Je Retrouve Sophie Et Georges Pour Un Nouveau Moment Fou À 3, Partie 1

Il y a quelques temps je vous ai raconté mes aventures avec un couple Sophie et Georges. J’ai d’abord passé une première journée ou j’ai allègrement baisé madame devant son mari qui ne pouvait rien faire d’autre que nous regarder. A la fin du plan, Sophie à autoriser son mari à s’abreuver de mon jus. Elle m’avait dit qu’il avait des tendances bi et voulais explorer ce domaine.

Ce que nous avons fait lors de notre deuxième rencontre, nous a fait devenir un véritable trio. Sous les ordres de la seule femme, Sophie et moi nous sommes occupés du petit trou de son mari, Georges mais plus moi nous nous sommes occupés des trous de madame et le couple s’est occupé de ma queue pour notre plus grand plaisir à trois.

Nous avons convenu de nous revoir et ce pour un nouveau trio infernal, sauf que cette fois c'est à moi d’avoir de l’imagination et le couple doit exécuter tout ce que je leur demande. Pour la première fois la rencontre se fait chez moi, je les attends en tout début d’après midi pour passer un bon moment ensemble. L’organisation est simple, j’ai placé un fin matelas sur ma table de salon le tout recouvert d’un drap.

Bien évidement je prépare du lubrifiant et Sophie doit amener, en autre, un de ses godes ceinture. Pour faire un peu plus Maitre, j’enfile un pantalon en cuir et je laisse dépasser mon sexe de la braguette. A l’heure convenu, ils doivent rentrer chez moi (je laisse la porte ouverte), entièrement se déshabiller et m’appeler une fois qu’ils m’attendent à genoux.

Quand j’entends le bruit de la porte qui se ferme, je commence à bander rien que d’imaginer ce couple qui va devoir me donner le plus de plaisir possible. Je n’ai pas encore de schéma de déroulement dans ma tête mais je me dis que je me laisserai aller au gré de mes envies. Sophie et Georges appellent « Maitre », mais je reste assis sur le canapé pendant encore quelques minutes, uniquement pour faire monter la tension.



Je ne sais combien de temps après, je me lève enfin pour aller les rejoindre. Après les avoir gratifié d’un « bonjour » et d’une caresse sur la tête, je les invite à me suivre dans le salon. Georges avance à 4 pattes alors que Sophie se lève. Je fais claquer sa fesse gauche et lui rappelle qu’aujourd’hui elle doit m’obéir. Elle se remet sur les genoux et avance dans la même position que son mari, j’att le sac qu’ils ont emmené et les rejoints.

Une fois que nous sommes autour de la table, j’invite monsieur à s’y allonger sur le dos. Alors qu’il prend position, je remarque qu’il porte un cockring en cuir noir qui lui serre la base du sexe mais aussi les couilles. Je rapproche ses fesses du rebord de la table, puis je lui fait relevé les jambes que ses mains vont maintenir. Je vois immédiatement que sa rondelle est non seulement bien ouverte mais déjà brillante.

Je lui claque fortement chacune de ses fesses en leur précisant que je ne lui jamais autorisé à porter un jouet sur le chemin. Il fuit mon regard et rougit, alors qu’il a toujours les jambes relevées je vais fouiller dans le sac qu’ils ont emporté. J’en sors déjà le gode ceinture que je pose sur une table pas loin mais je prends aussi un joli plug vraiment bien épais à la base.

Je lubrifie le plastique noir et je vais l’enfoncer d’un coup sec dans les entrailles de Georges qui en gémit de plaisir. Comme la base est bien large, je n’arrive pas le rentrer entièrement du premier coup, j’en profite pour bien lui limer le trou. Je retire le plug du cul de monsieur pour l’enfoncer dans la bouche de madame, elle l’avale le plus loin possible avant de le lèche goulument.

Quand je lui retire, je la fais se pencher sur le sexe de son mari et je lui ordonne de le faire bander. Elle l’empoigne au niveau des couilles et le gobe entièrement profitant qu’il ne soit qu’en demi molle. En même temps je replante le plug entre ses fesses et je recommence à le ramoner sauvagement.
Georges couine de plus en plus en fort alors que sa queue gonfle entre les lèvres de sa femme.

Au lieu de rajouter du lubrifiant, je sollicite Sophie pour humidifier le jouet qui donne tant de plaisir à son homme. Je tire sur les couilles de Georges, qui sont bien séparées par le cockring, pour retirer sa bite de la bouche de sa femme. Pour ne pas qu’elle ressente le manque, je lui enfonce le plug entre les lèvres. Elle le suce avec autant d’énergie qu’elle en mettait sur la bite de son mari mais si le jouet deviens rapidement trop large.

Je fais descendre le plug pour qu’elle suce les deux queues en même temps. Sophie comprend tout à fait mon intention et sa bouche s’élargit assez pour accueillir le gland gonflé de monsieur et la tête du jouet. Elle s’excite tellement dessus qu’elle a de plus en plus de mal à les avaler les deux en même temps. Elle passe de l’un à l’autre en les enfonçant le plus possible chacun leur tour. Déjà lors de notre dernière rencontre elle m’avait bien montré son côté salope, mais aujourd’hui elle démarre fort.

Une fois que je vois le plug bien luisant, je le plante presque jusqu’au bout, dans les entrailles de Georges qui me motive par des « Oh, oui! », « C’est bon! », « Encore »… sans réfléchir je lui lance:
« Tu te sens assez chienne? »
« Oui, Maitre! »
J’enfonce entièrement le plug dans son cul, je ne laisse même pas le temps à son anneau de se refermer au niveau du rétrécissement que je le retire.

Alors que Georges hurle de plaisir je recommence à le limer au même rythme que courent les lèvres de sa femme sur sa tige. Avec mon autre main, soit je tire sur ses couilles soit je le fesse méchamment. Quand le jouet a besoin d’être de nouveau lubrifie, bien que son cul commence à mouiller, je retire le plug pour aller l’enfoncer dans la bouche de monsieur, cette fois.

En le faisant glisser entre ses lèvres, il a plus de mal à le prendre profondément que sa femme, je lui demande:
« Tu aimes le goût de ton cul? »

Alors qu’il continue de l’avaler le mieux possible, entre deux gémissements dû à la pipe de sa femme, il me fait oui de la tête.
Je le regarde avec un grand sourire et j’en profite pour claquer les fesses de madame. Quand je retourne vers le cul de Georges, j’admire un moment son trou qui est resté bien ouvert mais aussi sa femme qui avale entièrement la bite de son homme tout en pressant ses bourses.

Je plante le plug en lui et je continue de le limer méchamment. Sophie s’étouffe sur le manche de son mari et quand elle se relève pour reprendre sa respiration, je lui donne le jouet à lécher ou avaler. Je n’oublie pas de claquer régulièrement les fesses de Georges et de lui demander s’il aime, il me répond à chaque fois:
« Oui Maitre. Merci Maitre! »

J’ordonne à madame de venir bouffer alternativement les couilles et le cul de son homme. Je vais chercher une petite cravache, que j’avais vu plus tôt dans le sac et je monte sur ma table. Je m’agenouille, j’appuie sur ma tige pour qu’elle perpendiculaire au sol et je m’enfonce dans la bouche de Georges alors que je fouette son sexe. Il a la bouche trop rempli, mon gland est dans sa gorge, pour gémir sous les coups que je lui donne.

Je quitte les lèvres de monsieur et avance dans cette position vers son entrejambe. J’att Sophie par les cheveux et j’attire sa bouche vers ma queue qu’elle s’empresse de sucer tout en tirant sur les bourses de son homme qui continue de gémir. Je retourne m’occuper du cul de Georges tout en protégeant ma bite bien raide.

Je fais quelques allers retours et le retire pour le remplacer par ma queue. Georges est tellement ouvert que je rentre sans aucune difficulté alors que sa femme continue de le sucer en me regardant faire. Après quelques allers retours, je décule, pour replanter le plug en lui. J’att Sophie par les cheveux et je baise sa bouche au même rythme que je fais aller et venir le jouet dans son homme.

Encore une fois j’échange pour sodomiser monsieur, cette fois je fais plus de mouvements en lui. D’abord je le lime très lentement et j’accélère doucement le rythme en le gratifiant de belles fessées.
Sa femme lui bouffe littéralement la queue alors que j’att la bouteille de lubrifiant pour en faire couler dans sa raie pendant que je continue de le ramoner fermement.

J’ordonne, à Sophie, de monter sur la table et de s’assoir sur le visage de son mari pour le faire taire. Elle grimpe et se met en 69 sur lui, ce qui nous permet de moins l’entendre. Je sors, encule fermement monsieur avec le jouet alors que je glisse ma queue contre la sienne pour que madame s’occupe aussi de moi. Elle passe d’une bite à l’autre, quand je suis dans sa bouche, je soulève sa tête par les cheveux et je me plante jusque dans sa gorge en lui disant:
« Tu as hâte de l’avoir en toi. »

Alors qu’elle continue de m’avaler goulument, Sophie fait oui de la tête. Je retourne dans les entrailles de Georges qui se fait toujours sucer tout en bouffant la moule de sa femme. Je me plante complètement en lui, je m’immobilise un moment et je ressors tout aussi sèchement que je suis rentré. Je recommence l’opération en étant à chaque fois plus bestial.

Je m’enfonce tellement profondément que mes couilles claquent ses fesses. J’empoigne fermement celles de Georges et j’ordonne à sa femme de les mordiller. Bien qu’il continue de la lécher, on l’entend gémir de plus en plus fort. Quand je décule, je fais abandonner, à Sophie, les bourses de son homme et je lui redonne ma bite à sucer pendant que je rajoute du lubrifiant sur Georges.

Je retourne dans les entrailles de monsieur, j’att fermement ses jambes et je le sodomise comme un fou. J’ai l’impression de ne pas avoir baiser depuis des années tellement que je me déchaînes en lui. Madame et monsieur continuent de se lécher furieusement en émettant des bruits toujours plus excitants.

J’ai envie de changement alors je ressors du cul de Georges, je leur dit d’arrêter et les informe que maintenant je veux Sophie sur la table. Elle prend exactement la même position que son homme, qui lui vient s’installer à genoux au pied de la table. Après l’avoir nettoyé, je donne le plug à Sophie pour qu’elle travaille sa chatte avec et je donne ma queue à Georges pour qu’il la nettoie de toutes les sécrétions anales qu’il a pu laisser sur ma capote.

Il s’occupe d’abord de mon gland pendant que sa femme fait rentrer de plus en plus profondément le jouet dans sa grotte. Il aspire mon champignon, sa langue tournoie autour et même ses dents rentre en action. J’apprécie énormément ce qu’il me fait alors je retire mon préservatif et je le laisse faire un moment avant de lui ordonner de s’occuper aussi du reste de ma tige.

Il m’enfonce de plus en plus profondément dans sa bouche à chaque allers retours. Il me fait même dépasser sa glotte et rentrer dans sa gorge malgré les hauts le coeur. J’adore sentir son menton venir écraser mes couilles jusqu’à ce qu’il n’arrive plus à retenir sa respiration. Quand il me recrache, j’étale sa salive sur toute la longueur de ma queue, j’att un autre préservatif, je retire le plug de la chatte de madame et je me plante d’un coup sec en elle.

Je reste planté un moment dans sa grotte chaleureuse et apparement déjà bien humide. Tout en restant enfoncé, je fais quelques mouvements de bassin et quand je ressors j’att la tête de Georges pour retourner directement dans sa gorge. Cette fois je reste immobile moins longtemps et ensuite je coulisse entre ses lèvres pour lui faire profiter des sécrétions de sa femme qui a recommencé à se masturber avec le plug.

J’ordonne à Sophie d’y aller plus fort avec son jouet, pour l’encourager je la fesse régulièrement. Elle met du coeur à l’ouvrage et s’enfonce presque entièrement le plug, elle mouille tellement qu’une sorte de mousse se forme sur ses grandes lèvres. J’abandonne la bouche de son mari pour remonter sur son corps et allé lui pincer les tétons de plus en plus fort.

Sophie aime tellement ce je lui fais qu’elle se met à hurler de plaisir. J’ai très envie de sa chatte alors je vais me placer entre ses jambes repliées, je retire le plug que je donne à Georges pour qu’il le nettoie et je m’enfonce lentement dans son con. Je ne m’arrête qu’une fois que mes couilles touchent ses fesses et je m’immobilise en elle. Avec mon pouce, je titille son clito ce qui la fait encore plus couiner.

Je commence un lent va et vient en pinçant de plus en plus fort son petit bouton. Je dis à son mari, qui a fini de nettoyer le jouet, de monter sur la table et lui donner sa queue à sucer. Il est redevenu complètement flasque mais elle ne tarde pas, grâce à d’excellent coup de langue, à se remettre à gonfler. Je la lime de plus en plus sauvagement, elle n’arrive plus à sucer son homme.

Je suis surpris quand elle me demande:
« Je peux jouir Maitre? »
Je lui réponds par la positive et immédiatement elle se met à couiner comme la bonne salope qu’elle est. Je sens ses muscles vaginaux se contracter autour de ma tige alors j’ordonne à Georges d’attr la cravache et lui donner des petits coups sur le clito.

Sophie hurle encore plus fort et j’ai l’impression que son con va broyer mon sexe tellement qu’elle le compresse. Je suis totalement immobilisé en elle. Quand je sens que l’étreinte se relâche, je me remets à la limer vigoureusement. Dans un faux mouvements je sors de sa grotte, du coup j’empoigne ma queue et et tape son petit bouton avec. Je sens qu’elle est trempée, malgré ses gémissement j’entend nettement un bruit de clapotement.

Je retourne faire quelques allers retours en elle avec ma queue bien dure avant de retirer ma capote et lui donner à lécher. Elle s’excite comme une folle sur le dessous de ma tige mais ne la prend pas en bouche, elle doit d’abord reprendre sa respiration. Du coup j’appuies sur la tête de Georges et il vient aider sa femme à me sucer comme il faut.

Ils se déchaînent en coeur sur ma queue à tel point que je n’arrive plus à me retenir et j’explose dans la bouche, de je ne sais lequel des deux. Je passe d’une paire de lèvres à une autre en envoyant à chaque fois une nouvelle giclée. Ensuite le couple se partage le sperme dans une bonne pelle baveuse et très excitante. Une fois que nous reprenons tous nos esprits, même si Georges n’a pas joui, je crois qu’il est grand temps de faire une petite pause.

Je file en cuisine pour faire du café que je ramène avec des petits gâteaux. Nous buvons et mangeons, en restant à poil, pour reprendre des forces car l’après midi est loin d’être fini…

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