Collection Zone Rouge. Poupette. Saison Ii (12/20)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --


Je reçois un coup de téléphone, je quitte la chambre de Marina qui vient de passer sa première soirée à se prosti dans un des hôtels avec salle de jeux ?
Je devais la faire retourner chez sa mère à Carson city, mais c’est Tex qui m’annonce la présence de nombreux congressistes ce soir à Las Vegas.

- Tu m’as fait peur, je comprends, si je fais du zèle en prévenant que je reste à Vegas pour arrondir son magot le sénateur engrangera de la confiance en moi et toi tu assures ton grade de commissaire.
- Bien joué tu as raison de toute manière il faut que je l’appelle mais ce vieux maquereau n’est joignable que l’après-midi.
- Pourquoi je parle avec la voix si basse ?
- Car je suis sur le palier du deuxième étage de l’hôtel où le sénateur fait surveiller les filles et j’ai peu de confiance envers la patronne qui doit le renseigner sur tous nos agissements.
- Oui, inutile de prendre des risques je raccroche.

Une fois de plus, je donne l’impression à Tex de marcher avec lui.
Fidèle à mon plan, j’en fais de même avec le sénateur que malgré l’heure j’appelle.
Une fois, deux fois, chaque fois.

« Je suis absent, laissez-moi un message »

À la troisième, je laisse un message.

« Ce soir il y a un congrès important à Vegas et les hôtels vont être pleins, je reste avec Marina pour la faire bosser.
Préviens le barman que Marina sera là ou donne-moi un autre hôtel ou la conduire.
De toute façon en attendant ton appelle, nous aurons loupé nos avions et dans tous les cas je passe la nuit ici avec elle. »

Je retourne dans la chambre où Marina vient de se réveiller.

- As-tu les moyens de prévenir ta mère, nous restons ici jusqu’à ce soir ?
Tu vas turbiner car il y a un gros congrès ce soir et tu vas faire un maximum de fric.
- Tu te fous de moi, ma mère va s’inquiéter, c’est moi qui amène le fric avec mes fesses et c’est toi qui joues avec les bandits manchots.



Je m’assieds sur le lit, je lui saisis ses tresses que je tire assez fort en arrière pour qu’elle pousse un cri.

- Parle-moi autrement.
Si je te dis que ce soir tu y retourne, tu y retourne.
Tu fermes ta grande gueule, hier je croyais que tu avais compris que tu es entre nos mains et que tu es devenue un simple garage à bites dans un joli corps.
As-tu compris une fois pour toutes ?
- Oui madame j’ai compris, j’appelle maman.
- Que se passe-t-il j’ai entendu du bruit Poupette as-tu un problème ?

C’est la matrone qui a entendu mes cris et qui vient aux nouvelles.

- Non, ce n’est rien la petite a eue des états d’âme.
J’ai appris qu’il y a des congressistes ce soir, je la fais retourner au tapin, c’est bon elle a compris et je la mets à l’amende de 50 % de ce qu’elle a gagnée hier.
- Parfait tu as raison il faut savoir les mater ces salopes, moi de mon temps lorsque mon Mac me disait d’y aller j’y allais sans discuter.
Je vous laisse.

Quand j’ai dit que la grosse pouvait être aux aguets, j’avais raison, quelques cris et elle est là avant de repartir.

- Tu vas appeler ta mère.
J’allais te donner 400 $ sur tes passes d’hier mais vu ton comportement, je t’en donne seulement 200.
On verra si tu récupères le reste ce soir en travaillant mieux qu’hier.

Marina appelle sa mère à Carson city la capitale du Nevada où elles habitent dans une banlieue défavorisée.
J’ai mis le haut-parleur.

- Tu vas bien ma chérie, je regrette d’être resté ici mais tu es grande et il faut que tu saches te déplacer seule pour aller défiler.
J’ai eu peur hier car j’ai appelé et j’ai eu ta messagerie.
- Oui, je suis sortie avec Claudia un autre mannequin et nous sommes allées jouer dans un des casinos.
- Tu te rends compte, la chance que j’ai, j’ai gagné 200 $, à ce rythme nous allons être riches.

- Et les hommes, dans ces endroits ils se sont bien comportés, comme je te l’ai appris une jeune fille comme toi est une proie qui les attire.
Souvient toi de ce que je t’ai expliqué, la sœur de la voisine qui s’appelle Brenda est tombée dans les mains de salopards qui l’ont obligé à se prosti.
- Avec Claudia je suis bien protégé, d’ailleurs elle connaît un sénateur qui va t’aider à obtenir nos papiers définitifs nous pourrons rester au U.S.A. sans avoir peur d’être expulsé.
- Quand tu la verras tu lui fais une grosse bise.
Une femme de sa valeur est un don du ciel pour nous dans les moments que nous vivons.
À quelles heures défiles-tu ?
- Vingt heures maman mais inutile d’appeler, après nous allons dîner avec toute l’équipe et les techniciens.
- Alors bonne soirée, si tu savais comment je suis heureuse pour toi.

Je coupe le portable posé sur le lit, je prends Marina dans mes bras et je la cajole car la tension a été tel pour elle qu’une nouvelle fois elle pleure.

- C’est bien, Marina, c’est parfait, je vais te faire voir que quand tu fais les choses bien je suis loin d’être une ingrate, je te rends les 200 $ que tu as gagnés hier soir.
Je suis sûr que quand tu rentreras chez ta maman demain après midi tu pourras lui dire que la chance a encore été avec toi et qu’en plus de ta paye de mannequin tu as gagné de nombreux billets verts.

Je lui prends le menton lui soulève la tête et ma bouche se pose sur la sienne.
Chaud froid, froid chaud.
C’est ma manière de gérer ces filles qui doivent comprendre la chance que le sénateur leur donne de gagner de l’argent facile.
Il est vrai que tout le système qu’il a mise au point lui remplit principalement ses propres poches sans bouger de son appartement.
Pardon, le nôtre, il m’en a donné les clefs.

Je viens de prendre la bouche de Marina qui me rend mon baiser et voyant qu’elle est prête à coopérer je lui empoigne un de ses seins noirs que je tords à la faire crier.


- Pourquoi me fais-tu mal, j’ai fait tout ce que tu m’as demandé avec maman !
- Un dicton dit « qui t’aime bien te châtiera bien », nos rapports seront ainsi.
Avant que je voie avec celui que tu as appelé le sénateur tout à l’heure un nouveau Mac te seras attribué.
J’ai un autre destin dans les jours et les mois prochains dans notre organisation.
Tu as parlé du sénateur, mais comment le connais-tu ?
- Je t’ai entendu parler à travers la porte et plusieurs fois tu as dit ce nom c’est tout simple.
- Je veux bien admettre ton explication.
Viens me faire voir comment tu lèches la chatte d’une femme et que tu la fais jouir.
J’ai envie de m’envoyer en l’air.
Mais dis-moi, je sais qu’hier tu étais vierge d’homme, dis, étais-tu une oie blanche avec les filles.
- Tu as raison, j’ai déjà léché la chatte de notre petite voisine qui était vierge comme moi et nous nous permettions de nous mettre un doigt avec lequel nous nous masturbions jusqu’au moment où nous nous faisions jouir.
- Était-elle black comme toi ?
- Non, sa peau était très blanche lui interdisant d’aller au soleil l’été.
Ce sont ses parents étant au travail qui m’avaient demandé s’aller m’amuser avec leur fille.
- Ta maman a parlé d’une voisine appelée Brenda c’est elle.
- Non mais je connaissais Brenda qui allait au même lycée que nous.
Ce qu’ignore maman c’est que c’était une fille facile en ce temps-là.
Je pense que ce qui lui est arrivé lui pendait au nez contrairement à moi qui ai simplement voulu faire plaisir à maman en devenant mannequin.

Ces explications données, je lui prends les oreilles et je lui fais replonger la tête entre mes cuisses.
Je jouis une nouvelle fois rapidement et je vais pour lui rendre la pareille quand une nouvelle fois mon portable sonne.
Fort de ce que Marina m’a dit m’ayant entendu parlé du sénateur quand je parlais avec Tex et la matrone qui est entrée au bruit que nous avons fait quand j’ai recadré la petite, je sors de la chambre et même de l’immeuble demandant au sénateur de me rappeler cinq minutes plus tard.


- J’ai bien eu ton message, je dormais encore quand tu as appelé.
J’ai téléphoné à mon docteur car ce matin je me suis réveillé avec un mal de crâne à hurler.
Il vient de venir et m’a donné de quoi me remettre sur pied.
Je me suis fait livrer les médicaments car jusqu’à maintenant c’était Bob qui faisait ce travail, quand tu seras de retour il faut que l’on trouve un souteneur pour ses filles, je pense que je vais être de plus en plus dépendant de toi.
Ce problème est l’un de ceux que je voulais voir avec toi et qui me tracasse.
- Fais attention à toi, ton mal de tête vient peut-être suite à la disparition de Bob mon beau-père et le surmenage que cela t’apporte, d’autant plus que moi aussi j’ai une solution à te proposer.
- Tu m’intéresses, je vois que même à distance tu prends soin de nos affaires.
Compte sur moi…

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