Claudine 2

Je me contraignis à la patience, il fallait rester raisonnable dans l’attente du samedi soir. Pour mes parents, j’étais invité par un pote à une soirée d’anniversaire et je dormirais chez lui, pour simplifier les choses.
Ce fut donc, vers 19h, le samedi que je me présentais à la porte de Claudine. Elle m’ouvrit rapidement. Elle portait une minuscule robe hyper moulante. Certainement pas de soutif et, probablement, pas de culotte.
« Bonjour mon bel étalon ! Je ne savais pas comment m’habiller pour te recevoir. Si ma tenue te déplait, dis-moi ce que tu veux… »
« Tu es bien trop habillée pour une soirée chez toi ! Il va falloir t’habi à être à poil pour mes visites… Allez, ôte-moi ça ! »
Je dois avouer qu’à ce moment-là, je ne croyais pas un instant qu’elle le ferait. La porte d’entrée n’était même pas refermée et un voisin de palier pouvait nous surprendre à tous moments. Mais, le regard baisé, Claudine ôta sa robe me laissant voir son corps nu.
« Désolée, mon chéri, j’aurais dû te demander comment tu me voulais avant. Entre et punis moi si tu juge que je le mérite. »
Les choses étaient entendues. A cet âge, je mesurais près de 1,84cm, pour 75kgs. Sportif accompli, j’avais des moyens physiques considérables par rapport à cette femme frêle. Une fois la porte refermée, je la saisi par les cheveux et lui ordonnais de me sucer immédiatement…
Elle se jeta à mes pieds et entama une pipe exceptionnelle, comme peu de femme m’en ont fait depuis. Claudine était une experte qui m’avoua, un jour, qu’elle avait commencé dès l’âge de 14 ans, pour le bonheur des mâles de son bled, qui venaient se faire purger pour une somme raisonnable, qu’elle engrangeait pour son départ de ce lieu qui la déprimait ! Oui, Claudine avait l’âme d’une pute et elle continua ces « commerces » jusqu’à la rencontre avec son cocu. Dès ses 16 ans, elle se mit à vendre son cul puis sa chatte à des tarifs assez conséquents !
J’interrompis sa tâche pour la trainer sur son lit et la défoncer sauvagement recto verso.

Elle prit son pied plusieurs fois avant que je ne me vide dans sa chatte soyeuse. Elle me nettoya la bite, sur mon ordre puis elle me dit qu’elle était heureuse de prendre la pilule car je devais être le genre à engrosser une femme rapidement. Je la saisi par les cheveux et je lui dis :
« Tu es ma salope, j’exige que tu cesses la pilule sur le champ et ce n’est pas négociable ! Ton cocu peut assumer un deuxième bâtard sans problème ! Va me chercher la boite de pilule et veille bien à ne plus y toucher… »
Elle n’hésita pas plus de 10 secondes avant de s’exécuter. Elle me la remit et je lui dis :
« Tu mérites une punition et elle sera double puisque tu n’étais pas à poil quand je suis arrivé. Suis-moi ! »
Je la conduisis dans le débarras qui n’était pas très encombré. Il y avait là, un haut buffet et je lui pris les poignets pour les lier sur le dessus de ce meuble qui était orné de « créneaux ». Elle se trouvait sur la pointe des pieds, dans une posture inconfortable qui lui faisait tendre la croupe. Je sortis pour revenir avec ma ceinture et je lui administrais 20 coups sur le dos et le cul. Je n’appuyais pas trop mes coups, mais elle se mit vite à pleurer sans me demander de cesser. Après avoir jeté la ceinture, je l’enculais brutalement et me vidais dans ce cul si accueillant. Puis, je sortis et je fermais la porte, la laissant dans le noir.
Ce fut la première fois que je la traitais avec violence. Cela devint une habitude et elle ne s’en plaignit jamais. Après avoir mangé et m’être douché, je revins la chercher et je lui dis que, dorénavant, elle serait punie pour tout manquement.
Il y eu de très nombreuses autres fois durant les 2 ans et demi où je la visitais plusieurs fois par semaine et chaque week-end où elle était libre. Elle tomba enceinte et elle m’apprit que son mari avait décidé de les installer dan une belle maison à 100 bornes de chez moi. Elle se montra extrêmement avide de ma bite durant les semaines qui précédèrent son déménagement.
Elle accoucha d’une petite fille 1 mois après notre séparation. Elle m’envoya une photo et une longue lettre où elle me disait combien elle était dévastée par cette fin non désirée.
Je n’ai pas eu de nouvelles après cela.

PS : j’ai mis pas mal de temps à publier cette histoire car en la revivant, j’ai eu envie de savoir ce qu’était devenue Claudine. Les réseaux sociaux sont magiques, mais aucune trace d’elle. J’ai eu l’idée de chercher son fils et la chance m’a souri. Claudine est restée mariée à son cocu qui le fut toute sa vie. Un accident de la route lui a coûté la vie il y a deux ans, elle était avec un amant ! Jérémy n’a pas souffert de cette situation et sa sœur pas d’avantage, mais elle est tout aussi volage que sa mère le fut !!!

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