Séminaire D'Entreprises Et Location D'Appart

Salut ! Moi, c’est Julia.
Après un BTS secrétariat, j’ai obtenu un poste dans une grande compagnie d’assurance.
Nous sommes au moins 20 nouveaux, dans l’agence.
Un séminaire d’une semaine en banlieue Parisienne est organisé pour notre présenter le b.a.-ba.
Tout est payé, sauf le logement…
Pour se loger, on doit avancer les frais, puis se faire rembourser par la boite.
Sur les conseils des mecs du groupe, je prends, comme tout le monde, un appart via un site web de location entre particuliers.
Jusque là tout va bien. Je fais comme les autres.

Veille du séminaire, il faut monter sur Paris, puis aller en banlieue…
On prend le TGV à Bordeaux, et on papote.
On compare nos CV, nos vécus et petit à petit on apprend à se connaitre.
David me cherche un peu. Il est beau gosse, mais commence à être relou. Il demande mon avis, pour chaque question échangée dans le groupe. De nature réservée, je n’ai pas envie de m’exposer en donnant mon avis, sur des sujets auxquels je m’en fiche.
Pour stopper ça, je décide de faire une sieste.

Arrivée devant mon appart, je constate que nous avions tous réservés dans le même immeuble.
Ce sera pratique pour aller au séminaire. Mon sens de l’orientation n’est pas top… Je suivrai les autres.
Mon appart fait une pièce. Le lit est grand, ce qui est cool.
Je suis au 2e étage, mais la vue n’est pas top. Il y a d’autres appartements justes en face.
Je pose ma grosse valise et je décide d’aller à la douche.
Poua… Comme je suis au 2e étage, il n’y a pas de rideau dans la pièce principale.
Moi qui suis assez pudique, je vais galérer…
Tant pis, j’me dis que cela ne va durer qu’une semaine. Et la douche, à sa propre porte. Donc ça va le faire !
Je prends ma douche, et me rends compte que j’ai oublié ma serviette dans ma valise. Et celles fournies avec l’appart sont encore pliées sur mon lit… Ça commence bien…
Pas le choix, j’avance rapidement dans l’appart et récupère ma serviette.

Je retourne dans la douche, et finis de m’essuyer.
Ce soir, le groupe veut sortir au restaurant, pour continuer de se connaitre. Avec ce séminaire, puis 6 mois de CDD à travailler ensemble, je pense que cette sortie est une bonne idée.
J’ai une petite heure devant moi. Je garde la serviette autour de mon corps.
Je décide d’allumer la télévision. Il y a apparemment plus de 400 chaines en clair. Espérons que je trouve rapidement quelque chose d’intéressant…
Je ne trouve pas la télécommande, donc j’allume directement l’écran. Il n’y a qu’un seul bouton, je ne risque pas de me tromper. C’est galère à allumer, car le bouton On/Off est fendu en deux…
Je parviens finalement à allumer cet écran.
Il s’illumine et le son me parvient. Je ne comprends pas la langue, mais je vois à l’écran une scène hot.
C’est un film érotique ou porno ! Oh puti, les gens avant moi, on laissait cette chaîne avant d’éteindre la télévision.
Je me sens un peu honteuse de voir ça, et surtout d’entendre ces bruitages.
C’est bien un film porno que je vois ! Une femme prend plaisir à sucer une énorme bite. La taille est impressionnante, difficile de dire si c’est possible d’avoir un sexe aussi grand et gros.
J’arrête de regarder, je cherche un bouton de contrôle de volume sur l’écran. Rien ! Seulement bouton On/Off à moitié pété.
Je n’arrive plus à éteindre l’écran non plus.
Le mec commence à baiser la fille. Elle crie de manière grossière. Ce n’est pas naturel, mais la scène commence à me donner des mauvaises pensées car l’expression de son visage renvoie bien le plaisir qu’elle prend à jouer cette scène (Je me vois à la place de cette femme)…
Je cherche la télécommande dans ce fichu appartement…
Rien !!! Je ne trouve rien !!! Ça me saoule !
*Toc Toc Toc*
- Julia t’es là ?
Surprise. Je me tourne vers la porte. Je ne reconnais pas la voix. J’imagine que c’est un mec du groupe.
*Hummmm hummmm ohhhh yeessss ohh yessss ohhhhh hummmm*
Puti, le son de la télévision !
Le mec va croire que je baise ou autre !
* Toc Toc *
- Julia ? C’est David. Ça va ?
Je cours derrière l’écran et débranche la prise électrique. Ma serviette tombe.
Je cris :
- Ah ouais David ! Oui ça va nickel.
Attends, je m’habille et je trouve.
- Ok. Je rentre.
Mon cerveau n’a pas relevé cette dernière phrase.
- Je ne m’attendais pas à te voir à poils. T’es osée toi !
- Quoi ?! Mais qu’est-ce que tu fous là ! Je t’avais dit que je m’habillais !
- Mais non, tu m’as dit d’ouvrir.
- Mais n’importe quoi !!!
Retournes-toi !
- OK. Pas de soucis.
N’empêche que tu es vraiment charmante comme collègue. Ce séminaire commence bien.
- J’sais pas à quoi tu penses, mais oublie vite !
- Je ne risque pas d’oublier, vu ton corps de rêve !
Sur ces mots, je bug… Je ne dis rien, et finis de m’habiller.
Il s’assoit sur mon lit.
- Ah la chance, tu as une télévision toi !
Tu regardais un film avant que je n’entre, car j’attendais des bruits. Comme si tu n’étais pas seule.
- Non. Tu dois te tromper. Cette télévision ne fonctionne pas.
Je vois que son regard s’arrête sur la prise électrique se trouvant au sol, sous la TV.
- En même temps, si tu ne la branche pas, elle ne risque pas de fonctionner.
Regarde !
Je le vois brancher la télévision. Pourvu, qu’il ne l’allume pas !
- C’est galère à allumer. Le bouton semble cassé. Tu sais où est la télécommande ?
Ouf…
- Non, je crois qu’il n’y en a pas. Peut-être qu’elle était débranchée exprès, car je n’ai pas payé de supplément pour ça.
- Ouais, probablement.
Sinon, ce n’est pas trop dur d’être loin de mec pendant 1 semaine ?
- Ça devrait le faire. J’espère que le séminaire arrivera à occuper mon attention, pour ne pas m’ennuyer quoi !
- Ouais c’est clair.
- Et toi, une semaine sans ta copine ?
- Je suis célibataire. Pour le moment, je ne cherche pas à me poser, que ce soit pour le boulot ou pour les amours.
Je profite de toutes les occasions qui s’offrent à moi.
Et ce matin, je suis ravi d’avoir vu nue. C’est pour ce genre de situations que j’aime les stages, les sorties à plusieurs…
- Mouais… Bah j’espère que tu as bien profité, car tu ne risques pas de me revoir comme ça, de toute ta vie.
D’ailleurs si ça pouvait rester entre nous, ça m’arrangerait. Je suis assez pudique.
- T’inquiète. Je ne dirais rien.
Tout en souriant, il ajoute :
- Tu es pudique, mais tout le monde a le droit de changer, hein !
- Bah, pas moi. Je me conviens comme ça.
- J’rigole… Il nous reste 20 bonnes minutes avant de rejoindre les autres.
David s’assoit sur mon lit et regarde un peu partout dans la pièce. Il jette un coup d’œil sur ma valise ouverte. Son regard se bloque.
- Ah ouais, t’as pris ton petit jouet pour dormir.
- Qu’est-ce que tu racontes ? Tu parles de quoi ?
Il saisit un objet dans mon sac et me le montre.
- T’es le genre de fille qui se dit pudique, mais qui prend un godemiché pour se masturber une semaine loin de son mec. T’es assez chaude comme meuf !
- Mais arrête ! C’est toi qui l’as mis ! Je n’ai jamais vu ce truc.
- Pffff… Allé... En plus tu n’assumes même pas.
- Mais vas’y tu me saoules. Je te dis que ce n’est pas le mien. Je n’ai jamais vu ce truc.
Je regarde ma valise, pour confirmer que ce n’est pas bien la mienne.
Mon portable vibre. J’ai reçu un sms.

« Coucou chérie, j’espère que tu es bien arrivée.
J’ai mis une petite surprise dans ta valise.
Comme ça, même loin de toi, je sais que je peux te procurer du plaisir.
Je sais que tu peux y prendre du plaisir. Je suis excité rien que d’y penser !
Je te demande de l’essayer cette semaine, pour qu’on envisage de faire plus à ton retour.
Profite bien, ma bonnasse ! Bisous partout. ;) »

Oubliant que David était là, j’ai lu ce sms d’une voix basse, mais suffisamment audible, pour qu’il ait entendu.
Au même moment, je le vois trifouiller le bouton de la télé.
Elle s’allume !
Oh putain !!! Le film porno réapparaît.
David est surpris de cet enchaînement de situations.
Il s’approche de moi.
- Avec tout ce que je sais sur toi, sois je balance tout au reste du groupe, et je te fais une réputation de trainée dans toute l’agence, soit toi et moi, on va penser un bon moment ensemble.
Choquée par ces mots, je reste bouge bée.
Il s’approche de moi et m’enlace.
Il m’embrasse. Je ne sais plus si je dois le repousser pour qu’il balance tout ou me laisser faire, car j’ai besoin de ce boulot.
Comme je ne le repousse pas, il glisse une main sous ma robe, et parvint rapidement à l’entrée de ma chatte.
- Tu aimes ça. Tu es toute trempée.
J’ai surement mouillée lorsque j’ai vu le film porno avant que David ne soit là.
Quoi qu’il en soit, ses caresses sur mon clitoris me font un bien de fou.
Des idées perverses me traversent l’esprit.
Il glisse mon string à mes pieds, puis m’allonge sur le lit.
Je sens son excitation. Ça m’excite aussi. Je me laisse faire, je ressens son désir, je sens ses muscles durs sur mon corps, j’ai envie d’être prise violemment.
Je ne me contrôle plus. Des mots sortent de ma bouche sans que je puisse me contrôler :
- Baise-moi ! Baise-moi fort !
Prends-moi comme une pute !!! Je veux montrer à mon mec que je peux être une vraie salope comme il le veut depuis toujours ! Aaaaah ouuuuiii baise-moooiiiii !!!
Ahhh j’aime ta bite ! T’es un vrai salaud !!! Fais-moi jouir !!!!!
Il accélère ses vas et viens jusqu’à sa jouissance.
- Ah c’est bon… Tu es bien serrée petite salope. C’est si bon !!!!
- Oh oui ! vide tes couilles en moi !!! Continue, continue ! Je viens ! Ahhhhhhhh !!!!!
Je viens d’atteindre l’orgasme immense.
On s’écroule l’un l’autre sur le lit.
Je suis sur un nuage, je ne pense plus à rien.
Le film porno tourne toujours en fond sonore…


Cette semaine ne commence vraiment pas comme prévue...