Lomi Lomi A Quatre Mains Pour La Vilaine Reine
Ma décision était prise, jallais tout avouer à Richard, mon adultère, ma faute, mais également ma trahison à la promesse que je lui avais faite de rester honnête et transparente avec lui. Confortablement installée dans ma chambre dhôtel, je lui écrivais un long mail, dans lequel jexpliquais dans le détail mon aventure avec Thierry, mes mensonges, le plaisir que jy avais pris, cherchant à expliquer mon attitude, et étant aussi consciente que cet aveu risquait de nous pousser vers une séparation irrémédiable.
« Mon Cher Amour,
Depuis plus de 25 ans, nous partageons nos vies avec des réussites, des joies, des peines, quelques drames, mais tellement de bonheur. Je me dois aujourdhui dêtre honnête avec toi, et avouer mes fautes, par respect pour notre amour commun, mais aussi pour être fidèle à la promesse faite que je nai pas respectée. Depuis 2 mois, je vis une aventure avec un homme. Il sagit dun ancien amant que javais fréquenté avant de te rencontrer et que jai retrouvé sur Internet, il y a quelques mois. Nous nous sommes rencontrés à plusieurs reprises, ou je me suis offerte entièrement et passionnément
À mon retour, je nai pas eu le courage de te parler. Tu étais inquiet pour moi, alors que je venais de te tromper. Tu as dépensé une fortune pour ce séjour qui me permet aujourdhui de trouver la force davouer ma faute. Je me rends compte que la profonde dépression dans laquelle jai sombré, nétait pas dû à cette séparation qui ma bien évidemment bouleversé, mais a aussi révélé laspect médiocre de cette aventure. Je sais maintenant que mon attitude inacceptable à ton égard a déclenché cet état. Je savais aussi depuis le début que je devrais un jour tavouer ma faute et affronter ta réaction. Alors voilà, tu sais tout maintenant. Quelle que soit ta décision, je my plierais, mais sache que je taime toujours comme au premier jour, et que si tu le veux, je tattends ici, pour continuer à être ta femme pleinement et sans retenue.
Patricia, ta femme qui taime »
Il était 2 H du matin, jenvoyais mon mail avec soulagement, mais beaucoup dappréhension, ne sachant pas quelle réaction mon aveu susciterait de la part de mon mari. Je mendormais toutefois sereine. À mon réveil, je repris mes activités quotidiennes avec au planning de laprès-midi une balade de 4 km, qui me permit de découvrir la magie de lenvironnement naturel qui entourait lhôtel. Accompagnés par un guide, nous étions un petit groupe de 4 à profiter de cette balade. « Sensationnel » était la désignation la plus appropriée pour cet itinéraire qui, au cur de la Suisse centrale, nous permettait de profiter dune vue dominant le pittoresque lac des Quatre-Cantons, mais aussi d'une vue imprenable sur le sommet des Alpes. Nous étions partis du funiculaire pour arriver au sommet du Bürgenstock, avec un panorama impressionnant de lensemble de la région. Le parcours suivait un chemin confortable passant au travers de la région montagneuse pittoresque, des bois, longeant des rochers ou des prairies pentues aux fleurs sauvages. Arrivé à notre destination, je profitais de ce moment unique avec un panorama renversant et après avoir repris des forces et mêtre repu les yeux, jempruntais pour le retour le même parcours.
De retour à lhôtel, je retournais dans ma chambre pour constater que Richard ne mavait pas répondu. Mon appréhension se transformait en angoisse, craignant sa colère et sa réaction, mais nosant pas lappeler directement préférant attendre sa réponse par mail. Alors que jallais me coucher, une notification me signala le mail de réponse de Richard tant attendu
Jouvris avec angoisse.
« Ma Chérie,
Tout dabord merci pour ta franchise, et bien que cela soit une énorme déception pour moi, japprécie ton honnêteté. À mon tour dêtre honnête avec toi. Jétais au courant de cette relation, depuis votre première rencontre.
Richard qui taime plus que tout »
Lhomme de ma vie était un homme extraordinaire. Il me pardonnait, voulait encore de moi, et même me désirait encore plus. Il savait tout depuis le début et pourtant mavait accompagné dans cette épreuve sans aucun reproche. Tellement heureuse, joccultais volontairement la partie obscure de son mail, qui laissait entendre quelques écarts, et me concentrait sur lamour quil me portait, et que jallais lui rendre au plus vite. Je répondis tout de suite avec un message court « Merci mon amour, je tattends ici au plus vite, je suis à toi pour la vie
»
Ma nuit fut merveilleuse de repos, rêvant détreintes fantasmatiques avec mon mari, ou il me prenait me faisant lamour jusquà la perte de mes sens. Je repris au matin mes activités avec entretien, cours de yoga, piscine et massage prévu à 15 H. Richard devant arriver tard ce vendredi soir, javais toute la journée et la soirée devant moi. Le temps étant au beau fixe, la séance de yoga se déroula avec Nic à lextérieur avec un petit groupe réduit de 3 personnes. Au terme de la séance, Nic me prit à part.
- Bravo Patricia, vous avez fait des progrès extraordinaires, votre sérénité est exemplaire
- Merci Nic, mais cest en grande partie grâce à vous.
- Vous êtes adorable. Dailleurs pour cet après-midi, je vous ai préparé une séance différente. Il sagit dune adaptation du Lomi Lomi à quatre mains
- À quatre mains ?
- Oui, cest une pratique exerçait par deux masseurs en symbiose, nos mouvements seront parfois simultanés, parfois asymétriques
Notre massage à quatre-mains intensifiera votre lâcher-prise et vous permettra de profiter pleinement des bienfaits et de la puissance de ce massage Lomi Lomi. Une expérience, un voyage que vous n'oublierez pas!
Déjà séduite par le massage classique, jacceptais avec joie ce changement de programme, et me présentais à lheure au Spa privé ou Nic mattendait accompagné par Louis un autre masseur. Après de courtes présentations, je minstallais sur la table nue, juste recouverte par une serviette sur les hanches.
- Vous allez voir Patricia, la relaxation est dores et déjà profonde avec le Lomi Lomi, et devient extrême à lissue dun massage à quatre mains. Cest un véritable appel au « lâcher-prise », qui entraîne finalement un sentiment de plénitude totale.
Ils démarrent la séance chacun installé dun côté de la table. Le massage était très intuitif, mais avec une chorégraphie réglée à lavance, suivant un programme établit, mais aussi une partition fondée sur leurs intuitions. Ils étaient à lécoute de mon corps et de mes sensations. Leurs mains formaient une danse, où les gestes saccordaient en symbiose me transportant dans un monde de sensations, de plénitude et dévasion. Mon cerveau ne parvenait plus à se concentrer de façon précise sur les gestes et lâchait prise totalement. Jétais plongée dans un état de sérénité absolue et mon corps était complètement détendu. Cétait un moment dextase, ou mon corps était modelé par quatre mains. Jétais manipulé par ces deux masseurs en fonction de techniques harmonieuse des mouvements parfaite. Répartis de part et dautre de la table, les deux professionnels exécutaient des gestes précis aussi bien au niveau de la méthode quau niveau de lintensité sattachant à ce que la partie gauche comme la partie droite de mon corps soient toutes les deux soumises au même rythme pour ne pas déséquilibrer le résultat final.
- Les instructions sont claires, pas de rapport sexuel avec Patricia.
- Baisez-moi maintenant tous les deux, je veux vos sexes en moi.
- Désolé chère Madame, il va falloir se contenter du Lomi Lomi
Ils reprirent leur jeu de massage torride, continuant à me manipuler, me malaxer, mexciter. Je jouissais à plusieurs reprises, accompagnant mes orgasmes de gémissements bruyants, cambrant mon corps avant de retomber sur la table, et de me faire reprendre par leurs mains de sorciers. Sans aucune pénétration, la séance dura plus dune heure, de palpation et massages les plus torrides les uns que les autres, et au terme duquel mon corps ne mappartenait plus. Ils me relevèrent et sans attendre mentraînèrent vers le jacuzzi, ou nous installions tous les trois. Moi au milieu, avec mes deux masseurs de chaque côté, ils reprirent leur jeu de façon encore plus intense. Louis soccupait de mes seins de sa main droite et de mon aine de sa main gauche, alors que Nic me massait la nuque. Une fois de plus, mon corps mabandonnait, alors que les doigts de Louis pénétrèrent mon vagin. Je sentis sa main plonger en moi et me doigter avec vigueur. Nic quant à lui détournait ma concentration par un massage sulfureux de la nuque et de mon crâne. Je jouissais à nouveau sous les doigts de mes compagnons. Ils alternèrent les zones, laissant Nic soccupait de mon vagin et Louis de mes gros seins. Manipulée, malaxée, palpée, mon corps répondait de façon désordonnée à ses quatre mains qui avait pris possession de mes formes plantureuses. Je décidais de reprendre un peu dinitiative et glissais ma main entre les cuisses de Louis à la recherche de son membre. Je le pris en main, et me mis à le masturber discrètement prenant garde à ne pas éveiller lattention de Nic qui continuait à me doigter le vagin. Louis se laissait faire tout en palpant encore plus fort mes gros seins, reconnaissant de cette caresse interdite. Jaccélérais cette masturbation, souhaitant le faire jouir au plus vite alors que Nic, qui avait poussé ses trois doigts en moi, faisait coulisser sa main avec vigueur déclenchant de vifs gémissements et cambrure de mon corps. La combinaison du pistonnage que je subissais, de la palpation mammaire, mais aussi de Louis qui venait de gicler dans ma main, déclencha un ultime orgasme, sonnant la fin de ce massage inédit. Mes deux beaux masseurs sortirent du bain, dans le jacuzzi, me laissant, après tant dorgasmes intenses, apprécier ce moment intime dans la chaleur de ce bain.
Je regagnais ma chambre, pour un moment de repos, ayant prévu de dîner vers 20 H, javais quelques heures devant moi pour me relaxer avec un bon livre, installée sur cette banquette devant la baie vitrée qui me livrait cette vue exceptionnelle dont je ne me lassais pas. Richard mavait informé de son arrivée aux alentours de 23 H après sa dernière réunion et les 3 H de route, jallais donc dîner seule ou en compagnie de mes amis italiens. Je décidais pour la soirée de faire un effort de toilette avec une belle robe portefeuille noir qui marrivait aux genoux avec un col en V dévoilant un magnifique décolleté, masqué par un foulard en soie noir avec des petites taches blanches et une ceinture en cuir. Javais retrouvé lenvie de me faire désirable. Larrivée de mon mari, et le traitement subit par mes deux masseurs avait réveillé ma libido malmenée et endormie. Javais envie d'être à nouveau désirée, et attendais avec impatience la venue de Richard qui allait sans aucun doute me prendre comme une bête. Je pris un dernier verre avec mes amis, apercevant Louis mon beau masseur en pleine discussion avec un couple de clients. Il me souriait de loin, sûrement reconnaissant de mon initiative de laprès-midi. Je quittais le bar afin de regagner ma chambre, quand, arrivée à lascenseur, je fus rejoins par Louis, qui me prit par la main, mentrainant avec lui vers la zone des spas.
- Venez avec moi belle Patricia, jai la charge de vous faire faire une séance supplémentaire
- Louis, voyons, ou memmenez-vous mon mari va arriver dun instant à lautre.
- Ne vous inquiétez pas on a tout le temps.
Il me fit pénétrer dans un spa privé, alluma une lumière tamisée, et me poussa couchée sur la table de massage toute habillée. Sa main plongea directement sous ma robe pour se saisir de mes gros seins protégés par un magnifique soutien gorge rouge et noir, alors quil libérait son sexe impatient.
- Je nai pas le droit de baiser mes clientes, mais rien ne mempêche de recevoir un pourboire belle dame ?
Sensible à cette palpation mammaire et reconnaissante du travail accomplie, je décidais de lui faire plaisir alors que son sexe bien tendu se présentait devant ma bouche de manière transversale et que ses mains jouaient avec mes gros seins. Il plaça son sexe devant mes lèvres jointes très légèrement entrouvertes, appuyant doucement, avec une certaine résistance, prenant son membre en étau. Je commençais par le bas de son sexe faisant coulisser son membre entre mes lèvres presque closes jusquà son gland en faisant courir ma langue le long de son bâton de chair. Je le fis coulisser plusieurs fois, alors quil me tenait fermement par la nuque, appuyant et poussant ma tête avec force. Après plusieurs minutes de ce traitement, il poussa son gland devant mes lèvres et poussa son sexe à lintérieur de ma bouche avec un grognement de rage. Son bras droit tendu, sactiver à remonter le bas de ma robe découvrant des portes jarretelles rouge et noir assortis à mon soutien-gorge. Il plongea sa main sous ma culotte, reprenant les caresses de laprès-midi. Alors que je sentais ses doigts se glisser en moi, son sexe coulissait entre mes lèvres bourgeoises. Il le faisait entrer et sortir, en rythme avec sa main qui me dévastait le vagin, alors que je le titillais de ma langue tournant autour de son gland avec gourmandise. Il écarta le décolleté de ma robe laissant apparaître mes seins magnifiques, et se positionna au-dessus de moi, toujours allongée sur cette table de massage. Il plaqua son sexe entre mes gros seins, en dessous de ma dentelle, les pressant pour se masturber entre mes belles mamelles.
- Hummmmm, jadore tes gros seins, Patricia, quel dommage que je ne puisse te baiser, mais je te promets de moccuper de ta belle chatte.
Il alterna plusieurs fois entre fellation gourmande et cravate de notaire, mimposant à intervalle régulier ses doigts dans ma chatte trempée, afin de ne pas me laisser frustrée. Son sexe coulissait avec vigueur entre mes lèvres, quand je sentis enfin son liquide se répandre dans ma bouche, dégoulinant sur ma poitrine et sur mon soutien-gorge. Il était 22 h 30 et je venais de sucer mon masseur, et devais regagner ma chambre avant larrivée de mon mari. Je regagnais rapidement ma chambre, me débarrassais de mes vêtements et me changais. Je voulais être irrésistible pour larrivée de mon mari.
Javais donc choisi une chemise de nuit longue en soie au décolleté époustouflant de couleur nacre. Composée de broderie et de tulle donnant aussi un aspect de transparence. Ultra sensuel, jespérais quil ne résisterait pas à cette délicate attention. Il arriva vers 23 h 30, garant sa voiture et prenant le funiculaire pour toquer à ma porte quelques minutes plus tard. Nous étions face à face, sur le pas de la porte, silencieux, je le regardais avec des yeux coupables. Il posa sa main sur ma joue, appliquant une caresse remplie de tendresse, mais aussi damour avant de rentrer dans la chambre et fermer la porte. Une fois à lintérieur, terriblement coupable, je me blottis dans ses bras, posant ma tête au creux de son épaule, et me mis à sangloter. Il me regardait avec tendresse, et alors que jallais me justifier, me posa un doigt sur la bouche comme pour acter le fait quaucune explication nétait nécessaire à ce stade. Javais les yeux remplis de larmes. On sinstalla sur la banquette face au point de vue extraordinaire, silencieux, moi blottis contre lui qui me caressait les cheveux. Nous restions ainsi tous les deux, retrouvant en silence notre complicité et tendresse lun pour lautre. Quand bien même notre vie sexuelle était différente des couples traditionnels, nous savions lun et lautre que rien ne pourrait nous séparer. Jaimais et avais épousé un homme extraordinaire, qui non seulement était le père de mes s, mais en plus resterait mon ultime amant et amour pour le restant de ma vie.
Fort de ce moment de tendresse, assise et blottis devant lui, je sentais un désir monter en moi. Le besoin de me donner à mon homme, ne souhaitant maintenant quune seule chose, quil me prenne comme un animal, comme une soumise, comme une pécheresse quon doit punir. Alors que sa main était posée tendrement sur mon corps, je posais un baiser délicatement sur sa paume, comme un appel, une proposition indécente. Sa main bougea délicatement et se posa sur la dentelle de ma chemise de nuit.
- Cest pour moi que tu tes fait belle et désirable, je vois que ces quelques jours tont fait le plus grand bien.
- Oui, jai pensé aussi que cétait une belle manière pour tamadouer et me faire pardonner.
- Je vois que Madame est machiavélique dans son costume de reine.
- Et si tu toccupais de ta reine maintenant, peut-être quon pourra garder nos confidences pour demain ?
- Tu es incorrigible, mais tu as raison sur un point, ma reine mérite une bonne punition
- Fais de moi ce que tu veux, je suis entièrement à toi.
- Hummmmm, je retrouve enfin ma femme, comme je laime soumise, mais gourmande. Je vais moccuper de tes belles formes généreuses et de ta belle chemise de nuit.
Il me saisit par les cheveux afin de me ramener la tête en arrière, et membrassa avec passion. Sa langue plongea en moi, explorant toutes les parties de ma bouche comme au premier jour de notre rencontre. Alors quil me roulait une belle pelle bien baveuse, sa main sétait glissée en dessous du décolleté de ma chemise de nuit, semparant de mes gros seins laiteux. Il me malaxait ma grosse poitrine tout en continuant à membrasser.
- Je vais moccuper de tes belles grosses mamelles, ma génisse, regarde tes tétons sont déjà tout dur.
- Ohhhhhh, Richard, prends-moi, je suis à toi
- Ne tinquiète pas ma grosse pute, je vais te prendre, je vais te baiser comme la salope que tu es
Après tout, cest bien ce que tu es, une grosse pute nest-ce pas ?
- Oui mon amour, je suis ta grosse pute qui a été très vilaine
- Mets-toi sur mes genoux, je vais te mettre une belle fessée. Je vais faire rougir ce beau gros cul de pute.
Je minstallais sur ses genoux, mes fesses en lair, soumise et relevais le bas de ma chemise de nuit pour faire apparaître un string blanc en dentelle quil arracha immédiatement. Une première claque sabattit sur ma croupe, dont le bruit raisonna dans toute la chambre. Habituée à être fessée par Richard, je notais toutefois que cette première attaque était plus vive et forte quà son habitude, ce quil confirma avec la seconde et les suivantes. Il me claqua mes grosses fesses avec ferveur et force
Clac
Clac
Clac
Clac
Clac.
- Prends ça grosse pute, tu mérites une bonne correction, tiens, une, et encore une et encore une, tu aimes te faire fesser ton gros derche
- Ohhhhhh, oui fesse moi, punis-moi, je le mérite, je suis une grosse pute qui mérite sa punition
Il continua à me corriger la croupe pendant plusieurs minutes, quand satisfait de la couleur de mes fesses, il remplaça les claques par des caresses animales sur mon rougi.
- Hummmm, tu ne sais pas combien il ma manqué ce gros cul
Regarde comme il est beau bien rouge, comme je laime
Il passait sa main sur mes fesses, me gardant dans cette position de soumission punitive, palpant et malaxant la chair de mes fesses, avant de me plonger un doigt dans ma chatte en feu
Il me doigta, pendant quelques minutes, alors que javais toujours le cul en lair, alternant de temps en temps avec une stimulation de mon anus, avec lequel il samusait à tournoyer autour, comme un préliminaire à une sodomie profonde
.
- Prends-moi comme une bête, mon amour, je veux que tu défonces ma croupe de salope
- Dabord, tu vas me sucer ma grosse pute, ouvre-moi ta belle bouche.
Je maccroupis devant lui, qui venait de libérer son sexe bien dur, quand il mattrapa par les cheveux pour me pousser vers son membre tendu. Jeus juste le temps décarter mes lèvres et de lenfourner dans ma bouche. Il me tenait par les cheveux à deux mains, samusant à faire aller et venir ma tête entre ses cuisses comme une chambre à piston, avec son membre qui coulissait entre mes lèvres. Je me laissais faire, passive et toujours soumise, payant aussi le prix de ma faute et étant prête à tout pour lui donner un plaisir incomparable et obtenir son pardon. Il pouvait me faire ce quil voulait, mutiliser comme il le souhaitait, jétais redevenue son jouet, sa poupée de chair, et cette situation mexcitait au plus haut point. Mes gros seins débordant de ma chemise de nuit ballottaient au rythme de cette pipe endiablée, subissant également la rage sexuelle de mon mari, qui les malaxait avec force. Il me tirait sur les tétons et appliquait de grandes gifles sur mes mamelles de sa main droite, alors que sa main gauche me tirait par les cheveux vers son sexe afin que lengloutisse entièrement
.
- La voilà ma grosse pute fais-moi une belle gorge profonde, je suis sûr que tu tes exercée avec lautre
Montre-moi comme tu as bien progressé salope
- Hummmmmmmm, Hummmmmmmm, Hummmmmmmm
- Oui continue, cest bien, tinquiète, je vais bientôt te baiser comme une bonne chienne en chaleur que tu es
.
Après plusieurs minutes de ce châtiment, il me poussa sur le sofa sur le dos, remonta ma chemise de nuit, écarta mes jambes quil tenait en lair et me pénétra dune traite. Il me baisa dans cette position pendant de longues minutes, me tenant de sa main droite les jambes à la verticale, alors que sa main gauche me tenait par les cheveux lui permettant de maintenir ma tête relevée. Sa bitte coulissait en moi rapidement avec violence, déclenchant rapidement une série de mini-orgasmes qui nétait que le préambule de ce qui mattendait.
- Oui comme ça, bouge bien sous lhomme ma salope, tu aimes ça ma grosse pute, hein dis le moi.
- Ohhhhhhh, Oui Richard, bourre-moi, défonce-moi, je ne suis quune grosse pute
- Oui, cest bien, il ne te baisait pas comme ça lautre
- - Ohhhhhhhh Ouiiiiii, tu me fais jouir, il ny a que toi pour me baiser comme ça, ouiiiii continue
Il continuait à faire référence à mon ex-amant, lappelant « lautre » comme pour éviter de prononcer son nom, tout en me baisant de toutes ses forces. Jamais encore, il navait manifesté autant de vigueur et de violence dans nos rapports, qui pourtant avaient toujours été très rude. Il avait toujours été un amant exceptionnel, mais ce déferlement de rage sur mon corps réveillé au désir après ces quelques jours de cure était merveilleux. Il se releva, toujours me tenant par les cheveux et mentrainant vers le lit, stoppant en plein milieu de la pièce.
- Arrête-toi ici ma salope, que je te montre ce que je fais aux vilaines filles.
- Oui, mon amour, je suis une vilaine fille, ta vilaine reine qui doit être punie
Me tenant fermement par les cheveux dune main, lautre sabattit à nouveau sur mes fesses qui claquèrent au travers de la soie de ma chemise de nuit. Debout au milieu de cette chambre de luxe, je me faisais fesser à nouveau, comme un vulgaire animal que lon punit pour son mauvais comportement. Il continuait à partager à voix haute ses commentaires obscènes, sur mon comportement, mes formes plantureuses, mon look de bourgeoise, mon appétit sexuel, la reine des putes, tout y passait. Jétais surexcitée, non seulement par le traitement de soumise que je subissais, mais aussi par lacharnement quil y mettait comme une marque de son amour et de mon appartenance. Après quelques minutes de cette seconde fessée, il me poussa sur le grand lit à quatre pattes, se positionnant derrière moi. Un grand bruit de soie raisonna dans la pièce, marquant lécartèlement de ma chemise de nuit au niveau de mes fesses, quil venait de déchirer offrant un libre accès à mon gros cul ouvert. Il me pénétra à nouveau en levrette, me pilonnant les fesses avec rage tout en tenant le reste de ma chemise de nuit détruite dune main, et mes cheveux de lautre comme pour maintenir sa jument docile par la crinière. De grandes claques continuaient à sécraser sur ma croupe, finissant de rougir ma chair déjà écarlate.
- Ohhhhhhhh, Richard !!!!! Tu me fais jouir !!!!
- Oui continue ma cochonne, montre que tu es une bonne baiseuse
- Ohhhhhhh oui baise moi bien, comme une vilaine reine !!!!
Il était comme un fauve, un prédateur ravageant sa proie, se déchaînant sur mes formes de bourgeoise plantureuse, alors que je jouissais comme une folle, tellement heureuse davoir retrouvé mon mari qui me pardonnait au travers de cette baise violente et animale. Je sentis enfin son doigt à lentrée de mon anus, quil poussa à lintérieur de mon petit trou. Je savais que cela marquait le début du dernier acte de ma punition et quil allait maintenant me sodomiser. Après avoir dilaté mon anus avec son doigt, son sexe senfonça dans mon cul, progressivement et entièrement. Il était bien ancré à mes hanches et commençait ses mouvements de bassin, augmentant son sentiment de domination. Il était le roi, qui enculait sa reine pécheresse punie de ses fautes multiples
Et jadorais ça. Je sentais son gros sexe me cassait le cul, me fendre en deux, me dominer, me soumettre, marteler par les grandes claques quil continuait à mappliquer.
- Allez ma pouliche, hue, plus vite montre-moi que tu es une bonne jument. Je veux tentendre hennir
Clac, Clac, Clac, Hue, Hue
Faute de hennir, je gémissais de bonheur. Je métais écroulée sur le lit, le visage coincé sur la couette, fesses en lair, offerte et possédée. Je jouissais, priant pour que ce traitement continue encore longtemps, alors que mon corps mavait entièrement abandonné
Pourquoi avoir besoin dautres hommes en moi, alors que le mien me baisait toujours profondément ? Mon besoin de séduction, sans aucun doute, mais quand bien même je savais que je continuerais à tromper mon mari, je ne pouvais vivre sans lui, son amour et surtout son appétit sans limite pour mon corps de bourgeoise plantureuse et mature. Il jouit enfin sous un grognement ultime, se vidant dans mon anus et sur mon gros cul tout rouge et je pouvais sentir son liquide se rependre en quantité sur mon corps. Jétais défaite et dans un autre monde quand il sécroula sur moi pour me prendre entre ses bras forts.
- Merci mon chéri, je taime du plus profond de mon corps.
- Je taime aussi ma reine
- Je regrette tellement la peine et la déception que tu as eue.
- Je sais ma chérie, mais tu sais moi aussi, jai mes torts et mes faiblesses, alors disons que cest notre façon de vivre, soyons juste honnête lun envers lautre.
- Je te promets, mais même si cela doit se reproduire, je naime pas lidée de partager cela ouvertement, comme un fait anodin, car en vérité cela ne le sera jamais.
On passa notre nuit dans les bras lun de lautre, ainsi que le week-end dans cet hôtel de luxe, profitant de notre intimité et du cadre exceptionnel. Je ne le questionnais pas sur ses écarts et lui évitais de me parler de mon adultère. Nous savions tous les deux que cela pouvait se reproduire à nouveau et acceptions tacitement cette réalité. Heureuse et enfin réconfortée, je repris la route avec lui le dimanche soir pour rentrer à la maison, avec une pensée émue pour mes deux beaux masseurs qui avec leurs mains magiques avaient réveillé la femme sensuelle et gourmande que jétais.
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