Première Fois

Je n'étais jamais entrée dans un club échangiste auparavant, mais mon amant, Lenny, voulait me faire connaître de nouvelles sensations. Il avait immédiatement perçu mon potentiel et il avait su me convaincre de le suivre dans cette aventure.
J'étais un peu anxieuse de ce que j'allais découvrir une fois sur place.
Serais-je seulement passive, regardant les participants évoluer?
Où me servirais-je de l'ambiance pour satisfaire mon chevalier servant?
Et accepterais-je d'évoluer devant un public averti, soumise à la fougue de mon amant?
Accepterais-je même de les laisser m'utiliser? Telle une vulgaire catin ...
Comment pourraient-ils déceler la salope qui sommeillait en moi avant que Lenny ne me révèle?
Lenny a fait de moi son jouet en quelques coups de bite. Des coups de maître, je dois bien le reconnaître.
Mariée trop jeune à un type trop préoccupé par son travail, je dépérissais comme une plante qui s'étiole.
Lorsque j'ai connu Robert, mon mari, j'étais une oie blanche. Alors, ment, je ne pouvais pas faire de comparaison.
Au bout de seulement trois ans de mariage, je distrayais mon ennui et soulageais ma libido à l'aide d'un jouet en caoutchouc.
À seulement 24 ans, l'initiation au plaisir sexuel par Lenny fut une véritable révélation.
Ma rencontre avec Lenny était une véritable fontaine de jouvence et j'aimais tout de lui.
Le sexe clandestin et sordide m'exaltait, faisant de moi une radasse qui se traînait dans le stupre et dans le vice pour plaire à mon propriétaire, car je lui appartiens désormais.
Lenny est passé me prendre en milieu d'après-midi et nous sommes allés au club ensemble.
C'était situé en pleine zone industrielle et il y avait pas mal de clientèle malgré l'heure précoce.
Il a passé l'inspection pour vérifier si j'avais bien respecté ses préférences pour la tenue vestimentaire.
"Quelque chose de léger, une petite robe toute simple que tu pourras ôter facilement.

Sous-tifs à balconnet, qui remonte sans cacher tes nichons, un string, que tu sois accessible. Et surtout pas de collant, des bas auto-fixant et des talons pour faire salope. Et rajoute du maquillage, des lèvres bien rouges, que les mecs aient envie de se faire sucer!"
En approchant du club, il m'a regardé avec cette petite lueur coquine qui me faisait mouiller.
Il m'a demandé encore une fois si j'étais prête et désireuse de franchir le pas.
J'étais à la fois émoustillée, nerveuse et frétillante, ressentant un trouble que je n'avais jamais vécu auparavant.
À l'entrée, nous avons été accueillis par un couple d'âge mûr, souriants et attentionnés.
Ils se tenaient à la réception pour noter mes coordonnées lorsque Lenny m'a parrainée en tant que membre.
L'homme m'a débarrassée de mes affaires pour les placer dans un casier, et un ticket m'a été remis.
"Nous allons commencer par boire un verre au bar afin de te détendre un peu. Tu verras, ici, les gens sont gentils!"
Lenny plaisantait pour me détendre. J'ai acquiescé et je l'ai suivi en m'accrochant à son bras, pas rassurée par le côté obscur du lieu.
Lenny m'a obligée à consommer une boisson alcoolisée pour se débarrasser de mes inhibitions.
Un rapide coup d'œil à droite et à gauche pour examiner les environs.
Des couples entre deux âges qui s'embrassent et se caressent sans se préoccuper de ce qui se passe autour d'eux.
Ici, les gens ôtent leur carcan d'interdictions pour vivre leurs fantasmes sans contraintes.
Je ressentis instantanément une douce chaleur envahir ma chatte et je laissais Lenny me prendre la bouche et me tripoter.
Clairement consentante, je commençais à écarter légèrement mes cuisses en sentant la main de Lenny se frayer un chemin sous ma robe. Il a commencé par me frôler l'intérieur de la cuisse, la chair tendre juste au-dessus des bas, comme il sait si bien le faire.
Quand sa main s'est élevée plus haut, ma passion a pris le dessus, et je lui ai chuchoté des encouragements.

Pas sûr qu'il en ait besoin, mais je gémissais dans son oreille des mots crus pour l'inciter à plus de rudesse.
Dans cette ambiance, j'avais besoin d'être prise comme une femelle par le mâle dominant.
N'ayant pas besoin de plus d'encouragements, il me prit par la main et m'entraîna vers un recoin, une sorte de petite alcôve près de la piste de danse où évoluaient quelques couples.
Ces couples dansaient sur place une sorte de simulacre qui ressemblait plus à une baise debout qu'à une danse, même lascive.
Plus loin dans le club, des boxes discrets, des fauteuils profonds, des coussins et des tapis incitaient à s'étendre.
Pas pour faire une sieste, mais sur ces surfaces confortables, les couples amoureux se donnaient en spectacle.
Lenny prit la direction des opérations en m'allongeant sur un canapé sans que sa bouche quitte la mienne, ses mains explorant mon corps en le dénudant.
Vêtue seulement d'une robe légère, Lenny a troussé le tissu en m'écartant les jambes.
Ses intentions étaient claires et j'étais disposée à subir son joug.
Languissante, je m'offrais aux regards de l'assistance, impudique et brûlante de désir.
Ma chatte ruisselait, avide, dans l'attente du pieu qui allait me clouer sur les coussins et forer mon ventre.
Pas décidé à précipiter le mouvement, Lenny fit glisser mon string sur le côté pour poser sa bouche sur ma chatte.
J'avais des papillons dans le ventre depuis que j'avais quitté la maison et il me faisait un bien fou avec sa langue le long de ma fente.
Il léchait mes lèvres gonflées de désir avant de les séparer et de sucer mon clitoris avec ses lèvres.
Il savait exactement comment me faire plaisir avec sa bouche depuis que nous avions passé tout un après-midi à faire cela.
Je gémissais de bonheur tandis qu'il mangeait ma chatte en entrant deux doigts dans ma profondeur.
Je gémissais d'autant plus fort que j’avais remarqué un petit groupe de personnes autour du box où nous étions.

Je tenais à assurer le spectacle et à me montrer digne de la confiance que m'avais accordé Lenny en m'amenant jusqu'ici.
Au début, je me sentais incroyablement exposée, mais lorsque j'ai senti ma chatte ruisseler, j'ai compris que les spectateurs me communiquaient une émotion supplémentaire, comme un sportif qui améliore sa performance lorsqu'il est soutenu par le public.
Je ne voulais pas qu'ils partent, je voulais leur offrir la meilleure exhibition possible.
Me sentant incroyablement salope, je savais que m'exposer devant ces gens excitait ma libido.
Me contorsionnant, j'ai ôté ma robe et fait glisser les bonnets de mon soutien gorge, offrant la vision de mes seins.
Lenny fit de même et ôta son jean et son caleçon avant de s'allonger à ma demande sur la banquette.
J'avais un besoin urgent de sentir sa queue me pénétrer et aussi pour permettre aux gens de me voir le chevaucher.
Alors qu'il s'allongeait sur le dos, je me suis accroupie au-dessus lui et j'ai frotté ma fente sur sa tige, l'humectant avec ma cyprine.
Sa verge s'est dressée sous ma caresse, et le gland s'est glissé entre mes lèvres gonflées.
Je me suis ajustée au-dessus de lui, présentant mon antre avide, désireuse d'être remplie par sa viande.
Ma chatte trempée a avalé sa bite sans effort, mais pour ajouter un peu de dramaturgie, je me suis laissée tomber en poussant un cri rauque comme si la pénétration avait été douloureuse.
Je m'agenouillais sur lui, emprisonnant fermement ses flancs entre mes cuisses musclées, m'assurant que tout le public pouvait bénéficier du spectacle offert.
Un type en face de moi m'a fait signe en entrant sa main dans son caleçon, comme pour demander la permission de se branler.
Je hochais la tête et sa queue a jaillit de son boxer.
Il était clair qu'ils voulaient une bonne représentation et croyaient en mes capacités à les satisfaire.
Sachant que Lenny aime que je le baise bien profondément, avec des mouvements amples, je me suis légèrement penchée en arrière pour prendre appui sur ses cuisses et j'ai commencé à onduler du bassin, en faisant bringuebaler mes nichons en même temps.

Être bénie des dieux avec de beaux seins m'a permis de pimenter ma démonstration pour plaire à nos spectateurs.
"Ooh, putain, oui chérie, fais-les rebondir!" grogna un vieux.
J'étais tellement contente de leur faire plaisir en baisant mon amant, j'avais l'impression de rendre service à la communauté.
J'ai vraiment démontré mes talents de salope en chevauchant la poutre dressée de mon vigoureux amant.
Le visage de Lenny reflétait l'évidence, lui aussi était sensible aux encouragements de l'assistance, et la moutarde commençait à lui monter au nez. Avant qu'il ne cède à la pression en éjaculant dans ma petite chatte, j'ai décidé de changer de position et de le laisser conduire l'attelage. Lenny et moi apprécions tous deux énormément l'anal et je savais que je pouvais compter sur lui pour me faire savourer un orgasme cataclysmique.
En interrompant la copulation, je me mise à quatre pattes sur la table basse et j'écartais mes fesses.
Lenny n'a pas mis longtemps à comprendre mon invitation, il s'est baissé pour lécher et doigter mon trou du cul.
Rendue avide par le désir, j'ai eu le souffle coupé quand il enfonça profondément son doigt et commença à me travailler.
J'adorais intensément le voir jouer avec mon petit cul serré et Lenny savait exactement ce qu'il devait faire pour me satisfaire.
Je sentis mon trou du cul s'étirer pendant qu'il entrait lentement en moi, centimètre après centimètre.
Je haletais et gémissais en me cramponnant à la table pour résister à l'intense poussée de mon bien-aimé.
Lorsqu'il a dépassé avec son gland le sphincter resserré de l'anus, il se sentait moins comprimé dans mon conduit anal, alors d'une seule poussée rectiligne, il m'a empalée de toute sa longueur.
J'ai hurlé de surprise et de douleur et j'ai continué de crier à chacune de ses poussées jusqu'à ce que mon trou du cul soit habitué à se sentir rempli de sa viande rigide.
D'un mouvement autoritaire et exigeant, il me sodomisait profondément à grands coups de ventre.
Les chairs claquaient, nous gémissions en chœur et les murmures du public nous encourageaient.
J'alternais entre presser furieusement mes mamelons ou mon clitoris, sachant que ces deux points sensibles me faisaient exulter.
"Je vais jouir, tu me veux dans ton cul, salope?"
"Ooh mon dieu, oui! Je viens aussi, Lenny, jouit dans mon cul! S'il te plaît!"
Il a accéléré la cadence, me baisant plus fort et plus profondément qu'avant, les commentaires du public l'encourageaient à se surpasser, souhaitant qu'il "défonce le cul de cette jolie petite salope".
Le grognement familier et rauque émanant de sa gorge me permit de savoir qu'il était sur le point d'éjaculer.
Je soulevais mon cul à sa rencontre, cambrant mes reins pour bien profiter de sa charge alors qu'il culminait.
Un cri de joie lui échappa lorsqu'il tira sa charge épaisse et crémeuse à l'intérieur de mon cul, et je criais de bonheur de me sentir telle une femelle comblée par le mâle en rut.
Il se retira et s'effondra dans un fauteuil, hors d'haleine, souriant de toutes ses dents.
Je me suis assise pour visualiser l'assistance. Plusieurs hommes se masturbaient tout près de nous et un couple reproduisait sur un canapé voisin la scène que nous venions de vivre.
Un tout jeune blondinet, très séduisant et à peine majeur, se mit à rougir quand je le dévisageais.
Je fis signe au jeune freluquet de s'approcher. Il m'obéit en rougissant de plus belle.
Je tapotais la table basse juste à côté de moi pour lui intimer l'ordre de prendre place.
Il obtempéra mais ses joues étaient d'une belle couleur coucher de soleil en feu!
Son sexe dressé indiquais son envie de s'accoupler mais je prévoyais autre chose pour lui:
"Comment t'appelles-tu?" Souriante, je lui caressais la joue pour l'amadouer.
"Philippe!"
"Je m'appelle Philippe, madame!" lui dis-je en prenant un air sévère.
Décontenancé, rouge carmin, il bafouilla: "Désolé, je m'appelle Philippe, madame."
"Aimerais-tu sucer ma chatte et boire ma crème, Philippe?"
Lenny était mort de rire devant mon initiative. D'habitude, c'était lui qui me léchait.
"Ooh, oui, madame!" Je fis allonger le gamin sur le dos à côté de moi, puis j'ai enjambé son visage pour m'accroupir au-dessus de lui.
Écartant ma chatte avec mes doigts aussi largement que je pouvais, je sentais le sperme s'écouler de mon trou du cul.
Philippe a ouvert sa bouche et tiré sa langue pour recueillir les grosses gouttes de mon nectar d'amour.
Avec mes doigts, je me suis branlée la chatte pour ajouter un peu de cyprine.
Quand j'ai eu fini de me vider, j'ai frotté ma fente sur le visage de Philippe jusqu'à ce que je jouisse encore une fois.
Alors que je rejoignais Lenny pour échanger un long baiser passionné, il murmura:
"Pourquoi ne pas montrer ton talent pour sucer des bites? Je suis à peu près sûr que ce petit gars aimeraient se faire sucer …"
Mais l'après-midi s'achevait, mon mari allait bientôt rentrer du travail, ce n'était pas raisonnable de traîner ici.
Ennuyée, avec un petit sourire d'excuse, j'ai dit à Philippe: "Désolée, une prochaine fois?"

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