintenant elle accepte le baiser au goût de sa jouissance ! Continue. Vous n'en êtes pas restées là  ? Tu m'excites !
Non. Après un moment on s'est détachées et je lui ai dis. « Ma chérie, je te veux nue contre moi, déshabillons nous. »
Je me suis relevée et j'ai rapidement quitté mes habits pendant qu'elle faisait de même en face de moi.
« Tu es superbe ai-je dis une fois déshabillée. Moi par contre, je suis une vieille peau, et le spectacle n'est pas aussi attrayant que le tien.
Oh non ! Je te trouve très bien ! Regarde, moi j'ai des bourrelets.
Ils sont charmants ! Ton mari doit se régaler.
C'est vrai qu'il me dit qu'il aime, mais il n'empêche, je ne me trouve pas belle !
Tu as tort ! Tu es pulpeuse, tu as de très beaux seins lourds et sensibles...
Mes fesses sont plates !
Pas tant que ça. Tu as de belles hanches et c'est un plaisir de les prendre en main.
Oui mais...
Arrête de te dénigrer ! Je suis sûre que tu as des admirateurs, à commencer par ton homme. Je l'ai vu l'autre jour il a l'air très amoureux.
C'est vrai qu'il me le dit, mais je ne sais pas si c'est ce qu'il pense vraiment. Je doute toujours.
Tu ne devrais pas.
C'est que...
Oui  ?
Il n'a pas que moi.
Ah bon  ? Et... tu le laisses faire  ?
C'est que... parfois... on est ensemble...
Comment ça ?
Eh bien... on va... dans des... soirées...
Voyez-vous ces deux coquins ! Rassure-toi. Autrefois, avec mon mari, nous étions aussi... délurés !
C'est vrai  ?
Puisque je te le dis. Mon homme était très porté sur la chose et il m'a entraîné avec lui. Nous étions un groupe d'amis qui passions des soirées ensemble régulièrement. Nous faisions du naturisme depuis longtemps. Nous avons même fait partie des « pionniers » au cap d'Agde et nous avons connu les débuts de cette « folie des corps » à l'époque ou le sida n'existait pas. Ensuite, nous sommes restés en sécurité avec notre petit groupe fermé.
Eh bien je n'aurais pas cru !
Moi non plus. Je vous voyez comme un joli couple tranquille.
Oh nous sommes assez tranquilles. Mon mari est plus coquin que moi. Depuis longtemps il voulait me voir avec une femme. Je n'osais pas. Il me semblais que je ne pouvais pas aimer ça.
Et pourquoi avec moi, as-tu craqué  ?
Je... On vous as vues l'autre soir avec la voisine et... ça m'a excité, je ne sais pas pourquoi. Avec toi, je n'avais pas honte de ce que tu pourrais penser. »
Intérieurement, je me marrais, mais je ne voulais rien montrer, puisque tu m'as dis d'attendre.
« Oui ! J'adore cette situation ! Je découvre ma femme et que ce soit en plus avec toi, je te dis pas comment je bande !
Et chez toi, tu vois ta vieille maîtresse  ?
Non. Je n'en ai pas envie. Je l'ai rencontrée hier, mais en la voyant, je me suis dis qu'à côté de toi, elle ne me faisait plus envie.
L'attrait de la nouveauté peut-être  ?
Sûrement ! Mais dis-moi, comment avez-vous fini la soirée.
Petit canaillou ! Tu voudrais tout savoir  ? Eh bien je vais te décevoir. Après quelques caresses, on s'est rhabillées et elle est rentrée chez elle. Il était déjà tard et elle ne voulait pas que sa fille rentre avant elle.
Bon. Je suppose que vous allez vous revoir  ?
Pas demain en tous cas. Elle travaille et rentre tard.
D'accord. Je reviens vendredi. D'ici là vous aurez peut-être l'occasion...
Je t'embrasse.
Moi aussi... ou tu veux.
Cochon ! Je veux ta langue sur ma chatte !
Tu veux comparer avec elle de ma femme  ?
Oui !
A plus !
Bises »
Le soir même j'appelle ma femme qui ne manifeste rien et je me dis qu'elle apprend à être cachottière. Je ne parle même pas de la voisine. Le reste de la semaine est calme, même si je sais par Madeleine que les deux femmes se sont vues, mais leur rencontre s'est résumée à quelques baisers.
Huguette a dû partir quelques jours car son mari a été hospitalisé. Celui-ci lui aurait dit qu'elle devrait prendre un amant. Elle hésite. Je vois bien où Madeleine veut en venir mais je lui répète que sa voisine ne m'intéresse pas du tout.
« Tu devrais la conseiller de chercher sur internet.
Tu crois qu'à son âge quelqu'un voudra d'elle  ?
Bien sûr ! Il y a des amateurs, même pour toi. Surtout s'ils te voyaient.
Tu es un grand malade. Tu ne veux plus de moi  ?
Si, bien sûr ! Mais c'est pour dire.
Je ne sais pas bien me servir d'internet.
Je t'apprendrais... en plus du reste... Si elle veut, je peux lui montrer aussi à elle. Ce serait marrant.
Marrant  ? Comment ça ?
Eh bien, il faudrait faire des photos de vous et je pourrais les faire.
Des photos comment  ?
Sexy bien sûr ! Voire un peu plus.
Salaud !
Oui ! »
Le week-end suivant, ma femme a invité Madeleine . Pendant la soirée, je vois bien que les deux femmes ont envie de plus d'intimité. Je ne fais rien pour les y aider, même si je les laisse un moment seules pendant que je prépare la table. Je suis sûr qu'elle se sont embrassées. Quand Madeleine se retrouve seule avec moi alors que ma femme est à la cuisine, elle vient aussitôt se frotter contre moi et m'embrasser.
« Tu cherches à comparer  ? Elle embrasse mieux que moi  ?
C'est la situation qui m'excite.
Je vois bien.Après la femme, le mari. Tu es une vieille salope.
Et tu aimes ça.
A ton avis ? Pour le moment, ne dis rien, j'aime ces moments où on se cache. »
Au cours du repas, nous convenons avec Madeleine de refaire une promenade à Bordeaux dans la semaine.
Quand elle nous quitte, après nous avoir embrassés chastement tous les deux, j'ai pû remarquer malgré tout, que les deux femmes étaient très serrées à ce moment-là.
Quand nous nous retrouvons dans la chambre. Ma femme est particulièrement excitée. Je suis sûr qu'elle mouille depuis le début de la soirée. J'en profite pour la lécher longuement comme j'aime, elle, assise sur mon visage et se laissant couler dans ma bouche. On continue par un soixante neuf, malgré sa précédente jouissance. Sa bouche est particulièrement vorace et elle réclame ensuite que je la prenne par derrière.
En levrette face au miroir, elle jouit à nouveau et quand je présente ma bite devant son petit trou, elle manifeste.
« Oui, salaud ! Prends-moi par là ! Tu es en forme ce soir !
C'est que tu es bien excitante ma chérie !
C'est vrai  ? Tu m'aimes  ?
Oui, Je t'aime ma chérie ! »
Je me penche sur ses fesses et je lèche son anus odorant. J'adore cette caresse. Souvent, ma femme la refusait, mais ce soir, elle se laisse faire. Très vite elle réclame :
« Allez ! Vas-y ! Encule-moi ! J'ai envie de ta queue dans mon cul ! »
Elle est déchaînée ! Je repointe à nouveau mon sexe sur sa corolle et je la pénètre par petits coups jusqu'à buter mon ventre sur ses fesses. Je l'encule en rythme. Je me suis retenu toute la soirée, aussi y vais-je en cadence jusqu'à me vider dans son boyau étroit.
On s'écroule l'un sur l'autre. Ruisselants de transpiration. Le temps de reprendre notre souffle, nous entendons sa fille qui rentre avec son copain. A quelques minutes près, elle nous aurait entendus.
Contrairement à d'habitude, ma femme ne s'endort pas aussitôt. Pelotonnée contre moi, elle se laisse aller à parler.
« C'était bon mon chéri ! Il faut qu'on recommence plus souvent.
Tu étais bien chaude ce soir et puis ta tenue sexy n'a rien fait pour me calmer. » Elle avait gardé ses bas et son soutien gorge spécial qui laisse apparaître les tétons. Je l'avais remarqué lors de la soirée. C'était sans doute pour Madeleine , mais ce soir c'est moi qui en est profité »
C'est vrai  ? Tu as aimé  ?
Je te l'ai déjà dis. Comme ça tu es une « pousse au viol » ! Je me demande si la voisine s'en est rendu compte.
Non  ? Tu ne crois pas que...
Elle m'a l'air assez futée quand même. J'ai même remarqué quelques regards sur ta poitrine.
Tu es un malade toi ! Une femme  ? A son âge !
Il n'y a pas d'âge ni de sexe pour apprécier une belle poitrine.
Toi alors ! »
A ce moment, Rose est toute rouge. Elle se demande si je n'ai pas vu quelque chose. Pour abréger cette conversation qui pourrait dér et la trahir, elle se retourne et demande à dormir. Malgré
cela, je sens bien qu'elle ne s'endort pas tout de suite, au contraire, elle s'agite. Elle a même oublié de quitter ses bas.
Un peu plus tard, elle les enlève discrètement, mais ses mouvements ne trompent pas. Je fais semblant de dormir, tout excité de la sentir excitée elle aussi. Comme si c'était involontaire, je me colle dans son dos et passe un bras sur son corps. Elle n'ose pas bouger ou me repousser et c'est dans cette position qu'on s'endort. Enfin je le suppose, car moi je sombre dans le sommeil.
Le lendemain matin, elle se lève alors que je traîne au lit. Quand je me lève, par la fenêtre de la salle de bain, j'aperçois ma femme qui parle avec Madeleine par dessus la clôture du jardin. Elles sont toutes les deux en peignoir et je sais que ma femme est nue en dessous. Un œil étranger ne verrait que deux voisines qui discutent, mais elle se prennent les mains et leurs visages sont très proches. Je les observe un peu. Inutile de dire que je bande comme un fou en les voyant.
Elle finissent pas se séparer, leurs doigts ayant du mal à quitter ceux de l'autre. Quand je sors de la douche quelques minutes plus tard, ma femme entre dans la chambre, toujours en peignoir. Je suis nu et ma bite est toujours dressée.
« Dis-donc toi, me dit-elle. Tu n'en as pas eu assez hier soir  ?
Toi non plus, je vois que tu n'es pas encore habillée. »
Je l'enlace, je défais son peignoir et malgré sa petite opposition je la mets nue, la retourne, lui fais plier le buste, les mains posées sur le lit et sans plus attendre, je la pénètre debout. Sa chatte est onctueuse et m'avale sans problème.
« Salope ! Tu es encore excitée !
Fais doucement ! Ils pourraient nous entendre !
Et alors  ? Rien de plus normal non  ?
Oui, mais quand même !
Ta fille sera contente de savoir que sa mère plaît toujours à son mari.
Et son copain, que va-t-il penser  ?
Que sa belle mère est une chaudasse et à mon avis, ta fille va en profiter.
Tu es un gros dégueulasse !
Et tu aimes ça ! Tu es aussi excitée qu'hier ! Je ne sais pas ce qui t'arrive, mais j'en suis ravi !
Oh oui, salaud ! Baise-moi bien ! J'aime ta queue ! Je vais encore jouir !
Je croyais que tu voulais être discrète !
Salaud ! Tu profites de moi !
Et toi de moi ! J'adore quand tu es cochonne comme çà !
C'est vrai  ?
Bien sûr !
C'est que...
Qu'est-ce qu'il y a  ?
Non, non.
Tu as un amant  ?
Non, voyons !
Tu sais bien que ça ne me gênerait pas  ?
Oui, mais non. Ce n'est pas ça... J'ai envie, c'est tout. Ne t'arrête pas ! Continue, c'est bon ! »
Elle est obligée de plonger son visage dans la couette pour couvrir ses gémissements et son gros soupir quand elle jouit. Je me vide à mon tour en elle.
Une nouvelle douche est ensuite nécessaire, mais nous la prenons à deux ce coup-ci. En quittant la chambre en premier, j'entends du bruit dans celle de ma belle-fille. J'ai l'impression que nos galipettes ont donné envie aux jeunes de faire pareil, même s'ils n'ont pas besoin de nous pour ça.
J'ai plusieurs fois entendu ma belle-fille crier sous les assauts de son copain, où même quand elle est seule dans sa chambre ou dans la salle de bain.
Dans ces cas là, je suis obligé de me branler pour soulager la tension de ma bite. Il faut dire que je l'ai aperçue une fois nue dans sa chambre dont la porte était entrebâillée et elle est superbe !
Nous déjeunons tous les quatre et l'après-midi, nous partons faire une promenade avec ma femme. Elle aussi veut visiter Bordeaux en amoureux. Sans qu'elle le sache, je refais le parcours emprunté avec Madeleine. Jusqu'au fameux banc où on s'embrasse. Je suis excité en pensant à la scène de l'autre jour.
On déjeune sur les quais d'un excellent plateau de fruits de mer et finissons par faire les magasins de la rue sainte Catherine.
Le reste du week-end, nous restons seuls à la maison, plateau télé et sieste coquine le dimanche comme d'habitude.
Le lundi, Madeleine m'appelle au téléphone.
« Tu veux venir à la maison  ?
Tu es en manque  ?
Salaud ! Oui ! Je suppose que toi tu as bien profité du week-end  ?
Bien sûr ! Ma femme était chaude, un peu-beaucoup à cause de toi.
Salaud !
C'est vrai que tu n'as pas non plus Huguette pour t'amuser !
J'y crois pas !
Attend ! J'ai une idée. Viens chez moi, je vais te faire essayer les jouets de ma femme.
C'est pas vrai ! Je suis tombée sur un grand malade !
Et tu aimes ça, vieille cochonne ! Ah, au fait, tu viens nue sous ta robe et mets des bas.
J'en ai toujours sur moi.
C'est bien. A tout de suite ». Je raccroche sans lui laisser le temps de répliquer.


Quand Madeleine frappe à la porte, je la fais patienter un peu alors que je l'ai vue arriver. J’entrebâille enfin l'huis et lui demande de quitter sa robe avant de rentrer.
« Tu es fou ! Si quelqu'un me voit  ?
Si tu te dépêches, il y a peu de chance, d'autant qu'à part le portail et ton jardin, personne ne peut voir. » Je referme la porte.

A travers la vitre dépolie, j'aperçois la silhouette de Madeleine qui semble hésiter. D'un coup je la vois déboutonner sa robe. Une dernière hésitation et elle laisse tomber son vêtement.
Elle va pour taper, mais j'ouvre avant et elle se précipite dans la maison en me bousculant. Je ramasse la robe qu'elle avait laissé par terre et referme derrière moi.
Elle est là, nue dans l'entrée, les yeux brillants comme une prise en faute. Je l'enlace et nous échangeons un long baiser.
« Tu es complètement fou toi ! Dit-elle quand enfin on se sépare
Dis que tu n 'aimes pas.
Je...Ce n'est pas ça, mais je ne pensais plus pouvoir exciter encore un homme à mon âge.
Tu réussis même à exciter les femmes alors. Tu sais que ma femme a vingt ans de moins que toi  ?
Oh ! Je.. Je n'y avais pas pensé !
Ça te dérange  ?
Je... Tu me fais faire n'importe quoi aussi ! C'est bien toi qu'y m'a poussé à la draguer  ?
Je ne te reproche rien. Par contre, j'ai très envie que tu me suces.
Tu es un salaud !
On va bien ensemble. Allez viens ! » J'emmène Madeleine dans le salon et je me place devant la grande glace « Tu vas pouvoir te regarder pendant que tu me pompes. Allez, à genoux vieille salope ! »
J'ouvre mon pantalon et souple malgré son âge, Madeleine est vite à genoux. Elle prend ma queue qui est bien raide dans une main et gobe le gland. J'ai remarqué que c'est une caresse qu'elle aime bien. Elle le suce comme un bonbon et sa langue joue dans le trou du méat. C'est une experte !

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