Collection Zone Rouge. Poupette. Saison Ii (18/20)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je sens intuitivement quavec les hommes, depuis le début de ma vie, tout va de travers, de mon père inconnu pour moi à Bob mon beau-père qui ma prostitué, rien ne colle.
Alors quand je rencontre Abby infirmière de son état, que jai failli en balançant mon beau-père du 10ème étage tombant à quelques centimètres de sa tête, je décide de lui faire confiance.
Je lui dis que cest moi qui lai balancé.
Elle encaisse sans sembler étonné.
- Comment as-tu fait ?
- Comme je te lai dit, il ma conduit chez le sénateur, qui a essayé de me baiser afin dapprécier la marchandise quils allaient mettre sur le marché californien ayant atteint mes 18 ans.
Dès que jai été nue il ma flatté la croupe comme si jétais une vache que son fermier voulait vendre à un maquignon.
Comme le sénateur a aimé la marchandise présentée, il a demandé à Bob de partir fumer sur sa terrasse lui offrant une bouteille de whisky.
Je me suis mise à la tâche et après que le sénateur eut déchargé, il sest endormi rattrapé par la fatigue.
- Cétait normal à son âge.
- Tu as raison, je suis allée faire pipi et me laver la chatte dans son bidet.
Jignorais où elle était.
Je suis passée par la salle à manger, la fenêtre était ouverte, jai vu mon souteneur sirotant son verre debout devant la rambarde.
Je me suis approchée sans bruit en me baissant pour éviter que lon ne me voie, je suis venu derrière lui.
Il a dû tentendre arriver car il sest penché.
Jai saisi lopportunité, je lui ai saisi les chevilles, jai tiré vers le haut et dans létat où il était il a basculé.
- Tu as failli me .
- Jaurai pleuré toutes les larmes de mon corps ma petite chatte.
Malgré laveu que je viens de lui faire, Abby me reprend dans ses bras et un grand éclat de rire nous plie en deux.
- Tu as eu peur.
- Dans ces moments-là, je peux tassurer quon agit, nos pensées sont en partie bloquées.
Prestement, je suis retournée près du sénateur que jai réveillé sûr que la police allait venir voir si cétait de cet appartement quun homme était tombé.
Cest Tex qui a frappé et vu les circonstances et une lettre dun médecin de ton hôpital lui confirmant quil était atteint du virus du sida.
Il lavait certainement contracté en se piquant avec des seringues car il se droguait.
Il avait entraîné maman dans ses débordements en la faisant picoler et elle aussi ce piquer.
Cette lettre fait quil a conclu quil sétait balancé dans le vide pour éviter de souffrir.
- Si je comprends bien quand nous avons fait lamour, tu étais peut-être infectée ?
Cest avec des accents de peur quAbby me dit ces mots.
- Jai perdu Cassidy, il est hors de question que je te perde.
Ce coup-là, cest mon cou que je tranche !
- Crois-tu que je taurais fait prendre le moindre risque, quand jai su le risque quon mavait fait courir, jai immédiatement fait faire un contrôle à lhôpital ?
Appel le médecin du service qui sest occupé de maman, il te confirmera comme il la fait pour moi que je suis séronégative.
Je suis passée au travers où ils se sont contaminés après la dernière fois où il ma baisé.
- Tu me rassures, je vais te dire, tu as bien fait, il ta baisé, ta obligée à tapiner pendant deux ans avant que tu lui fasses son affaire.
À ta place je laurais fait dans la première année, ton secret est devenu mon secret.
- Merci et cest pour cela que jai accepté de me marier avec le grand boss.
- Le mariage a lieu quand.
- Dans quatre jours, mardi après-midi à 14 heures à la mairie et après à léglise.
Le sénateur est dorigine italienne et malgré son peu de considération pour les femmes, comme il mavait dit accepter ce que je lui demanderais jai la chance quil respecte sa parole.
- As-tu pensé à ta robe ?
- Les événements se sont bousculés et je pense que je vais remettre la tenue de pute que javais en entrant chez toi comme elle est blanche.
- Non, on va jouer le jeu jusquau bout.
Je vais toffrir quelque chose, nous avons la même taille bien quà cause de mon âge je suis un peu plus ronde.
Elle se lève, fait glisser la glace de son placard à vêtement et sort une robe blanche de mariée.
- Cest la robe que je devais porter et que javais acheté comme le veut la tradition sans que Cassidy la voie pour le jour de notre mariage.
Jai failli la brûler, mais je me souviens quune petite voix ma dit de la garder, essaye là je te loffre.
Il est minuit quand je me lève à mon tour et quaprès lavoir prise dans mes bras pour une nouvelle fois lembrasser, jessaye la robe jusquaux chaussures à talons hauts parfaites.
Elle ma ceintré la taille avec des épingles de nourrice et refait lourlet trop haut de 3 centimètres.
- Je vais la reprendre et lajuster à tes mesures.
Jai une machine à coudre car jadorais faire des affaires à Cassidy.
Son traitement était très onéreux et grevait notre budget sans compter quau fil du temps sa silhouette changeait et que javais tout à refaire.
- Merci, tu seras mon témoin nous partirons ensemble dans la limousine que le sénateur met à ma disposition.
Je crois que je vais me la faire offrir si en prime il me laisse le chauffeur qui ma conduite lautre jour.
- Tu veux quil te saute, tu as flaché sur lui.
Excuse-moi Claudia, je tai dit que tu serais libre et que je réfreindrais ma jalousie !
Ça a été pareille avec Cassidy, elle était loin dêtre assez vaillante pour aller draguer mais quand nous sortions ensemble, il suffisait dun regard vers une autre pour que ma jalousie lemporte.
Elle est morte alors que nous avions eu une crise de couple à cause de moi.
Alors mon bébé si la queue de ce garçon fait partie de tes fantasmes, je taiderais à lassouvir dès que nous en aurons loccasion.
- Et toi que mettras-tu pour mon mariage madame mon témoin.
- Viens choisir, nous aurons vite fait le tour, je me focalisais sur les affaires de Cassidy et je moubliais quelque peu.
Nous allons dans larmoire.
- Ça non, ça non, surtout pas, horrible je me demande pourquoi je la garde, oui cela peut être mais je vais avoir lair dun boudin.
- Tu rigoles toi un boudin, une vamp, une fille fatale plutôt regarde-moi qui ai eu des centaines de bites à ma disposition, jai attendu ma 18e année pour goûter aux chattes des femmes.
Hier Marina et aujourdhui la femme la plus belle que jai eu la chance de rencontrer.
Jai une idée, attends.
Je fais le chemin inverse vers la porte dentrée et je ramasse toutes mes affaires.
- Met ça.
- Je vais avoir lair dune pute surtout que la jupette en cuir va me serrer au maximum.
- Tu seras très belle, tu seras ma pute blanche pour la journée.
Je suis sûr que les paparazzi qui vont photographier mon mariage seront persuadés que cette jolie fille qui signe les registres comme témoin sils connaissent mon histoire est une péripatéticienne avec laquelle jai tapiné.
- Je suis rouge de honte, attends, je vais lessayer.
Déjà nue en cinq minutes elle est habillée, je serais un mec je lui mettrais ma main au cul.
- Tu vois, elle te va très bien, la jupe est assez souple pour y mettre ton gros cul.
Au pardon ton joli petit cul, combien prenez-vous mademoiselle ?
- Pourquoi me poses-tu cette question ?
- Regarde-toi dans la glace, tous les hommes vont vouloir te sauter, fait les payer, au moins que cela nous rapporte.
- Méchante tu te moques de moi.
- Aller, viens que je tenlève tout ça, je taime en pute mais je te préfère nue.
Je crois que ta chatte veut que je te la fiste, cest le mot que tu as employé si je me souviens bien.
Cest ainsi que jai moi-même le plaisir de lui ôter un à un ces petits vêtements pour la pousser sur le lit où elle semble avoir plaisir à sallonger me montrant sa chatte dune façon aussi obscène que moi tout à lheure.
Japproche ma bouche et dès que je la touche un premier jet de sa cyprine arrose mon visage.
Mes lèvres étaient à moitié fermées pour capter son bouton, les trois autres longs jets atteignent le centre de ma bouche mais je manque de m tellement ils sont fournis.
Lorage passé javance ma main et jentre un et deux et mes cinq doigts bien repliés que je tourne et qui glissent sans aucun problème tellement le terrain est trempé.
Cest incroyable laccélération des choses, vous prenez une décision qui aurait pu ruiner votre vie et vous vous retrouvez la main entièrement enfoncée dans la chatte de votre nouvelle amie.
Tout cela en moins de huit jours, écrivez cela dans un roman et personne ne pourra le croire, pourtant
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