La Cousine De Manu...
Jétais confortablement allongé sur mon lit à lire un peu. Toujours agréable de se relaxer avec un livre après un bon dîner. Lorsque ma mère vint me prévenir que javais une communication.
- Allô ? Fis-je après mettre saisit du combiné.
- Eh Alain
cest Manu
je ne te dérange pas ? Tétais pas en train de faire la sieste au-moins ?
- Non la sieste cest fait pour des vieux comme toi, non jétais en train de lire
Quest-ce qui me vaut ce coup de fil
- Eh bien
je me demandais si tu avais envie de faire un tour
tu sais dans le quartier, prendre peut-être une glace, bavarder
-Bien sûr
-Dans cinq minutes en bas de chez toi, ça te va ?
-Parfait, à tout à lheure.
Je pris un peu dargent de poche et descendis les étages. Manu nétait pas seul. Une jeune femme laccompagnait.
-Je te présente ma cousine Maria. Elle est de passage dans notre ville. Tu vas voir, elle est très spéciale
Maria savança vers moi. Ses cheveux châtains clairs lui arrivant aux épaules. Elle portait un débardeur blanc lui arrêtant à peine au nombril. En dessous, une minijupe noire, et aux pieds des sandales à talon blanc. Loin de me faire une bise, elle me colla sa bouche contre la mienne.
-Maria ! Lança Manu.
-Ben quoi, dit-elle, il me plaît bien ton pote, tu mas bien dit...
-Ta gueule Maria, tu entends TA GUEULE !
Plus amusé quautre chose par son comportement, je leur payais une glace.
Maria nétait pas des plus jolie, mais son handicape était gommé par ses formes épanouies qui excitaient le garnement que jétais. Sa blondeur pour une portugaise me fascinait, ainsi que sa peau très blanche qui sentait le lait. Elle avait un petit nez en trompette et des yeux dun bleu métallique.
Les jours suivant elle prit avec nous un rôle de grande sur, son âge lui permettait, elle avait passée la vingtaine. Pour Manu comme pour moi, cela était plus tôt flatteur, quune fille de cet âge sintéresse à nous.
Comme depuis une bonne semaine, nous nous retrouvâmes à bord de sa voiture. Une Simca 1100. Qui puait lessence. Mais elle nous mena tout de même où nous le désirions, ce jour là jusquà un étang. Maria dont la peau fragile craignait les coups de soleil, mettait sa serviette sous le parasol. Elle allongea sur le ventre, le nez dans le magazine Podium.
Jétais fasciné par ce quelle moffrait. Un fessier comprimé dans un bikini Vichy, à men faire bander. Gêné tout de même, par cette pine qui tendait mon maillot, je me devais de la cacher à la vue de la jeune fille. Pour se faire je mallongeais sur le ventre également. Couvant toujours du regard le cul. Se sentant observée, elle tourna la tête dans ma direction et demanda :
- Tu ne vas pas de baigner avec Manu ?
- Non ! Après, peut-être.
Quelques minutes plus tard elle lâcha son magazine pour se coucher sur le dos, et fermer les yeux. Un coup de barre mavait-elle précisait. Jen profitais pour la mater de nouveau. Fixant le devant de son maillot bombé du slip de bain. Létoffe moulait le renflement du sexe. Dessinant parfaitement la fente. Des poils blonds sortaient de léchancrure. Jimaginai sous le fin textile, la bouche lippue cachait sous le triangle de poils.
Après un dernier coup dil sur son étalage, jallais rejoindre Manu.
- Tas déjà vu une fille à poil. Toi ? Me fit-il.
Pour toute réponse jhochais évasivement les épaules. Je le détestais quand il maccablait de sa supériorité en prenant sa voix de petit dur. Il lui fallait bien avouer que jétais novice en la matière. Je me composais un air blasé et jetais sans plus de précision.
- Pas grand-chose, avouais-je.
Il eut un sourire blessant.
- Je te parie tout ce que tu veux que ma cousine ne serait pas contre nous montrer tout, quand on veut.
Jhaussais les épaules, dédaigneux.
- Pourquoi le ferait-elle ?
- Cest une salope, je te dis.
Sur ses derniers mots nous sommes allé la rejoindre. Encourager par les paroles de Manu, je me débrouillais pour me coller le plus possible delle. Elle ne se méfiait pas de moi. Ne cherchant même pas à me repousser. Elle me considérait peut-être elle aussi pour un novice. Puis soudain elle releva la tête, comme si elle venait de se rendre compte de ma présence. Un trouble lui empourpra les joues.
- Va jouer plus loin Alain. Jai trop chaud.
Manu me fit signe de ne pas broncher. Il demanda dune toute petite voix :
- Tu vas avoir encore des coups de soleil. Et cela va encore te faire souffrir. Je ne veux pas quen te mettre de lambre solaire ?
Elle hocha mollement la tête.
- Avec Alain nous allons faire chacun une jambe. Fit Manu. Tu fermes les yeux et après tu nous diras celui qui a les mains les plus douces.
- Je ne dis pas non ! Sexclama-t-elle, jadore les caresses.
Elle eut un petit rire niais et laissa retomber la tête sur ses bras, comme si elle allait dormir. Je mempressais sur la jambe droite quelle avait brûlante. Sa peau était douce sous mes doigts. Je mappliquais autant que Manu le faisait à la masser. Elle respirait doucement, comme endormie. Si elle aurait pris la peine de poser son regard sur nous, elle aurait vu nos pines tendre le textile du slip de bain.
Au contraire elle soupira en creusant les reins. Manu en profita pour repousser le maillot, dénudant une moitié de la rondeur dune fesse. Maria eut un raidissement. Elle protesta dune voix ensommeillée. Sans lever la tête.
- Ça suffit, les garnements.
- Encore un peu, cousine. Ta peau est si fragile.
Sans lui laisser le choix, Manu étala de nouveau de lhuile sur la portion restée blanche. Résignée, elle reposa sa tête. Jen profitais pour échancrer moi aussi le slip. Lempiècement était à présent repoussé dans la raie des fesses.
- Allez-vous en maintenant vous me tenez chaud
fit-elle en levant la tête pour nous regarder par-dessus son épaule, avec une drôle dexpression sur le visage.
Ses joues étaient écarlates et ses narines dilatées par une bouffée de chaleur. Elle se mordit la lèvres. Je surpris une lueur insolent dans son regard.
- Vous exagérez ! aller donc vous baigner. sexclama-t-elle sans
emportement avec une voix rauque.
Après avoir lâcher ses quelques mots, elle baissa les yeux et reprit sa position initiale, la tête dans ses bras repliés. Excités par sa passivité, nous restâmes interloqués. Sur un coup dil de Manu, que je pris pour un encouragement, je frôlais du bout des doigts les chairs durcies. Maria resta immobile. Sa fesse samollissait. Jen profitais pour enfoncer mes doigts, cherchant sournoisement à faire mal. La peau blême se couvrit de marques rouges. Il lui en fallut pas plus pour crier.
- Aie, doucement ! Quest-ce que tu fous. Ça métonne pas que tu nais pas une copine
Manu étouffa un rire mauvais, alors que lui aussi pinça de son côté le derrière de sa cousine. Saisissant un bourrelet de peau entre les doigts, il le fit tourner, en tirant la fesse sur le côté. La raie apparut à léchancrure du slip, marquée dun sillon rose tapissé de poils blonds. Senhardissant, il tira davantage, pour mettre à nu une portion de la tache brune de lanus, striée de plis concentriques. Retenant mon souffle je me penchais pour reluquer de plus près le trou du cul renflé, bordé de poils blonds qui se fronçait. Jaurai voulu que ça dure une éternité. Marie ne disait rien, plongée dans sa torpeur pendant quen lorgnaient sous son slip. Mais cela ne dura aussi longtemps que je le voulu, comme sétait prévisible, elle nous repoussa, brisant le charme en rajustant son maillot pour mon plus grand désarroi.
- Des vauriens perverses
-Mais cousine !
-Il ny a pas de cousine qui tienne, foutez moi le camp !
Mais je trouvais pour ma part, que sa colère manquait de conviction. Cela nous empêcha pas de nous éloigner comme elle nous lavait si gentiment dit. Nous allions avec Manu nous baigner, laissant le temps à Maria de se reprendre.
- Tas vu ? Me fit Manu.
- Jai vu quoi, outre quelle était fumasse.
- Que cest une vrai salope, souffla Manu. Crois-moi, elle aime quon la tripote.
-Eh bien cest pas ce que jai ressenti.
Nous avions barboter une bonne heure avant quelle daigne nous informer quelle nétait pas contre de rentrée.
À suivre
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