Séduite
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Avertissement: Dans la vraie vie, les femmes n'aiment pas être violées.
Nous nous promenions, ma femme et moi, dans la capitale par une belle journée d'automne.
Les monuments, les musées, les parcs, il y a beaucoup d'endroits fantastiques à visiter.
C'était un jour de semaine et nous avions privilégié les déplacements à pied pour visiter le centre-ville.
Et pour regagner notre hôtel en banlieue, en fin d'après-midi, nous avions préféré la rapidité du métro.
Malheureusement, à cette heure de pointe, le métro était bondé.
Nous avons hésité un moment, en provinciaux effrayés par la cohue, les odeurs de transpiration, la promiscuité et nous avons failli rebrousser chemin pour choisir un autre mode de locomotion.
Mais nous n'avions guère le choix, notre timing était trop serré pour rentrer à pied, les bus étaient tout aussi bondés et le trajet plus long, et le taxi trop cher pour notre bourse.
Finalement, nous nous sommes résolus à affronter l'inévitable. Nous avons réussi à nous faufiler ensemble dans la même voiture.
Ce n'était pas un mince exploit car nous étions comme portés par la foule. Bien sûr, à l'intérieur, nous fûmes écrasés par la populace.
Au départ, nous étions proches l'un de l'autre et, en tendant le bras, nous pouvions nous toucher.
Mais, les cahots, les mouvements de foule lors des arrêts, nous ont progressivement éloignés.
J'étais un peu inquiet parce que la voiture était extrêmement bruyante, souffrant visiblement d'un défaut d'entretien.
Et ment, dans un lieu bruyant, les gens crient pour se parler, ce qui augmente sensiblement le volume sonore.
Le balancement de la voiture, dans certaines parties de la voie, secouait les passagers comme dans un panier à salade.
Je n'avais aucune prise pour me cramponner, je tenais debout grâce à la foule massée autour de moi, et je me déplaçais dans cet espace comme porté par le courant, sans pouvoir rejoindre ma femme.
Ma femme subissait semble-t-il le même sort, mais dans un courant contraire qui l'éloignait peu à peu de moi.
Je ne pouvais pas l'appeler à cause du niveau de bruit, et je n'étais pas certain qu'elle sache à quelle station descendre.
Comme elle est plutôt petite, j'apercevais sa tête de temps à autre au milieu des gens, mais souvent je ne percevais que ses boucles blondes. Quand je pouvais voir son visage, elle ne semblait pas stressée, même légèrement amusée.
Pendant plusieurs arrêts, peu de gens descendaient et beaucoup montaient, ce qui me semblait absurde.
J'ai dû me résoudre à abandonner l'idée de rejoindre ma femme et j'ai trouvé refuge dans un recoin, sur un espèce de marchepied qui me permettait d'apercevoir ma femme un peu plus souvent.
Elle aussi avait trouvé refuge dans un coin, et elle était serrée de près par un type à qui j'ai trouvé aussitôt une mine patibulaire.
Pendant une courte période, j'ai vu ma femme regarder autour d'elle, comme cherchant quelle chose du regard, puis elle a baissé la tête et elle est restée immobile.
À ce moment, un grand type s'est installé devant elle, me bloquant totalement la vision.
J'étais très inquiet et très crispé, car il nous était arrivé une aventure rocambolesque dans l'après-midi.
Ma femme avait été prise d'une envie subite dans un musée. Nous ne trouvions pas les toilettes et, pour la taquiner, je l'ai chatouillée.
Cela l'a fait rire un peu trop fort, et elle n'avait pas pu se retenir complètement.
Bien entendu, une fois que nous avons trouvé les toilettes, elle avait pu se soulager et s'essuyer, mais elle n'avait pas de culotte de rechange.
Elle avait dû se résoudre à ôter sa culotte trempée et à la glisser dans son sac. Et comme elle portait une robe d'été légère, on pouvait percevoir l'absence de sous-vêtement et elle était très gênée, n'ayant pas l'habitude de se promener cul nu.
Encore un arrêt, encore des gens qui montaient, le grand type s'est déplacé, j'ai pu voir le visage de ma femme.
Ce que j'ai vu ne m'a pas plu. Elle avait le visage baissé, les yeux fermés, les joues rouges et semblait troublée car elle se mordait la lèvre. Et surtout, le sale type était vraiment collé contre son dos. J'ai pensé: "Qu'est-ce qui se passe?"
Quand le métro a redémarré, ma femme a levé son visage comme pour regarder le plafond, mais elle avait les yeux fermés et la bouche ouverte, comme si elle manquait d'air et qu'elle allait faire un malaise.
Son visage était tout rouge, ce qui accréditait la thèse qu'elle souffrait de la chaleur et de la compression des corps.
À ce moment-là, le sale type derrière elle a baissé la tête comme pour lui parler à l'oreille.
Mais au même moment, le grand type a retrouvé sa place et j'ai de nouveau perdu de vue ma femme.
Je savais que des trucs louches se passaient dans le métro, que des femmes se faisaient violer, mais je pensais cela impossible au milieu de la cohue, en pleine heure de pointe.
Je suis resté à me morfondre et à m'interroger jusqu'à l'arrêt suivant. Cette fois, beaucoup plus de gens sont sortis et peu sont entrés.
La pression de la foule a diminué mais pas beaucoup. Le grand type s'est déplacé et j'ai pu voir ma femme.
Elle avait appuyé sa nuque sur l'épaule du mec derrière elle. Je ne voyais pas son visage car elle avait tourné sa tête de l'autre côté.
Le sale type avait la tête penchée en avant, sur l'épaule de ma femme, comme s'il lui parlait à l'oreille.
Mais surtout, ils semblaient onduler tous les deux sur un rythme distinctif, indépendamment des balancements du wagon.
Je me souviens d'avoir trouvé cela étrange, et j'ai pensé: "Est-ce possible qu'il la baise?"
Je ne pouvais pas rejoindre ma femme, car il y avait trop de monde entre nous. Pourtant, la rage m'a pris et j'ai commencé une lente reptation au milieu de ses corps pressés les uns contre les autres.
J'ai reçu des regards inamicaux, des réflexions acides, j'ai été tripoté, bousculé, mais petit à petit, au gré des arrêts qui vidaient progressivement mais beaucoup trop lentement la voiture, j'ai pu me rapprocher de ma femme.
Progressant très lentement, j'ai pu apercevoir, entre deux arrêts, le visage de ma femme dans le reflet de la vitre.
Elle échangeait un long baiser passionné avec le sale type derrière elle.
Le visage tourné, la tête penchée vers l'arrière, elle offrait sa bouche au mec qui en prenait possession.
J'avoue avoir été sidéré par cette vision et, les jambes coupées, je suis resté scotché un moment avant de reprendre ma lente progression.
À peu près au même moment, le métro sest arrêté à une nouvelle station.
Cette fois, beaucoup de gens ont quitté la voiture et j'ai été pris dans la bousculade.
J'ai failli sortir du métro mais j'ai réussi à me cramponner et à résister. Apparemment, l'arrêt n'était pas assez long et les gens râlaient.
Lorsque le convoi a redémarré, je me suis tourné vers ma femme. Elle était seule, le sale type avait quitté le navire.
Elle rajustait sa robe lorsque je me suis approché d'elle: "Alors, qu'est-ce qui s'est passé?"
Elle avait le visage défait: "Il faut que j'aille aux toilettes, vite, ça coule!"
Ma femme s'appuya sur moi et me dit: "Excuse-moi, je ne tiens plus sur mes jambes, aide-moi!"
Le prochain arrêt était le nôtre et nous sommes descendus du wagon.
Je l'ai soutenue jusqu'aux toilettes et elle s'y est enfermée longtemps.
J'étais inquiet et plusieurs fois j'ai toqué à la porte, mais elle répondait: "Minute!"
Finalement, elle est sortie, nous avons quitté la gare et nous avons trouvé un petit jardin où nous avons pu nous asseoir sur un banc.
Je lui ai demandé des explications sur ce qui venait de se passer.
Elle a fermé les yeux et elle a baissé la tête, en pleine introspection. Puis elle a commencé à me raconter son histoire.
Elle m'a expliqué que, lorsque le métro a démarré, elle a failli chavirer, surprise par l'accélération, en fille de la campagne peu habituée à ce genre de transport. Un type derrière elle l'a attrapée par les hanches et l'a soutenue.
Elle n'a pas eu le temps de le remercier que déjà, il la propulsait vers l'arrière de la rame, alors que le flot de passager se dirigeait majoritairement vers l'avant. Le type était très costaud et, à coups d'épaule, il a réussi à se frayer un chemin dans la cohue.
Elle a tout de suite pensé qu'il voulait profiter d'elle, mais cela l'a plutôt amusée car elle était convaincue qu'au milieu de cette foule, l'homme ne pourrait pas tenter grand chose.
Pourtant, tout en progressant lentement, elle a senti les fortes mains sur ses flancs lui insuffler une chaleur, un désir
Lorsqu'il a réussi à trouver un recoin, il l'a poussée contre le dossier d'un siège et, au prix d'une courte lutte, il s'est plaqué contre son dos. Aussitôt, ses mains sont parties en exploration.
Déterminée à faire cesser ce manège, d'un regard circulaire elle a tenté de trouver de l'aide, mais j'étais beaucoup trop loin et les gens autour d'elle étaient trop occupés avec leur portable, personne ne prêtait attention à la scène.
Elle aurait aimé crier, mais la voiture était extrêmement bruyante et elle n'a pas osé à cause de la force brute que dégageait le type derrière elle.
Mais il connaissait parfaitement son affaire, une chaleur troublante et une douce langueur ont envahi son corps lorsque les mains habiles se sont concentrées sur sa chatte et sur ses mamelons.
Visiblement, il avait une parfaite connaissance du corps de la femme. L'érotisme de la situation, la précision des caresses, bientôt ma femme s'est abandonnée aux mains expertes qui lui procuraient un frisson volcanique.
Il avait glissé une main sous son ventre et il explorait sa chatte avec son gros doigt, puis bientôt un deuxième doigt a rejoint le premier. Avec son pouce, il domestiquait son clitoris qui s'érigeait, tandis que l'autre main s'était glissée sous sa robe pour empaumer son sein.
Bientôt, avec le pouce et l'index, il s'est mis à faire tourner et à tirer sur son téton. Ma femme, si sensible des seins, n'a pas pu lui résister, et sa chatte a été envahie d'humidité.
Bien sûr, avec ses deux doigts plongés dans son intérieur, il a vite compris qu'il avait gagné la première manche et que la femelle qu'il convoitait allait céder à ses avances. Elle ne pouvait pas bouger pour se libérer et n'avait plus aucun désir de s'échapper.
Pendant cette période de familiarisation, il avait soulevé sa robe et elle baissait la tête pour vérifier si elle n'était pas trop exposée.
Mais bientôt, le corps apprivoisé par la virilité des caresses, elle a fermé les yeux et elle s'est laissée emporter dans un tourbillon de sensations. Les jambes molles, sans volonté, elle l'a senti libérer sa queue pour la glisser entre ses cuisses.
Docile, elle a légèrement écarté ses jambes pour lui faciliter le passage, avant de resserrer ses cuisses pour évaluer ce membre envahissant. Il était à l'image de son propriétaire, court et trapu.
Il a commencé à frotter dans sa fente avec sa verge, une main triturant son sein, l'autre son clito. Bien évidemment, avec ce traitement, elle s'est mise rapidement à couler abondamment et à lubrifier son chibre.
Alors, il a présenté son sexe contre son anus et, sans préparation spécifique, il a commencé à pousser.
C'est à ce moment-là que je l'ai vue relever la tête, la bouche ouverte dans un long cri silencieux. Je ne pouvais pas imaginer qu'à cet instant précis, ma femme se faisait enculer par un inconnu dans un wagon bondé.
Au début, c'était douloureux, mais rapidement, son cul a accepté l'intrusion de son membre. Avec deux doigts dans la chatte et son gros mandrin dans le cul, elle s'est tordue le cou, la tête en arrière pour lui tendre ses lèvres.
Ainsi, je découvrais que ce n'était pas le mec qui l'avait embrassé, mais ma femme qui lui avait offert sa bouche.
La bouche envahie par la langue agile de l'homme, deux doigts dans le vagin, le cul étiré par un gros chibre, ma femme s'est sentie remplie comme jamais, elle m'a assuré qu'elle ne s'était jamais sentie aussi pleine, aussi complète, et qu'elle a tout oublié, l'endroit ou elle se trouvait, son mari, pour se soumettre totalement au désir de l'inconnu.
Elle a oscillé en cadence avec son amant, épousant son rythme, offrant son corps à ses caresses, soumise comme une chatte en chaleur. Ma femme m'a assuré que ce type connaissait vraiment bien le corps féminin, et que ses gros doigts dans son vagin faisaient un travail remarquable, que jamais elle n'aurait cru cela possible.
J'ai bien senti comme un léger reproche dans sa voix lorsqu'elle a insisté en me disant que "tout du long", il avait été présent et attentif avec ses mains, qu'il ne s'était pas contenter de la sodomiser, bien au contraire, et aussi avec sa main sur son sein qui n'était pas restée inactive, mais que ses doigts maltraitaient délicieusement son téton en le faisant rouler, puis en l'étirant.
Elle m'a assuré que son membre était trapu, mais que la douleur de la pénétration s'était estompée rapidement, pour faire place à une délicieuse frénésie. Ma femme m'a dit qu'elle n'avait jamais rien ressenti de tel.
Il s'était ancré dans son corps comme si elle lui appartenait. Elle n'avait pas eu le choix, elle n'avait pas su lui résister.
Elle devait juste l'accueillir et subir son joug. Le mâle en rut lui avait communiqué son désir et l'avait entraînée au paroxysme du plaisir. Elle avait joui sans fin, à la fois par sa virtuosité, mais aussi l'émoi d'être prise et e comme une fille l'avait émoustillée et avait exacerbé ses sens. Quand elle l'a senti pénétrer en elle, elle a pensé qu'il était trop gros et qu'il allait la déchirer.
Et lors de la deuxième poussée, il a pénétré tellement profondément que c'est à ce moment qu'elle a levé le visage au ciel, bouche grande ouverte, suppliant que cette douleur cesse.
Mais quand il a commencé à la marteler profondément, c'est à ce moment qu'elle lui a tendu ses lèvres en le suppliant de la baiser "fort et profond", en espérant que ce délice ne s'arrête jamais.
Elle m'a dit qu'elle n'aurais jamais cru pouvoir prendre une si grosse bite dans le cul, mais elle a commencé à jouir presque tout de suite et elle a convulsé jusqu'à ce qu'il inonde son cul avec les jets puissants de son sperme.
Ma femme avait perdu la notion du temps. Elle ne savait plus combien de temps ce mec l'avait baisée.
Elle m'a dit que cela semblait durer éternellement, mais que c'était trop bref. Quand il s'est retiré, elle aurait aimé le retenir, le cajoler, l'embrasser, sucer cette queue qui l'avait rendue tellement heureuse.
Mais il s'était arraché à son étreinte pour quitter le métro, parce qu'il était arrivé à destination.
Il lui a juste confié qu'il n'avait jamais baisé "pareille salope" et qu'il aimerait la revoir.
Puis il l'a plantée là, le cul béant suintant de sperme épais, la robe troussée, qu'elle s'est dépêchée de remettre en place.
J'étais sidéré. Ma femme presque cinquantenaire, la mère de mes s, avait suivi un inconnu qui l'avait baisée au milieu de la foule, dans une rame de métro, à l'heure de pointe.
Bizarrement, toute cette histoire m'avait excité, et je bandais comme un cerf.
J'ai mis la main entre ses jambes, toujours assis sur le banc, j'ai tâté le long de sa cuisse jusqu'à son cul.
Du bout des doigts, j'ai essayé de sonder son ouverture anale, elle était encore très étendue et ouverte.
Elle roucoulait à mon oreille pendant que je palpais son anus.
Je l'ai embrassée et je l'ai entraînée vers notre hôtel pour continuer la visite guidée du site.
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