L'Homme De La Forêt (1/2)
Plusieurs années ont passé depuis ma première fois avec un homme et j'ai découvert des plaisirs divers depuis. Même si je couche souvent avec des femmes, j'avais toujours ce besoin d'hommes et cela faisait longtemps que je n'avais pas goûté à la virilité d'un homme.
J'ai arpenté les sites de rencontres dans la plus grande discrétion pour trouver mon bonheur mais ce fut long et pénible. Pas un seul homme viril, mature et physiquement plaisant dans ma ville... Les mois ont passé, formant alors une année et je n'avais toujours pas fait de rencontres fructueuses.. jusqu'à ce qu'un homme me contacte.
Des messages minimalistes sur un site, peu de photos, beaucoup de mystère mais beaucoup d'excitation. A l'époque, j'aurais donné mon cul au premier venu si je n'avais pas trouvé cet homme et si mon besoin de discrétion ne me l'avait pas empêché.
Nous décidons d'une rencontre assez rapidement. Ce quinquagénaire viril et un brun autoritaire habite en plein coeur de la forêt. Aucun voisin, seul une forêt de sapin entoure son impressionnante maison. J'angoisse un peu mais l'excitation prend vite le pas sur le reste. J'ai l'eau à la bouche comme si j'allais manger.
Mon repas du jour m'ouvre la porte: il est grand, imposant, un peu de ventre mais ça ne fait rien. Sa virilité et sa forte voix m'impressionne. Il m'accueille d'un ton assez neutre mais se fait vite un hôte d'excellence en me proposant un verre de vin blanc que j'accepte très volontiers. Je connais rien de cet homme qui, après dix minutes d'échange de regards appuyés et de banalités, vient poser sa main sur mon ventre et me demander:
"Tu es en forme aujourd'hui?"
Je rougis rapidement. Nous sommes debout devant sa cheminée et je ne sais pas quoi répondre. La seule réponse qui me vient est:
"J'ai très chaud"
Evidemment, je suis devant un foyer de cheminée qui fonctionne à plein tube, l'inverse serait inquiétant. Le vin et ce rapprochement soudain me fait tourner un peu la tête.
Je me laisse faire un instant en touchant ses mains qui pétrissent mes fesses. Je lâche un soupir de plaisir en sentant ma petite ouverture s'humidifier d'envie. Il m'enlève mon tshirt rapidement, puis mon pantalon, me retrouvant à l'étroit dans mon boxer tandis que mon grand dominant est toujours habillé. tandis que je tremble d'excitation, sa main droite s'approche de mon visage et sa main gauche fait glisser la dernière pièce de tissu le long de mes jambes.
Je suis entièrement nu devant un homme viril et dominant. Il m'embrasse les joues subtilement et me repousse lorsque je tente de défaire son pantalon
"Pas tout de suite" me dit-il avec autorité. Ce refus me fruste autant qu'il m'excite. Des gouttes de sueurs perlent sur le bas de mon dos et mon partenaire de ce jour me guide vers son canapé en me tenant doucement mais fermement par le cou.
"A quatre pattes sur le canap'" Je m'exécute en lui tournant le dos et je reçois une petite claque sur la fesse. Je ne sais pas ce qui m'attend mais je me soumets totalement à mon boss. Après avoir caressé mon dos et inspecté mon entre-jambe, une sensation humide et délicate vient m'arracher un petit cri de surprise.
Sa langue galope le long de mes fesses et il s'applique à taquiner mon petit fourreau. Je ferme les yeux de plaisir et me retient de lui crier de me baiser. Sa langue est une délice et je profite de chaque coup de langue. En me retournant pour le regarder, je vois qu'il s'est débarrassé de sa chemise. Son torse poilu m'excite encore plus et c'est le moment où il choisit de m'introduire un premier doigt.
"-Aaaaah putaiiiin! soufflait-je
-t'en avais vraiment besoin on dirait.
Mes membres s'agitent dans tout les sens lorsqu'il s'applique à me masser la prostate avec deux doigts. Mon souffle est haletant et mon coeur saccélère lorsque je vois l'énorme bosse dans pantalon. J'en suis ravi et effrayé. Il semble monté comme un cheval. Me sentant au bord de l'orgasme, il stoppe tout massage me laissant tendre mon cul dans le vide tandis qu'il me contemple haleter comme la salope qu'il vient de me faire devenir.
Je me retourne et fonce à genoux pour lui rendre la pareille, m'agrippe à son pantalon et à son slip pour libérer la bête. Son sexe gorgé de sang et de désir me saute au visage. Je fais alors face à un sexe monumental comme je n'en ai jamais vu. Ma première réaction est d'abord la déception car je suis convaincu qu'il ne rentrera jamais dans aucun de mes trous. Néanmoins, je lagrippe comme une récompense et mes doigts n'en font pas le tour. Sa monstrueuse queue m'en font oublier ses boules d'une taille conséquente.
Ce défi de taille me plait et ma langue parcourt goulûment ses attributs. Ses râles font encore monter la pression en moi. Mon dévouement est total et je réussis à mettre en bouche un tiers de sa queue. Il veut que je le suce doucement. Je le regarde dans les yeux et ça lui plait. Je suis à sa merci. Ce chibre fait aisément plus de vingt centimètres et est raide comme du bois. Cela doit être un fardeau de porter cela tout les jours. Comment cache t-il ses érections en public ?
Ce grand gaillard m'encourage à le sucer autant qu'il me dit que je suis sa petite pute. Il devient dingue avec la gâterie que je lui prodigue. Tantôt lentement et doucement, tantôt à fond comme si ma vie en dépendait. Alors qu'il ferme les yeux, toujours plus proche de l'orgasme, je retire sa queue de ma bouche d'un coup. Surpris, il me dit "T'arrêtes pas, je vais pas tarder à jouir". Je me recule, toujours à genoux, les mains derrières le dos comme un lui lançant des regards bourrés de défi.
"Petite salope, tu vas voir ce que je vais te mettre" me dit-il en me voyant sourire après lui avoir fait non de la tête.
Je sautais une nouvelle fois sur le canapé, m'allongeant sur le dos et attendant la punition. Il plaça son membre sur mon visage pour me calmer me montrer qu'il était le patron et me fit le sucer une nouvelle fois. Il menait la danse et imprimait le rythme qu'il voulait. En quelques va-et-viens, les veines de son cou ressortirent. Ses muscles se contractaient. Sa queue se faisait encore plus dure qu'auparavant et il intensifia ses mouvements pour finalement exploser dans ma bouche. JE n'avais jamais entendu un homme crier aussi fort. Son râle était accompagné de petits coups de reins. Mon beau mâle m'avait craché tout son désir au fond de la gorge et j'étais content de l'avoir fait jouir de la sorte.
J'étais tellement excité que j'aurais pu jouir sans qu'il ne me prenne. Une fois reconnecté avec la réalité, sa queue n'avait que très peu désenflée et il me lança
"-Bah ça alors, t'es une sacrée salope toi. J'aurais pas cru ! Laisse moi deux minutes, le temps de redurcir un max, et je vais m'occuper de ton cul comme il faut"
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