La Débauche De Jennifer

Depuis qu'elle avait loué une chambre d'étudiant dans mon appartement, elle n'arrêtait pas de m'aguicher, j'avais de plus en plus envie de la baiser.
Je me suis arrangé avec son patron qui est un ami pour la faire renvoyer, lui coupant du même coup tous moyens.
Quand au bout de quelque temps, elle eut du retard pour payer ses loyers.
Je lui ai demandé de me rejoindre, lui explique qu'elle a 24h pour payer les loyers en retard ou qu'elle doit libérer la chambre pour une autre étudiante.
Elle demande s'il y a un autre moyen de s'arranger, se penchant, exhibant sa superbe paire de nichons.
Je lui explique que vu le montant de ses loyers en retard, ça ne suffirait pas, mais que si elle veut un arrangement, elle doit être demain à 7h30 dans le salon, je lui expliquerai les termes de cet arrangement.

Je n'ai pas pu dormir de la nuit, tellement j'étais impatient.
Le lendemain à 7h30 pile, elle est là, toujours habillée sexy, raz de la chatte, espérant que juste baiser serait suffisant.
Je lui dis que pour rester ici et annuler ses retards de loyer, son corps m'appartient, que dorénavant dans l'appartement, elle sera toujours en sous-vêtement, elle se lèvera à 7h, préparera mon petit-déjeuner, me réveillera à 7h30 avec une fellation, ne s'adressera à moi que par oui maître, ne parlera que si je lui demande et ne dira que ce que je veux.

Dès son retour de l'université, elle coupe son téléphone, prépare le dîner, lorsque je lui intime l'ordre d'aller se laver, elle doit être de retour nue endéans les 30min.
Je lui demande si elle prend la pilule, elle dit oui mais qu'elle n'en a plus.
En partant pour l'université, tu passeras à la pharmacie te procurer tes pilules, elle explique que si elle n'en a plus, c'est par manque d'argent.
Je réplique que je m'en fous, qu'elle doit avoir ses pilules en rentrant, lui donne l'adresse de la pharmacie d'un ami qui je sais est arrangeant.

Elle part, je téléphone à mon ami pour le prévenir qu'il doit s'arranger pour que sa femme soit absente, que Jennifer va passer pour des pilules, qu'elle sera prête à tout pour les avoir, il comprend et me remercie.

Jennifer arrive chez le pharmacien qui la reconnaît, va fermer l'officine.
Jennifer le reconnaît aussi, c'est ce type qui vient de temps en temps à l'appartement, elle lui a toujours trouvé un air de sadique.
Il lui donne ses pilules, et lui indique le montant, elle explique qu'elle n'a pas l'argent et demande si elle peut s'arranger.
Il commence par refuser, explique que si sa femme le découvre.
Sa femme ne le découvrira pas vu qu'elle est absente, rétorque Jennifer, se déshabillant et se frottant à lui.
Il att Jennifer par les cheveux, arrache son soutif et sa culotte, elle est nue et à sa merci, il rigole, prend son smartphone et la filme, filme qu'il m'enverra en remerciement.
Maintenant, rampe vers moi, sors ma bite et suce-moi.
Elle s'exécute, sachant que c'est le seul moyen d'obtenir ses pilules.
Elle commence par le gland et descend vers les couilles, puis avale tout sa bite.
Il att Jennifer, la retourne et l'encule, elle crie qu'elle n'a jamais été énculée, que son trou est trop petit, il s'en fout et rentre d'un coup, elle hurle de douleur avant de commencer à apprécier.

Oh oui continue, dit-elle, je vais jouir.
Il sort de son cul tellement soudainement que par la surprise la laisse figée, le temps de lui foutre une baffe, tu n'as pas compris que tu n'es plus rien, tu ne jouis que si on t'en donne le droit, et tu ne tutoies plus, tu vouvoies les hommes c'est compris.

En pleurnichant, elle dit oui et s'excuse.
Il retourne dans son cul et continue à la baiser, juste avant de jouir, lui remet sa bite dans la bouche et lâche le sperme tellement fort qu'elle manque de s' et recrache une partie.
Furieux, il l'att par les cheveux et l'oblige à lécher le sol pour récupérer le sperme.
Le sperme c'est comme de l'or et toi tu le craches, si tu viens encore, tu avales tout et dis merci.
Il att Jennifer, la met dehors, nue, avec sa boîte de pilules.
Elle demande ses vêtements, il lui répond de venir les rechercher un autre jour.
À SUIVRE