Ma Première Fois En Club Libertin (2/2)
Marie
Je me sentais offerte, ouverte et pleine de désir. Je nétais quun sexe à la sensibilité exacerbée à fleur de peau.
Jessayais de faire pour le mieux avec les deux pieux qui semblaient saffronter devant mon visage. Je tentais de les lécher, de les mordiller, de les avaler malgré des dimensions hors norme. Je devais me montrer à la hauteur face à un public qui observait mes moindres gestes. Et cette femme qui me suçait, maspirait le clito et qui me faisait perdre pied avec ses coups de langue. Je me sentais en apesanteur. Je flottais dans un univers de plaisir et de jouissance absolue. Dire quil avait fallu attendre ma cinquantaine pour atteindre ce nirvana indicible. Que de temps perdu.
Cest la femme qui marracha des nouveaux cris de jouissance. Une jouissance qui venait de loin, profonde. Un tsunami menvahit. Une jouissance interminable avec des vagues successives de plaisir.
Je neus pas le temps de reprendre mes esprits que Vincent était déjà à la porte de mon vagin inondé de cyprine. Il appuya son gland démesuré sur lentrée de ma grotte, et doucement, aidé par mes sécrétions il me pénétra.
Excité, ce fut moi qui pris linitiative et alla de lavant pour sentir son pieu au plus profond de moi. Je ne pus mempêcher de pousser un grand cri de surprise, de douleur et, finalement, de plaisir. Jétais pleine du sexe de Vincent. Comme il ne bougeait pas, je pris à nouveau linitiative et bougeais lentement les hanches pour sentir son pal me dilater lutérus afin de le sentir encore davantage en moi.
Jeus juste le temps dapercevoir Paul qui me regardait avec un grand sourire et qui mencourageait.
Vincent prit le relais et commença à aller et venir et à frotter sa queue contre mon clito en feu. Ses coups de boutoir étaient infernaux. Je devenais folle de sa bite. Je balançais ma tête dans tous les sens en disant tout ce qui me passait dans ma tête. Je nétais plus la « petite Marie » mais une grosse salope en chaleur qui réclamait sa baise.
- Vas-y, baise-moi !!! Défonce-moi !! Allez, grosse pédale, vas-y, montre-moi ce que tu sais faire avec ta petite bite !!!!
Vincent, vexé, excité, se déchaîna et me pilonna à fond pour mon plus grand plaisir.
Javais limpression de sentir un rouleau compresseur qui me déchirait le ventre.
Un nouveau pied phénoménal me transperça. Je me raidis, me contracta. Vincent ne résista pas à ma jouissance et je le sentis jouir en moi avec plusieurs jets puissants
.
Il sortit, et aussitôt son voisin que javais cajolé avec ma langue, le remplaça dans mon étui dévasté. Trop excité par ce quil avait vu, il ne tint pas longtemps.
Une femme « » sans poitrine me présenta sa fente au-dessus de mon visage. Je navais pas dautre choix que de la lécher. Je moccupais de son clitoris à la taille hors norme. Presque un petit sexe dhomme. Surprise, curieuse, intéressée, je pris plaisir à lavaler et à jouer avec ma langue. Je sentis son plaisir venir rapidement. Sa jouissance fut accompagnée dun jet de liquide qui minonda le visage. Une première pour moi. Javais entendu parler de femmes fontaines. Je venais den rencontrer une.
Deux hommes sétaient approchés de part et dautre du sofa. Ils me caressèrent les seins et jouèrent avec mes tétons dressés avant de se masturber et faire gicler leur semence épaisse et blanchâtre sur ma poitrine.
Paul vint près de moi. Il me souffla des mots gentils à loreille. Et, surprise, je le vis lécher la semence qui sécoulait sur mes seins ! Il approcha ses lèvres et membrassa, sa bouche pleine de sperme, dans un baiser si passionné, et si « particulier » quil me fit jouir
Certaines personnes, satisfaites du spectacle, séclipsèrent, pendant que dautres arrivèrent.
Jétais épuisée par toutes les jouissances qui mavaient enlevé toute mon énergie et par les coups de queue puissants de mes deux amants.
Je fermais les yeux quelques secondes pour reprendre mes esprits.
Pendant quelques secondes, je pris peur. Progressivement, je sentis la pression de nombreuses mains qui prirent possession de mon corps. Ma peur, mes doutes sévanouirent sous les plaisirs engendrés par les caresses. Les coquins savaient y faire
Des queues venaient frôler mon visage. Je narrivais pas à les prendre en bouche. Ils samusaient avec moi.
Je sentis des mains attr mes jambes et les soulever. Son sexe me pénétra sans préambule et marracha un cri. Il fit quelques va et vient avant de présenter son gland devant mon anus. Il mécarta les fesses et, grâce à mes sécrétions la pénétration de son engin fut facilitée. Il y alla doucement, attendant que mes sphincters se relâchent pour senfoncer plus loin dans mes entrailles.
Les multiples mains me caressaient aux points névralgiques et mapportaient un tel plaisir que je ne minquiétais pas de la sodomie en cours.
Son pieu entra totalement et, après une pause calculée, il commença à bouger tout en caressant mon clitoris. Je me mis à bouger mon bassin pour accompagner ce pieu qui me défonçait le cul.
Des queues allaient et venaient dans ma bouche. Je ne savais plus où donner de la tête.
Paul
Pendant que ma femme reprenait ses esprits après cette première séance, je métais éclipsé quelques instants pour boire une coupe de champagne au bar. Tout cela mavait donné soif !
Cest là où jai entendu une conversation entre deux hommes qui disaient quil y avait une nouvelle MILF qui semblait bien chaude et quils allaient voir ce qui il sagissait
Jai compris immédiatement quils parlaient de ma Marie. Il navait pas fallu longtemps pour que le bouche à oreille fonctionne
Quand je retournai sur le seuil de la pièce où javais laissé ma femme, je la vis, entourée de plusieurs hommes qui semblaient la caresser, la frôler pendant quelle cherchait à attr une bite au passage
Tous avaient le sexe bien droit, prêt à lestocade mais cest le plus jeune (à première vue
) qui le premier osa venir se placer entre les jambes de Marie.
Puis lhomme releva les jambes de Marie pour les mettre sur ses épaules. Ainsi le périnée de ma chérie était entièrement accessible
Cest bien ce que lhomme cherchait car après quelques mouvements rapides dans la chatte, je le vis placer le bout de sa queue en face de lanneau plissé qui, je le pense, devait déjà palpiter
Je ne sais si ses amants de rencontre lont souvent sodomisée mais moi, cest plus dune fois que jai joui au fond de son boyau
la dernière fois, lors de notre séance à trois avec Gérard.
Il entra doucement, faisant entrer sa queue lentement dans les entrailles qui souvraient devant ce pal
Quand il fut entièrement absorbé par les sphincters de Marie, il sarrêta plusieurs minutes avant de commencer à aller et venir dans ma femme. Pendant ce temps, des multiples mains caressaient les seins opulents qui se mouvaient doucement au gré des pénétrations. Plusieurs bites semblaient se disputer le privilège de la bouche de Marie
Elle les absorbait brièvement puis les écartait pour ne pas en oublier une seule
Pour une première fois en club libertin, elle se lâchait véritablement sous mes yeux coquins pour mon plus grand plaisir et certainement le sien aussi car je lavais toujours su jouisseuse
Avant dêtre une femme aimante, elle avait été une maîtresse ardente
pour mon plus grand plaisir.
Soudain Florence, la femme du propriétaire des lieux, arriva près de moi
Cétait un peu incongru de la voir habillée (très sexy au demeurant) alors que tout le monde était plus ou moins nu. Elle était accompagnée par une jeune femme très brune aux cheveux ondulés descendant jusquau creux du dos, très typée beurette et simplement vêtue dun maillot de bains deux pièces très réduit.
- Yasmina cherche son homme
Elle est un peu perdue car comme toi, cest la première fois quelle vient
et à ce que je vois dans la pièce, cest lhomme qui laccompagne qui est en train de sodomiser ta femme ! Peux-tu lui tenir compagnie en attendant quil ait fini ?
- Oui
bien sur
Jen ai assez vu
Ma femme est allée au-delà de mes espérances
Viens Yasmina, nous allons nous amuser nous aussi !
- Si vous voulez vous isoler, je te donne la clé dun petit salon
Vous y serez tranquilles.
- Daccord
Montre-nous le chemin !
Dès que nous avons été seuls derrière la porte fermée à clé, Yasmina a ôté son soutien-gorge, dévoilant des petits seins bien ronds avec un téton à peine sorti. Elle a dit :
- Je ne veux pas baiser
je ny suis pas prête mais je vais te sucer
jadore
Effectivement ce petit salon devait être réservé à des couples qui voulaient sébattre en paix, pas comme la grande pièce où se trouvait ma femme. Cétait une sorte dalcôve avec un lit à lancienne, relativement haut, agrémenté de nombreux coussins de formes diverses. Sur une table basse, il y avait un candélabre garni des fausses bougies qui donnait une ambiance intime et bien placée en évidence, une coupelle avec des préservatifs et deux fioles avec un liquide ambré. Dans un angle, il y avait un fauteuil, style bergère, certainement pour un voyeur éventuel !
Cest ainsi que la demie heure qui suivit, Yasmina ma fait une fellation très savante, alternant les succions profondes et les léchouilles sur le gland tout en malaxant mes bourses où je sentais mes boules frotter lune contre lautre. Elle savait comment faire durer ! Cétait si bon que je ne pouvais plus me retenir
Au moment où elle a senti mes premiers jets dans sa bouche, elle a sorti mon sexe pour le masturber et recevoir mes dernières giclées entre ses seins
MERCI YASMINA ! Pour la première fois jétais, en quelque sorte, infidèle à ma femme
Il était temps daller voir ou en était Marie.
Je pense que pour une première fois, elle devait être satisfaite au-delà de toute espérance
Quant à moi, jétais heureux de lavoir contemplée ainsi
Totalement désinhibée, se livrant à une débauche complète avec des hommes et des femmes quelle ne reverrait certainement jamais.
Marie
Lhomme me sodomisait depuis une bonne dizaine de minutes. Il était comme chez lui dans mon cul alors que jusquà cette soirée, cétait quasiment lexclusivité de Paul mon mari.
Je me demandais sil allait jouir un jour !!! Les queues semblaient virevolter autour de moi. De multiples mains palpaient mon corps sans aucune retenue. Je ne sais combien de fois je jouis.
Je sentis enfin le sodomite se cambrer et lâcher sa purée. Javais le cul en compote. Dès quil se fut retiré un autre présenta son sexe contre ma vulve et me pénétra dun coup. Sa poussée profonde et violente marracha un cri. Il devait avoir un sexe dun gros calibre. Il me tourna sur le côté, les jambes toujours relevées. Une queue profita de laubaine pour venir enfiler mon cul. Plus fine, mais plus longue. Je sentais ces deux bites aller et venir en mois en totale synchronisation. Je perdis pied.
Des queues dressées se promenaient toujours autour de moi. Petit à petit, les giclées se succédaient ; sur mes seins, sur mon visage,
Les plus adroits atteignaient ma bouche. Je restais ainsi tétanisée pendant un très long moment
Ma jouissance ne semblait pas vouloir redescendre. Mes deux amants ne purent résister à ma profonde jouissance qui avait pour effet de resserrer mes muscles et de coincer leur queue. Ils giclèrent de concert et se retirèrent satisfaits.
Jétais épuisée
Petit à petit les participants se retirèrent. Seuls Vincent et Paul restèrent près de moi. Vincent me fit descendre du sofa. Paul prit mes affaires.
Paul
Après avoir quitté Yasmina, je retournai dans le grand salon où se trouvait ma femme
Les participants à lorgie qui sy était déroulée sortaient les uns après les autres et je retrouvai ma femme, alanguie sur le sofa, seule en compagnie de Vincent qui la félicitait.
Marie me dit quelle avait besoin dune bonne douche, quelle se sentait poisseuse de toutes ces éjaculations reçues sur son corps au cours de la soirée mais Vincent nous souffla une meilleure idée : Les bains à remous qui se trouvaient au sous-sol avec les cabines de sauna ! Il précisa que cela ferait du bien à Marie et la délasserait le mieux possible
Avec notre permission il nous y accompagnerait !
Jacceptai aussitôt
Après avoir ramassé les affaires de ma femme qui avait été placée soigneusement sur le dossier dune chaise, nous descendîmes tous les trois au sous-sol magnifiquement décoré à lancienne
Vincent actionna les remous dans un bassin rond pourvu dune banquette circulaire immergée où nous prîmes place dans part et dautre de ma femme
Elle avait fermé les yeux et savourait la sensation des bulles qui couraient le long de son corps
Nous étions bien
Vincent chuchotait des mots à loreille de Marie
qui se releva soudain et se mit à califourchon sur ses jambes. Jentendis quelques bribes de la conversation
Marie le remerciait de lui avoir fait découvrir LE PARADISIO
ajoutant même que cétait un véritable paradis
Elle échangea avec lui un profond et long baiser puis lorsquil est sorti du bassin, Marie sest tournée vers moi pour membrasser en me remerciant de cette belle soirée.
Mais ce nétait pas tout
Elle voulait que Vincent vienne à la maison pour une partie à trois dans lintimité de notre chambre
Elle avait envie de sentir à nouveau ce pal en elle et surtout le sentir sépancher au fond de son ventre pendant que je la sodomiserais ! Cétait la bonne période et en plus, me rappela-telle, elle prenait la pilule !
- Tu nen as pas eu assez ce soir ?
Sa réponse a été sans ambages : elle voulait remercier Vincent et moi de lui avoir fait connaitre de telles sensations et aussi clore ce chapitre des clubs coquins !
Une heure plus tard, nous étions tous les trois dans notre maison au milieu de la garrigue
Vincent nous avait suivis en voiture et nous trinquions à notre rencontre
avant de satisfaire lenvie de Marie.
Marie
Jétais épuisée, mais jétais bien, en même temps. Je me sentais bien avec mes deux hommes. Javais envie que Paul partage également avec moi physiquement les plaisirs du trio.
Je proposais donc à Paul de rentrer à la maison avec Vincent afin de terminer cette orgie dune manière plus intime. Paul accepta avec enthousiasme. Je me doutais quil avait déjà plusieurs scénarios en tête et quil souhaitait rentrer au plus vite pour mettre en place toutes ses cameras afin de filmer nos ébats.
Afin de laisser les mains libres à mon coquin de mari, jai demandé à Vincent de maider à déboucher une bouteille de champagne et à préparer quelques en-cas qui seraient bienvenus pour tous les trois.
Vincent était tout excité, tout empressé. Il ne maidait pas beaucoup. Chaque occasion était favorable pour quil me palpe les fesses, quil prenne mes seins dans ses paumes, ou bien quil me caresse la vulve encore trempée. Il est vrai que ma tenue, plus que légère, incitait au jeu. Tant bien que mal, nous finîmes par préparer quelque chose de présentable que nous pûmes ramener au salon. Paul était déjà installé au milieu des coussins qui jonchaient le sol autour de la table basse. Il avait allumé quelques bougies et un petit feu pour ajouter un peu de convivialité à lespace. Il avait également mis de la musique dambiance quil affectionnait.
Paul fait signe à Vincent de sasseoir, pendant que je disposais boissons, victuailles et serviettes. Les deux hommes en profitait pour se rincer lil et pour me donner des caresses furtives sur les fesses.
Après avoir trinqué au champagne, je méclipsais pour aller au petit coin, me faire une toilette rapide et enfiler un peignoir en dentelles qui ne cachait pas grand-chose. Je me devais dêtre à la hauteur de mes deux amants.
Je massis entre les deux mâles qui avaient décidés de me nourrir. Chacun alternant tomate cerise, toast, carotte, gressin, fromage, framboise, grain de raisin, avec chaque fois un baiser. Ces baisers dérapaient au fur et à mesure de mes béquées. Mon corps était rapidement couvert de baisers de plus en plus coquins et impudiques. Mon peignoir était largement ouvert et mes deux coquins semblaient se disputer chaque centimètre carré de ma peau.
Je mentendais gémir, ronronner, comme une chatte en chaleur que jétais.
De concert, mes amants se dévêtirent et je pus prendre leur sexe dans mes mains. Ils étaient bien durs.
Vincent et Paul se disputaient ma bouche. Leurs langues coquines et pénétrantes, leurs caresses incessantes me faisaient chavirer.
Afin de faire retomber la tension, je leur demandais un service. Je souhaitais quils me fassent un massage à quatre mains, quils huilent mon corps et mes orifices maltraités, il y a encore peu de temps.
Paul alla chercher une serviette et de lhuile damande douce préalablement chauffée au micro-ondes.
Je me mis sur le ventre et me laissais aller sous les caresses de mes amants. Des caresses qui se firent de plus en plus précises. Des doigts me fouillaient la vulve, dautres, mon anus. Mes fesses étaient massées, plus que de besoin
Jétais aux anges.
Le champagne, associé aux caresses, mengourdissait le corps. Chaque passage, près de ma vulve, de mon clitoris ou de mon anus, générait des ondes de plaisir. Je laissais celui-ci monter et jempêchais la jouissance de prendre le dessus, car je voulais retarder au maximum larrivée du plaisir ultime qui allait memporter. Je ne savais pas à qui étaient les mains qui investiguaient mon corps. Vincent ? Paul ? Quimporte
Le geste de trop fut le moment ou des doigts me pénétrèrent simultanément dans le vagin et lanus. Je me contractais, marcboutais dans une jouissance profonde. Une vague, un tsunami de plaisir memporta loin très loin. Les caresses sarrêtèrent pour me laisser le temps de récupérer.
Vincent, allongé sur le dos, mattira sur lui. Son sexe me pénétra tout naturellement. Son pal, épais me remplit totalement. Sa bouche vint heurter la mienne et un baiser passionné nous unit. Je me mis à onduler les hanches pour caresser la queue de mon amant avec mes muqueuses. Jétais trempée, mais jeus besoin de plusieurs mouvements de mon bassin pour trouver la bonne synchronisation avec Vincent.
Paul nous observait. Ses mains me caressaient les fesses. Je sentis Vincent se raidir quand je sentis Paul caresser les couilles de Vincent. Cest la première fois que je voyais mon mari toucher un homme. Je souris. Vincent se relâcha. Il semblait apprécier les caresses de Paul qui allaient de mon anus à sa queue qui entrait et sortait de mon vagin. Ses doigts pénétrèrent mon anus pour assouplir mes sphincters. Enfin, il se mit derrière moi et mencula, doucement, mais profondément.
Quel plaisir doffrir mes orifices à mes deux amants ce soir. Paul restait au fond de mes entrailles sans bouger. Il laissait le soin à Vincent de trouver le bon rythme pour mon plaisir, puis progressivement, Paul bougea pour alterner les mouvements de queue avec Vincent. Quand lun sortait, lautre rentrait. Les deux coquins me rendaient folle.
Vincent accéléra le mouvement. Paul suivit son rythme. Ils me limèrent, me défoncèrent ainsi pendant quelques minutes avant quune nouvelle jouissance memporte. Mon corps sétait contracté. Ma tête allait de gauche à droite. Jétais envoûtée par le plaisir intense et puissant qui menvahissait. Celui-ci atteint son paroxysme quand je sentis mes deux amants lâcher leur jus avec de puissants jets.
Nous restâmes quelques instants ainsi. Une odeur pleine de stupre remplit la pièce. Un mélange de nos secrétions et de sueur.
Paul sortit le premier. Vincent me fit rouler sur le côté. Nous étions épuisés. Nous nous endormîmes là, tous les trois étroitement serrés.
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