Retour De Brousse 2

RETOUR DE BROUSSE 2

On s’en souvient, j’ai quitté Jean dimanche soir, de retour d’une virée en brousse, tout remué par ce qui m’était arrivé autour de cette rencontre tout à fait inopinée.
Le dimanche matin, je ne le connaissais pas. Et, le dimanche soir, nous avions … fait connaissance. Intimement. Très intimement. Je ne savais rien de lui, J’ignorais bien sûr la suite, je me doutais bien que ce serait chaud, mais je n’imaginais pas à quel point.
J’ai rendez-vous chez lui le vendredi soir suivant. Je m’y rends en reconnaissance la veille, le jeudi, car je ne connais pas très bien son quartier. C’est assez loin de l’endroit où je suis logé par mon O.N.G. Et les maisons des coopérants comme Jean se ressemblent toutes, entourées de murs assez hauts surmontés d’arbustes luxuriants et protégées par de solides portails métalliques. Ainsi va la vie en banlieue de Conakry.
Comme je m’en doutais, Jean fait partie de la caste « coopérants aisés ». Arrivé sur place, je me présente à la petite bonne qui vient à la porte. Une jolie petite noiraude, plutôt mince malgré un derrière proéminent comme cela arrive bien souvent pour les Africaines. Un tablier blanc à l’ancienne, et sans doute pas grand-chose dessous.
- Monsieur Jean n’est pas là.
Elle me reconnaît car, dimanche dernier, c’est elle qui nous a servi à boire et elle a tout vu. Absolument tout vu. Elle a vu que j’étais sorti du pick-up en slip. Elle a vu que Jean n’arrêtait pas de me toucher les genoux, les cuisses, et même un peu plus haut, le vicieux. Au demeurant, elle me dira plus tard, sans aucune gêne, qu’elle ne s’est pas contentée de voir, elle a regardé. Ce qui n’est pas tout à fait la même chose.
Je la reconnais aussi. Je la revois avec son tablier blanc qui tranchait sur la couleur de sa peau et, pour le coup, je parierais bien qu’elle ne portait rien sous son tablier de servante ce dimanche-là. La cochonne !
- Je suis invité demain soir, et tout le week-end si j’ai bien compris.

Je voulais juste voir comment faire. Reconnaître l’endroit. Mais, si Jean n’est pas là, je m’en vais, je passerai plus tard.
- Non, non, restez, je vais vous faire visiter. S’il est prévu que vous restiez, vous dormirez sans doute dans la case réservée aux invités. C’est au fond du parc. Je peux vous montrer. Suivez-moi.
Nous visitons la case. En fait, un bungalow spacieux, confortable, un lit de 2 mètres de large, une douche comme je n’en ai jamais vue.Pour moi tout seul, c’est fabuleux, ça me changera.
- C’est moi qui ferai votre chambre. Quelle couleur préférez- vous pour les draps, les serviettes, et tout le nécessaire?
- Peu importe
- Moi, j’aime beaucoup le violet, clair. Si ça vous plait aussi, Je m’en occuperai si vous voulez. Vous serez bien ici. J’adore cet endroit.
- O.K.
- Demain soir, vendredi, il y a quatre convives. Je vérifierai quel sera votre rôle.
- Un rôle ? Quel rôle ?
- Je ne peux pas vous dire, c’est Monsieur Jean qui décide.
Avant de quitter la case et de revenir vers la maison, elle me prend par la main.
- Appelez-moi Honorine, si vous voulez, ou bien Awa. J’ai les deux prénoms. Pour Mr Jean, c’est Honorine quand il a besoin de moi comme servante ; c’est Awa quand il attend de moi d’autres services, plus intimes si je puis dire.
Pas besoin d’en dire davantage. J’ai compris le code.
- Moi, c’est Jeremy. Et je n’ai qu’un seul prénom, du moins pour le moment.
- Nous verrons, dit-elle en riant tout en se rapprochant suffisamment près pour me faire voir que le tablier blanc de servante ne masque qu’un minuscule slip noir, dont on voit mal à quoi il peut servir. Quant aux nénés, ils sont libres de toute entrave, et le haut du tablier ne cache absolument rien.

Impossible de résister.

- Tu as envie, Awa?

Pas de réponse immédiate, juste un regard qui en dit long, et deux ou trois gestes enchainés avec précision: la porte bien fermée, le rideau opaque tiré, le mini-slip à terre, et une main dans mon bermuda, tout de suite en pleine action.
Et la bite en position « tour Eiffel ».

- J’ai toujours envie, surtout avec un bel homme blanc.
- Oh, cochonne !
- Oh oui, j’aime être cochonne, salope même, et tu aimes ça, j’en suis sûre. Laisse-moi te toucher ; je veux te faire du bien. Et … toi aussi, fais moi du bien.

Rien n’était prémédité ; c’est un soixante-neuf d’anthologie. Je n’avais jamais fait, juste vu sur internet. Je ne pensais pas savoir m’y prendre mais en fait je réussis tout : avec le clito –je n’en avais jamais vu - ça vient tout seul ; avec la fente bien ouverte, ma langue pénètre et explore en douceur et fait jaillir le jus d’Awa; et même une jolie caresse intime sur le trou du cul, c’est génial.

Et, de mon côté, je me suis montré très endurant. Incroyable …mais vrai. Et la lampée qu’Awa a prise et entièrement avalée lui laissera de beaux souvenirs.

Décidément, tout va très vite pour moi ; il y a seulement huit jours je n’avais rien fait, rien vu ; et aujourd’hui les expériences se succèdent comme dans un film porno.

Sauf que … pour le moment, je n’ai pas encore pénétré ni chatte, ni anus, ni femme ni mec. Puceau !

- Quand tu viendras demain, je me débrouillerai pour te voir dès ton arrivée. Je t’en dirai davantage sur les convives, et sur ton rôle. Et tu sauras vite si je suis Awa ou bien Honorine.

J’ai hâte d’être à demain soir, mais je suis très intrigué.


Vendredi 17 heures, comme prévu, me voici à l’entrée. Inutile d’attendre, ma nouvelle amie m’accueille avec empressement. Ensemble noir, tablier et col blanc. Pas de doute, aujourd’hui je devrai la vouvoyer et l’appeler Honorine.

- Bonjour, Jeremy, nous ne vous attendions pas si tôt, mais venez donc près de la piscine pour vous rafraîchir.
- Je vous préviens, je n’ai pas de slip de bain.
- Pas grave, nous avons tout ce qu’il faut si vous voulez y aller.

Je décline l’invitation, et j’accepte un cocktail de fruits très rafraîchissant.


- Pour ce soir, j’en sais davantage. Ce sera une belle soirée.
- Je n’en doute pas.
- Quatre convives. Jean, et une grande amie, blanche comme lui. Elle vient assez souvent.
- Sa compagne ?
- Non, une amie intime, très intime même.
- Et les deux autres ?
- Un couple, que je connais un peu. Un Africain et son associée; c’est ainsi qu’ils se présentent. C’est une Noire, un grand gabarit.
- Et moi ?
- C’est un peu compliqué. Je vais tout vous dire, Monsieur Jean m’a demandé de le faire.
- …
- Je vous préviens, c’est un peu osé. Oui, c’est le mot qui convient.

Je sens que, à ce stade, je peux prétexter un empêchement et me tirer au plus tôt. Awa ne m’en laisse pas le temps

- Dans le temps, il n’y a pas si longtemps, lorsque nous avions un dîner, Jean amenait toujours son ouistiti, tout petit, tout gentil, toujours à ses pieds, comme cela arrive souvent avec les animaux familiers. Comme un petit chien. Rien de mal à ça. Un beau jour, ce petit bonhomme - appelons-le comme ça - s’est mis à lécher les pieds d’une convive féminine, puis les jambes, puis un peu plus haut … et elle a finir par rosir, rougir et jouir ! Et Ouistiti ne se l’est pas fait dire deux fois ; les trois femmes de la soirée y ont eu droit. Sous les grands pagnes de ces dames, c’est facile. Il n’y a, comment dire, aucun obstacle. A tel point que les femmes ont eu très grand plaisir et pensé que c’était voulu.

Sur le moment, personne n’a rien dit, les femmes étaient persuadées que cela faisait partie du programme. Quand Jean l’a appris, et surtout qu’il a su combien les dames avaient aimé, il lui est venu l’idée de cacher sous la table avant le repas non pas le ouistiti, mais l’une des petites bonnes. Nous sommes quatre, en comptant la cuisinière et la femme du gardien de nuit. A tour de rôle. Il y a une grande nappe, on se glisse là-dessous avant le repas, on ne nous voit pas. Et on s’occupe de ces messieurs-dames tout le temps du repas.
Et je peux te dire, Chaud devant … et derrière aussi ; mais, ça, c’est après le repas.

- Bon, si je comprends bien, ce soir c’est moi le Ouistiti.
- Eh oui, dit-elle dans un éclat de rire. Et il faudra t’appliquer, tu auras une belle récompense.
- Les convives sont au courant ?
- Oui et Non. Ils savent qu’il peut se passer quelque chose sous la table et généralement ils sont habillés en conséquence. Mais ils ne savent pas quoi exactement. Et surtout ils ne savent pas Qui.
- Si on m’avait dit ça ?
- Viens, on va à l’arrière, tu verras les convives arriver. Eux ne te verront pas.
- O.K.
- Quand ils auront pris l’apéritif, Jean leur fera visiter la maison. La salle de gym, la salle de jeux. Je te montrerai tout cela quand on aura le temps, c’est … spécial. Et ensuite, quand la table sera dressée, et avant qu’ils s’installent, tu iras sous la nappe. En petite tenue.
- En petite tenue ?
- Oui, dit-elle en pouffant. C’est moi qui te donnerai. Ainsi que tout ce dont tu peux avoir besoin.

Comme annoncé par Awa-Honorine, deux voitures se présentent.

Les deux Blancs en premier. Très corrects en apparence. Monsieur Jean en costume blanc, chemise parme. Rien à voir avec la tenue de brousse du dimanche précédent. Madame en grande robe blanche également, une petite étole assortie à la chemise du mec. A l’évidence, pas mariés, comme l’avait dit Honorine. A l’évidence aussi, ils n’ont pas de secret l’un pour l’autre.

Un regard discret en direction d’Honorine. Pas besoin de se dire quoi que ce soit, elle a fait signe que tout était en ordre comme prévu.

La voiture des deux Africains se présente à son tour. C’est un tout autre style. Monsieur est du genre costaud. Il a une djellaba chic. Madame est aussi un grand gabarit, une géante. Des épaules jusqu’aux elle est enveloppée dans un immense et ample pagne coloré et fendu. Comme elle remue beaucoup, on aperçoit les seins, fermes et bien pointus comme des obus, et les cuisses bien dessinées. La coiffure est du même tissu. Les jambes sont longues, longues, longues … Quand il faudra s’attaquer à cela, comment faire ? . Il faudra qu’Awa me dise comment m’y prendre.

Les choses sérieuses vont commencer pour moi.
- Viens par ici, tu vas mettre ta tenue de soirée.
Elle se marre, en me tendant un bermuda coloré, qui me semble bien grand.
- Mets – toi tout nu, je vais te préparer.
Pas le temps d’esquisser un geste. Avec une dextérité remarquable, elle m’enlève tout. Absolument tout. Et voilà qu’elle me tripote la bite et me pétrit les couilles, qu’elle me glisse un doigt dans le cul, qu’elle me pince les tétons … comme si on allait me vendre aux enchères.
- Hmmm elles ont de la chance les deux vieilles ; j’aurais bien aimé être sous la table avec toi.
- Jalouse.
- Allez, il va falloir enfiler ce boxer ; il semble grand, mais il ira bien. Tu seras à l’aise.
- Parle-moi de mon rôle s’il te plait.
- Bon, tu auras deux couples face à face, chaque homme en face de la femme de l’autre, si l’on peut dire. Tu dois arriver à amener chaque femme à l’orgasme, tout doucement, il faut leur donner envie… Mais personne ne doit savoir où elles en sont quand tu les caresses. Tu te sers de tes mains, de ta langue, tu te débrouilles, tu peux même mortifier un peu le clito, elles adorent, elles n’attendent que ça.
- Mortifier ?
- Ce n’est peut-être pas le mot qu’il faut. Tu as des doigts, des ongles, des dents… Vas-y, mais sans faire mal. En général, quand elles jouissent, elles le font en silence, et te le font comprendre avec leur main, et tu passes à autre chose.
- OK.
- Ah oui, j’oubliais, la grande noire, on l’appelle la Sultane. Tu verras, tout est hors norme chez elle.
- Je l’ai vue tout à l’heure, je m’en doute un peu.
- Elle a une particularité, c’est ce que les Blancs appellent une femme-fontaine.
- ??
- Tu verras, c’est pour le moins surprenant.
- Bien, je verrai. Et les hommes, je m’en occupe aussi ?
- Quand c’est moi ou une de mes collègues, nous nous occupons de tous les convives. Tu feras pareil. Comme il n’y a que quatre convives c’est facile. Comme pour les femmes tu te sers de tes mains, de ta bouche, tout ce que tu veux, mais toujours sans leur faire mal. Tu dois arriver à faire juter chaque mec une fois, mais pas davantage. Ils ont toute la soirée pour remettre ça, ce sera sans doute à la salle de jeux.
- Autre chose à savoir ?
- Je vais te dire un secret. Si la Sultane a une culotte il faut que tu lui enlèves et la fasses passer à Jean. Il adore ça …

En moi-même je me dis que je ferai pareil à l’autre. Comme ça chacun aura son trophée pour sa petite collection.

La visite est terminée, tout le monde arrive, les affaires sérieuses vont commencer.

- Ne reste pas à poil, mets ton boxer ; j’ai glissé des kleenex dans la petite poche.

En fait, à ce moment, elle ne porte plus que son tablier blanc. Autant dire qu’elle ne porte rien. Sa chatte est recouverte de poils courts mais crêpus. Hmmm Inutile de vous dire si je bande, je ne vais pas pouvoir résister.

- Tu veux , Awa, là, tout de suite ?
- Oh Oui, que je veux, j’en meurs d’envie. Entraine-toi, vas-y, je suis à toi … Prends-moi, Jeremy, prends-moi une bonne fois comme un zèbre en manque avant de faire jouir les deux vieilles. Viens dans moi, rentre d’un coup, je suis toute mouillée de t’avoir tout expliqué. Viens m’embrocher. Vite, je n’en peux plus !!!
- A quatre pattes, Mignonne, en levrette. Je vais te mettre une bonne dose, tu t’en souviendras.

En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, me voici enfoncé dans la chatte d’Awa, mes couilles battent contre le haut des cuisses et elle se met à me les pétrir, les serrer, oh oui c’est bon.

- Fais-moi mal, tripote-moi bien salope, je vais t’inonder.
- Oui, Oui.. j’adore, lâche tout, remplis mon ventre, envoie tout le jus.
- Tu as joui ?
- Super bien, on recommencera. Et la prochaine fois, si tu es en bonne forme, bien dur comme aujourd’hui, je te donnerai mon cul.
Au boulot, maintenant.

Je n’ose le dire, mais voilà que je ne suis plus puceau, un grand progrès pour moi. Je vais m’appliquer à bien jouer mon rôle de Ouistiti. Ils ne vont pas le regretter.

(A suivre)

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