Collection Zone Rouge. Poupette. Saison Ii (15/20)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

L’une des limousines de mon homme m’attendant devant chez ma mère, alors que je viens de revenir de Vegas ou j’ai fait commencer à tapiner une jolie black, j'ai envie de faire voir au chauffeur qui me matte à l’avant qui je suis capable d’être.
Cuisses ouvertes, je vois dans le rétro qu’il matte ma petite culotte en se caressant d’une main.
Le fait-il en ayant sorti sa bite ou simplement en se caressant par-dessus son pantalon.
Ce qui est sûr c’est qu’au moment où il immobilise la voiture devant l’entrée du crématorium son corps se tend et il appuie sur le frein me décollant du siège.

- Merci jeune homme, je vais éviter de dire au patron que vous vous masturbez en matant sa future femme.
Impossible de lui dire que je mens quand je vois la grosse tache sur votre pantalon à la hauteur de votre braguette, on se reverra.

Fière de ma réplique et de l’embarras du jeune homme, je remonte l’allée centrale jusqu’au bâtiment où la cérémonie va avoir lieu sous le regard de dizaines d’yeux.

- Madame, il fallait entrer avec votre voiture surtout sous cette chaleur.

Si je l’avais fait, mon string serait toujours sec alors qu’à voir les hommes baver devant moi, femme inaccessible, lorsque j’ai franchi la distance me rapprochant d’eux.
Quand je m’approche du sénateur assis dans son fauteuil roulant et que je me paye le luxe par calcul de me baisser pour l’embrasser, montrant mes seins à tous les hommes qui sont autour de lui que c’est moi l’élue.
Celui le mieux placé et qui plonge au plus loin qu’il eut est celui qui pousse son fauteuil.

- Claudia, je te présente mes bras droits.
Fil de fer derrière moi !
À ma droite, Johnny belle gueule.
À ses côtés, 100 pour 100 et Plus vite que son Ombre, chacun d’eux fait tourner notre bisness.
Je crois que tu en connais quelques-uns de vue car ton beau-père travaillait avec eux et les voyait quand nous nous réunissions pour faire tourner notre affaire.


Monsieur, je vous ai déjà dit que j’épousais Claudia mardi prochain vous êtes tous invités à nos noces.
À partir de ce jour vous obéissez à ma femme comme vous m’obéissez depuis que je vous ai recruté.
- Patron vous nous demandez d’obéir à une pute, notre boulot c’est de les mater et non de leur obéir.

Avant que mon mec ait le temps de lui répondre, je m’approche de l’oreille de celui qui vient de me manquer de respect, je lui saisis le paquet à travers son jean.

- Ta nouvelle patronne c’est moi Fil de fer.
- Vous m’excusez madame, je saurais m’en souvenir vous pourrez me demander ce que vous voulez j’exécuterais vos ordres dans les meilleurs délais pas vrais les gars.
Je vous en supplie j’ai besoin de mon outil de travail, lâchez-moi !

Je pense que j’ai marqué le point décisif quant à ceux qui devront me servir au doigt et à l’œil.
J’ai surtout fait voir au sénateur qui semble fier de montrer à toutes les personnes présentes qu’il va épouser une femme aussi jeune et aussi jolie que moi.
En plus des quatre macs, ce sont essentiellement des voisins et voisines de mes parents qui m’ont connu à mon arrivée avec maman dans leur quartier.
C’est à ce moment que je repère Tex à moitié caché derrière un arbre prenant les uns et les autres en photo.
Non loin de lui plusieurs autres photographes nous mitrailles avec des appareils plus gros et plus grands que mon avant-bras.

- Mon cœur, tu laisses ces paparazzis nous photographier.
- Soit sans crainte ma belle, c’est moi qui les ai appelés.
Je les ai même engagés ayant passé un contrat avec un journal people qui va couvrir notre mariage.
Je le fais pour emmerder ce connard de flic qui nous photographie planqué derrière son arbre et qui croit qu’il va mettre en tôle un vieux marlou comme moi.
Celui qui y arrivera est loin d’être né.

J’aurais tendance à me mettre en colère d’un côté contre Tex.

Je suis en deuil et profité de ma détresse pour essayer de faire tomber mon futur mari entouré de ses amis de longue date me hérisse le poil surtout depuis que j’ai lâché les couilles du beau Fil de fer.
Beau oui mais pas autant que Johnny belle gueule, mais mieux que 100 pour 100 et moins que Plus vite que son Ombre.
Si Tex s’en prend à ceux qui deviennent ma famille, il aura affaire à la petite Claudia.
Surtout quand j’aurais mis la main sur le pactole du coffre et les registres, il a beau être mon amant et un amant doué, il va voir de quel bois je me chauffe.

Nous entrons dans la salle de cérémonie et pour faire bonne figure devant les photographes je vire carrément Fil de fer pour pousser le fauteuil de mon pépère.
La pute poussant celui qui est la cause duquel j’ai tapiné pendant deux ans à Vegas, les journaux vont s’en donner à cœur joie, surtout avec la tenue que sans l’avoir préméditée, j’ai enfilé.
Il faut être intelligente si mon homme a signé un contrat avec l’un des journaux à scandales, les autres vont avoir aussi les photos et l’appât du gain pour eux va les pousser à la faute.
Je suis simplement Claudia à ce jour et je suis majeur depuis deux jours, ou un suivant la théorie de maman.
Mon avis a été oublier dans cette transaction alors tous les journaux qui parleront et surtout qui les monteront auront un magnifique procès aux fesses.
Il va falloir que le sénateur me présente ses avocats qui semblent très efficaces depuis le nombre d’années qu’il semble narguer la police.
Bien sûr, se servir des avocats de celui qu’ils vont être obligés de défendre quand Tex aura ses registres est diabolique car il y aura conflit entre toutes ces parties et mon mari se retrouvera en slip pour se faire défendre.
Les deux crémations ont beau être assez proches et rapides, j’ai le temps tout en me servant de mon mouchoir pour cacher la jubilation qui m’habite après ce plan que je viens de concocter faire croire que je pleure sur la mise en cendres de mes parents.

J’ai une légère compassion quand maman à très chaud quelques minutes mais je prie pour que les flammes de l’enfer brûlent le corps de ce pourri de Bob le plus longtemps possible.
L’autorisation donnée, je me serais bien vu le faire cramer allumette par allumettes même si cela avait dû me prendre dix ans, finissant par ses burnes que j’aurais pillées et broyées.

La cérémonie terminée je conduis le sénateur jusqu’à sa limousine blanche.
Un autre chauffeur plus vieux nous attend rentrant le fauteuil dans le coffre.
Le Sénateur ouvre sa fenêtre.
Je me penche apostrophant Johnny.

- Johnny emmène les cendres de maman dans sa maison voilà la clef.
Je ferais le nécessaire pour son enterrement quand j’aurais plus le temps.
Quant à celle de Bob mon chéri as-tu un bristol et un stylo avec une enveloppe.
- Fred, donnez à madame ce qu’elle demande.

Fred vieux croûtons comme son maître remet sa casquette et ouvre la portière à l’avant et me donne ce que j’ai demandé.
Je place le bristol sur l’épaule de mon vieux.

« Inspecteur Tex, je sais que vous courriez après Bob mon beau-père depuis des années.
Je l’ai personnellement attrapé et je vous en fais cadeau, fait en ce que vous voulez, vous voyez que je suis coopérative. »…

- Tu permets que je lise !
- Bien sûr mon chéri, il faut savoir s’amuser un peu.
- Une fois de plus, je me loue de la sédition que j’ai prise.

Intelligente, je montre que si maman voulait que je sois au rang d’une Claudia Schiffer sur le plan physique en m’exhibant sur des podiums, elle m’a donné un cerveau surdimensionné.
J’ai failli écrire ce mot en tutoyant Tex, montrant au Sénateur notre degré de connivence.
Je mets le carton dans l’enveloppe et la tends.

- Johnny prend cette enveloppe et porte là au commissariat avec l’urne de Bob pour l’inspecteur Tex.
- Madame, sauf votre respect, j’ai horreur d’entrer dans un commissariat.

C’est au-dessus de mes forces.
Demandez-moi de le descendre, il sera mort dans les cinq minutes.

Je le regarde avec un regard noir.

- Bien, patronne, j’y vais, je pète de trouille mais je vous obéis, j’espère que je pourrais en ressortir.

Nous quittons le crématorium après que j’ai salué les personnes encore là.
Parmi elles il y a Abby dans un tailleur noir lui allant à ravir.

- Fred arrêtez la voiture.

Donner des ordres au chauffeur de pépère, quel pied.
À mon tour j’ouvre ma fenêtre.

- Claudia, je tenais à venir pour te soutenir dans cette épreuve, j’ai pris mon après-midi pour être auprès de toi.
- On te ramène, nous rentrons à l’immeuble.
- Non j’ai mon vélo, si tu veux que nous reportions notre rendez-vous de demain soir.
- Surtout pas j’ai hâte de venir te voir pour me changer les idées.

Nous nous embrassons, elle penchée dans la voiture.
À mon côté comme un vieux libidineux, pépère matte ses seins que moi aussi j’admire dans l’échancrure de sa veste.
C’est certain, Abby est nue sous cette veste, je sens que je mouille…

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