Ma Première Fois En Club Libertin (1/2)

Une nouvelle histoire écrite à quatre mains avec la Matou Libertin. Nos productions se synchronisent plus naturellement maintenant.
Pensez svp à me laisser un commentaire avec votre adresse mail si vous souhaitez me faire des remarques ou me proposer d'écrire votre histoire.
Prenez autant de plaisir à lire cette histoire initiée par le Matou Libertin que j'ai eue à l'écrire pour vous.

Ma première fois en club libertin.
(à rapprocher de deux histoires déjà parues :
- Mon premier voyage de femme libre,
- Rendez-vous coquin dans la garrigue.)

Marie
Vous avez pu lire mes aventures de femme libre et libérée dans les précédentes histoires.
Avec Paul mon mari, nous sommes très libres… Nous sommes au début de la cinquantaine et depuis un peu plus de deux ans, mon mari m’incite à avoir des aventures que je dois lui raconter ensuite. Il dit que ces aventures doivent me récompenser de près de vingt cinq années de fidélité conjugale !

C’est ainsi que j’ai rencontré sur une des plages naturistes de la région un jeune sexagénaire qui a su faire ma conquête… Certes ce n’était pas mon premier amant… mais nos quelques rencontres sexuelles m’ont laissé un souvenir impérissable.
Comme je devais le faire, chaque fois que je sortais des bras d’un amant, je racontais les péripéties à Paul qui me faisait l’amour ensuite avec beaucoup de tendresse.
Puis ce fut mon premier voyage à Paris au cours duquel, je me livrai à une débauche effrénée, débutée avec mes compagnons de voyage dans le TGV de Montpellier à Paris.

Au printemps j’ai revu Gérard, mon amant naturiste avec lequel j’ai passé un après-midi coquin dans la garrigue et c’est là que j’ai découvert que j’avais un mari voyeur (les spécialistes vous diront que c’est un adepte de Candaule)… Il avait filmé mes ébats et pris de nombreuses photos qu’il avait projetées au cours de la soirée où il avait convié mon amant !
Ce coquin de Paul avait une idée en tête et je dois avouer que cette partie à trois qui s’en est suivie a été particulièrement chaude !

Mais venons-en à l’histoire que je veux vous raconter…

Première partie
Quelques temps après avoir revu Gérard, Paul m’a montré dans une revue spécialisée une série d’annonces proposant des rencontres basées exclusivement sur le sexe… La plupart émanait de femmes cherchant une aventure sans lendemain… mais ce qui a retenu mon attention (et avait retenu celle de Paul qui l’avait entourée d’un trait de marqueur…) venait d’un homme…
Elle disait : [Homme 35 ans super bien membré cherche femme 40/50 ans pour baise sans lendemain]
Je répondis à Paul :
- Gardons cette opportunité pour un jour de disette ! Pour l’instant, laisse-moi me remettre de la soirée avec toi et Gérard…
Nous avons continué à feuilleter cette revue pour en arriver à un article vantant la réouverture d’un Club libertin de la région… Une fois de plus Paul m’a dit qu’il aimerait bien me voir m’ébattre dans un tel lieu… Je ferais ce que je voudrais et il se contenterait de me regarder…
Ce soir-là, je répondis à nouveau par une pirouette mais l’idée faisait son chemin dans ma tête et dans mon corps !
Je me voyais bien me livrer à maintes caresses sur des hommes et des femmes, me livrer aussi aux assauts d’hommes qui me baiseraient à la chaine… Mon corps s’échauffait et c’est plus d’une fois au cours des jours qui ont suivi que mes mains se sont portées sur mes seins devenus hyper sensibles et dans ma chatte inondée de cyprine… si bien que je finis par dire à Paul :
- Ok… je veux bien tenter l’expérience le weekend prochain.


- Nous irons vendredi soir… comme cela tu auras le reste du weekend pour te reposer ! En plus, son nom, LE PARADISIO promet de belles réjouissances…

Le jour est arrivé ! Je me suis préparée du mieux que j’ai pu… Mon esthéticienne préférée s’était occupée de moi, tous les poils superflus avaient été éliminés et pour la première fois, elle avait accepté de retailler mon buisson intime que j’avais quelque peu négligé depuis une semaine. Je lui avais expliqué la fantaisie que je souhaitais et elle n’avait laissé que deux fines bandes de poils qui se rejoignaient au dessus du capuchon de mon clitoris comme la pointe d’une flèche…

Quand, à mon retour à la maison, j’avais montré mon pubis à Paul il avait apprécié… en disant que l’entrée était désignée !
- On ne peut pas faire mieux pour montrer le lieu des réjouissances !

Ne bouge pas avait-il ajouté. Je vais chercher mon appareil photo.
Il me photographia, comme à l’accoutumée, sous toutes les coutures avec une prédilection pour mon entrecuisse.

J’avais choisi avec soins ma tenue pour cette soirée… Je ne devais pas me découvrir trop vite mais être sexy, désirable… J’avais choisi un soutien gorge redresse seins qui soutiendrait mon opulente poitrine en laissant apparaître les tétons au dessus de leur nid de dentelle blanche et un string minimaliste qui masquerait mon pubis.

Pour la robe, j’en avais retenu deux mais au final, c’est Paul qui a choisi : une robe en lamé argent largement décolletée dans le dos jusqu’à la raie des fesses (à cause de cela je ne l’avais jamais portée qu’à la maison) et ouverte jusqu’en haut de la cuisse droite… les bas seraient superflus. Pour les chaussures, je porterais des escarpins avec des très hauts talons qui augmenteraient la cambrure de mes reins et ferais ressortir mes hanches un peu larges…

Paul
Juste au moment de partir, je ne pus m’empêcher de faire encore quelques clichés de ma belle ainsi parée.
Je bandais de la voir aussi sexy et désirable. Je ne pouvais me retirer de la tête ce qui allait suivre…

Dès notre départ, je sentais Marie bouillir avec un mélange d’excitation et d’appréhension… Je la rassurais en disant qu’elle ne ferait que ce dont elle aurait envie. Elle était là pour se lâcher, et se faire du bien…

Je conduisais relativement lentement, ma main droite étant le plus souvent entre les cuisses de ma femme et je sentais la moiteur de son sexe au travers de la dentelle de son string.
Enfin nous étions arrivés… Une grande esplanade en bordure de route faisait office de parking et au delà se dressait une grande bâtisse aux murs blancs… Certainement une ancienne cave car l’entrée était ménagée dans l’emplacement d’une porte cochère.

Marie
Ça y est. Nous y voilà !!! Je ne pouvais plus reculer, mais en avais-je envie ?
Jean et Florence vinrent à notre rencontre pour nous accueillir. Les propriétaires du lieu étaient charmants et très sympathiques, ce qui me tranquillisa. Voyant que c’était notre première fois ils nous expliquèrent les règles du jeu, nous présentèrent les différents espaces réservés et nous souhaitèrent la bienvenue avec du champagne bienvenu car j’avais la gorge un peu sèche.

Paul et moi nous nous installâmes autour d’une table. Une vingtaine de personnes étaient déjà dans la pièce principale. Ce qui me fit rire, de premier abord, c’étaient les jeux de regards des hommes et des femmes présentes. Chacun semblait jauger les autres. Je n’étais pas très rassurée car il y avait beaucoup de femmes plus jeunes que moi. Paul comprit très vite la situation et me rassura.

Un homme vint se présenter et nous demanda s’il pouvait s’asseoir avec nous. C’est Paul qui parla et qui accepta avec enthousiasme. Je n’arrivais pas encore à me lâcher.

Un homme vint nous présenter quelques tapas et nous proposer à boire. Nous fîmes connaissance. Vincent était un habitué et, voyant que nous étions nouveaux, se proposa de nous parler du Paradisio.


L’homme avait la quarantaine. Il était brun. Sa voix était basse et celle-ci résonnait dans mon ventre, comme le son d’une contrebasse. J’adore ce type de voix. Elle me fait craquer.
L’alcool et la voix de Vincent me firent de l’effet. Je pouvais voir maintenant les jeux des couples qui nous entouraient ; les caresses, les gémissements. Je ne pouvais détourner les yeux de ces jeux sensuels qui m’excitaient. Mon minuscule string, déjà trempé, était comme une éponge.

Vincent m’invita à danser. Paul m’encouragea à l’accompagner.

La musique était envoûtante. Vincent me serra contre lui et je pus sentir aussitôt son sexe en érection contre ma cuisse. Un pieu impressionnant qui finit de me conquérir. Soumise, je posais ma tête sur son épaule et me laisser aller. Vincent m’interrogea sur mes préférences sexuelles, sur ce que j’aimerais faire ce soir. Confiante, je me laissais aux confidences. Notre histoire avec Paul, pourquoi nous étions venus au Paradisio, mes envies de jouissances… Je pouvais sentir les mains de Vincent qui s’aventuraient pour explorer mon corps. La robe choisie par Paul était très pratique pour lui. Ses mains caressèrent mes fesses. Son pieu frottait davantage contre mon pubis… L’ambiance était électrique. Tout le club était imprégné d’une odeur qui était un mélange d’hormones mâles et de cyprine.

Des femmes étaient déjà presque nues sur la piste de danse. Je frottais mon clitoris sur le pieu de Vincent en gémissant…. Vincent s’aperçut de ma première jouissance de la soirée. Il me fit relever la tête et m’embrassa à pleine bouche. Sa langue était puissante et ensorcelante. Mes jambes flageolaient sous ce baiser fougueux. C’est à ce moment-là que je remarquai Paul qui me regardait et m’encouragea d’un signe de tête.

Vincent s’écarta de moi. Il me prit la main et m’emmena hors de la piste de danse. Il me fit entrer dans une pièce vide, à la lumière tamisée, avec, au milieu, un sofa surélevé.
Voici ce qui devrait te plaire me dit Vincent. Allonge-toi me dit-il d’un air autoritaire. Attends, je vais te mettre à l’aise ajouta-t-il en enlevant ma robe. Je me retrouvais allongée sur le dos. La forme du sofa m’obligeant à écarter les jambes.

Vincent tourna autour de moi. Il avait un regard de prédateur. Il semblait apprécier sa proie. Il me caressa. Ses mains parcouraient mon corps qui se courbait sous ses caresses afin de tenter de rapprocher mon sexe de ses doigts doux, agiles et puissants. Il n’était pas dupe. Il jouait avec mes zones érogènes. Il les contournait, les frôlait, sans les toucher. Il me rendait folle. Mon corps exigeait davantage. Vincent prenait son temps le salaud. J’étais trempée.

Tout à coup, un homme pénétra dans la pièce. Il était vêtu d’un simple peignoir blanc. Il semblait apprécier la scène. J’étais toute excitée de m’exhiber ainsi devant cet inconnu qui écarta son vêtement pour se caresser. Il sortit son sexe qui était d’un gabarit hors norme.

Un couple se présenta également dans la pièce. L’homme portait également un peignoir. La femme était nue. Elle se tenait près de l’homme. Je vis sa main se glisser dans le vêtement pour prendre en main le sexe de son compagnon.

Plusieurs personnes entrèrent. Paul se trouvait parmi elles. Sa présence me rassura.

Je pris conscience que j’étais l’offrande de la soirée. À cet instant, une pression précise de la main de Vincent me fit atteindre un nouvel orgasme….

Paul
Les choses sérieuses commençaient : Marie était livrée nue aux regards des spectateurs…

Nous avions fait la connaissance de Vincent pratiquement dès notre entrée dans l’établissement où Jean et Florence, les propriétaires nous avaient accueillis chaleureusement. Puis nous nous étions installés à une petite table basse dans la vaste pièce dont un pan de mur comportait un bar agrémenté de nombreux miroirs. Les barres de pole dance étaient inoccupées.

L’éclairage était réduit, se limitant à quelques spots de couleurs qui se reflétaient dans les facettes d’une boule qui tournait lentement au plafond… Il y avait aussi une piste de danse sur laquelle Vincent invita ma femme pour quelques danses lascives au cours desquelles les corps firent connaissance.
Vincent entraîna ma femme vers une porte située à droite du bar et donnant sur un large couloir… elle se retourna en cherchant mon regard : je l’encourageai à suivre son chevalier servant !

Sciemment, j’avais laissé passer un peu de temps pour que les choses se mettent en place… Quand je retrouvai Marie, elle était allongée nue sur un sofa surélevé aux formes bizarres mais qui devaient faciliter les caresses, les baisers et les pénétrations à plusieurs…

Deux hommes (dont Vincent) et une femme s’occupaient de Marie… ou du moins Marie s’occupait des hommes dont elle suçait alternativement les membres démesurés (elle n’arrivait pas à les gober entièrement) pendant que la femme lui faisait un cunnilingus très appuyé.
D’autres spectateurs étaient entrés dans la pièce en même temps que moi… Si certains se contentaient de regarder et d’apprécier ce début de spectacle, d’autres étaient plus aventureux et plusieurs femmes relativement jeunes étaient à genoux et pompaient avec délectation le membre de leur compagnon du moment et ensuite les couples ainsi formés s’éclipsaient.

Après un nouvel orgasme provoqué par la femme qui avait mangé la chatte de Marie, les rôles ont changé…Vincent est venu se placer entre les cuisses de ma femme à laquelle il a demandé si elle était prête. Malgré la présence de l’autre homme dans sa bouche elle lui a fait signe que OUI !
Vincent a ouvert les nymphes du sexe de Marie qui, incidemment ou pas, étaient éclairées par un rai de lumière… Elles étaient inondées de cyprine !
Lentement j’ai vu entrer le sexe de Vincent dans celui de ma femme… Si la longueur pouvait être comparable au mien, le diamètre du pieu de Vincent n’avait rien de commun ! Il avait la taille d’une mini canette de soda : au moins six centimètres !

Et ma Marie l’absorbait… Bientôt, le pubis de Vincent était collé contre celui de ma femme. C’était dantesque…
Pendant ce temps-là, la femme qui avait amenée Marie à la jouissance, caressait l’opulente poitrine qui s’offrait à elle… elle croquait un téton pendant qu’elle faisait rouler l’autre entre ses doigts… J’avais rarement vu les tétons de Marie atteindre une telle grosseur… L’autre homme n’était plus sucé… Marie entretenait simplement une bandaison prometteuse par des jeux de mains ! Moins membré que Vincent, il attendait son tour…
Vincent allait et venait dans le sexe de ma belle. Il prenait son temps. Il sortait du sexe de ma femme pour y replonger aussitôt, tantôt lentement, tantôt plus rapidement en faisant claquer son pubis contre celui de Marie. Et cette dernière l’encourageait à haute voix mettant en transes les autres spectateurs.

La jouissance de ma femme était un peu longue à venir, je l’avais vue avoir un premier orgasme en dansant collée/serrée avec Vincent, la femme, qui lui avait fait un cunni, l’avait amenée au plaisir avec sa langue et certainement deux ou trois doigts plantés dans la conque baveuse…

Mais comment résister au boutefeu de Vincent ??? Marie s’est soudain tétanisée en poussant un cri qui a résonné dans toute la pièce… Elle jouissait enfin et Vincent, complètement abouté au fond de sa chatte devait lâcher son sperme au fond de la capote !

Il est sorti presque aussitôt et le mec qui attendait s’est précipité et a embroché Marie sans lui laisser le temps de se redresser. La femme qui avait caressé la poitrine de ma chérie s’est littéralement ruée sur le sexe de Vincent, l’a débarrassé de la capote et l’a absorbé d’un seul trait au fond de sa gorge… Elle voulait en tirer les dernières gouttes…
Avant de quitter la pièce et la femme qui l’avait sucé, Vincent se tourna vers moi en me faisant signe du pouce levé ! Une manière de me faire savoir qu’il avait apprécié et de me dire MERCI !

Pendant que le second mec baisait Marie, une blonde longiligne, presque sans poitrine est venue se placer au-dessus du visage de ma femme qui, immédiatement, a compris le message : Elle a relevé sa tête pour venir lécher l’entrecuisse de la blonde et l’a fait jouir rapidement…

De part et d’autre du sofa, il y avait deux mecs d’un peu plus de 20 ans… Ils se masturbaient et bientôt, les seins ont été nappés de leur sperme blanchâtre. A croire que se masturber au-dessus d’une jeune quinquagénaire les inspirait !

Tandis que le second homme pilonnait Marie, sa compagne, placée à son côté, l’encourageait, lui tenant son sexe pour accompagner chaque pénétration. De temps en temps, elle le sortait de l’étui trempé de Marie pour le sucer avant de le replonger au plus profond de ma femme. Marie secouait la tête dans tous les sens. Elle perdait pied. Elle gémissait pour mon plus grand plaisir.

Je vins près d’elle pour l’embrasser et lui dire que j’étais fière d’elle. J’en profitais pour laper le sperme giclé par les deux jeunes hommes sur sa poitrine et pour revenir à sa bouche afin de lui offrir cette semence. Marie, surprise, avala mon présent dans un baiser passionné et se cambra aussitôt dans une nouvelle jouissance.

Les jambes et le pubis contractés de Marie enclenchèrent aussitôt le plaisir de son amant. Sa compagne sortit rapidement son sexe de celui de ma femme pour arracher le préservatif et profiter de la crème qui continuait à gicler.

Des participants satisfaits sortirent de la pièce tandis que d’autres arrivèrent.
Je ne pouvais que regretter ne pas avoir de caméra cachée pour immortaliser ces moments de pur plaisir.

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