Collection Zone Rouge. Poupette. Saison Ii (14/20)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je viens de ramener Marina ma pute noire au bercail.
Elle a bien bossé et est partie se coucher.
J’ai la chance de me trouver en tête à tête avec Martha la matrone qui s’occupe de notre hôtel où les filles sont enfermées après le turbin.
L’amadouer comme j’ai amadoué les autres personnes servant le Sénateur, telle est ma tactique.
L’argent, le nerf de la guerre c’est l’argent même si c’est simplement en le comptant.

- Tu lui laisses combien ?
- Je pense 2 000.
- Poupette combien lui as-tu donnée hier ?
- 400 malgré ma petite contrariété.
- 2 400 pour les deux jours tu vas lui faire croire que l’argent se gagne facilement.
Donne-lui simplement 1 000 $ pour ce soir, elle se trouvera avec une somme que je suis sur la satisfera et qui la fera repartir dans les étages des hôtels avec un moral d’acier la prochaine fois que je vous hébergerais.
- Tu as raison, si j’avais eu une telle somme les deux premiers jours où Bob m’a fait tapiner j’aurais été la reine du monde.
- Je sais, il gardait tout ton fric, hélas le Sénateur lui savait gré de lui avoir permis de devenir celui qu’il est qu’il était impossible de lui dire ce qu’il te faisait endurer.

Je me marre sournoisement car il y a encore quelques semaines j’aurais détourné une partie de cet argent à mon seul bénéfice.
Ça me fait voir comment j’étais déjà maligne et que j’ai réussi à le berner elle qui était du métier.
Mais pour moi aujourd’hui, mon seul but important c’est la combinaison pour récupérer le magot du sénateur.
Alors pourquoi garder autant de fric pour moi et le réseau, je prends un risque calculé ?

- Tient Martha je te donne les 1 000 $ que je pensais donner à Marina.
Je pense qu’ils te serviront pour tes vieux jours, met le reste au coffre, je vais envoyer un SMS au sénateur pour lui annoncer combien la black a gagnée.



Je suis sûr que je viens de me faire une amie quand je la vois s’empresser de ramasser l’argent et de le glisser entre ses gros seins.

Quand je la rejoins Marina est endormie à poing fermé.
Je me remémore la dernière fois où la nuit a été la plus chaude pour moi.
Je dois faire appel à mes souvenirs mais il y a juste trois mois, cette nuit-là j’ai fait le trajet de mon tabouret à la chambre des clients treize fois.
Contrairement à la petite qui peut dormir, j’ignore qu’elle mouche a piqué Bob cette nuit-là car il a tenu à tirer sa bourre l’alcool ingurgité ayant semblé le stimuler.
Je m’en souviens comme ci c’était hier car voyant que je m’étais endormi ce fut la dernière paire de baffes qu’il m’a mise.
J’en ai eu une joue rouge pendant deux jours, était-il déjà contaminé et la chance était avec moi, mais hélas pas pour maman.
Afin d’en éviter une seconde je me suis mis en position de levrette la tête dans mes bras et je sentais qu’il me limait sans voir que j’étais reparti à dormir.

À 11 heures Martha vient nous sonner le tocsin accompagné d’un bol de café dégueu comme d’habitude pour que nous soyons à l’heure pour rentrer chez nous.
Quand je donne ces 1 000 $ à Marina elle me saute au cou et m’embrasse d’un gros baiser par ses lèvres noires,
Elle est aussi conne que je l’étais il y a peu quand je me faisais baiser.
J’étais contente de la reconnaissance que me portait Bob alors que c’était mon fric gagné avec mon cul qu’il me rétrocédait au compte-gouttes sous couvert de m’acheter mes vêtements de pute.

Il était là un peu con, dans les premiers mois, il me suivait jusque dans les cabines d’essayage.
Au fil des mois, l’alcool et la drogue le rattrapant, j’arrivais à lui faire payer des tickets récupérés dans divers magasins de vêtements.
C’est pour cela que l’on m’a volé autant d’argent.
Si je tenais le salaud, je lui boufferais les couilles mais surement pour autre chose que son plaisir.


Argent récupéré auprès de Martha dont je sens clairement en avoir fait une copine.
À la limite, si je lui proposais lors de mes prochaines visites que nous nous gouinons, elle serait certainement partante.
Vu son gros cul, j’y regarderais à deux fois.
J’ai le temps de voir le taxi affilié à l’organisation venir chercher Marina qui est aux anges depuis que dans sa poche elle dispose de 1 400 $ pour gâter sa maman future citoyenne américaine.
À l’aéroport, mon téléphone somme, c’est le patron qui m’appelle.

- Claudia je suis enchanté du travail que tu as accompli avec ma nouvelle recrue.
Martha m’a appelé pour me dire combien elle a bien travaillé, elle m’a annoncé le chiffre de l’argent que tu me ramènes.
Vous avez fait l’une des meilleures recettes pour mes filles depuis le début où j’ai décidé de commencer.
- Merci mon amour, je me rends directement chez mes parents pour me préparer pour la cérémonie.
- Je t’envoie une limousine à l’aéroport, tu la garderas jusqu’à l’heure de la cérémonie qui commencera par la levée des corps à l’hôpital.
- Merci, j’ai hâte de te revoir.

Une fois de plus je suis la reine des faux culs car j’avais le temps de passer à son appartement mais j’ai de plus en plus de mal à m’imaginer lui sortir la bite de son pyjama pour la porter à ma bouche.
J’ai à peine raccroché et Tex m’appelle.

- Claudia, tu m’as manqué, je suis satisfait la nuit dernière tu m’as été fidèle.
Je suis content que ta pute ait fait un max de pognon.
J’ai une bonne nouvelle, tu avais raison, c’est bien un gars de mon équipe qui t’a piqué ton pognon.
Il m’a même avoué avoir pris l’argent de poche de ta mère qu’elle gardait pour payer ses courses.
J’ai entamé une procédure de licenciement.
Je t’envoie son adresse car il a déjà dépensé l’argent en s’achetant un coupé Mustang des années 60.
Tu iras chez lui lundi après-midi et il te donnera les clefs de la voiture avec les papiers.

Tu pourras la mettre à ton nom, c’est une voiture de collection, au prix où il l’a payé tu fais une excellente affaire, je te laisse, je te verrais tout à l’heure.

J’avais raison, il m’a fait surveiller malgré la distance.
J’ai bien fait de me méfier mais comme il a retrouvé mon argent je lui pardonne il fait simplement son boulot.
Un nouveau challenge pour moi, il va falloir que je passe mon permit, pépère va une nouvelle fois m’être utile.

La limousine noire cette fois, combien en avons-nous ?
J’arrive devant chez moi, les bandes de sécurité ont disparu.
Avant d’entrer je vois le signal de présence de courriers lever.
J’ouvre et je trouve une lettre sur laquelle le nom d’un officier d’état civil est marqué, je l’ouvre.

« Madame voulez-vous joindre mon étude pour que je vous communique les dernières volontés de vos parents que vous avez la douleur d’avoir perdu. »

Dès que je suis entré je l’appelle.

- Vous voulez me voir en personne quand suis-je disponible dans les meilleurs délais ?
Attendez que je réfléchisse, lundi matin impossible, mais j’y pense, demain matin êtes-vous libre même si nous sommes samedi.
- Sans souci, je peux vous recevoir à 10 heures cela ira.
- Aucun problème, je serai à votre étude.

Je fais la sieste, quand je pense qu’il est temps de me préparer je cherche des vêtements à mettre, rien ne correspond à une tenue de deuil, je vais dans l’armoire de maman qui a un tailleur noir.
Je le mets et malgré les épingles de nourrice il m’est impossible de sortir dans un tel accoutrement.
Je retourne dans mon armoire et je trouve un ensemble blanc en cuir, des bottes montant aux genoux, une mini au ras ma craquette, chemisier blanc à nouer sous mes seins et petit gilet impossible à fermer sur le devant.
Le blanc dans plusieurs pays étant la couleur du deuil j’opte pour cet ensemble avec un point de litige, casquette ou tête nue.

Tête nue ou avec, avec ou tête nue.
Le nombre de fois où je manœuvre fait défiler le temps et c’est la sonnette de la porte d’entrée qui prend la décision, je l’ai sur la tête et je la garde.

- Madame il faut y aller, nous allons être en retard.

Je prends la petite pochette qui va avec mon ensemble.
Un dernier regard dans la glace de l’entrée.
L’image que je renvoie est exactement ce que j’espérais une pute va enterrer son mac.
La tête du jeune chauffeur qui est devant moi est à deux doigts de me faire éclater de rire.
J’ai un instant peur qu’il bave d’envie ce qui a toujours été le cas pour mes clients dans les hôtels quand je mettais cet ensemble.
Par force, les tenus ça ce change, mais chaque fois Bob m’engueulait étant satisfait de mon travail car je faisais sauter la banque quand je la portais.
Quand on est pute, on est pute et tout au long du trajet que j’effectue dans une voiture ayant plusieurs centaines de mètres en exagérant un tout petit peu.

Le chauffeur ayant laissé la vitre de séparation ouverte après m’être servi une coupe de champagne dans une bouteille trouvée dans l’accoudoir faisant office de frigo, je m’installe confortablement en laissant mes cuisses assez écartées pour qu’il puisse voir que j’ai mis une petite culotte pas plus grande qu’un timbre-poste.
Dommage que nous soyons pressées car je verrai bien la limousine s’arrêter dans un coin tranquille, le chauffeur en train de me baiser dans l’espace arrière de la grandeur d’un terrain de football.
Où mes pensées me propulsent-elles, les clients ou plutôt leurs bites me manquent-elles, l’avenir très prochain me le dira…

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