Un Saint-Valentin D'Espert...
J'ai parcourus tous vos messages, vos incitations à continuer d'écrire. J'ai stoppé l'écriture car j'avais cru bien faire de changer de "maître", et croire en ces belles promesses.
Oui j'ai découvert et élargis mes connaissances de soumise, avilie et humiliée en privé et en public. Il m'interdisait l'échange écrit sur mon statut ou juste avec un cercle restreint de "voyeur-lecteur" sur une page dédiée.
Donc, j'ai découvert les clubs privées, pratiquée la balançoire, le gloryhole, le pluralisme masculin et féminin. L'humiliation à me montrer dévêtue malgré ma pudeur ou la gène de mon corps, que j'ai appris à apprécier un peu mieux. e et vendu à mon insu....
J'en parle maintenant mais le chemin a été long. Ce qui explique mon silence.
J'ai quitté cette homme, avec qui j'ai pris du plaisir dans des jeux de souffrance, oui j'ai joui et j'ai aimé.
Il savait être attentionné en société et cruel en privé ou un peu moins privé... Nombre de fois je suis rentré apeuré, peur de faire une étourderie que mon homme remarque quelque chose... J'ai souvent été marquée, les marques de flagellation , de rougeur de cire, mon sexe et mon anus meurtri par les assaut répète lors de soirées plurielles. Je ne regrettais pas mon état d'objet.
Mais voila... En ce jour de saint valentin je suis excitée pas parce que mon homme va m'emmener au resto et vouloir que je baise après... Mais par l'envie de m'offrir.... Je vais donc me pomponner et me diriger vers un lieu dans lequel je n'ai plus pénétré depuis un long moment... il est presque 11 heures . Je pousse la porte seule, le boss est derrière le comptoir. Un sourie et un bonjour , je fait le tour et m'approche de lui l'embrasse, sans qu'il ne demande je m'agenouille et ouvre la bouche... Sans en demander plus il sort son sexe et me le donne. Je le suce un long moment. Il stoppe net. il me relève, je suis frustré mais excitée. Il me demande la raison de ma venu, je lui demande si je peux me mettre à l'aise.
Il n'hésite pas donc a me dicter de retirer le chemisier, mon SG et ma jupe. Il m'abandonne. Je suis en collant ma culotte dessous. je suis dans la cabine le rideau ouvert, un sentiment partager entre être surprise dans ce simple appareil et l'envie d'être surprise. il revient et sans ménagement découpe mon collant pour laisse les accès. il me caresse à travers ma culotte, qui est déjà humide. Il me sépare d'elle et me glisse dans la bouche. Il me dit :"Alors tu veux t'offrir, bien je vais satisfaire tes envies, donne tes limites."
Je ne réfléchis pas longtemps et je lui dis :" pas de sang, et de marque profonde il y a des chances je serve à mon homme ce soir."
j'ai vu ces yeux s'illuminer et chercher quelques accessoires, il me dis met les bracelet aux chevilles et ensuite me fixe ceux aux poignets. Il pose un tabouret dans la boutique et m'ordonne de mettre a plat ventre dessus. Je suis installée, mes seins pendent, il me fixe sur le tabouret mes fesses offertes et mes mamelles pendantes. Je l'entends pianoté sur son ordinateur. puis il revient, il me glisse un bandeau, et retire ma culotte de ma bouche pour y fourrer sa queue. Je sens la caresse dans mon dos de bandes fines et je devine aisément la nature de l'objet. A peine mon esprit a-t -il pris conscience de l'état de l'objet que je le sens s'abattre sur mon cul. 1 puis 2 puis encore... il cesse la porte s'est ouverte. Une voix de femme se fait entendre. Je sens qu'elle s'approche. Elle cherche de la lingerie puis elle dit : "une assistante ? "
Il réponds: "non, une salope en préparation pour son Valentin".
"Alors occupez-vous de moi et de mon look pour ce soir elle a le temps n'est-ce pas ?" et me donne une claque sur les fesses.
Je l'entends faire des essayages et demander des conseils. Le minutes sont longues, elle tourne dans le magasin, et demande si elle fait assez salope.
Le Boss, reviens vers moi. Il tape mes fesses énergiquement et me fait pousser un cri. Je sens le regard de cette femme et je crois distinguer le crissement des bas de ces jambes qui se croisent et se décroisent. Je sens maintenant les lanières du martinet qui passe sur mon dos ; les laniers se pose sur la raie de mes fesses et le manche se pose sur mon dos. Le Boss me dis : « ne fais pas tomber lobjet de ton désir ». Je sens ces mains prendre mes seins et puis mes tétons, il les roules entre ces doigts, de plus de plus en plus fort, son dernier pincement ma semblé si violent que le martinet a roulé et est tombé au sol. Le Boss dun ton sec me dit : « quai-je dit ? ». Je suis figée. La voix de cette femme retentit comme un coup de canon : «si jai compris elle va mériter une punition ?, Puis-je ? » « Mais je vous en prie ! ». Je lentends se baisser et prendre lobjet de ma soumission. Je sens un courant dair, puis les lanières qui sabattent sur mes fesses ; la violence du coup me fait hurler, un second sabat dune même violence
Ma tortionnaire semble y prendre goût car je reçois encore quelques coups supplémentaires et je ne peux contenir quelques larmes. Le boss guide ma tortionnaire en lui disant quaprès la punition surtout si cela vous a plu, il faut la remercier. Je sens alors une main caresser mes fesses endolories, cela mapaise. Puis je sens les mains écarter mes fesses, cela force sur mon anus qui me semble souvrir sous cette écartement. Le Boss demande :«Cette vision vous est-elle agréable ?. » Elle répond : « Très, mais je nai jamais tenté cette approche ni sur un homme ni sur une femme. » « Et bien laisser vous allez elle est venue soffrir profitez. » Je sens une langue hésitante qui parcours mes fesses mais nose pas venir sur mon illet.
Nous sommes dans le salon je me pose à 4 pattes et offre mes fesses, toujours hésitante elle bise mes fesses. Je lui propose de se laisser faire et de profiter de mon expertise. Je me retourne dézippe sa jupe et fait glisser sa culotte toute humide, assise jécarte ces cuisses et ouvre son sexe ma langue cherche déjà son bouton. Elle ne résiste pas longtemps et je sens sa main caresser ma tête, sa cyprine est assez acide mais pas désagréable. Ma langue voyage sur tout son sexe et son bouton. Elle ne sait retenir ces gémissements et commence à laisser échapper des cris et des mots crus qui mincite à être plus salope et je passe un doigt dans sa raie et lui caresse son anus et insiste et pénètre petit à petit. Lexpression de son plaisir attire des curieux car japerçois le rideau bouger. La réalité des choses la rappelle à la réalité, est-elle restée sur sa fin, mais en toute hâte elle se rhabille et quitte le salon.
Je maffale dans le canapé et visionne cette vidéo qui passe en boucle. Je ne résiste pas longtemps à écarter mes cuisses et glisser mes doigts sur ma chatte. Je joue avec mon bouton, alors que sur lécran la femme se voit assaillit 4 beaux mâles, elle est introduite de partout et cela mexcite je ne résiste pas à prendre le « wand-magic ». Je pars très rapidement.
Japerçois le rideau qui souvre et le Boss est en grande discussion avec un couple. Il mattire vers lextérieur, toujours dans le plus simple appareil juste mes bas et mes hauts talons. En homme prévenant il me remet une nuisette très vaporeuse que jenfile. Il rend sa superbe au salon et laisse le couple se détendre.
Je me retrouve au comptoir assise sur la chaise haute, je fais remarquer au Boss que je ressemble à ces entraineuses des maisons closes et lui glisse que cela mexcitait. Je le vois tapoté. De douce vocalisent séchappe du couloir.
Jentends du monde et des pas qui arrive, le Boss de manière autoritaire mordonne de me mette à 4 pattes sur le divan et de présenter mon cul, le jeunot semble effrayé, je lui souris et le rassure. Sans perdre de temps des claques sabattent sur mes fesses, et jentends : « Bien messieurs, elle est à vous
».
Sans avoir le temps de comprendre je sens une queue frotter mon illet. Une puis deux mains malaxent mes seins et tournent mes pointes. Soudain sans ménagement je sens le sexe enfiler mon illet, une vive douleur qui laisse place au plaisir de la pénétration anale.
Jembrasse le jeunot qui retrouve de la vigueur. Son gland qui me semble épais vient de me perforer et il entame un va et vient assez brutal, je ne résiste pas et lâche des cris démonstratifs entre la douleur de me voir éclater la rondelle et lexcitation du moment. Des doigts amusent ma chatte et cette sensation diminue ma douleur anale.
Il se retire, mais jai la sensation dêtre encore ouverte. Des mains enserrent mes hanches et sans ménagement une que queue senfile dans ma chatte chaude et inondée. Les mains agrippées à mes hanches, je suis burinée sans ménagement. Le sexe ressort et je sens de la chaleur couler du fluide sur mon dos et la raie de mes fesses. Pas de pause je sens une autre queue se frotter sur ma raie, se poser sur ma rondelle, et je la sens à nouveau e, jesquisse un mouvement vers lavant mais je suis maintenu et attiré sur le gland qui mexplose littéralement et marrache un cri de douleur plus que de plaisir. Putain il me transperce
Ce nest pas une bite quil rentre, cest pas possible, jai des larmes qui perle sur mes joues. Je me sens déchirée, mais je jouis très vite et très fort. Il reste en moi sans bouger, jai limpression que son sexe grossi encore
Il commence un va et vient lent, chaque mouvement marrache un râle. Je nai pas remarque mais je tenais toujours le sexe du jeunot qui à retrouver toutes sa vigueur. Je plonge dessus et le suce pour oublier la douleur de mon anus. Le va et vient de ma bouche est rythmé par celui que mon cul de salope reçoit. Après quelques minutes de maltraitance je le sens se rependre en moi et mon jeunot ne tarde pas à exploser dans ma bouche. Javale son jus et sans ménagement il se retire et je meffondre sur les cuisses du jeune. Je ne sais plus où je suis. Une douleur forte me brule lanus, ma chatte est inondée mais pas le courage de me soulager. Le boss arrive me caresse les fesses, et me glisse a loreille : « tu as été parfaite, tes deux baiseurs ont été ravi de tenculer, et tu as ameuter une cliente, elle ta maté et ma branlé et sucer, as-tu aimé ? » Je lui réponds que je ne sens plus mon anus et je crois que je vais fuir tout le sperme qui est en moi.
Le jeune quitte avec un merci Madame, putain jai pris une claque, une impression dêtre vieille et lautre de me sentir pute. Je remets de lordre dans mes idées et mes vêtements. Ma démarche est très particulière et douloureuse Au comptoir je donne un baiser et remercie le Boss. Et me glisse dans la main un billet, il me dit tu pourrais être une sacrée gagneuse. Je me sens humiliée mais excitée
.
Merci pour ce jour damour transformer en journée de sexe.
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