Bord Du Canal À Toulouse.
A la veille de mes 40 ans et comme tous les vendredis soir, je me changeais au bureau mettais mon change dans mon sac à dos, jenfilais un short un tee-shirt et hop ! le bord du canal au pas de course vers chez moi. Immuablement je croisais à peu-près les mêmes personnes, pêcheurs en été, mamie qui promène son chien, quelques prostituées qui me hèle pour me racoler. Depuis déjà trois vendredis sur le même banc je remarquais un jeune garçon, que faisait-il là ? Il ne manquait jamais de me saluer par un hochement de tête et un large sourire en me fixant dans les yeux.
Cela mintriguait que cherchait-il, assis lascivement sur ce banc, le tronc penché en arrière, les jambes largement écartées, vêtu le plus souvent dun slim ultra moulant, il arborait fièrement son paquet qui ma fois paraissait plus que garni.il métait venu dimaginer que ce petit minou attendait tout simplement le client et cela ne métais pas désagréable au contraire. Nayant jamais eu de rapport avec un garçon il métait souvent venu à lesprit de tenter laventure, mais comment franchir le pas. Ma timidité était le principal obstacle à cette démarche je navais jamais osé ni fréquenter les boites gays et encore moins les lieux de drague, quant à la drague par internet ça me foutais la trouille de tomber sur un malade qui en veuille à ma personne.
Donc ce fameux vendredi cétait décidé je vais tenter le coup. Je laperçus de loin il était toujours au même endroit et plus je me rapprochais plus mon cur se serrait et mes jambes devenaient cotonneuses. Arrivé à une dizaine de mètres de lui, je me rendis compte que lui aussi mavait vu, je ralentis le train et pour donner le change je stoppais devant lui faisant mine de métirer longuement. « Salut me souris-t il » « bonjour lui rétorquais-je, ça va ? » « Oui et vous ? » « Ça va merci, vous rentrez du boulot ? » « Exactement comme tous les vendredis » « Je sais je vous vois, jai remarqué aussi que vous me matez chaque fois, la raison ? » « Elle est simple je peux te tutoyer ? » « Oui si tu veux » « Je te trouve mignon » « Ey mec tai direct toi ? » « Ben ouais » « il faut dire que tu nes pas mal non plus » « Merci cest gentil » « Ecoute je ne vais pas y aller par trente six chemins jessaye de vendre mes charmes » « Et ça marche ? » « Bof moyen pas terrible » « Et quels sont tes exigences ? » « 50 pour une branle, 80 pour sucer ou être sucé, pour le reste il faut voir je suis actif passif ça te branche ? » « Ouais pourquoi pas, quand ? » « De suite si tu veux ? » « Ecoute je te propose un truc, je rentre chez moi je me douche, je me change, tu me laisses ton tél dès que je suis prêt je te bipe et je te laisse mon adresse, tinquiète ce nest pas loin » « Parfait ça me va cool » « Tu veux que je fasse livrer deux pizzas ? » « Ey la classe mec » « Au fait moi cest Stéphane » « moi cest Antony » « Ok à toute à lheure ».
Une fois son tél en poche me voilà en route vers mon appart, je me dessape à la hâte, je me douche bien comme il faut, jenfile un shorty moulant, un short, un teeshirt. Je choppe mon tél texto : « Antony pizzas 20 heures ça va ? » réponse aussitôt « Nickel, au fait tu veux une tenue spéciale ? » « Non viens comme tu es » Le mec des pizzas me livre à 8h moins 5 et huit heures pétantes on sonne « Salut Steph je peux entrer » « Quelle question bien sur » « on attaque les pizzas ? » « Oui en plus jai faim » « bon jai un truc à tavouer, je nai jamais rien fais avec un garçon » « Ah bon, alors pourquoi je suis là ? » « Tout simplement jai envie de connaitre, depuis déjà pas mal de temps et toi tu me plais grave » « ça cest gentil et cest quoi qui te plait chez moi ? » « Cest un tout mais surtout je te trouve trop sexy, je suis hypnotisé par ton slim hyper moulant autant devant que derrière » « Tu as envie de me palper le paquet ? » « Jen rêve » Antony se leva et se planta devant moi jambes écartées en me tendant sa bosse, « allez vas-y te prive pas cest tout pour toi, en plus tu me fais envie » « Vrai ? » « Ouais dailleurs je commence à bander trouve » Ma main se promena sur son nud à travers le slim, je sentais entre le pouce et lindex sa bite qui formait une barre dure et grosse, et à voir ce rouleau de chair se développer sur le côté de sa cuisse, jen déduisit quil était nu sous son slim. Javais le feu aux joues, mes jambes tremblaient sous le poids du stress et du désir mélangés, moi qui avais souvent rêvé un moment comme celui-ci et même si ce moment était monnayé il nen était pas moins agréable.
Soudain Antony sapprocha de moi me déposant un bisou sur le coin des lèvres me susurra à loreille tout en glissant sa main dans mon short comme pour évaluer la taille et le désir il me dit « Ey Stéph la pizza va refroidir par contre toi tu te payes une de ces gaulle » « Je vois que tu nes pas en reste question raideur » « Hé oui que veux-tu jai envie » « Allez on mange et après on verra le programme, au fait ce soir tu es libre ? » « Oui pourquoi ? » « Tu me prendrais combien pour la nuit ? » « En principe je prends 400 mais je peux te faire 300 vu le beau mec » « Ok ça marche, jespère ne pas trop te décevoir » « Allez à table ».
Antony se leva fit le tour de la table et vint carrément me rouler un patin, auquel je répondis avec délice. Il sassied sur mes genoux les bras autour du cou et il me dévore à pleine bouche, il change de place et se place carrément sur moi à califourchon, bien sûr dans cette position ses cuisse son grandement ouvertes, ce qui me donne libre accès à son paquet et surprise il me prend la main pour my conduire, il bande déjà pas mal, je caresse sa teub à travers le tissu de son futal, il semble vraiment à l étroit, je fais sauter un à un les boutons et plonge ma main pour le libérer et sa bite sort enfin de sa cachette, il a vraiment une belle queue une bonne vingtaine de centimètres, dure comme du bois, et décalottée je commence à le caresser dans un lent va et viens, il soupire fortement « attends je vais me foutre à poil ce sera mieux et toi fais de même » « Ok «Ey tu bandes bien mon cochon et en plus elle est grosse, approche que je te suce » limage était plus que bandante que de voir ce garçon se mettre à genoux devant moi avec sa bite collée contre son ventre, il avait vraiment une super érection. Il passa ses mains autour de mes fesses et sa langue se perdit dans mes deux boules pour remonter très lentement le long de ma tige, il titilla le dessous du gland et redescendis aussitôt, je bandais grave il recommença cette caresse plusieurs fois de suite pour ensuite me gober littéralement le gland. A partir de ce moment là je nétais plus sur terre, ce fut une succession de délices, Antony était déchainé il passait de ma queue aux couilles avec une rapidité incroyable il me dévorait carrément le nud. « Viens Antony lon sera mieux dans ma chambre » « ouais ta raison Stef, je veux que tu te souviennes de ta première fois avec un mec ». Je mallongeais sur le dos et il me sauta directement dessus, je navais pas débandé dun pouce, lui non plus dailleurs, il me demanda de relever mes jambes, sa langue passa sous mes couilles pour lécher ardemment le périnée, je sentais sa langue descendre lentement vers ma rosette, cétait trop bon et pendant quelle sinsinuait entre mes fesses il me massait le gland entre le pouce et lindex, il me rendait fou jétais littéralement à sa merci.
Jabandonnais la queue dAntony pour venir me blottir dans ses bras et lembrasser tendrement, javais le feu au corps pour être poli et je nosais pas lui dire mon envie pressante de me donner à lui, je crois quil le comprit car sa main ségara et il me pelota les fesses et je sentis un doigt forcer ma rosette, il me regardait dans les yeux pour guetter ma réaction je lui répondis avec un sourire.
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