Ted 08 Les Jours Suivants 1
TED 08
LES JOURS SUIVANTS 1
On passait le week-end ensemble, on ne se lâchait pas. Sa queue, j'y ai eu droit deux fois par jours. Je ne vous dis pas ces deux jours ont été intense. Le premier soir, le vendredi, on est sorti. Tout d'abord il m'est rentré dans le cul comme je vous racontais juste avant, ensuite on est sorti. On est rentré tard, juste le temps de se faire un câlin, juste un câlin. Il avait l'air fatigué de sa semaine, je n'ai pas insisté, je savais que j'avais Ted pour moi tout seul pour encore deux jours.
Je l'ai regardé dormir un long moment, j'étais tout excité et je ne pouvais pas dormir mais lui il s'est endormi en quelques instants. J'avais retiré mon jock-strap, comme je vous disais je dors à poil. Je finissais pas m'allonger à côté de Ted, il se retournait vers moi et passait un bras sur moi. Il ne s'était pas réveillé. J'étais bien.
Le lendemain matin ce sont ses caresses qui me réveillaient.
Ted : Tu n'as pas gardé ton jock-strap
Moi : Je dors toujours à poil.
Ted : Grrrrr !
Il m'embrassait tendrement et en même temps il roulait sur moi, il m'écrasait de tout son poids
Ce contact à la fois doux, lourd et virile me faisait bander immédiatement. Lui il bandait déjà.
Ted : Tu auras droit à un gage !
Moi : Moi ?
Ted : Oui, je vais t'enculer !
Moi : Ça c'est ce que j'appelle un gage moi !
Sans attendre plus longtemps, il posait mes chevilles sur ses épaules. C'est une position que je connais bien et que j'aime tout particulièrement mais personne ne m'a jamais pris avec une bitte comme celle de Ted dans cette position.
Il me repliait les jambes sur moi, mes genoux se retrouvaient contre mon torse, les jambes étaient presque jointe, le cul bien ouvert, bien offert même. Ted lubrifiait abondamment, je savais par expérience que dans cette position ça rentre toujours bien à fond, on le sent bien.
Je hurlais, j'ai encore vu des étoiles, il y allait doucement, lentement mais il y allait en un seul mouvement, presque sans préliminaires
De nouveau je paniquait dans ma tête, de nouveau j'avais peur que ça déchire mais tout se passait bien. C'était intense mais ça passait. De tout son poids il appuyait son bassin sur mon cul. De tout son poids il poussait contre mes fesses, sa queue bien enfoncée qui m'écrasait la prostate. Un plaisir me submergeait.
Je tremblais, je laissait tomber ma tête sur loreiller, je me cramponnais à ses bras, à ses épaules. Il écartait mes jambes et se penchait sur moi pour m'embrasser, il le faisait avec passion, je le retenais contre moi, mes mains autour de son cou. Il soulevait son bassin, sa queue ressortait puis il s'appuyait de nouveau et sa queue s'enfonçait. Je hurlais, c'était de plaisir, un plaisir intense, un plaisir de fou et un peu de panique également. Au moment ou son bassin s'appuyait de nouveau sur mes fesses ma prostate hurlait, mon anus allait exploser, c'était trop. Là je ne pouvais plus, je tentais de me dégager mais dans cette position je n'avais pas d'appuis pour le repousser et il était trop lourd.
Il se retirait, d'un mouvement plus rapide cette fois ci, je reprenais mon souffle, une nouvelle dose de lubrifiant, je redoutais la suite, il enfonçait alors sa queue d'un mouvement rapide bien à fond. De nouveau je hurlais. En s'appuyant sur mes jambes il se relevait, comme s'il faisait des pompes, puis se laissait retomber, sa queue me limait le cul.
J'étais un peu coincé, mais je n'avais pas l'intention de me dégager. Mon cul s'habituait à ce mouvement, à la violence de ce mouvement.
Quelques violent coups de reins de la part de Ted me ramenait sur terre avec douleur. Il éjaculait dans mon cul et lâchait quelques mouvements non contrôlés très douloureux pour moi, à cause de la taille de son machin, la taille XXL !
Il se retirait, j'allongeais mes jambes. Je jutais à n'en plus finir, je ne bandais plus mais je jutais. Je l'avais bien senti passer le dernier coup de rein, là j'avais un peu mal au cul. Ted redevenait alors très doux, très tendre, il me caressait tout le corps avec la main. Tout le corps sauf mes couilles et ma bitte, au début je tremblais, me contractait d'une manière incontrôlable à chacun de ses contactes. Un peu plus tard je me détendais et ma respiration redevenait normale. Mon cur battait fort pendant encore un long moment.
Ted s'allongeait à côté de moi et nous partagions un long moment de tendresse et de douceur. J'aime bien ça chez Ted moi ! Il me plaisait de plus en plus ce garçon.
On venait de passer la mie Septembre et l'automne était bien là. Depuis quelques temps je m'amusais à découvrir de nouvelles sensations grâce à une sorte de cage à bitte
Vous avez sans doute entendu parler des ces nouveaux dispositifs de chasteté masculine produits par la société PK, ça coûte une petite fortune vous savez. Je n'osais pas investir dans un truc pareil à cause du prix aussi j'avais fabriqué un dispositif maison en PVC. Bein oui je suis bricoleur, ça aide. J'ai aussi fabriqué tous les meubles que j'ai chez moi
C'est tout dire !
Avant de rencontrer Ted je prévoyais de participer au Locktober.
Moi : Alors tu n'aime pas ma bitte.
Ted : Non, c'est pas ça
Mais
C'est quand tu bandes
J'ouvrais en grand la porte de ma penderie, elle n'est pas très profonde mais suffisamment pour que je disparaisse entièrement à l'intérieur.
Moi : Tu voudrais que je porte tout le temps ce jock-strap ?
Ted : Je trouve que les mecs sont sexy avec ce genre de truc !
Moi : Et en plus c'est pratique !
Ted : Pratique ?
Moi : C'est ouvert derrière !
Il rigolait. Pendant que nous parlions j'avais pris mon dispositif de chasteté maison, j'y passais mes couilles, j'y glissais ma queue. Je me sentais bien, terriblement bien. C'est un plaisir qui continuait dans mon ventre, bien dilaté, bien rempli, bien vidé, bien
Oui bien, je me sentais vraiment bien. Toujours en discutant, je glissait ma queue dans la cage. J'avais un petit pincement de cur, une hésitation, j'ajustais bien le dispositif. J'hésitais encore un moment
Moi : C'est la bosse qui te fait fantasmer ?
Ted : Ouai ! La bosse, et le fait que le mec il ne se branle pas !
Moi : Tu ne veux pas que tes partenaires se branle ?
Ted : C'est surtout que
Ouai ça me fait délirer qu'ils ne se branle pas.
Moi : Ils n'ont pas le droit de se faire plaisir ?
Ted : C'est moi qui leur fait plaisir ! Je ne t'ai pas donné de plaisir ?
Moi : Je ne dis pas le contraire !
Ted : Il m'avait bien semblé aussi que tu avais aimé !
Il ne pouvait toujours pas me voir, le cadenas était en position, les clés étaient dessus mais il n'était pas encore refermé. J'hésitais.
Je retirais le cadenas et retirais également la cage.
Ted : Tu trouves ce que tu cherches ?
Moi : Ouai je trouve, je trouve
Finalement je remettais la cage, de nouveau j'y glissais ma queue, je ne bandais pas encore mais je sentais que ça allait venir si je continuais comme ça. De nouveau, avec des gestes rapides cette fois, je replaçais le cadenas. Les clés étaient toujours dessus. D'un pas en arrière je sortais de mon placard, je me retournais vers Ted, j'écartais les jambes, j'étais bien en vue, il ne pouvait pas louper ça !
Moi : Et ça ! Ça ne te fais pas fantasmer ça ?
Il me regardait, je voyais un large sourire illuminer son visage, sa queue gonflait rapidement, il avait l'air d'aimer.
Ted : Alors là j'adore ! C'est pas un modèle PK ? C'est toi qui l'a fait ! Il est pas mal ce truc
Fais voir ça de plus prêt !
Je m'approchais pour bien lui montrer. Il me tripotais les couilles un moment, il bandait et c'était beau à voir. J'entendais un clic et quand je regardais, les clés n'étaient plus sur le cadenas.
Ted : Je prends le contrôle des opérations !
Il ouvrait sa main devant moi pour bien me montrer que c'est lui qui avait les clés, il refermait son point et me souriait.
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