Collection Histoire Courte. Dépucelage Volé (1/1)
- Bonjour monsieur Robert, que puis-je pour vous ?
- Alice, pourquoi ce vous, tutoyons-nous !
- Monsieur Robert, vous êtes si vieux.
- Cest méchant Alice, mais jai horreur de parler sur le pas de ta porte, laisse-moi entrer, cest toi que je viens voir.
- Moi, pas maman ?
- Pourquoi viendrais-je voir ta maman, non cest toi.
- Maman, parce que...
- Parce que quoi Alice !?
- Non rien, entrez, venez dans le salon, vous me direz ce que vous voulez me dire.
- Cest bien Alice, tu sais tu nas rien à craindre, ta maman a dû te dire de refuser de laisser entrer des inconnus. Suis-je un inconnu pour toi ?
- Non Monsieur Robert, vous est notre voisin.
- Et qui connais-tu encore, comme voisin ?
- Votre femme quand elle était encore là.
- Oui, tu sais la vie de couple cest difficile, il y a des hauts et des bas, elle a rencontré un autre homme et a décidé de refaire sa vie.
- Je sais, Alain votre fils ma expliqué que vous avez été désagrément surpris, mais elle avait peut-être des raisons que vous ignoriez !
- Et que tu connais.
- Non, même si
- Pourrais-tu moffrir un café jadore ceux qui sont faits avec votre cafetière à grains.
Jai limpression que mon voisin a changé de sujet, il est bel homme mais il a un problème, il est vieux et moi mon problème jespère le régler avec un jeune, avec son fils par exemple.
Maman ma bien dit de faire attention qui entre chez nous, je sais quavec monsieur Robert, il restera un gentleman.
Je vais lui faire un café après lavoir fait asseoir sur le canapé.
- Merci Alice, nous parlions des voisins, je vais te parler du voisin.
- De vous Monsieur Robert ?
- Non, mais arrête avec ce Monsieur, ça me vieillit et tu sais je suis encore vert.
Cest de mon fils Alain que je suis venu te parler.
- Alain, il lui est arrivé quelque chose ?
- Non, ce qui lui arrive est très naturel et chaque fois que tu le rencontres, tu ignores quil a ce problème.
- Vous voyez, vous parlez de problème, lequel ?
- Commençons par le début, très bon ton café, assieds-toi à mes côtés, jai bien mangé à midi et je suis loin dêtre un ogre.
Je suis une jeune femme, du haut de mes dix-neuf ans, cet homme mintrigue, je massois, il me prend les mains, elles sont chaudes, jai horreur des gens qui ont les mains froides.
- Alice, Alain mon fils est homosexuel !
- Pourquoi me dites-vous ça, Monsieur Robert ?
- Car cest ainsi, chacun choisit ses orientations sexuelles, on ne peut rien à lappel de sa condition, il est homo cest tout.
Je texplique, ce matin tu lui as bien téléphoné ?
- Oui, nous conversons de temps en temps, mais pourquoi ?
- Ce matin, je passais devant sa chambre et sa porte était mal fermée, jai entendu votre conversation, il avait posé son portable en mettant le haut-parleur.
Je le voyais sur son lit, il te parlait et il se masturbait.
- Cest dégueulasse, il se masturbait en me parlant ?
- Mieux Alice, cest pourquoi je suis là, il se masturbait en regardant un film porno gay sur sa télé.
- Un porno gay, cest impossible.
- Tu vois quand on le dit, on a du mal à le croire, mon fils est gay.
Ça fait des mois que jai découvert son secret.
Ma femme était encore là.
Un jour elle ma demandé daller reposer la tringle à rideau étant décrochée, je suis monté, Alain était à la fac.
Jai dû pousser le lit pour mettre mon escabeau.
Par chance Solange était partie au supermarché, jignore comment elle aurait pris ce que jai vu sous son lit, une valise.
- Une valise et vous lavez ouverte ?
- Comment, tu me prends pour un fouineur, non, elle était mal fermée, une revue porno en dépassait !
Assez pour que je vois quun homme sodomisait un autre homme.
- Je comprends, ça a dû vous surprendre, vous avez ouvert la valise ?
- Oui, revues gay et films gay la remplissaient.
Jai réparé la barre, replacé la valise comme elle était, la revue dépassant, et jai remis le lit à sa place.
Cest un de ces films quil regardait en se branlant et en te parlant.
- Vous avez entendu ce que jai dit concernant mon pucelage ?
- Oui, cétait très explicite, tu es vierge, tu es la seule parmi tes copines à lêtre encore, ça te complexe et tu lui demandais de te dépuceler.
- Cest un peu ça, même si, ignorant ce quil est, je lui ai fait comprendre que javais envie de sortir avec lui.
- Cest vrai, mais tu comprends pourquoi, il a hésité à te répondre.
- Il est exact quà ma demande, il y a eu un blanc, jignorais que cétait à cause des garçons.
- Alors que me voulez-vous ?
- Je vais être direct, te rendre le service que tu lui demandais, regarde, jai tout ce quil faut pour ça.
Robert se lève, fait glisser son pantalon de survêtement me montrant une verge de bonne proportion.
Jen ai souvent vu sur Internet, le soir dans mon lit quand jen regarde moi aussi et que je me masturbe.
Si les garçons et leurs bites intéressent Alain, les chattes des filles sont loin dêtre mon truc.
Pour la première fois jen ai une de bonne taille sapprochant de ma bouche.
Malgré ce que je sais, je la laisse entrer, ouvrant mes lèvres, allant même jusquà la saisir dans ma main et faire coulisser la peau cachant et ressortant son gland si gros.
- Cest bien petite salope, à fond, pompe à fond, je vais te faire sauter ton hymen.
Dans les films que je regarde, grâce à mes oreillettes, jai souvent entendu ce genre de phrase, jaurais pu men offusquer mais je dois dire que jaime beaucoup ce petit mot de salope.
- Viens que je tenlève ton jean, fais-moi voir le centre de ton problème, tu verras, je serai très doux.
Mes vêtements sont partis avant que je naie le temps de réagir, sa queue sortie de ma bouche, cest sa langue quil a mise dans ma chatte.
Mon clitoris était en feu, je savais que jétais folle et quil faudrait assumer, mais javais attendu si longtemps quun homme vienne me prendre, quà ce moment-là, ce quil était et surtout son âge est passé au second plan.
Jallais enfin baiser, jallais enfin me faire baiser, rattrapant le retard des copines et mouvrant au milieu du sexe.
Cest con, je suis jolie fille et le fait de cette première fois, je prenais toujours des râteaux du genre de celui avec le fils de lhomme qui, mayant allongé sur la peau de bête, présente sa verge à ma minette.
- Tu vois je fais doucement, doucement, tu vois ça force un peu.
Veux-tu que je ressorte ?
- Non attends.
Il sarrête et cest moi dun grand coup de cul qui me le plante au fond de moi.
Mes jambes se soulèvent instinctivement le bloquant.
Sa bouche cherche ma bouche que je lui abandonne.
Jai mal mais cest supportable, je suis sûre que la prochaine fois je vais entièrement jouir, là jai simplement un petit frisson, euréka, je suis une femme.
- Alice, pourquoi pleures-tu ?
Je tai fait mal ?
- Non, cétait bien, mais tu es lamant de maman !
Cest démentiel, Robert est encore en moi quand je lui assomme cette vérité.
- Pense à toi, tu avais un problème, je lai réglé.
Peu importe si je couche avec ta mère et que je la fais jouir.
Si je comprends bien, tu as dû nous entendre, pourtant quand je viens le soir on fait attention.
À partir de maintenant vie ta vie, ai de nombreux amants, ta chatte est ouverte à toutes les verges qui viendront en elle.
Comme tu sais que je suis lamant de ta mère, restons-en là, nous ne laurons fait quune seule fois.
Robert sest relevé, a remonté son pantalon et est sorti me donnant simplement une tape sur le bout de son nez.
À la fin de lannée de fac, jai eu de nombreux amants, je jouis chaque fois de façon démentielle.
Jai souvent croisé Alain qui me regardait timidement, pauvre garçon, sil savait que je sais, il faudrait quil fasse son coming out, jai envie de lui dire que son père sait et quil semble bien le prendre.
Cest au bal de fin dannée que les choses saccélèrent.
- Alice, veux-tu danser ?
Le pauvre garçon, il me fait pitié, jaccepte de le suivre sur la piste de danse.
Cest rare, cest un slow que le DJ a mis sur sa platine, nous dansons et une chose mintrigue.
- Mais tu bandes Alain !
- Bien sûr jai envie de toi, je vais aller plus loin, je taime, jespère quil en est de même pour toi.
- Mais tu es gai !
- Comme tu y vas qui tas dit ça ?
- Ça se dit à la fac, certains de tes copains en parlent.
Comment parler de la valise sans dévoiler ma source ?
- Je sais que ce bruit court depuis que Fred mon copain ma confié une valise quil souhaitait soustraire à son père !
Cest lui qui est gai, je reconnais que je lai ouverte, jai même eu le malheur de louvrir et de regarder des films et des revues.
Je taime, je vais tout te dire, un jour je me suis masturbé devant un film, sans arriver à me faire jouir.
La valise, je la lui ai rendue, jai des films, tous hétéro.
Je vais les jeter pour te plaire.
- Alain, ton père et ma mère partent en voyage de noces demain pour quinze jours.
Garde-les, je viendrai les voir avec toi.
- Tu sais je suis puceau.
- Aucune crainte, nous ferons ça en douceur, jai perdu mon pucelage, je crois que lon me l'a volé, mais celui qui 'la fait me la enlevé sans que jaie mal.
Il va sans le dire que je garderai toute ma vie le nom de celui qui fait du bien à maman.
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